Avis sur The Fountain

Film culte. Ce n'est pas 3 périodes en 1000 ans qui est décrit (contrairement à ce qui est beaucoup décrit). L'histoire en Espagne est celle écrite par Izzy, Les années 2000 est la réalité et ce que certains décrivent comme le futur est le parcours intérieur de Tommy face à l'acceptation de la mort de la femme qu'il aime. Ce film est une aude à l'amour face à la mort, apprendre à transcender la mort d'un être qu'on aime. L'amour entre Izzy et Tommy est très profonde. Ce film ne cesse de me bluffer.

Un film surréaliste. Un voyage mystique, incroyable, hallucinatoire, à travers le temps et aux confins de l'univers. Un film métaphysique, qui se ressent plus qu'il n'est logique. Qui sommes-nous ? Où allons-nous ? Au-delà de l'être. La vie. La mort. L'éternité. Du cinéma transcendant.

Une oeuvre énorme , captivant du début a la fin , original et étrange mais conceptuellement sublime , les images sont a coupé le souffle , et le jeu d'acteur extraordinaire .
De plus le film est émouvant , touchant et beau
A voir !

Le chef-d’œuvre cosmico-éthno-médico-poéto-écologique de Darren Aronofsky, plus grand auteur ayant émergé dans les années 2000, est un plaidoyer pour l’Amour et la Vie Eternelle. A travers, la juxtaposition de deux histoires, qui n’en font qu’une. Commençant sous le sombre règne de l’inquisition dans l’Espagne médiévale et se déroulant jusqu’à nos jours et au-delà, sous la forme d’une quête cosmique millénaire, entreprise à l’aube des temps par certaines civilisations pré-colombiennes, afin de trouver l’Arbre de Vie et le combat à travers les âges d'un homme pour sauver la femme qu'il aime. Le thème musical envoutant de Clint Mansell, qu’il soit décliné dans un simple solo au piano, ou, en prenant toute sa puissance lors d’une interprétation symphonique dans un des plus beaux finals de l’histoire du cinéma, est lui aussi une œuvre plus que majeure. Nous somme littéralement transporté à l’Eveil et à l’Au-delà, d’une beauté interne et externe sidérale à couper le souffle, comme l’Amour et la Vie. Rachel Weisz et Hugh Jackman sont éblouissants de par leur talent, leur beauté et la force qu’ils insufflent à leurs personnages. Un film magnifique qui mérite d’être connu !

"The Fountain" est un film que j'aime beaucoup, l'un de mes préférés de Darren Aronofsky. Véritable fresque métaphysique se déroulant sur plusieurs milliers d'années, c'est avant tout une sublime histoire d'amour - l'une des plus belles que j'ai vu dans un film depuis longtemps -, qui contient des moments très émouvants (la fin est à pleurer). Les acteurs sont excellents. Le couple formé par Hugh Jackman et Rachel Weisz est magnifique et c'est regrettable que les deux acteurs n'aient même pas été nommés aux oscars pour leurs prestations, car ce sont sans doute leurs meilleurs rôles. Presque tous les plans sont d'une beauté à couper le souffle et la musique de Clint Mansell est sublime. "The Fountain" est un film qui m'avait marqué sur le coup et longtemps après son visionnage.

Un chef d'oeuvre ! Vraiment magnifique visuellement, joué magistralement et surtout hyper touchant. J'ai décidé de regarder ce film sans grandes convictions, et j'y est découvert un film profondément philosophique, sur le thème de la vie, de l'amour, et de la mort, avec des acteurs auquels ont s'attache facilement, et surtout, des images splendides, pleine de poésie, me donnant des frissons.. Presque tous les plans sont d'une beauté à couper le souffle, accompagnés d'une musique sublime. Ce film est une véritable ode à la sérénité. a vraiment l'impression de voir une oeuvre d'art s'animer devant soi quand on regarde les aventures de nos deux interprètes. Une fois le visionnage terminé, on ressent un appaisement total, le film continue à nous faire travailler. Une véritable poésie, un chef d'oeuvre du grand Darren Aronofsky !

