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    Rambo II : la mission
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    Antoine Parker
    Antoine Parker

    108 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2024
    Trop cool ce film je préfère Rambo 2 que le 1er, Stallone qui défonce tout dans la jungle c’est trop kiffant
    Nicolas N.
    Nicolas N.

    30 abonnés 748 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 septembre 2024
    "Rambo 2 : La mission" s’éloigne de l’intensité psychologique du premier volet pour plonger dans un univers d’action pur et dur. Ce second film, bien plus explosif, renforce l’icône que Stallone incarne, transformant John Rambo en une machine à tuer qui ne laisse personne derrière. Si l'intrigue est assez prévisible et les personnages parfois stéréotypés, le film reste un spectacle divertissant, notamment grâce à des scènes d’action survoltées. Cependant, il manque la profondeur émotionnelle de "Rambo: First Blood". Le tout est un peu trop patriotique et manichéen, mais pour les amateurs d’action des années 80, c’est un plaisir coupable. Note : 3,5/5
    Surfeurfou974
    Surfeurfou974

    10 abonnés 268 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2024
    Ah, que ça fait du bien de revenir au blockbuster des années 80, filmés à la pellicule, avec des personnages charismatiques, rendez-vous compte Sylvester, Stallone ne dit que très peu de mots à l’écran et pourtant il a de la présence, on ne s’ennuie pas, même si les images ont un peu vieilli le rythme du film tient toujours l’émotion est présente, contrairement à tous les nouveaux blockbuster de 2024 où les relations entre les personnages ne sont pas crédibles du tout, ou le wokisme impose de retirer toute pensée qui ne serait pas politiquement correcte, ce qui prive de toute emotion les long-métrages modernes
    Totoloinloin
    Totoloinloin

    8 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 juin 2024
    Ça n'a pas très bien vieilli... Dans l'ensemble c'est pas terrible. Rambo s'occupe seul de toute la jungle, littéralement. On essaye de lui prêter une pseudo amourette, on y croit pas une seconde. Ce n'est pas mauvais mais pas bon non plus.
    Michaël
    Michaël

    6 abonnés 349 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2024
    John Rambo purge une peine de prison suite au calvaire qu'il a vécu dans le premier opus. Le colonel Trautman lui propose alors un marché : il sort de prison mais il part en mission au Vietnam en tant qu'observateur pour vérifier la présence ou non de prisonniers américains. Il ne se contentera pas d'observer et se mettra en tête de sauver le plus de prisonniers possible.

    Bonne suite du premier, on rentre cette fois-ci beaucoup plus dans un film d'action au sens propre. Il n'est plus question de réfléchir sur la guerre au Vietnam et sur les séquelles endurées par les vétérans, là il s'agit d'aller se battre une nouvelle fois.

    Et c'est ce qui m'a fait moins l'apprécier. J'aimais beaucoup le côté dramatique du premier, moins la débauche de munitions et d'explosions du deuxième. Ca reste toutefois un bon film, bourré d'adrénaline, et que je recommande.
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juin 2024
    « Rambo: First Blood Part II » est un film d'action exagéré et revanchard, bien qu'il ait su capter l'humeur des États-Unis dans les années 80. À l'époque, le sentiment anti-communiste et le soutien au président Reagan étaient encore très présents. Heureusement, l'émergence de Mikhail Gorbatchev a rapidement rendu ce genre de films obsolètes. Le premier film « First Blood » n'était pas parfait, mais il avait une histoire relativement bien construite et un message important sur les stéréotypes et les traumatismes de guerre. Dans cette suite, tout sens de conviction est abandonné au profit d'une intrigue ridicule où Rambo affronte seul des hordes de soldats vietnamiens et russes stéréotypés pour sauver des prisonniers de guerre américains. Le film donne une vision simpliste des Vietnamiens, les présentant comme des marionnettes des Soviétiques. Malgré des scènes d'action techniquement correctes, le film manque de crédibilité et les dialogues sont remplis de clichés. Stallone, qui a coécrit le scénario, semble avoir donné à son personnage le moins de répliques possible, le réduisant à des grognements et des clichés. Le reste du casting, y compris des acteurs talentueux comme Richard Crenna et Steven Berkoff, essaie tant bien que mal de rendre crédibles leurs dialogues bâclés. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    louisfine
    louisfine

