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Votre avis sur Starship Troopers ?
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J'avais souvenir d'un film gorre ben pas du tout. Si le réalisateur performe dans le film futuriste, il n'a pas performé avec ce casting de seconde zone. Le film se suit bien, les personnages sont sympas mais sans plus. Les soldats ont des costumes très Allemand de la seconde guerre, comme pour évoquer le régime de la fédération sûrement. Comme pour total recall, les effets spéciaux ne se demodent pas avec le temps, les décors ont leurs identités et ne font pas ringard. Film moyen, sans plus.
Comme il en est coutumier, Paul Verhoeven propose avec ce titre une double lecture. La première, celle d'un futur éloigné ou règne la conquête spatiale de galaxies éloignées, la confrontation avec d'autres intelligences.
La seconde qu'on pourrait proposer est celle de la guerre considérée comme composante inéluctable du développement de la civilisation. Le thème de la propagande en direction des foules crédules est aussi abordé ( on pense au célèbre livre "Propaganda " de E. Bernayis sur le sujet).
Les critiques seront parfois vives à l'égard de "Straship troopers", mais pour être juste les compliments aussi.
Le casting féminin est formidable ( sur ce point Verhoeven est passé maître) et s'inscrit dans la tradition du cinéma hollywoodien ou du cinéma italien de son âge d'or.
Ce n'est pas l'opus du cinéaste que je préfère ( " Basic Instinct" surtout et aussi "Showgirls" et " Black Book" sont mes préférés) mais le film vaut le coup d'oeil.
La seconde qu'on pourrait proposer est celle de la guerre considérée comme composante inéluctable du développement de la civilisation. Le thème de la propagande en direction des foules crédules est aussi abordé ( on pense au célèbre livre "Propaganda " de E. Bernayis sur le sujet).
Les critiques seront parfois vives à l'égard de "Straship troopers", mais pour être juste les compliments aussi.
Le casting féminin est formidable ( sur ce point Verhoeven est passé maître) et s'inscrit dans la tradition du cinéma hollywoodien ou du cinéma italien de son âge d'or.
Ce n'est pas l'opus du cinéaste que je préfère ( " Basic Instinct" surtout et aussi "Showgirls" et " Black Book" sont mes préférés) mais le film vaut le coup d'oeil.
Star Wars rencontre Full Metal Jacket, sans toutefois se prendre trop au sérieux, pour un résultat kitch mais divertissant.
"Starship Troopers" de Paul Verhoeven est une œuvre cinématographique qui se démarque par sa capacité à transcender les attentes habituelles du genre science-fiction militaire, tout en naviguant habilement à travers les eaux troubles de la satire politique et sociale. Le film réussit à captiver par son audace visuelle et son approche non conventionnelle du récit, propulsé par des effets spéciaux révolutionnaires pour l'époque, et une bande sonore puissante signée Basil Poledouris qui amplifie l'immersion dans cet univers futuriste.
Cependant, "Starship Troopers" est loin d'être une simple distraction esthétique. Verhoeven, connu pour ses commentaires sociaux acérés, utilise le film comme une plateforme pour explorer des thèmes complexes tels que le fascisme, l'impérialisme, et les dangers de la propagande, mettant en lumière les mécanismes subtils qui peuvent influencer une société vers des idéaux extrêmes. En dépeignant une humanité unie sous une bannière pseudo-utopique pour combattre un ennemi commun - les redoutables Arachnides - le film nous invite à réfléchir sur notre propre propension à l'uniformité idéologique, en particulier dans des contextes de conflit.
Le traitement des personnages, bien que parfois critiqué pour son manque de profondeur, sert en réalité l'intention satirique du film. Les protagonistes, incarnés par Casper Van Dien, Dina Meyer et Denise Richards, représentent à la fois l'archétype des héros de guerre cinématographiques et une critique de ces mêmes idéaux, piégés dans un cycle de violence sans fin masqué par des sourires éclatants et des slogans patriotiques.
Malgré ses qualités indéniables, "Starship Troopers" souffre de certains écueils qui empêchent le film d'atteindre la perfection. La narration, par moments, peut sembler décousue, perdant le spectateur dans un enchevêtrement de batailles et de discours politiques qui diluent l'impact émotionnel de l'histoire. De plus, certaines séquences, bien que visuellement impressionnantes, flirtent avec l'excès, érodant légèrement la cohérence globale du film.
En conclusion, "Starship Troopers" est une œuvre complexe qui mérite d'être explorée au-delà de sa surface spectaculaire. C'est un film qui, malgré ses imperfections, demeure pertinent par son audace et sa capacité à provoquer une réflexion critique sur des sujets d'actualité. C'est cette fusion de divertissement haut de gamme et de commentaire social qui fait de "Starship Troopers" un film mémorable, bien qu'il ne soit pas sans défauts.