Parfois inutilement complexe, chargé d’imageries religieuses souvent douteuses, et même brouillon visuellement en son début, ce "Fountain" fait resurgir les tares habituelles des films d’Arnofsky. Mais ne faisons pas nos intellectuels frustrés, on pourrait certes qualifier ce propos de prétentieux et bancal, mais reconnaissons que derrière tous ces défauts se cache une incroyable conviction, celle d’un réalisateur jusqu'au-boutiste qui sait donner un souffle et une âme à un propos comme jamais. Visuellement superbe, appuyé par un Clint Mansell en état de grâce, ce film parvient à se sublimer comme jamais. A défaut d'être totalement convaincu, on est malgré tout conquis. Si tous les films perfectibles comme ce "Fountain" pouvaient avoir la même audace, la même générosité, et la même envie, le cinéma serait un paradis...

A l'occasion de la sortie en France du déjà controversé Noé, je me suis enfin décidé à boucler la filmographie du réalisateur Darren Aronofsky en regardant The Fountain. Un film qui ne me tentait pas des masses et pour cause, c'était le film du metteur en scène aux critiques les plus partagées. On y distinguait deux camps : ceux qui adoraient et ceux qui détestaient. Pas vraiment de "moui c'était pas mal" comme choix, soit on crachait sur le film en s'exclamant inutilement "JE VIENS DE PERDRE 1h36 (s'agit d'être précis) DE MA VIE" (plus dix secondes à taper ce message) ou soit on tombait sous le charme de cette fable sur plusieurs niveaux. Et au vu du synopsis et de la bande annonce, je me rangeais plutôt du côté du premier camp. Alors quelle fut ma surprise lorsque le générique pointa le bout de son nez et que mon œil faillit verser sa larme. Tandis que la magnifique (mais vraiment, rarement entendu ça) composition de Clint Mansell clôturait le long-métrage et résonnait à mes oreilles, je n'avais qu'une pensée : chef d’œuvre. « Wow » fut le premier mot (onomatopée plutôt) qui sortit de ma bouche qui refusait quant à elle de se fermer. J'étais resté bouche bée devant tant de splendeurs à tel point que j'en conclus que ce film était le plus bel exemple sur les faux-semblants. Si repoussant au début et pourtant si attachant à la fin, il ne faut jamais juger une œuvre cinématographique avant de l'avoir vue et The Fountain en est la parfaite preuve. C'est à se demander comment ce film n'a pas pu être classer comme culte. Pourquoi 2001 : L'Odyssée de l'Espace (que j'adore également) aurait le droit à sa place au panthéon du cinéma et pas The Fountain ? Certes les deux long-métrages sont extrêmement différent mais le point négatif le plus récurrent chez les détracteurs du film d'Aronofsky est sa complexité, soit disant le film serait inutilement compliqué et se rapprocherait plus de la prétention que de l'envie à faire passer un message. Mais qu'en est-il de 2001 ? On peut reprocher la même chose au film de Kubrick et il reste bien imparfait surtout lorsqu'on le voit de nos jours (ce ne sont pas les effets spéciaux qui sont ici remis en question).

Le film d'Aronosky est sûrement plus maladroit que celui de Kubrick (largement compréhensible lorsque le spectateur est doté d'un peu de jugeote) mais quand quelque chose que l'on ne comprend pas est capable de nous nouer la gorge et de nous émouvoir au plus haut point, c'est que le puissance émotionnel du long-métrage atteint des niveaux rarement vu au cinéma. Cela est dû en grande partie au duo d'acteurs, même si Rachel Weisz se fait plus discrète que Hugh Jackman, vraiment investis dans le projet et montrant leurs capacités à se dépasser dans tout types de rôles, surtout concernant Jackman. L'acteur australien incarne à tour de rôles trois personnages différents dans des cadres spatio-temporels différents qui recherchent tous à sauver quelque chose, le conquistador veut sauver son Espagne, le médecin, sa femme et le bouddhiste (un genre de bouddhiste) désire sauver son arbre de vie qui se meurt petit à petit. Trois espaces temps qui font de ce The Fountain un film à totaux par les nombreuses thématiques qui y sont abordés mais concernant toujours la mort (et la vie selon les points de vues). Ces trois histoires maladroitement reliées vont au final se rejoindre comme si plusieurs sources d'eau différentes coulaient finalement dans la même fontaine.

