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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Ce nouvel épisode qui se nomme Innocence montre que le cinéma japonais fait partie des tous meilleurs.Très bien réalisé, un scénario très bien rodéé.Ghost in the shell 2 est un film sur la philosopie de la vie.
Par manque de place pour la miriade de superlatifs pour qualifiée cet oeuvre exeptionnelle(je commence), Je n'en ai gardé qu'une poignée:extra ordinaire, magnifique,hypnotisant,stupéfiant,éblouissant... Une suite qui pour une fois dans le domaine cinématographique,suplante le premier film! Et je ne parle meme pas des effets spéciaux à tombé à la renverse...Hhhhaaa quel pied!
Très beau, mélange habile de 2D et de 3D, de dessins et d'infographies. Le scénario est intéressant et bien construit, l'homme et son image qui le fascine, reproduite à travers les poupées et autre robots...
Innocence est avant tout à réserver aux fans de la série et aux personnes qui séclatent à explorer son caractère philosophique. Quant à moi, je préfère très largement laction à la réflexion et en dépit de ses indéniables qualités graphiques et techniques je reste très déçu par le film. En fait, pour être sur de bien tout comprendre au film, je pense quil est nécessaire de le revoir une 2ème voire même une 3ème fois ! Pour ceux qui nont pas apprécié le 1er film, je pense quil vaut mieux éviter cette seconde mouture car il est encore plus « abstrait » mais il a toutefois le mérite de prouver que les films danimation ont atteint un degré de réalisme égal à un film ordinaire. Pour ceux qui ne connaissent pas lunivers de GITS, il sera très difficile de ressortir de la séance an ayant compris toutes les subtilités du film. Au mieux, vous ne quitterez la salle quen ayant apprécié les qualités esthétiques du film.
Oshii joue les prolongations. Après nous en avoir mis plein les mirettes et plein le cerveau avec le premier opus de Ghost in the Shell, il revient avec Innocence. En 1995, GITS était une révolution au niveau de l'animation et de la réflexion. En 2004 c'est presque pareil. Un petit bijoue d'animation et de perfectionnisme: un mélange 2D et 3D qui fait pâlir tellement c'est beau, un scénar' qui tient la route (toujours librement inspiré de l'oeuvre de Masamune Shirow) un peu moins compliqué que GITS mais qui donne toujours à réflechir. En fait j'ai eu l'impression qu'Innocence est la continuation quasi directe de GITS. Dans le 1 on définissait l'humanité et les robot. Ici on se demande quelle est la frontière entre humanité et robotique, les humain sont-ils robotisés? les robots sont-ils humanisés? Pour le savoir, allez voir ce film exceptionnel. Un film rare qui marque et qui deviendra rapidement un film de référence. Sans oublier la superbe musique de Kenji Kawai, bien plus concrète et moins expérimentale que le 1. En 1 mot génial, mais pas tout à fait au niveau du 1
La première constatation, c'est que c'est très axé philosophique... Mais GITS 2 s'en sort bien, propose de très beaux décors et une bonne hsitoire, même si par moment, on se retrouve dans des endroits sans même en avoir vu l'arrivée des personnages....
Plus d'actions, plus beau (des images magnifiques), plus réels (j'adore les mouvements de la bagnole quand les personnages montent dedans ou quand ils claquent la portière), plus impressionants, mais aussi plus complexe.
Contrairement à tout ce quon peut lire un peu partout, « Innocence » nest pas si compliqué à comprendre que cela. Si vous avez quelques notions basiques dinformatique, de philosophie, que vous avez vu le premier opus (même si ce nest pas obligatoire) et que votre cerveau nest pas encore rendu « disponible » pour gaver de la pub par TF1, il sera même assez limpide. La vision que porte Mamoru Oshii sur la nature humaine ne respire pas loptimisme, même si cette vision est en partie contredite pas la beauté visuelle du film et par lintelligence de la mise en scène, qui prouve que lêtre humain est capable du meilleur comme du pire.
Philosophie de comptoir, scénario peu clair, rythme inégal, images de synthèse mal intégrées, générique du début et musiques magnifiques. C'est tout ce dont je me souviendrai de ce film. NB : avoir vu le #1 peut aider (un peu).
