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    Sexe, mensonges et vidéo
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    CH1218
    CH1218

    199 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 août 2024
    En 1989, Steven Soderbergh a 26 ans et décroche le Graal à Cannes avec une histoire écrite en quelques jours, à la suite d’une rupture, sur un vulgaire bloc-notes. Un premier film d’auteur et d’acteurs réussi, avec James Spader, Andie MacDowell, Laura San Giacomo et Peter Gallagher.
    Michael78420
    Michael78420

    45 abonnés 1 445 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juillet 2024
    Probablement trop cérébral pour moi. Agréable à regarder, mais limite soporifique. Heureusement les acteurs sont tous excellents. Mention spéciale pour James Spader dont on découvre le jeu qui fera son succès beaucoup plus tard dans Blacklist. À noter aussi cette réplique qui invite à la réflexion : "Les hommes apprennent à aimer les femmes qui les attirent, alors que les femmes sont attirées par les hommes qu'elles aiment." Ou encore cette autre, tandis que Cynthia évoque la première fois où elle a vu un pénis, en parle comme Charlotte de Turckheim (laquelle a dit ça en premier ?) : "L'organe s'était comme une entité, séparée, comme indépendante du reste du mec... j'ai complètement oublié qu'il y avait un garçon au bout !" Bref, un film cérébral, sur le sexe. Fallait oser !
    Hugo Poisson
    Hugo Poisson

    2 abonnés 65 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juin 2024
    Une création originale pour son époque qui aborde des sujets avant-gardiste à nouveau pour son époque.
    Adultère, impuissance, plaisir féminin sont au centre de l’intrigue. Une tension à la limite du gênant se créer avec des longueur dans les plans et des blancs dans les dialogues.
    Quelques incohérences ou réactions trop sous exprimées diluent un peu la profondeur des sujets.
    Roub E.
    Roub E.

    949 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2024
    À la fois un des plus faible film de Soderbergh et une des plus faible palme d or que j ai pu voir. C est surtout un film quelconque avec des personnages mal croqués auxquels je n ai pas cru (exception faite de celui de Cynthia). Du coup malgré sa courte durée c est l ennui qui est vite apparu. Son côté faussement subversif ayant fini de clouer la chose pour moi.
    Paul Pomme
    Paul Pomme

    1 abonné 26 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 juin 2024
    Comme souvent je ne suis pas du tout d'accord avec la critique. Ce film est une réussite, autant pour le sujet, qui n'est pas du tout aussi léger et pervers que le titre peut le laisser supposer, que pour le casting et la réalisation.
    Ce format d'1h40 correspond très bien au scénario au format 'nouvelle'. C'est court, frais, intelligent, efficace.
    jroux86
    jroux86

    7 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 mai 2024
    Premier long métrage réalisé par Steven Soderbergh, écrit par ses soins en seulement huit jours, Sexe, Mensonges et Vidéo est un film très inspiré. Inspiré par le propre échec sentimental du cinéaste au moment de l’écriture du scénario, inspiré par les mœurs américaines en matière de sexualité tandis que s’achèvent les années 80. Ainsi sommes-nous en présence de deux sœurs dont la vie sexuelle est aux antipodes : cérébrale et frustrante pour Ann (Andie MacDowell), libre et débridée pour Cynthia (Laura San Giacomo). Entre les deux femmes, le même partenaire : John (Peter Gallagher) qui n’est autre que… le mari de Ann (qui n’a pas connaissance de l’adultère). Ce dernier est l’archétype du carriériste. Jolies cravates, secrétaire personnelle, parties de golf pour cultiver l’entre-soi… cet avocat d’affaires sur la pente ascendante possède tous les attributs de la réussite sociale telle qu’on se la figure alors. Et puis, "l’élément déclencheur" débarque : un dénommé Graham (James Spader), ami d’enfance de John, personnage assez lunaire dont on sait peu de choses sinon qu’il sera hébergé par le couple durant quelques jours.

    C’est donc lors d’une journée qui ressemble à beaucoup d’autres pour Ann, partagée entre ses séances de psychanalyse et son morne quotidien de femme au foyer, qu’elle reçoit, seule, ledit Graham. Et d’emblée, leur rencontre est placée sous le signe du bizarre et de l’incongru. Quand il entre pour la première fois dans la maison, avant même d’avoir échangé avec Ann les politesses de rigueur, celui-ci demande où sont les toilettes. Fausse alerte, finalement. Quelques mots sont ensuite échangés avec maladresse, puis, cette fois-ci c’est la bonne, direction les W.-C. Quand il en revient, Ann se surprend à dire que ce fut bien court, selon elle. Ainsi, alors qu’ils n’ont pas encore fait connaissance, s’installe entre eux une proximité assez trouble. Plus tard, Graham affirmera, comme un prélude à leur relation, "qu’on ne devrait faire confiance qu’aux personnes avec qui l’on couche". De confidences en confidences, Ann et Graham vont ainsi dévoiler leur intimité jusqu’à la découverte du fantasme de Graham : filmer des femmes qui parlent de sexe. Le contrat est clair : elles peuvent dire ou faire ce qu’elles veulent, lui ne les touche pas. Le film prend alors une autre dimension.