La mise en scène est tout aussi brillante que peut l'être son scénario avec des plans de toutes beautés surtout lors des scènes irréelles où Aronosky se permet toutes formes de folies visuelles et de plans se rapprochant de la mélancolie de Sunshine.

Après tout, c'est peut-être le destin de ce The Foutain que de gagner le cœur de la communauté cinéphile au fil des années avant d'être ériger au rang de film culte, à la manière de Sunshine.

C'est tout le mal que je lui souhaite car une telle perle ne mériterait pas de tomber dans l'oubli aussi vite.

Ce film m'a mis complètement KO, après quelques heures j'ai encore du mal à m'en remettre tant il est extraordinaire. Tout d'abord dans son scénario qui révèle du génie, mais surtout dans sa mise en scène et dans les décors, les mots me manque pour décrire ce que j'ai ressentit mais c'est très clairement le meilleur film que j'ai vu depuis très longtemps. A ce titre les 15 dernières minutes sont à pleurer de beauté, d'ailleurs j'étais tout le temps à la limite des larmes devant un tel spectacle, magique et magnifique à la fois. The Fountain n'est pas un film comme les autres c'est un chef d'oeuvre, une oeuvre d'art quelque chose d'a part dans l'histoire du cinéma. Ce film m'a totalement retourner, du très grand cinéma. Merci aussi aux acteurs Hugh Jackman et Rachel Weisz impeccable d'un bout à l'autre. Plus qu'un film, plus que du cinéma, tellement plus..

Que dire de ce délire new-age sous ecstasy ?
C'est très rare que je coupe un film au milieu mais là je n'en pouvais plus.

Un film sur lequel on peut apposer un zéro pointé sans le moindre remords, sans la moindre impression d'avoir loupé quelque chose, juste celle d'avoir assisté au spectacle ridicule de la "réflexion" d'un réalisateur qui se prend pour un grand. On pourrait attaquer le film par n'importe quel bout mais essayons de s’organiser. Aronofsky se prend pour ce qu'il n'est pas, c'est-à-dire un Kubrick des années 2000. Il joue à fond l'esthétique de son film, et le miracle s'accomplit, son film est moche, très moche, ce qui est parfaitement rendu par une photo jaunie comme pour une de café. La mise en scène est à peine digne d'un téléfilm, les acteurs n'ont jamais été aussi mauvais, entre Hugh Jackman constamment ému et sa femme Rachel Weisz constamment émouvante. Dire que le récit est présomptueux relève de l'euphémisme puissance 1000. Aronofsky nous sort des thèmes d'une stupidité affligeante, du genre "la mort comme acte de création" ou encore "de la recherche du vaccin contre la mort", puis il finit très vite par tourner en rond, à défaut de développer ses idées. Il se contente d'aligner les images subliminales suivant 3 tableaux, et il vous faudra retenir votre respiration pour ne pas éclater de rire devant pareil spectacle, le "héros" en étant réduit à bouffer un morceau de bois comme une Ostie, avant de se transformer en fleur et de faire du yoga dans une bulle de savon. Vaste programme. Conclut en 1h30 qui vous paraissent le double.

J'attendais beaucoup de ce film, mais pas tant.
Tout d'abord, l'histoire est magnifique. Avec un scénario qui maîtrise parfaitement les trois époques qui s'intercalent constamment, le film va droit au but en délivrant un message d'une simplicité et d'une sagesse élémentaires, sans fioritures excessives.
Côté réalisation, on est scotché par la beauté des images, l'inventivité des plans, la capacité du réalisateur à nous émouvoir à tout moment. Encore faut-il apprécier le style visuel, ce qui dépend évidemment des goûts.
Une expérience extraordinaire, presque physique, que la musique accompagne admirablement. Un chef-d'oeuvre.

