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    L'Auberge Espagnole
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    608 critiques spectateurs

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    elbandito
    elbandito

    349 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2010
    Ce gros succès commercial signé Cédric Klapisch est une comédie légère et divertissante, résolument jeune par son style visuel très audacieux. On est immergé dans cette auberge de jeunesse à l’ambiance rafraîchissante en plein cœur de Barcelone où l’on croise de jeunes étudiants européens (tous d’origine différente) plutôt attachants, venus en Espagne pour étudier ou travailler. Chacun tisse petit à petit des liens avec les autres, chacun représente son pays au sein d’une Europe en pleine construction, mais chacun revendique pour autant ses propres spécificités culturelles. Au final, un bon film, optimiste et un peu naïf tout de même, mais qui fait du bien !
    Nyns
    Nyns

    219 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2015
    L'Auberge Espagnole, ou le film qui a marqué toute une génération, a déjà 13 ans et c'est tellement agréable de constater qu'il n'a pas pris une ride. Souvenez-vous en 2002 Cédric Klapisch a soufflé un vent de modernité sur le cinéma français en nous proposant les aventures de cette bande de jeunes venue des 4 coins de l'Europe afin d'étudier dans la capitale catalane qui n'a pas son pareil pour offrir un décor typique et branché. Situations cocasses, esprit de groupe, barrière de la langue franchie, fiesta et amor rythmeront la vie du parisien Xavier interprété par un tout jeune et fougueux Romain Duris. On suit donc passionnément ces péripéties, et le bonheur d'être ensemble demeure particulièrement communicatif. Klapisch vise très juste et offre a son nouveau public ravi une référence indétronable. Une très bonne idée ne donne pas forcément un très bon film mais là on est en plein dedans! A re-re-revoir.
    AMANO JAKU
    AMANO JAKU

    328 abonnés 797 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 janvier 2014
    Il y a des films qui vous marquent toute une génération parce qu’ils parlent aux gens, parce qu’on s’y retrouve, par ce qu’ils nous apportent une bouffée d’air pur, parce qu’ils sont bons et inoubliables… "L’Auberge Espagnole" de Cédric Klapish est l’un de ces films. Nous suivons Xavier, un jeune étudiant en fin d’études qui doit faire un séjour en Espagne pour s’assurer d’obtenir un emploi au ministère des finances. Une fois arrivé à Barcelone, il cherche un logement et va tomber sur un appartement où vit d’autres étudiants étrangers comme lui…Partant de ce postulat de base original, L’Auberge Espagnole nous parle de la vie tout simplement : l’amour, l’amitié, la famille, les différences, les préjugés, les expériences, les mauvais choix, les surprises, les bons moments. On regarde le séjour de Xavier (incroyable Romain Duris) comme une suite de tranches de vie qui font référence à la notre, on se laisse emporter par cette joyeuse farandole sublimée par la réalisation parfaitement maîtrisée et moderne de Klapish (de nombreux effets « clipesques » sont utilisés durant tout le film de façon réussie : ralentis, travellings circulaires, zooms, courtes focales, split-screens). Les monologues du héros résonnent dans notre tête comme un écho de notre propre âme, ses interrogations et ses doutes étant les nôtres, pour en revenir constamment à la plus vraie des vérités : l’être humain adore se compliquer la vie même lorsque c’est facile ! Drôle, captivant, touchant, réaliste, pertinent, satirique, "L’Auberge Espagnole" est une expérience sensorielle formidable soutenue par une réalisation hors pair et un casting de jeunes acteurs fantastiques (surprenantes Cécile de France, Audrey Tautou et Kelly Reilly !) : un cas unique en son genre dans le cinéma français ! Si vous n’avez pas encore succombé à la tentation de le voir, succombez vite !!
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 952 abonnés 12 478 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2011
    "Tout a commencè là, quand mon avion a dècollè...Non, c'est pas une histoire d'avion qui dècolle, c'est pas une histoire de dècollage"...Film culte pour certains, apologie de la colocation pour d'autres, hymne à l'Europe pour beaucoup, "L'auberge espagnole" est avant tout la rèussite du couple Cèdric Klapisch-Romain Duris! Le rèalisateur a eu l'idèe du film après avoir rendu visite à sa soeur, ètudiante à Barcelone, qui partageait son appartement avec d'autres ètudiants venus de toute l'Europe! Enorme succès lors de sa sortie en salles, le film s'est pourtant construit à l'instinct, le scènario a ètè conçu après les repèrages et le casting! Et le tournage s'est fait en camèra numèrique pour plus de souplesse! Klapisch voulait rendre compte de sa propre impression d'anarchie gènèralisèe et de grand bazar dans lequel le monde èvolue! Un sentiment d'imprèvu et d'authenticitè brillamment rendu par le film et son personnage principal, Xavier (Duris gènialisssime), qui avance uniquement par accoups, entourè de jeunes femmes, plus sèduisantes les unes que les autres, qu'elles soient incarnèes par Judith Godrèche, Cècile de France (cèsarisèe), Audrey Tautou ou Kelly Reilly! Le charme de"L'auberge espagnole" provient ègalement du mèlange des personnalitès des nationalitès (on n'a un allemand, une espagnole, un danois, un italien, une anglaise, un français et une belge) qui partagent l'appartement dans une polyphonie joyeusement dèsordonnèe, le mèlange des langues, des sentiments, forment une mosaïque d'intrigues dont le rèalisateur s'empare allègrement pour donner un coup de projecteur sur une èpoque et sa jeunesse! Plus qu'une visite au coeur de la fiesta barcelonaise, "L'auberge espagnole" nous offre des moments de bonheurs fugaces et essentiels en nous confrontant à ces choix sentimentaux qui dècident d'une vie! Quant au jeu des mots, il est à la hauteur des dialogues (Je sais pas pourquoi mais d'une façon gènèrale, le monde est devenu un tel bordel! Tout est compliquè, mal foutu, mal rangè...). Aussi hètèroclite que le titre l'èvoque, la B.O est aussi varièe que les personnages, allant du superbe "No Surprises" de Radiohead à "Que viva la noche" de Sonia & Selena! Un essentiel du cinèma français avec quelques scènes de pure comèdie (comme ce cours de rattrapage d'anthologie sur le plaisir fèminin entre Duris et Cècile de France) et une suite - "Les poupèes russes" - particulièrement rèussie! "Tout paraît clair, limpide à prèsent! Je peux enfin commencer à tout vous raconter"...
    Alexarod
    Alexarod