    On pourrait ne voir dans le fantasme de Graham qu’un effet d’une pulsion scopique condamnable – et d’ailleurs fortement condamnée par Peter… qui a pour amante la sœur de sa femme, rappelons-le. Mais Soderbergh en fait tout autre chose. Les femmes qui choisissent de se livrer aux questions et à la caméra de Graham sont en totale adhésion avec ce qu’il appelle "son projet". Privées de tout contact physique avec lui, leur parole s’écoule sans contraintes et agit comme des caresses sur des corps soumis à la distance. La mise à nue passe donc par les mots. Et les participantes y prennent un plaisir inattendu. Sous l’œil froid de l’objectif, l’appartement de Graham se fait alors confessionnal et le sexe se mue en mystique où s’entrechoquent la psychanalyse (ce n’est pas un hasard si le film s’ouvre sur une séance chez le psy) et le voyeurisme. La tension est à son comble quand la parole, délivrée des étreintes corporelles, livre ses secrets les plus enfouis, ouvre un univers de plaisir à ceux qui s’en croyaient privés, qui regardent avec stupeur la vie nouvelle qui s’offre à eux.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mai 2024
    Premier long-métrage et Palme d'or au festival de Cannes en 1989. Un début fulgurant pour Steven Soderbergh qui a navigué ensuite entre cinéma expérimental et cinéma grand public commercial (souvent de qualité). Ce premier opus est un film d'auteur qui, non seulement gratte le vernis de l'american way of life, mais aussi, et surtout, aborde le sujet du désir et de la sexualité d'une manière très singulière, à la fois délicate et directe, avec un je-ne-sais-quoi d'érotisme cérébral, qui captive, trouble et séduit par son intensité. Le récit évolue avec une élégance subtile entre trivialité et étrangeté, sondant un réseau complexe de pulsions exprimées ou refoulées, de rejets et de blocages, de mensonges et de non-dits, à travers les thèmes de l'adultère, de l'impuissance, du voyeurisme... C'est audacieusement et intelligemment écrit, précisément réalisé et monté, et remarquablement interprété (mention spéciale à Andie MacDowell face à un James Spader tout en mystère - Prix d'interprétation masculine à Cannes).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 mai 2024
    Tout le monde s'envoie en l'air avec tout le monde malgré les promesses de fidélité, ce qui crée des blessures dont chacun se sort comme il peut : ça, on le sait depuis la nuit des temps !!! Mais alors quel est le propos du film ? Où Soderbergh veut il en venir ? Tout cela est géré à vue, soporifique, long, bavard et totalement inintéressant. La fin est bien facile, mais quand on ne sait pas où on veut en venir, on arrête le film comme on peut ... Quel navet ! Ma demie étoile pour Laura San Giacomo qui incarne brillamment la plus salope des salopes !
    El Magnifico
    El Magnifico

    2 abonnés 29 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2024
    5 étoiles évidemment pour cet OVNI. Malgré les thématiques abordées, c'est un film fin et délicat. C'est bien joué et Andie MacDowell est sublime. Le personnage principal malgré ses troubles et ses déviances est paradoxalement le plus honnête.
    tanteclodine
    tanteclodine

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2024
    Bon, j'adore ! Tout d'abord je trouve que l'acteur qui joue Graham est le sosie masculin de Meryl Streep ☝️😌
    Cette observation extrêmement importante étant faite, j'ajoute que le scénario est toujours aussi original et la réalisation (type huis clos mais avec quatre lieux differents) est super. Voilà, j'aime bien. Comme quoi on peut faire un bon film avec trois francs six sous.
    Le thème ? C'est le titre du film.
    Ah, peut-être que la coiffure de Graham a un peu vieillie....
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    42 abonnés 1 301 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2024
    Un très bon film culte de Steven Soderbergh sur les tabous sexuels avec James Spader , Andie MacDowell et Peter Gallagher.
    Coralie M
    Coralie M

    7 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2024
    J’avoue ne pas comprendre la palme d’or. Je ne comprends pas non plus le message. À part, oui, le mariage américain fake, l’avocat beau goss finalement très médiocre, et le Graham rêveur, tout sauf matérialiste qui intervient dans l’histoire comme une espèce de Jésus sauveur… Le truc c’est que Soderberg essaie de filmer à tout prix le quotidien de cette vie absurde, pour rende le “message” plus subtile, mais ça se voit trop! Bref… j’aime les couleurs, quelques plans, quelques très bons dialogues. Mais ça reste du film américain pas très subtile.
    Georgia B.
    Georgia B.

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 mai 2024
    A l'époque j'en avais entendu parler mais il ne me disait rien, donc je n'avais jamais vu ce film.
    La claque! Il n'a pas perdu une ride, il me semble intemporel et délivrer les secrets des tragédies grecques comme les farces de Molière, avec l’harnachement matériel moderne...
    Faux semblants, mensonges, certitudes rassurantes, jeux d'amour et de hasard!
    J'aurais bien du mal à parler de ce film tant il m'a interpelée de façon multiple, et raconter l'histoire entre quatre personnes principales serait le réduire...
    Il faut le voir!
    Zarkalexia
    Zarkalexia

    46 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 juillet 2023
    J’ai trouvé que l’introspection des personnages étaient trop faciles , la sœur jalouse qui couche avec le mari qui croit que sa vie sera parfaite avec ces deux sœurs une à la maison une au lit , et ce Graham qui arrive comme un cheveux sur la soupe avec ses idées de genre moi je suis différent alors que en fait avec ses vidéos on lui découvre un problème comme à tous . Ça se regarde mais très loin des complexes psychologique digne du trophée gagné a quoi je m’attendais dommage
    Emmanuelle Verhoeven
    Emmanuelle Verhoeven

    2 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2023
    Bijou, grande sensibilité, sensualité, exposition et pudeur, James Spader crève l'écran et transpire le sexe !
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