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Stephenballade
396 abonnés
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1,5
Publiée le 19 juin 2014
Autant je n'ai absolument pas aimé le premier, autant j'ai un chouia infiniment peu plus apprécié le deuxième film du diptyque. Il fait suite au premier, et trouve enfin un sujet un plus sérieux car il faut que cette mascarade concoctée par les adultes cesse. Bien que ça soit un peu plus académique, ça s'arrête là : on a plus un film de guerre que d'action, les mitraillettes distribuent leurs pilules à tout va avant de se taire miraculeusement lorsqu'un drame arrive, puis reprennent leur chant de plus belle. Pire, les cibles sont facilement trouvées en début de film spoiler: lors du débarquemen t, puis quand il s'agit de faire mouche encore spoiler: quand les cibles sont plus proches , ben ça fait des trous partout, sauf là où il faut. Avec tous ces médicaments donnés (référence aux sulfateuses citées plus haut), on devrait être vacciné à tout mais la pilule a vraiment du mal à passer. Voilà en somme mon avis pas bien riche sur un film sorti directement en DVD, que je considère comme ne méritant pas plus d'attention que ça.
Vraiment nul... Aucun intérêt... Autant que le premier est un but et une histoire "assez bien faite", battle royale 2 est mal joué et certains moments n'ont aucun sens et de but. L'ambiance est bidon et on ne ressent aucun stress.
Décédé durant le tournage, Kinji Fukasaku, l'auteur du premier "Battle Royal", n'a donc pu terminer cette suite et c'est son fils qui a dû se charger de cette tâche. Que serait "Battle Royale II" sans la mort de cet excellent cinéaste japonais? On ne le saura jamais maisle film que l'on a sous les yeux a tout du gros navet, de cette suite sans inspiration, misant tout sur le succés de cette franchise adapté du bestseller de Kōshun Takami et décliné ensuite en mangas. Ce second opus ne reprend pas le principe du jeu de la mort développé dans le premier long métrage mais dérive dans une histoire aussi creuse que ridicule. Ce Requiem n'a pas de raison d'être et ne mérite pas que l'on s'y attarde.
Battle Royale II – Requiem : Une suite efficace qui gardent les bonnes bases du premier mais qui est assez différent dans le concept. Car, ce n’est pas un simple copier-coller mais une vraie suite. Cette fois ci, c’est la guerre. Un nouveau jeu a était voté : Battle Royale 2 qui envoi une classe d’ados « des vermines de la société » pour aller ce faire tué sur le champ de bataille. Leur mission : tué la résistance ennemie qui son contre le jeu mais ça, ils ne le savent pas. Donc voila, scénario qui fait office d’une bonne suite. Avec nous nouvelle règles bien sympa : être obliger de survive en duo, si l’un des deux meurt, l’autre exploses… Sinon, il y a toujours ce coté survie et jeu qui vient s’ajouter au nouveau coté guerre. Et puis, le film est toujours aussi remplit de scène d’action et de gicle de sang donc de ce coté la, c’est toujours aussi efficace. Malgré une baisse de rythme assez prononcé au milieu de film. Avant de reprendre son allure vers les trois quart et le final. Ensuite, niveau réalisation : c’est tout aussi efficace malgré que ça tremblote beaucoup mais c’est voulu pour l’effet plus proche et guerre du film. Donc voila, une bonne suite pour les amateurs d’action pure et dure.
Ce film est un ratage complet de bout en bout. C'est simple rien n'es bon que ce soit la réal, les scènes d'actions, le propos, et les comédiens. On enchaîne les situations débiles,les incohérences, les messages niais et déplacés. Le film est long et chiant. le prof méchant cabotine à mort et son final est ridicule. J'ai détesté ce film autant que j'ai adoré le premier battle royal.
Quelle différence de niveau avec "Battle Royale" ! Cette suite a enlevé tous les aspects intéressants du premier volet. Le scénario est imbécile au possible, les acteurs sont médiocres (la performance de Riki Takeuchi est tellement absurde, c’est incroyable) et le principe même du jeu est complètement débile.
1 Prenez un film plutôt sympathique (Battle Royale). 2 Enlevez le suspens et l'effet de surprise. Ne mettez surtout pas un scénario. 3 Remplacez des personnages attachants par une armée de clones qui sont une parodie de l'ado japonnais en crise d'adolescence (idéalement roux/blond platine avec des coiffure à la dragon ball Z)... 4 Ajouter une grosse dose de guerre (n'hésitez pas sur les scène de kalash incompréhensible : 1h idéalement) et un filet de morale sur le terrorisme. 5 Enfin tartinez le film d'une centaine de litre de ketchup et faites chauffer pendant un peu plus de deux heures.
