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ChauvelCinema
18 abonnés
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3,0
Publiée le 25 octobre 2024
En revoyant la trilogie originelle du "Flic de Beverly Hills", je me suis rendu compte que ce deuxième opus était le plus violent, mais aussi celui avec le plus d'action, sans doute grâce à la patte de son réalisateur, Tony Scott. On reconnaît d'ailleurs bien son style. L'humour est bien entendu toujours là, mais on assiste moins à une comédie que dans le premier épisode dans lequel le scénario était bien moins complexe aussi. Heureusement, les principaux comédiens sont là, Eddie Murphy en tête (moins drôle aussi car il a affaire à de vrais et dangereux méchants). Et on apprécie toujours aussi la bande originale et la balade dans Los Angeles.
Une suite digne du film original. Axel Foley revient à Beverly Hills pour finir une enquête commencée par Bogomil. Toujours plus d'actions, de vannes. Le personnage de Billy Rosewood, incarné par Judge Reinhold, est approfondi. Une comédie d'action policière pleine de rebondissements dont je ne me lasse pas.
Une suite meilleure que le premier, car il en corrige certains défauts. Notamment côté casting. Murphy reprend son rôle et livre une prestation comparable au premier, peut-être un peu plus cabotine parfois mais sans excès non plus (c’est pas Ace Ventura !), mais c’est surtout tout autour que c’est meilleur. Le duo Reinhold-Ashton est bien mieux intégré à l’intrigue et le trio avec Murphy fonctionne mieux, de même que les méchants peu charismatiques du premier laisse place à une équipe plus solide. Prochnow/Nielsen/Stockwell, c’est du lourd, et dans ce trio, Nielsen surnage sans difficulté en campant une méchante très bondienne où elle impose son physique sculptural et sa personnalité aussi froide qu’excentrique. Le casting est donc plus marquant dans son ensemble, et les personnages sont mieux typés. Côté scénario, là aussi, le film est un peu plus travaillé que dans le un. Il y a plus de rebondissements, moins de linéarité, le rythme est bon, avec une scène d’ouverture réussie et une conclusion du même acabit. L’aspect enquête est bien présent et d’ailleurs, même si le métrage a un aspect comédie avec les numéros de Murphy, on est sur un vrai film policier, ce qui était déjà la marque de fabrique du un. L’ensemble est très efficace, et il y a même une petite dimension émotion avec le personnage de Bogomil. Formellement, Scott livre une mise en scène nerveuse, un peu clipesque, notamment dans l’usage de la lumière, il est dans son élément et ça se sent, en particulier dans le final explosif. Doté d’un budget en hausse, le film se permet des décors plus ambitieux, mais n’oublie pas l’essence du premier film, et si les scènes d’action savent être explosives, elles ne sont pas non plus envahissantes et pas éloignées de l’esprit du un (fusillades et courses poursuites). Le tout est servi avec bonheur par une bande son hyper punchie très adéquate et qui reprend évidemment le thème culte de la saga. Pour ma part, cette suite, mieux écrite avec un ensemble de personnages mieux employés garde les bons points du un en corrigeant certaines lacunes. Cela en fait un très bon divertissement, même si, encore une fois, on reste sur quelque chose d’assez léger, sur un métrage aux ambitions simples qui pour être amusant n’est pas non plus tordant, qui pour être nerveux n’est pas non plus très riche en action, qui pour proposer de l’infiltration n’est pas non plus un Mission Impossible, et qui, en définitive, fait bien un peu tout sans le faire de façon exceptionnelle. 4.
Cette suite est meilleure que le premier. Il y a plus d'humour et plus d'action, et le scénario a été mieux travaillé. Eddie Murphy brille une fois de plus par son charisme et son sens de la comédie.
Second opus du célèbre flic incarné par Eddie Murphy, on reprend exactement les mêmes personnages et les mêmes thématiques mais cette fois pour un vol de bijou à Beverly. Le film est redondant et donc moins intéressant, moins novateur. En somme, le film est très moyen. Bref : un doublon au 1er flic.
Axel Foley est de retour et comme il a tout le loisir de faire ce que bon lui semble de ses journées, sans avoir à rendre de compte à son supérieur, il quitte Détroit pour aider ses amis et collègues de la police de Beverly Hills dans une enquête.
