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Mork Dark
5 abonnés
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3,0
Publiée le 31 juillet 2023
Battle Royal 2 : Requiem.
Contrairement au premier que j’aime beaucoup, notamment car il prend plus le temps de se poser. Requiem va beaucoup trop vite à mon gout, ce qui au contraire plaira surement mieux à ceux qui ont trouvé le premier trop moue.
Il faut dire que Requiem est à double sens étant donné que le grand Kinji Fukasaku qui a réalisé le premier est décédé le premier jour de tournage et que la lourde tâche de reprendre le flambeau a été confiée à son fils Kenta (qui réalisera plus tard Tokyo Girl Cop).
La réalisation de Kenta est plus moderne et plus explicite dans la violence que celle de son regretté père ce qui est un plus pour le film, hélas il a aussi le même défaut de ne pas donner aux personnages assez de backround pour que l’on s’y attache (hormis Ai Maeda dans le rôle de Shiori Kitano la fille du professeur du précédent BR).
Coté acteur à la différence du premier, le casting est plus professionnel (bien que pour beaucoup BR2 soit un de leur premier film), On peut noter Shugo Oshinari dans le rôle de Taku (Lorelei: The Witch of the Pacific Ocean, Heaven's Story, Crying 100 Times: Every Raindrop Falls) ou Ai Maeda (Azumi 2: Death or Love, Death Note: The Last Name).
Dans l’ensemble Battle Royal 2 : Requiem est un bon film mais qui manque un peu de corps (sans vilain jeu de mots) par rapport au premier.
Si pour le premier j’ai mis 16/20, BR-2 n’aura qu’un pénible 13.
une suite vraiment pas à la hauteur du premier, on enlève l'effet de surprise, il reste plus rien à ce second volet, bâcler, scénario qui part dans tout les sens, on ce croirait à la seconde guerre mondiale, n'importe quoi. bref.... a éviter absolument
Certes les Fukasaku père et fils n’ont pas l’intention de jouer la carte de la facilité. En effet, ils ne se contentent pas de réitérer le concept du premier épisode en le déclinant avec un autre groupe d’adolescents. Dans ce "Battle Royale II", les lycéens ne devront plus s’entre-tuer, mais s’attaquer au survivant du précédent film ayant monté un groupe terroriste. Cette suite se veut donc plus frontale et directe dans son discours politique. Si, sur le papier, l’idée paraît prometteuse, à l’exécution elle s’avère complètement saugrenue : pourquoi envoyer des lycéens n’ayant jamais manipulé une arme là où une armée entraînée n’a pas réussie ? C’est d’autant plus frustrant que le manque de développement des personnages est encore plus marqué que dans le premier. Le début a beau être efficace, notamment lors de la séquence du débarquement où les lycéens complètement perdus et affolés se font canarder comme des lapins. Au final, "Battle Royale II – Requiem" est bruyant, éreintant et exaspérant. Et ce ne sont pas les quelques minutes supplémentaires de la version longue, nommée "Revenge", qui viennent arranger les choses. Au contraire, elles ne font que prolonger le calvaire.
Battle Royale 2: Requiem est un film de guerre qui se transcende dans une finalité qui renie, avec une totale logique, son concept de combat sous terrorisme afin de s'extirper d'un manichéisme projetant un monde étrangement binaire pour arriver à un état philosophique pur qui est tout simplement de vivre en étant complet et, donc, avec ses rêves (les idéaux de l'enfance) et ce que l'on est destiné à devenir dans la société (un adulte) mais, ce qui est dingue, c'est que cette transcendance s'est extirpé de l'œuvre pour s'immiscer dans la conception d'un film où le père (l'adulte éternel) a laissé sa place à son fils (l'enfant éternel) pour nous proposer un film réalisé par un adulte enfant (l'être complet).
En ce qui concerne la surface filmique du métrage, on est en face d'un ovni complètement barré qui peut nous livrer des scènes nanardesques à mourir de rire (toutes les scènes du prof) comme de véritables moments de grâces qui peuvent largement rivaliser avec un certain Malick (le flashback en Afghanistan), des scènes d'actions gores sous lsd qui influencent encore des films d'aujourd'hui (le débarquement du film a été repris par James Gunn pour son The Suicide Squad), et des images soit marquantes (les tours) ou soit improbables (la colorimétrie qui part en vrille avec un jeu de teinte).