    10 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2024
    Quand Rambo 2 est sorti en salles j'avais 12 ans, j'étais trop jeune pour le voir car mes parents considéraient que c'était un film trop violent! A 50 ans, je l'ai enfin regardé, en ayant en tête le souvenir du premier film et en m'appretant en étant très déçu. En fait...c'est un très bon film! Les principales qualités du long métrage sont sa musique et son montage virtuose. On ne s'ennuie pas une minute! Je m'apprête à enchaîner sur le troisième film au cours d'une longue vacation nocturne d'agent de sécurité.
    Kilian Lucot
    Kilian Lucot

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2024
    Deuxième volet de la saga Rambo, avec toujours les mêmes très bons acteurs, une très bonne réalisation et un scénario que j'ai adoré avec beaucoup plus d'action que dans le premier Rambo, une petite partie de romance et une fin très très bonne.
    GéDéon
    GéDéon

    85 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2024
    En 1985, le réalisateur George Pan Cosmatos reçoit l’honneur de donner une suite au grand succès commercial de « Rambo ». Là où on avait laissé un ancien Béret vert de la guerre du Viêt Nam meurtri psychologiquement, on retrouve une véritable machine de combat prête à tuer tout le monde sur son passage. Ce changement de ton et de fond offre à Sylvester Stallone un rôle taillé sur mesure, au service d’une histoire où l’action est l’unique fil conducteur. Contrairement à ce qui est généralement évoqué, ce long-métrage ne constitue pas tant un éloge du patriotisme américain, mais plutôt une nouvelle fois la critique de l’Administration des Etats-Unis qui abandonne ses soldats. Bref, une caricature du film de guerre.
    Nicolas Métrich
    Nicolas Métrich

    23 abonnés 475 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2023
    Beaucoup de suspens et beaucoup de scénes d'actions spectaculaire , avec un peu d'émotion .

    Mais certaines scènes d'action , ne sont pas trés réaliste , en réalité , Rambo serait mort au moins 5 fois , dans le film , les Vietnamiens et les Russes , le visent , ce sont quand même des militaires professionels , ils savent quand même bien visés .
    Rambo reste debout sur place , il ne bouge pas , c'est une cible fixe , facile à atteindre , mais toutes les cartouches , vont à côté de lui , mort de rire .
    ça doit être son colier porte bonheur , qui fait dévier les cartouches , il faudrait que je pense à m'en acheter un , avant de jouer au Loto .

    Il y a même une scéne , ou Rambo est tout recouvert de boue , et trois secondes aprés , il est tout prope , même ses vêtements , il fait la guerre , prend une douche vite fait , fait sa lessive, pour laver ses vêtements , vite fait , tout ça en trois secondes chrono , il est trés fort .
    De retour aux Etats - Unis , il devrait faire livreur de pizzas , il serait payer par commission , deux dollars par pizzas livrés , il en livrerai , toutes les trois secondes , il deviendrait milliardaire, s'achéterai toute une armée , avec tout l'équipement , qui va avec , et referai la guerre du Vietnam , pour délivrer , tout les anciens G.I , portés disparus , prisonniers au Vietnam .

    Mais les scénes d'action sont trés spectaculaires et impressionnant , alors , je met 4 étoiles , pour le spectaculaire , ça serait de l'action spectaculaire , mais réaliste , comme Rambo 1 , John Rambo ( Rambo 4 ) et Rambo Last Blood ( Rambo 5 ) , j'aurai mis 5 étoiles .
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    42 abonnés 1 301 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 juin 2023
    Sylvester Stallone est de retour pour ce deuxième volet de Rambo qui repart au Vietnam pour délivrer des soldats américains.
    Luuuuuuuuc
    Luuuuuuuuc

    11 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2023
    « Cette fois, on nous laissera gagner ? »

    On reprend là où l’on s’est arrêté. Le propos est d’emblée exposé : les soldats envoyés au Vietnam ont été trahis alors qu’ils incarnaient la justice. Théorie du complot en 1985, Trump élu en 2016, je ne sais pas vous, mais moi si.

    Pourquoi, mais pourquoi dois-je m’infliger cela ? Parce que le premier volet n’était après tout pas si mauvais (en fait si, mais non, voir ma critique à ce sujet) ? Oui, bon, d’accord. Quand le vin est tiré, à la fin elle se casse.