The Fountain : Je vous avoue, j’ai du manqué le film et tout son potentiel (ou pas) car je n’ai pas vraiment tous comprit le film et donc je l’ai pas vraiment apprécié comme il se doit. Mais, c’est le genre de film à voir plusieurs fois car un visionnage n’est pas suffisant. Et donc, je n’ai pas vraiment accroché a l’histoire car je n’ai pas tout comprit, c’est vraiment très philosophique comme histoire et vraiment bizarre et dur a suivre, ça part dans le tous et dans le n’importe quoi. Je sais que le réalisateur Darren Aronofsky (que j’adore) est le spécialiste des films tordue et étrange (ce qui fait sa grand force et ton son style et originalité) mais la dans ce film de SF, je n’ai pas comprit tout la logique. Pourtant l’histoire sur le papier aurait pu être très prometteuse : un homme qui pour sauver sa femme cherche l’immortalité. Et on va switcher sur plusieurs époque (ancien temps, de nos jours et dans le futur) ou le personnage va aller a la recherche donc de cette immortalité. J’ai trouvé super cette idée de plusieurs époque mais comme l’histoire est compliqué et dur a suivre, et bien l’intérêt est moins présent et malheureusement, l’ennuie vient vite, surtout que le rythme ne l’aide pas car c’est un rythme assez lent. Donc voila, histoire en dent de scie, dur a suivre et assez maladroit sur la forme (ou alors une histoire juste excellent qui tiens du génie mais je vous dirais ça au deuxième visionnage). Ensuite, la réalisation : la c’est magnifique, la c’est de toute beauté. Vraiment, quel sacré réalisateur se Darren Aronofsky, la pas de doute, c’est du génie sa réalisation (comme dans tous ces films). Mise en scène magnifique et soigné (avec son style bien a lui), plans de caméra somptueux, de plus que le film, c’est de la SF donc vraiment, on s’ne prend plein les yeux. Donc voila, réalisation irréprochable, c’est du grand Darren Aronofsky. De plus, le casting est de taille : Hugh Jackman, Rachel Weisz… Leurs prestations sont vraiment excellentes et plus que convaincante. Donc voila, dommage que le film perte son intérêt à causer d’un scénario qui semblé prometteur mais qui est dur a suivre. Dommage car c’est du Rachel Weisz on s’attend a du compliqué mais la. Mais la réalisation est sublime, le casting tous autant mais faut privilégier un deuxième visionnage car la, je n’ai pas trop adhéré.

Darren Aronofsky a une prédilection pour les personnages isolés,que ce soit par l'obsession de l'ordre("Pi"),par la dépendance aux drogues("Requiem for a dream"),par leur mode de vie("The Wrestler").Mais dans "The Fountain",il pousse cette théorie trop loin,en se basant sur un scénario très alambiqué et excessivement prétentieux.Il raconte la vie d'un même personnage à 3 époques radicalement différentes:le conquistador du XVIème,le scientifique du XXIème,l'explorateur du XXVème.La supposition,c'est que cet homme a obtenu l'immortalité,à la découverte de la fontaine de jouvence.Son combat consiste à sauver son épouse de la tumeur qui la ronge.Combat perdu d'avançe,sur lequel Aronofsky tente maladroitement de convaincre d'accepter sa propre mort,celle des autres,de détacher son corps de l'esprit.Bardée d'effets numériques,cette réflexion métaphysique fumeuse n'est même pas crédible,en mélangeant catholicisme,bouddhisme et civilisation maya,dans un gloubiboulga géant.Quant à Hugh Jackman au jeu repoussant parfait pour ce nanar,et Rachel Weisz,qui passe son temps à larmoyer;ils sont mauvais comme rarement.Car Aronofsky,en plus de ses théories fumeuses,de son montage elliptique incompréhensible,et de son image lavasse,aimerait nous émouvoir de cet amour à travers les âges.Peine perdue,on nage en plein délire de cinéaste qui s'est vu trop beau trop vite.

J’aime beaucoup Darren Aronofsky, mais pour le coup, je n’ai rien compris à son film. Dans ces conditions, difficile de lui mettre une bonne note. Pire, même sans comprendre, j’ai trouvé son œuvre ridicule. Même les acteurs, que j’apprécie beaucoup, m’ont semblé mauvais. Enorme désillusion.