Trois ans après son succès au box office mondial, la nouvelle poule aux oeufs d’or de la Paramount se nomme Eddie Murphy et ils ont bien l’intention d’en profiter. Avec cette suite, on prend les mêmes et on recommence ? A peu de choses près… oui, sur certains détails. Rappelez-vous, dans le premier opus, Axel se rendait à Beverly Hills pour enquêter sur l’assassinat d’un de ses amis et au détour d’une scène, il se faisait passer pour un représentant du service des douanes. Devinez ce qu’il en est dans ce second volet ? Il retourne dans cette ville huppée du comté de Los Angeles pour enquêter sur un énième ami qui s’est salement fait dégommer la gueule par des vilains méchants (c’est à croire que ses amis portent la poisse) et cette fois-ci, il va usurper l’identité d’un représentant du service de l’urbanisme ! J’ai hâte de savoir quel sera son prochain pote à se prendre une bastos et quelle identité il va s’approprier dans le troisième volet (ironie).
Côté réalisation, on a connu Tony Scott (Top Gun - 1986) en meilleure forme. Ici, ça se regarde d’un oeil, gentiment, tout en restant particulièrement long pour ce qu’il s’y passe à l’écran (hormis la course-poursuite avec le camion-citerne, idéal pour vous sortir de votre léthargie). Alors que le premier était plus orienté vers le polar, ce second opus se tourne davantage vers la comédie, ce qui permettra (hélas) à Eddie Murphy de donner libre court à son personnage, toujours aussi exubérant, pour ne pas dire fatiguant et lassant.
En revoyant la trilogie, je me rends compte que je n’ai jamais pu supporter le personnage d’Axel Foley, ce qu’il dégage et ce côté gouailleur. Et le fait qu’il soit incarné par Eddie Murphy n’aide en rien (je ne l’ai jamais trouvé bon acteur) et a tendance à me fatiguer.
Ce deuxième épisode est un peu un remake du premier, tant la recette est quasi-identique. Cette deuxième enquête de l'inspecteur Foley est un mélange enquête-humour rutilant qui vaut surtout par le one-man show d'E.Murphy. Sous les caméras de T.Scott, la franchise gagne en rythme, en images léchées et en style, mais perd en scènes d'action. Cela reste essentiellement iconique, bien ancré dans les années 80.
Cette suite du flic de Beverly hills est bien en dessous du premier opus. Tout d'abord, l'originalité et la verve du personnage d'Axel Foley joué par Eddy Murphy n'est plus surprenante et d'un côté est un peu soulante. De plus, l'histoire est brouillonne et moins captivante. Une nouvelle suite qui déçoit.
Une suite qui ne déçoit pas, l’humour et l’action sont toujours bien présents. E. Murphy s’en donne à cœur joie, un plaisir de retrouver les mêmes acteurs. Efficace.
Suite, sortie trois années après le volet originel, Le Flic De Beverly Hills 2, cette fois-ci réalisé par Tony Scott, est un film sympathique, bien que ce soit une simple redite. L'histoire nous fait suivre le policier de Détroit, Axel Foley, qui retourne à Beverly Hills pour aider ses amis et collègues Billy et John afin d'appréhender une bande de criminels commettant des braquages sanglants et qui ont tiré sur le capitaine Bogomil. Ce scénario est plaisant à visionner pendant toute sa durée d'un peu plus d'une heure et demie, même s'il comporte un goût de réchauffé. Les ingrédients sont les mêmes et la recette ne change donc pas, se contentant de singer son ainé. L'intrigue est très générique et n'apporte aucune nouveauté en sus de ne plus bénéficier de l'effet de découverte. Le ton se veut toujours sérieux et violent tout en proposant de l'humour entre deux fusillades et des courses poursuites. L'action est un peu plus présente que par le passé mais aucune scène ne se démarque réellement. On retrouve tout de même avec plaisir un certain nombre de protagonistes du premier volet, à commencer par Axel Foley toujours interprété par un Eddie Murphy à la bonne humeur communicative et aux répliques très drôles. Il est à nouveau entouré par Judge Reinhold, John Taggart et Ronny Cox. Du côté des nouveaux visages, on retiendra surtout ceux des antagonistes assez clichés campés par Jürgen Prochnow et Brigitte Nielsen. Tous ces individus entretiennent des échanges à la fois amicaux et emplis de désaccords donnant lieux à quelques rires, notamment à la faveur de dialogues inspirés amusants comportant une bonne dose d'insultes bien placées. Sur la forme, la réalisation du cinéaste britannique s'avère de bonne facture. Sa mise en scène est assez classique mais efficace. Surtout, elle montre un peu plus la différence entre les deux villes. En revanche, le visuel est toujours plutôt fade. Ce dernier est accompagné par une b.o. comportant des titres appréciables de différents interprètes. Mais on retiendra surtout le thème principal signé par Harold Faltermeyer qui revient pour notre plus grand bonheur auditif tant il donne tout son cachet à la licence. Reste une fin attendue mais satisfaisante, venant mettre un terme à cette enquête sans surprise. Car oui, Le Flic De Beverly Hills 2 est un long-métrage correct mais une suite fainéante tant elle n'apporte rien de plus en ne développant pas d'avantage sa tête d'affiche qui est pourtant l'intérêt principal.