Ne vous attendez pas à du DBZ, ça commence lentement, l'accroche se fait difficilement mais on remarque déjà que le soin apporté à l'esthétisme est proche de la perfection. Puis au fil du film, on se prend au jeu, les dialogues philosophiques de nos protagonistes, citations à l'appui, les longs plans séquences purement contemplatif où se mélange 2D et 3D sur fond de musique onirique sont somptueux et nous touche émotionnellement.
Le point faible du film, c'est son histoire, car elle est reléguée au second plan et même si le film suit une trame général, le scénario n'est en fin de compte pas la priorité, mais est-ce vraiment un point faible ? Je pense plutôt que l'auteur s'est servi de ce prétexte pour axer son film sur la beauté des dessins et des modèles 3D dont le mélange fournit des paysages cyberpunk complexes dont on prend un véritable plaisir à regarder, la mélancolie générale qui en ressort est vivement ressentie par nos tripes. L'oeuvre donne également une grosse part à la réflexion, de longues tirades où des auteurs comme Confucius et Descartes sont cités ouvrent notre esprit à certaines questions : qu'est-ce qui définit vraiment un humain si les machines peuvent penser et agir comme eux (voir même commettre des suicides) ? Comment l'humain cherche à ressembler à Dieu pour échapper à la mortalité ? Si il n'y a plus aucune différence sur le ressentissement entre les expériences passées, imaginaires et le présent, qu'est-ce qui définit le réel ?
Le film réalise un mélange unique entre une expérience sensorielle exceptionnelle grâce au graphisme et une réflexion bien plus poussée que dans certains films genre Matrix, seule l'histoire ne semble pas intéresser l'auteur lui-même car il ne facilite pas notre compréhension totale pour nous, mais cela fait partie de l'amtosphère général général du film qui demande un second visionnage afin de bien nous rendre compte de sa richesse. Selon moi, une parfaite représentation de ce que le cyberpunk doit être.
magnifique! une splendeur d'animation, un bond en avant visuel par rapport au premier. Un contenu toujours aussi riche avec des reflexions tres poussées sur des questions fondamentales comme les valeurs constitutives de l'individu, la perspective d'un monde inter relié par un reseau et sur l'amitié et l'amour. tres bon film. a voir absolument
Superbe film d'animation avec des personnages qui font preuve de profondeur. Le scénario nous égare un peu trop dans ses questionnements incessants sur l'âme mais qu'importe, le tout est magnifique et l'intrigue, malgré son enrobage philosophique, est tout simplement mené de main de maitre.
Suite du culte, mais daté "Ghost in the Shell", "Innocence" brille par une mise en scène exceptionnelle, une musique fabuleuse et des images d'une beauté hallucinante. Le scénario, loin d'être incompréhensible comme j'ai pu le lire plusieurs fois dans la presse, est très interessant. A voir absolument !
Il m'aura fallu, tout comme le premier opus, une seconde vision pour apprécier le film à sa juste valeur, et je pense qu'une troisième vision ne sera jamais de trop. Après une petite déception basée sur la surprise du "mais où veut-il en venir ?" j'ai pu m'imerger librement dans ce film lors de ma deuxième scéance, afin de profiter au plus profond de sa magie. Ce film est propre aux derniers films de Oshii (Patlabor 2, GITS 1, Avalon) et de nombreux thèmes et esthétiques (et le chien Gabriel de Oshii) s'y retrouvent. Oui, le film a exactement le même schéma scénaristique que le premier (on les met en parallèle, on a les séquences d'action au même moment, la musique aussi), mais c'est un nouveau voyage tout de même assez marquant. Outre le débat philosophico-théolo-technologique qui pourra blaser certains, il reste des séquences et des images qu'on ne peut oublier de sitôt. Ainsi ce labyrinthe virtuel, ces oiseaux hologrammes, Ces mouettes autour des bâtiments de cette cité immense et surtout le regard vide de toutes ces poupées ainsi que de Kuzanagi (le Major). Bref, je comprends qu'on puisse ne pas aimer ou être déçu, mais je conseille dans ces cas là une seconde vision pour être à fond dedans. Pour Gabriel, le chien apparaissant le plus en dessins animés.
Excellent film d'animation, evidement ce film sera très loin de faire l'unanimité, très contemplatif, beaucoup de citations, beaucoup de problèmes métaphysiques...Pour certains il s'agira simplement de branlette intellectuelle et de lenteurs chiantes. Vous voilà prévenus, maintenant si vous êtes motivés, je le répète, ce film est excellent et même meilleur que le premier à mon goût...