Cependant, "Starship Troopers" est loin d'être une simple distraction esthétique. Verhoeven, connu pour ses commentaires sociaux acérés, utilise le film comme une plateforme pour explorer des thèmes complexes tels que le fascisme, l'impérialisme, et les dangers de la propagande, mettant en lumière les mécanismes subtils qui peuvent influencer une société vers des idéaux extrêmes. En dépeignant une humanité unie sous une bannière pseudo-utopique pour combattre un ennemi commun - les redoutables Arachnides - le film nous invite à réfléchir sur notre propre propension à l'uniformité idéologique, en particulier dans des contextes de conflit.
Le traitement des personnages, bien que parfois critiqué pour son manque de profondeur, sert en réalité l'intention satirique du film. Les protagonistes, incarnés par Casper Van Dien, Dina Meyer et Denise Richards, représentent à la fois l'archétype des héros de guerre cinématographiques et une critique de ces mêmes idéaux, piégés dans un cycle de violence sans fin masqué par des sourires éclatants et des slogans patriotiques.
Malgré ses qualités indéniables, "Starship Troopers" souffre de certains écueils qui empêchent le film d'atteindre la perfection. La narration, par moments, peut sembler décousue, perdant le spectateur dans un enchevêtrement de batailles et de discours politiques qui diluent l'impact émotionnel de l'histoire. De plus, certaines séquences, bien que visuellement impressionnantes, flirtent avec l'excès, érodant légèrement la cohérence globale du film.
En conclusion, "Starship Troopers" est une œuvre complexe qui mérite d'être explorée au-delà de sa surface spectaculaire. C'est un film qui, malgré ses imperfections, demeure pertinent par son audace et sa capacité à provoquer une réflexion critique sur des sujets d'actualité. C'est cette fusion de divertissement haut de gamme et de commentaire social qui fait de "Starship Troopers" un film mémorable, bien qu'il ne soit pas sans défauts.
Des SFX toujours autant impressionnants. Un classique de SF aujourd'hui.
Starship Troopers est un film culte qui se démarque par sa bipolarité singulière mêlant satire militaire et immense spectacle de science-fiction. Les décors sont grandioses et les scènes d'action comme de narrations sont réussis.
Ce film est très certainement l'un des meilleurs dans le style de la science fiction. On retrouve un univers qui fait rêver, les personnages sont attachant et courageux, les effets spéciaux sont au rendez-vous et il fait une satire d'un monde futur qui serait militarist, rajoutant un humour très subtil qu'il est compliqué de ne pas apprécier.
Un très bon film de science-fiction réalisé par Paul Verhoeven qui est une satire futuriste du fascisme avec les arachnides.
J'ai eu du mal à le terminer... J'aime beaucoup le Sci-Fi, mais là, avec les personnages caricaturaux, le scénario inexistant et le s*xe qui est très présent dans le film, cela fait un bon nanard gore mais avec des effets spéciaux moyens... Les scènes de battailles avec de la musique héroïque et lourde alors qu'on voit des gens se faire déchiqueter...
1,5/5 - 3/10
Vraiment pas ouf
1,5/5 - 3/10
Vraiment pas ouf
"Participez à l'effort de guerre, la citoyenneté vous tend les bras !"
Avec «Starship Troopers», Paul Verhoeven («Robocop», «Total Recall») réalise un pamphlet anti-militariste majeur, une sorte de mixe entre «Full Metal Jacket» et «Les sentiers de la gloire», la science-fiction en plus. Taxé à l'époque par une certaine presse, de film et de réalisateur facho, «Le Hollandais violent» nous livre un brûlot aussi sanglant que cynique, aussi jubilatoire qu'intelligent, en envoyant au casse-pipe toute une jeunesse terrienne (garçons et filles sans exception aucune, chez Verhoeven, on joue la parité). Une jeunesse volontaire et guerrière conditionnait à grand renfort de propagande. Une jeunesse à qui l'on promet la citoyenneté dans une société futuriste et dystopique où une seule fédération règne sans partage sur la planète. Ces hordes de va-t-en-guerre partant la fleur au fusil devront combattre un ennemi extraterrestre appelé Arachnide, un parasite ayant la capacité de propulser sur la terre de gigantesques météorites déviées de leur trajectoire grâce à un rayon plasma. Un cataclysme sans précédent faisant des millions de victimes conduira la toute puissante fédération à envoyer dans l'espace des centaines de milliers de fantassins et une flotte impressionnante de vaisseaux de combat, avec un seul l'objectif : apporter la guerre sur la planète Klendathu berceau des Arachnides. Durant plus de 2h15', à grand renforts d'effets spéciaux grandioses et de scènes-chocs, Verhoeven n'aura de cesse de tirer à boulets rouges sur une humanité cruelle et belliqueuse. Quoi de mieux que des mensonges propagandistes pour envoyer à la mort toute une génération ? Et d'Humanité, Verhoeven recentre son récit sur l'humain à travers plusieurs personnages, mais là aussi, le constat est sans appel, la jalousie, le carriérisme, l'individualisme, la cruauté en ressortent annihilant du même coup, toute forme de bonté et de courage.