Il y a une baisse de qualité entre le 1er et le second Flic De Beverly Hills. La fraîcheur des débuts, l'innocence on peut dire, n'est plus là, et c'est bien dommage. Foley n'est plus ce flic des quartiers pauvres de Detroit qui part découvrir Beverly Hills. Ici, tout est trop bling bling, du coup ça perd en intérêt. Les musiques sont moins marquantes que dans le 1er film. On a droit bien sûr à de bons moments d'humour, ce qui permet heureusement de sauver l'ensemble. Mais globalement, ce film n'était franchement pas indispensable. On aurait pu s'en passer.
Toujours la même veine que le premier, ce film gentillet de comédie policière délivre ses gags et ses sketchs pendant 1h45. C'est toujours agréable à regarder, c'est rigolo mais il ne faut pas en attendre plus que le premier. La trame est aussi peu intéressant, faussement sophistiqué avec "l'énigme de l'alphabet", et les méchants sont pas charismatiques du tout. À l'heure des "Arme fatale" et "Piège de cristal", on aurait pu espérer un peu plus de profondeur.
Eddie Murphy revient à Beverly Hills. Nous y retrouvons les constituants que nous avions aimés dans le premier de franchise : les contrastes culturels, le duo constitué de Judge Reinholds et John Ashton. Mais aussi les méchants que nous aimons détester, Jürgen Prochnow, Brigitte Nielsen et Dean Stockwell dans les rôles des méchants : superbe distribution.
Le film est co-écrit par Eddie Murphy. Il s'est donc investi. La même recette avec les même ingrédients produisent le même résultat, l'effet de découverte et de surprise en moins. Un film qui se veut cool, sans réel enjeux dramatique, mais que se laisse suivre. Ce deuxième de franchise fonctionnne même s'il n'y a plus l'effet de découverte. Il manque peut être juste de brillance, du côté grisant, que pouvait procurer le premier de franchise.
reprend là où le premier film s'était arrêté, offrant une suite divertissante mais qui peine à capturer la magie du premier volet. Eddie Murphy retrouve son rôle d'Axel Foley avec son charisme habituel, mais l'intrigue semble parfois répétitive et manque d'originalité. Malgré cela, le film offre toujours son lot de scènes d'action hilarantes et de moments mémorables. Les fans du premier film pourraient apprécier cette suite pour son ambiance familière et son humour caractéristique, même si elle ne parvient pas à surpasser son prédécesseur.
Dans le premier opus c'est Eddie Murphy qui tenait le film en raison de son attitude atypique dont il ne se démordait pas. Ici le personnage a changé et nous fatigue de part ses logorrhées verbales. Comme dans le premier l'intrigue n'a aucune importance, mais ici elle est traitée de façon extrêmement confuse et si on ajoute que les gags tombent à plat spoiler: (John Ashton qui glisse dans la piscine... quel humour raffiné et sophistiqué !) ça nous donne une suite bien dispensable comme on dit dans les salons.