"Maintenant, chacun de nous porte une arme. Si on l'utilise un jour, ce sera toujours à contrecoeur." : voici ce que dit Nanahara Shûya à la fin du premier Battle royale. Il est donc surprenant de retrouver ce même personnage en tant que terroriste, responsable de nombreux morts, dans le second épisode. Cet incohérence participe au peu de crédibilité que possède l'action de Shûya : il veut faire la guerre à tous les adultes alors qu'il reconnait lui-même qu'il va en devenir lui-même un !!! Alors que le premier film partait d'un postulat exagéré aussi, l'humour et le côté satire sociale du film faisait accepter ce point de départ. Ici, l'humour ayant disparu, l'extrème sérieux du film nous empêche d'en faire de même. Et que dire des digressions politiques hasardeuses : les deux tours qui explosent, l'Afghanistan comme paradis ??? Elles sont peu nombreuses mais s'intègrent mal au récit (quel est le rapport entre l'islamisme et la lutte de Shûya contre les adultes?). Lors de la sortie du premier film, Kinji Fukasaku reconnaissait que son fils et lui ne souhaitait pas adapter le roman de la même manière. Pour Battle royale II, Kinji Fukasaku, trop malade, a été obligé d'abandonner le tournage et de laisser Kenta Fukasaku, ce même fils, terminer le film. Est-ce ce changement de réalisateur qui retire l'humour du film et qui amène ses discours politiques vaseux : on ne le saura jamais. Pour ce qui est des scènes d'actions, elles sont assez efficaces mais beaucoup moins originales que pour le premier film. D'ailleurs, la séquence du débarquement rappelle très fortement celle de Il faut sauver le soldat Ryan : étrange pour un film qui se présente comme étant anti-américain ! Battle royale II est donc un film qui se regarde sans déplaisir mais dont le manque de crédibilité et d'humour font qu'il est très en dessous du premier volet.
Malgré l'excellente scène du débarquement sur l'île, le film n'est pas terrible. Il est à mille lieux du premier opus. L'idée des nouvelles règles est bonne mais mal exploitée. Les personnages ne sont pas attachants. Les mises à morts sont parfois à la limite du ridicule. Ça canarde un maximum, seules les armes à feu sont mises en avant (c'est fini la hache, l'arbalète, le couteau, ...).
Le côté des règles qui changent m'as plu, et revoir le gagnant du 1er aussi, mais bon là j'ai moins accroché aux personnages pis le film m'as paru un peu "film de guerre" basique, car la plupart n'ont qu'une arme basique.
Que dire de ce film ? ... Le premier n'était déjà pas une référence mais se laissait regarder par la nouveauté qu'il apportait tant dans le scénario que dans le jeu d'acteur laissant à désirer... En résumé, cette suite n'est vraiment pas une réussite, une belle erreur, voire même une faute, aussi bien sur le casting, que sur l'histoire redondante et sans intérêt. On dirait un vulgaire remake des razmokets à la guerre de Corée, c'est tout bonnement pitoyable et inintéressant ! Nous ne parlons même pas de la durée excessivement longue de ce navet qui cependant est plutôt utile pour m'endormir. Merci de ne pas faire de battle royale 3.
beaucoup de fans furent déçu par la suite , personnellement je l'ai beaucoup aimé pour l'innovation d'avoir modifier les fameuses règles de survie , sur les 40 eleves par binome equipier d'un collier special si l'un meurt l'autre automatiquement , un coté humour un peu abusibe , quelques fois surjoué non par les dialogues mais l'expression faciales de certains acteurs et actrices qui veulent trop en donner c'est pour tout cela que je considere ce film malgré les reproches de tous un bon battle royal
L'état renvoie une nouvelle classe désobéissante sur l'île. Où le survivant de l'année precedante vit encore avec toute son armée. La suite du chef-d'oeuvre "Battle Royale" est une totale déchéance. Déjà très long pour le peu de choses interressantes à y voir, on a le droit a des séquences pseudo-émotions et pseudo-philosophie-ado inutiles et interminables (c'est simple le film est composé que de cela), il est d'un ennui mortel. Surtout quand on s'attend à voir un film du même genre que le 1, nous les fans on tombe de haut, mais de très haut. Ce film est une décéption, et d'une nulité affligeante. A éviter, c'est ridicule.
Vous vous rappelez quand les gens appelaient à la controverse après le premier Battle Royale ? Les producteurs ont eu l’air de plutôt apprécier tant le deuxième opus plonge dedans.
Ouvrant avec deux tours jumelles qui s’écroulent sous l’effet d’un attentat perpétré par le héros du premier film, 2 ans après le World Trade Center sous fond du Dies Irae de Verdi comme le premier, Battle Royale 2 affiche la couleur. On va rentrer dans le ventre du pro-américain (et ce, à grand renfort de tirades toutes plus provocatrices les unes que les autres), tout en repoussant les limites de la bienséance et du premier épisode. Tout ceci se retrouve dans le personnage de Riki Takeuchi, hilarant cabotin, équivalent de Takeshi Kitano dans le premier. Mais là ou Kitano jouait un professeur las, dont on pouvait comprendre à défaut de pardonner le geste, Takeuchi est un tortionnaire grandiloquent aux yeux exorbités, à mourir de rire. Le reste du film n’est malheureusement pas de ce niveau de second degré et est plutôt sérieux.
Le film est franchement loupé au niveau de la dramaturgie. Là où les personnages du premier film mourraient un par un pour plus d’implication, ici ils meurent par paquet de douze, ce qui empêche toute identification. Pourtant, il tente des choses plutôt réussies, comme le ballon de rugby symbolisant l’amitié des personnages. De plus, le film a été réalisé par Kinji Fukasaku jusqu’à sa mort, au début du tournage et par Kenta Fukasaku ensuite. Là où Kinji filme bien, Kenta ne sait pas tenir une caméra et hormis le débarquement sur l’île de Shuya, filmé très efficacement caméra à l’épaule, le film est sacrément laid. On regrettera alors aussi quelques petits défauts de continuité et une fin sacrément rapide qui est à deux doigts de franchir la ligne de la controverse.
Ces petits défauts font de Battle Royale II un film profondément maladroit (à l’image de l’interprétation de Riki Takeuchi, loin d’être nulle, mais pas à sa place ici) à défaut d’être réellement engagé et l’empêchent d’être au niveau du premier opus, qui était vraiment excellent.