Pour finir, le contexte politique du film est logique (par rapport à la vie du réa) en plus d'être rafraîchissant (critique de l'impérialisme des états-uniens), les musiques sont excellentes, et c'est véritablement un plaisir de pouvoir retrouver les acteurs du premier.
Ps : les nanars sont les films les plus importants car ils ont leur propre grammaire et, par conséquent, ils réinventent le cinéma.
Le premier Battle royale m'avait bien intéressé alliant une bonne idée à une réalisation efficace. Le second volet est une daube sans nom, une bouillie infâme au niveau du sens (si on peut appeler cela sens) d'un convenu écoeurant et d'un ennui total.
Autant, “Battle Royale” est un film culte du cinéma d’horreur des années 2000, autant “Battle Royale 2” est une suite absolument minable. Un an après les événements du premier opus, les deux survivants doivent de nouveau participer à la “Battle Royale”, mais cette fois en s’opposant et en compagnie d’une classe bien moins tendre. Par moins tendre, entendez encore plus de clichés et de coiffures dignes des mangas animés. L’histoire est grossière, barbare et sans aucune empathie. Plus de deux heures sans aucune implication pour conclure sur une pseudo fin épique sans queue ni tête, “Battle Royale 2” n’est pas un nanar, c’est une médiocrité. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Une suite sans intérêt. Les acteurs sont totalement invisibles et le scénario absent. Avec en plus une réalisation totalement raté rendant le film brouillon. Le scénario morbide et original du premier fait malheureusement place ici à un film enchaînant bêtement les scènes de tir.
Une intrigue qui ne tient pas la route. Une pseudo réflexion sur les resistants du monde, et le déni des jeunes par les adultes. Mouais... On s'ennui rapidement. Sans intérêt, hormis pour les scènes gores.
"Battle Royale II - Requiem" est la suite du premier film "Battle Royale" qui avait rencontré un certain petit succès. Et pour cette suite, nous allons faire court et allé à l'essentiel : ce film est dangereux ! Je ne vais même pas vraiment parler de cinéma dans cette critique. Déjà, car le film est cinématographiquement une catastrophe. Mais aussi, car je veux me concentrer sur ce qu'il montre et sur ce qu'il nous raconte. Et clairement, que l'on soit bien clair entre nous, ce film fait l'apologie du terrorisme. Ni plus, ni moins. Dans notre cinéma actuel, on voit des films sortir de temps en temps, où l'on va les taxer de film raciste ou encore bien d'autres mots à la mode. Mais honnêtement, s'il peut potentiellement toujours y avoir des débats sur tous ses films, il ne doit pas y en avoir pour celui-ci. Quand les héros de ce film sont des terroristes qui commettent des attentats où des civiles sont tués et qu'ils sont montrés comme les gentils de l'histoire, sans que jamais leurs actes ne soient remis en cause, excusez-moi, mais je trouve cela scandaleux ! Et je ne dirai rien de plus à propos de ce projet. Il faut juste et simplement évitez juste ce film. Je ne pense pas que tout cela est était l'intention d'origine de l'équipe du film, et sachant que le réalisateur est décédé pendant le tournage, le tout a dû être très compliqué. Mais malgré tout, ce n'est pas certainement pas une excuse pour sortir un tel film. Pour conclure, un long-métrage très malsain et très dangereux.
Film longué, inférieur en tout en comparaison du 1er, doublage Allemand inexistant ! Dans Overwatch 76 est forcé par Vincent à faire des chose qu'il ne veut pas !
La digne suite du premier Battle Royal. Ce film est un bon film philosophique sur la guerre et la psychologie des ado. Dommage que ce deuxième film soit moins gore et l’acteur qui joue le professeur joue moins bien que celui du premier film.