    Et c’est un peu le résumé de cette suite, une sorte de négatif au personnage naïf et attachant, presque enfantin du premier opus : Rambo est devenu une sorte d’adolescent bourré aux hormones et désireux d’affirmer sa suprématie viriliste (ce qui en dit long sur son homosexualité latente ainsi que celle de ses admirateurs, matez-moi tous ces gros muscles luisants) et anti-communiste primaire (nous sommes dans les années Reagan et le scénario neutre de Cameron a, paraît-il, été beaucoup retouché par la plume, que vous mettez où vous voulez, de Stallone). La langue vietnamienne est mono-syllabique. Stallone aussi. Coïncidence ? Je ne crois pas.

    Pouf pouf.

    Le film est en outre particulièrement raciste mais j’ai envie de dire que ça n’est pas le pire de ses maux. La première demi-heure se déroule comme une sorte de parodie malgré elle, Stallone virevoltant dans une chorégraphie d’enfant qui s’amuse, tu me vois, tu me vois plus, dans la jungle qui a avalé le camp où sont détenus, par les méchants communistes jaunes, les gentils soldats blancs. Et si John Rambo doit brûler un village entier d’innocents civils, on s’en fiche un peu : sa colère le justifie, on ne va pas chipoter.

    La seconde partie (l’heure qui reste) pourrait avoir l’avantage de se dérouler en temps réel : il reste une heure pour sauver le soldat Rambo (et les gens qu’il libère ainsi que sa potiche de liaison). Croit-on. Eh bien non, en fait. Ça aurait été dommage de creuser une bonne idée scénaristique. Scénario qui, soit dit en passant, est prévisible à mort.

    Au niveau de la réalisation, on est un cran au-dessus du premier épisode. Ce qui ne veut pas dire grand-chose en vérité puisqu’on reste dans de la bouse cinématographique. Je reconnais n’avoir vu aucune autre œuvre de George Pan Cosmatos mais ce ramassis de cliché n’incite pas à en connaître d’autres.

    Au final, le succès populaire de ce second opus me plonge dans un océan de perplexité et de désespoir quant à la faculté de l’être humain d’être un jour mature et bienveillant. Ce film est un merde. Je n’en pense pas moins de ses admirateurs.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    176 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2023
    Rambo 2 fait partie de ses films au plaisir coupable comme Rocky 4. Le scénario est tourné vers la promotion de l’oncle Sam, en oubliant les blessures du vétéran John Rambo. Dans l’imaginaire collectif, il reste des américains dans la jungle du Vietnam et il faut les libérer. Le film contient des scènes cultes dont tout le monde se rappelle (Le couteau, les sangsues , le combat en Hélicoptère). Malgré les défauts grandement visibles , toujours plaisant de se revoir ce Rambo 2.
    Artriste
    Artriste

    117 abonnés 2 006 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 mars 2023
    Deuxième volet des mésaventures de l'ancien béret vert, Rambo 2 : La Mission, est cette fois-ci réalisé par George Pan Cosmatos, pour un résultat équivalent à l'épisode originel. L'histoire reprend ou elle s'était arrêtée et nous fait suivre John purgeant une peine de travaux forcés, qui va se voir proposer une mission à accomplir en échange de sa liberté. Celle-ci consiste à trouver des preuves de la présence de prisonniers américains au Viêt Nam. Seulement, son objectif ne va pas se passer comme prévu. Cette suite a le mérite de se renouveler en proposant une aventure différente du premier, apportant donc un intérêt à voir naître ce deuxième opus. Elle nous plonge pendant une heure et demie dans une intrigue ou le propos est plus en retrait, mettant d'avantage en avant l'action. Autant dire que de ce côté la nous ne sommes pas déçus, car ce retour sur les terres ayant laissées des séquelles psychologiques à Rambo offre des combats intenses et des scènes d'action spectaculaires très bien filmées. L'ambiance change radicalement par rapport au premier volet avec énormément d'explosions et des morts en grand nombre. Tout cela est évidemment du à John Rambo toujours incarné par Sylvester Stallone qui s'en donne à cœur joie à manier toutes sortes d'armes. L'esprit de vengeance le possède et il se montre sans pitié envers ses ennemis. Le reste de la distribution est assurée par Richard Crenna qu'on retrouve également, ainsi que Julia Nickson qui apporte une touche féminine bienvenue. Les relations entretenues par ces individus sont convaincantes et soutenues par des répliques bien senties, même si moins percutantes que dans le premier film. Sur la forme, malgré le changement de metteur en scène, la réalisation est toujours aussi bonne et évolue dans des environnements dépaysants variés plus exotiques, la forêt laissant place à la jungle. Ce visuel soigné est en plus accompagné tout du long par une b.o. qualitative, toujours signée Jerry Goldsmith, dont les compositions parviennent elles aussi à se renouveler et donnent encore plus d'impacts aux scènes d'action. De plus, ses airs possèdent des sonorités du pays visité ce qui est fortement appréciable. Cette besogne se conclut sur une fin attendue mais convenable, venant mettre un terme à Rambo 2 : La Mission, qui s'avère aussi réussi que son ainé, en plus d'apporter de la nouveauté, faisant de lui un long-métrage méritant d'être visionné.
    OMTR
    OMTR