Avec «Starship Troopers», Paul Verhoeven («Robocop», «Total Recall») réalise un pamphlet anti-militariste majeur, une sorte de mixe entre «Full Metal Jacket» et «Les sentiers de la gloire», la science-fiction en plus. Taxé à l'époque par une certaine presse, de film et de réalisateur facho, «Le Hollandais violent» nous livre un brûlot aussi sanglant que cynique, aussi jubilatoire qu'intelligent, en envoyant au casse-pipe toute une jeunesse terrienne (garçons et filles sans exception aucune, chez Verhoeven, on joue la parité). Une jeunesse volontaire et guerrière conditionnait à grand renfort de propagande. Une jeunesse à qui l'on promet la citoyenneté dans une société futuriste et dystopique où une seule fédération règne sans partage sur la planète. Ces hordes de va-t-en-guerre partant la fleur au fusil devront combattre un ennemi extraterrestre appelé Arachnide, un parasite ayant la capacité de propulser sur la terre de gigantesques météorites déviées de leur trajectoire grâce à un rayon plasma. Un cataclysme sans précédent faisant des millions de victimes conduira la toute puissante fédération à envoyer dans l'espace des centaines de milliers de fantassins et une flotte impressionnante de vaisseaux de combat, avec un seul l'objectif : apporter la guerre sur la planète Klendathu berceau des Arachnides. Durant plus de 2h15', à grand renforts d'effets spéciaux grandioses et de scènes-chocs, Verhoeven n'aura de cesse de tirer à boulets rouges sur une humanité cruelle et belliqueuse. Quoi de mieux que des mensonges propagandistes pour envoyer à la mort toute une génération ? Et d'Humanité, Verhoeven recentre son récit sur l'humain à travers plusieurs personnages, mais là aussi, le constat est sans appel, la jalousie, le carriérisme, l'individualisme, la cruauté en ressortent annihilant du même coup, toute forme de bonté et de courage.
Un film que devraient voir tous les jeunes européens après leur BAC. LA référence de la science-fiction militaire.
Un chef d'œuvre du grand Paul Verhoeven. Un film qui a été descendu américaine quand il est sorti en salle. Une critique de l'armée et même des États-Unis. De bons acteurs attachants, des effets spéciaux vraiment pas mal pour l'époque. Un film à voir et à revoir.
Satirique, Starship Troopers obtient des points grâce aux effets spéciaux sophistiqués et à l'action ininterrompue tout au long du visionnage. Malgré ses incohérences, voulues ou non, Paul Verhoeven parvient à captiver son public.
Starship Troopers...que dire...il se regarde aisément et la première fois que j'ai vu ce film, j'ai pensé à Thunderbirds (série avec les marionnettes dans les aéronefs), mais de façon gore, ou bien, Ken et Barbie projetés dans un film de science-fiction d'horreur... Les effets spéciaux et le scénario sont bien réalisé, même si l'on attend toujours une suite à la mesure du premier film... Cependant, c'est une bonne science fiction où l'on ne se projette pas totalement comme les tous premiers Star Wars et c'est pour cette raison que je ne l'ai regardé que 2 fois depuis sa parution. Les acteurs et actrices qui malheureusement n'ont pas eu une énorme carrière par la suite, sauf pour l'officier "Michael Ironside" qui se fait découper par une vilaine bestiole, jouent cependant très bien. En conclusion, j'apprécie sans plus ce film...
J'ai regardé jusqu'au bout pour voir où Verhoeven voulait en venir. C'est une débauche d'ultra violence à répétition. Les soldats, filles et garçons, se font transpercer, déchiqueter, sucer la cervelle par des bestioles genre araignées géantes. Les survivants passent au milieu des blessés agonisants sans bras ni jambes sans les regarder et en plaisantant. Ils y retournent "la fleur au fusil "lorsque le chef leur lance "celui qui déserte, je le tue de mes propres mains" et se font trucider à leur tour sauf les "héros" qui échappent à tout. L'invraisemblance est poussée à l'extrême Ce scénario débile qui tourne en rond, avec la scène de sexe avec la fille qui montre ses seins, m'ont laissé une sensation de malaise
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