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0,5
Publiée le 5 mai 2020
J'ai essayé de revoir Battle Royale II - Requiem, car je voulais voir pour savoir pourquoi je détestais ça la première fois que je l'ai vu. Le jeu des acteurs étaient terrible, soit ils jouaient mal, soit ils sur-jouaient et c'était parfois les deux en même temps. Je voulais que des choses horribles arrivent au gamin blond et au professeur, deux des pires acteurs que je n'aie jamais vus. L'un retourne constamment au même endroit et l'autre se gonfle sans cesse beaucoup trop les yeux et crie le nom de tous ceux qui meurent de manière très dramatique. Dans un premier temps le film essaie de donner la même expérience que son prédécesseur nous a fournie mais échoue horriblement avec un message pas si subtil sur les conséquences de la guerre. Avec un complot faible qui dépense la majeure partie du temps par du remplissage pour promouvoir le terrorisme. Pourquoi vous joindriez-vous à un terroriste qui a tué votre famille ? Mais pourtant c'est ce qu'ils font. Je me demande combien de réflexion a été consacrée à l'écriture de ce film. Le premier n'était pas un chef-d'œuvre (loin de la) mais la suite est un échec bâclé et malavisé grâce à un jeu d'acteurs de style dessin animé et un manque d'intrigue total. Un candidat de choix pour le pire film jamais créé ou réalisé. À évité comme la peste...
Une vraie, authentique, pure suite ratée. J'avais adoré le premier Battle Royale qui sous couvert de film excessif, gore à souhait et plein d'humour noir, cachait un véritable pamphlet sur la société japonaise.Cette suite commet la pire des erreurs à savoir: se prendre au sérieux. Il n'y a pas dans ce film le recul et la distance qu'il y avait dans le précédent, du coup la violence passe beaucoup moins bien, mais aussi le discours. J ai eu l'impression tout le long que le côté plus premier degrés était une démonstration d'un manque de confiance envers le spectateur et d'une volonté d'être plus explicite plus démonstratif et cette manière de faire parasite paradoxalement le discours du film qui parait assez détestable et presque à l'opposé de celui du premier. D'une manière générale, le film parait confus (ce qui ne surprend pas quand on sait que le premier réalisateur est mort en cours de tournage) et perd du coup son but en route. Un peu comme un élève qu'on interroge et qui broderait pour masquer le fait qu'il ne maîtrise pas son sujet. Tout est en fait inférieur au premier, c'est aussi moins bien joué, moins rythmé, la dernière partie vire carrément à la catastrophe. Un film aussi mauvais que son prédécesseur était brillant.
Une suite qui aurait pu être intéressante si elle avait été travaillé autrement. La on tombe dans un copié collé du 1er. Avec juste quelques modifications au niveau de l ensemble de "la bataille". On s ennuit assez rapidement et on serait plutôt dans un film de guerre ou bon nombre d incohérence (même si c etait inévitable comme tout film. Mais sur certains points, c est pas top). Le 1er avait du punch, des situations etc... Mais ici rien n est vraiment développé et meme si le rythme reste constant. La répétition des scènes devient vite lassante... Bref, on oubliera vite cette pseudo suite au détriment du 1er. Quitte à regarder une énième fois le 1er opus. Inutile et ennuyeux assez rapidement... Next
Le premier fut un succès, qu'il aurait mieux fait de laisser intact, car malheureusement ce second opus ressemble plus à une scène, un chapitre, plus qu'a une suite digne de ce nom.
Le thème est bien trouvé, les survivants du premier sont retranchés loin de la société et le jeu recommence de l'autre coter pour nettoyer les restes du premier opus qui s'attaquent au monde des adultes, en faisant de terrible ravage dans leur soif de vengeance, y compris chez les plus jeunes.
Quelques scènes parle dans une émotion certes bien amener et typique de ce genre de film, mais avec des questions qui ne trouve pas de réponse, la violence pour la violence et après ? Bah rien.
Quelques scènes rétrospectives qui s'emboîtent avec le premier BR sans pour autant complètement étonner ni faire admirer un peu plus cette suite.
On admira cependant le coter très japonais, avec du sang et encore du sang bien étaler partout à en rendre jaloux monsieur propre, en passant par l'excitation des jeux d'acteurs qui aime agiter les bras dans tous les sens pour montrer à quel point il joue bien et tirer des têtes bien oser (que voulait vous, c'est leur culture qui veut ça
Des acteurs comme Takeshi Kitano font plaisir à revoir. Simple et efficace à la fois.
Ce n'était pas l'époque des caméras encaissant bien les modes ralentis par contre. Mon Dieu qu'on se fait mal aux yeux dans cette saccade infernale durant les scènes d'action.
Petite excuse tout de même, le décès de son réalisateur durant le tournage qui je pense n'est pas totalement étranger à la qualité de réalisation, qui ne verra d'ailleurs jamais sa propre œuvre... et c'est peut-être mieux ainsi.