    18 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 février 2024
    « spoiler: C'était un mensonge, n'est-ce pas ? Comme toute cette maudite guerre, un mensonge !
    »

    Les films de Rambo nous narrent des parties de l’histoire de John J. Rambo, un enfant métisse né dans une réserve indienne en Arizona. Sa mère Navajo est morte quand il était très jeune et il a grandi dans le ranch de son père alcoolique, qui était violent et menaçait sa vie. Les deux ont même failli se tuer lorsque le jeune John est devenu assez fort pour commencer à se défendre. John a passé du temps avec les Anciens de sa tribu. Et, en 1966, il a rejoint l'armée dès qu'il a atteint l'âge légal pour échapper à son enfer paternel.

    Après neuf mois de formation initiale, il a été déployé au Vietnam. Il a effectué deux tournées avant de commencer le type de formation qui l'a amené à devenir un membre hautement qualifié des forces spéciales, recruté et entraîné par l'homme qui allait devenir son père spirituel: Samuel "Sam" Richard Trautman. Rambo a continué à opérer dans des missions périlleuses tout en parfaisant sa formation jusqu'à ce qu'il soit capturé. Après deux ans de torture, il s'est finalement échappé et est retourné au servir, mais le traumatisme profond qu'il avait subi s'était transformé en une dépression nerveuse et John a été libéré avec les honneurs. Personne ne se souciait vraiment de lui à ce moment-là.

    Sans assistance médicale ni sociale, John a commencé à errer dans des petits boulots à travers l'Amérique, qu'il ne trouvait vraiment pas hospitalière, jusqu'à ce que John soit victime d'intimidation et de maltraitance de la part d’un shérif sans loi dans une ville ennuyeuse et étriquée de l'État de Washington, où il voulait juste prendre un repas et se reposer après avoir reçu la terrible nouvelle de la mort de son seul ami – Delmar Berry – qu'il pensait avoir survécu à la guerre, mais qui a été tué par l'agent Orange.

    Rambo était le dernier membre survivant de son équipe d'élite. Lorsque Will Teasle – le shérif local – a arrêté John, et que ses adjoints ont commencé à le harceler et à le menacer jusqu'à ce qu'il ait des flashbacks sur les horreurs de la guerre qui le remettent en mode d'autodéfense, Rambo n'a jamais enfreint la loi et n'a pas demandé plus de problèmes. Mais, la médiocratie locale a versé le premier sang et a fait empirer la situation en une chasse à l'homme impliquant des troupes de la Garde nationale qui ont à nouveau tenté de tuer John. « spoiler: J'aurais pu tous les tuer, je pourrais te tuer. En ville, tu fais la loi. Ici, c’est moi. Alors ne fais pas chier. Ne fais pas chier ou je te ferai une guerre comme t’en as jamais vue. Laisser tomber. Laisser tomber.
    » Des paroles empreintes de sagesse que l’esprit obtu de Teasle refusa de transformer en base d’apprentissage. « spoiler: Rien n’est terminé ! Rien ! Tout continue à cause de vous. Ce n’était pas ma guerre. C’est vous qui m’avez appelé, pas moi !
    » sont les paroles qui conclurent la confrontation entre Rambo et Teasle lorsque le colonel Trautman convainquit finalement John de se rendre et d'être condamné in fine aux travaux forcés.

    Pendant les trois premières années de l’incarcération de John, le colonel Trautman fait spoiler: tout son possible pour l'aider, et en 1985, il revient afin de lui offrir une grâce présidentielle s'il accepte de coopérer avec le maréchal Murdock, le responsable d'une mission pour confirmer l'existence de prisonniers de guerre supposément toujours détenus en Asie du Sud-Est. En prison au moins Rambo sait où il en est, mais il accepte à contrecœur parce que son père spirituel est le seul en qui il a confiance
    .

    Les choses spoiler: tournent mal depuis le début de la mission lorsque John est parachuté, et la médiocratie officielle est secrètement ravie de cette tournure des événements, se souciant peu de savoir si Rambo a pu survivre ou non. Il n'est pas surprenant qu'ils continuent de mépriser les gens de bonne foi lorsque Murdock et son équipe apprennent que John a non seulement survécu, mais qu’il a également réussi à libérer un prisonnier de guerre. Par peur du scandale à venir, le vicieux Masrhall va jusqu'à organiser une fausse mission de sauvetage pour mieux laisser Rambo et les prisonniers de guerre s'enfoncer plus encore profondément dans l'enfer du camp de prisonniers où John fut détenu durant la guerre… MURDOCK: « Assez, j'oublierai que cette réunion a eu lieu et je vous conseille de ne jamais faire l'erreur de revenir sur ce sujet. » TRAUTMAN: « Vous êtes celui qui fait l'erreur... » MURDOCK: « Quelle "erreur?" » TRAUTMAN: « ... Rambo »
    .

    En effet, après avoir été spoiler: à nouveau torturé, John s'échappe une fois de plus avec l'aide de Co Bao, sa coéquipière vietnamienne qui est tombée amoureuse de lui. Lorsque la douce Co Bao – qui représentait son seul espoir de retrouver une vie normale après des décennies en enfer – est brutalement assassinée, Rambo redevient une pure machine de combat totalement hors de contrôle, annihilant ses ennemis d'où qu'ils viennent jusqu'à la confrontation finale avec Murdock, avant de s'éloigner et de disparaître au loin dans le coucher du soleil
    .

    Bien que “Bigger-than-life", la deuxième partie de “First Blood” est une extension très cohérente du travail initial et pourrait bien faire partie des meilleures suites de tous les temps. Le casting est toujours aussi parfait et George Pan Cosmatos accomplit sa mission en réalisant l'un des meilleurs films d'action de tous les temps, de l'avis de plusieurs magazines spécialisés, ainsi que du mien. John J. Rambo ne fait rien d'autre que faire face au mal que font les hommes, d'où qu'ils viennent dans le monde et quelle que soit leur étiquette politique.

    Co-écrit par Sylvester Stallone et James Cameron, c'est définitivement un excellent film, et en aucun cas de la « propagande », comme certains extrémistes en leur genre aiment l'appeler. C'est un film sur la reconnaissance, le respect, les efforts et le sacrifice de toute une génération. Quant au mépris absolu et à la grave incompétence de la bureaucratie et de l'armée américaines, ils sont explicitement cités.

    Enfin, le deuxième épisode de cette grande saga délivre un message essentiel: spoiler: TRAUTMAN: « Ne me comptez jamais avec vous et votre bande. » « C'était un mensonge, n'est-ce pas? Comme toute cette guerre, un mensonge ! » […] RAMBO: « Mission accomplie ! Il y a encore d’autres hommes là-bas, trouvez-les, ou je vous trouverai… » TRAUTMAN: « Johnny, tu obtiendras une deuxième médaille d'honneur pour cela. » RAMBO: « Donnez-la leur ... (indiquant les prisonniers de guerre) Ils le méritent plus que moi ». TRAUTMAN: « Tu ne peux pas continuer à fuir. Tu es libre maintenant ... Reviens avec nous. » RAMBO: « Revenir à quoi? - Mes amis sont morts ici ... une partie de moi est morte ici. » TRAUTMAN: « John, la guerre, et tout ce qui s'est passé ici était peut-être faux, mais bon sang, John, tu ne peux pas haïr ton pays pour cela. » RAMBO: « Le haïr ? - Je mourrais pour lui. » TRAUTMAN: « Alors, qu'est-ce que tu veux? » RAMBO: « Qu'est-ce que je veux? Je veux ce que eux veulent ... (indiquant les prisonniers de guerre) Et ce que tous les autres gars qui sont venus ici et qui ont versé leurs tripes et donné tout ce qu’ils avaient veulent ... que notre pays nous aime autant que nous l'aimons. . C'est ce que je veux. Et c'est ce qu'ils veulent. (Indiquant les P.O.W.) » TRAUTMAN: « Comment vas-tu vivre, John? » RAMBO: « Jour après jour.
    »

    Des dialogues (de conclusion) qui ne sont pas si différents de ceux de « Platoon » (1986) en fait: spoiler: CHRIS TAYLOR [voix off]: « Maintenant, avec le recul, je pense que nous n'avons pas combattu l'ennemi; nous nous sommes battus l’un contre l’autre. Car l'ennemi était en nous. La guerre est finie pour moi, maintenant, mais elle sera toujours là, pour le reste de mes jours, comme je suis sûr qu'Elias le sera aussi, se battant avec Barnes pour ce que Rhah appelait la possession de mon âme. Depuis, il y a des moments où je me sens comme l'enfant né de ces deux pères. Mais quoi qu'il en soit, ceux d'entre nous qui l'ont fait ont l'obligation de reconstruire, d'enseigner aux autres ce que nous savons et d'essayer avec ce qui reste de nos vies de trouver la bonté et un sens à cette vie.
    »

    N'oubliez jamais qu’Hồ Chí Minh et le roi Rama V du Siam, qui deviendra plus tard la Thaïlande, étaient de grands amis qui admiraient l'intelligence de l'autre. C'est aussi pourquoi je les admire tous les deux. Il ne s’agit pas d’appartenir à une quelconque étiquette politique, mais d’être intelligent, respectueux et sage. Dans le livre « Le Sentier Siamois d’Ho Chi Minh », à la page 32, l'auteur explique comment « spoiler: les actes d'injustice coloniaux ont fait une forte impression sur le jeune Ho, semant les graines de sa haine et de son amertume perpétuelles envers la France 15) – Au cours de la visite de cet écrivain au Vietnam en 1987 [..] J'ai pu interviewer quelques vétérans de l'époque coloniale française. […] Leur ressentiment envers les Français était encore amer. À l'inverse, ils ont accueilli de nouveau les Américains
    . Rambo [II : la mission] était à l’affiche dans les salles de cinéma et devint le film le plus populaire de cette année. »

    Au Festival de Cannes 2019, Sylvester Stallone a déclaré à juste titre: « Je suis presque comme un athée politique. (Rambo) n'a jamais été censé être, en aucun cas, une déclaration politique. C'en est devenue une. ... Je ne pense pas que je suis assez intelligent. Ce n'est pas ma force. Je ne suis pas un animal politique. Je ne l'ai jamais été. Je ne veux pas l'être. Je suis juste un conteur. Mais, oh mon Dieu, une fois Reagan a dit: « J'ai vu Rambo, et c'est un républicain ! » Stallone a également rappelé plus tard qu'il pensait que « la politique était importante lorsqu'il s'agissait de mettre l'accent sur une position de droite venant de personnes comme Teasle, Galt, Murdock et leurs équipes, contrastée par la neutralité évidente de Rambo, qui, je crois, est expliquée dans le discours final de Rambo. »

    Félicitations et merci Sly de le relever de manière aussi juste : Des gens comme le shérif Will Teasle et Marshall Murdock, ainsi que ceux qui les soutiennent, sont de typiques partisans d'extrême droite. Pas ceux qui soutiennent et défendent la Constitution et les lois des États-Unis d'Amérique contre tous les ennemis, externes et internes. Des paroles sages qui sont également soutenues par la brillante analyse du colonel Samuel Trautman/Richard Crenna sur les guerres du Vietnam et d'Afghanistan dans ‘Rambo III’ (1988) : spoiler: TRAUTMAN : « Vous attendez de la sympathie ? Vous avez commencé cette satanée guerre, maintenant vous allez devoir la terminer. » ZAYSEN : « Et nous le ferons. Ce n'est qu'une question de temps avant que nous remportions une victoire complète. » TRAUTMAN : « Ouais, eh bien, il n'y aura pas de victoire. Chaque jour, vos machines de guerre perdent du terrain au profit d'un groupe de combattants de la liberté mal armés et mal équipés. Le fait est que vous avez sous-estimé vos concurrents. Si vous aviez étudié votre histoire, vous sauriez que ces gens n'ont jamais cédé face à qui que ce soit. Ils préfèrent mourir que d'être esclaves d'une armée d'invasion. Vous ne pouvez pas vaincre un peuple comme ça. Nous avons essayé; nous avons déjà eu notre Vietnam ! Maintenant, vous allez avoir le vôtre.
    »

    4.7/5
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