    287 abonnés 1 870 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 septembre 2020
    Il y a longtemps que je ne l’avais pas vu, ce film de la consécration pour le duo Klapisch-Duris et au casting qui se révèlera énorme par la suite.
    Je le précise car sur le coup ça se voit pas tant que ça. En effet j’ai été déçu, sans être mal joué cela reste timoré, maladroit, exagéré, parfois à côté de la plaque, mais pour tous les acteurs. Je sais qu’une Anne-Sophie doit faire la prude innocente et timorée, et Godrèche le rend bien à l’écran, mais ça semble juste superficiel et on ne sait pas tant pourquoi elle est ainsi. Ce décalage est applicable à tous, mais également au réalisateur qui se plait à tenter des approches différentes (le délire de Xavier, caméra à l’épaule, plans bizarres parfois) sans réussite. Ce côté amateur apporte un rythme lent et décousu, complexifiant à l’excès une trame pas si novatrice, avec beaucoup de longueurs inutiles (le boulet anglais qui gerbe) au contraire de la musique, trop absente (mais on a du Radiohead, c’est déjà ça), et de l’humour, en berne.
    Après c’était fait pour illustrer la mondialisation sous un jour différent des documentaires barbants habituels. A ce programme Erasmus revisité s’ajoutent les galères de la coloc et de l’identité européenne. Cela sous-entend de jouer sur les clichés sans lourdeur et des introspections (bien que sommaires) pour chaque nationalité. Là Klapisch se révèle, notamment en lui opposant la pesante administration française façon maison des fous d’Astérix en mode 12 travaux, et en dénonçant les dérives de la société (loyers démesurés qui augmentent partout, rancœurs historiques, adaptation relative à cette ouverture etc).
    Je retiens de tout ça qu’on est devant une colo bien encadré par le réalisateur. On a découvert une nouvelle vague d’acteurs français (Tautou, Duris, Godrèche, Cécile de France etc) et c’est sympa mais brouillon aussi. Si l’ambiance peut faire rêver des jeunes face à la morosité de la vie active, l’aspect comique est aux fraises, sacrifié sur l’hôtel du bon délire, dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 août 2009
    Que dire de ce... cette chose...
    Adaptation cinématographique de Loft Story, il est INUTILE de chercher un semblant de scénario... quelle belle image de la jeunesse...
    Côté "acteurs", on voit de plus en plus à quel point le cinoche français ne vaut plus grand chose. Ca surjoue en permanence, pas naturels pour un sou, on croirait vraiment une troupe d'amateurs complets, parfois on croirait même qu'ils lisent leur texte sur un prompteur.
    Mais surtout, au delà de tout ça, c'est le fait que dans ce pure navet cinématographique, il ne se passe RIEN ! Pendant 2 heures on est là, devant l'écran et on attend... on regarde sa montre toutes les 5 minutes et on pousse un soupir de dépit.
    Si c'est ça le renouveau cinéma français... j'en connais des vrais acteurs (morts et vivants) qui doivent se ronger les doigts ou se retourner dans leur tombe !
    Si le cinéma actuel c'est de suivre les aventures mollassones d'une bande de "monsieur tout le monde" à qui il n'arrive ABSOLUMENT RIEN, alors là ce film est un chef d'oeuvre. Mais alors je me pose la question du pourquoi qui pousse certains à adorer ce genre de cinéma sans aucun intérêt...
    JulienAllard
    JulienAllard

    36 abonnés 387 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2013
    La preuve que, nous français, pouvons faire des films d'auteurs non dramatiques et non chiants, réside en ce film ou globalement dans l'oeuvre du réalisateur Cédric Klapsich qui possède son propre style de réalisation ce qui en fait son talent. Car il est clair qu'avec Cédric Klapsich, on a affaire à des films d'auteurs.
    D'après les journalistes des Cahiers du Cinéma, un réalisateur peut être catégoriser comme auteur lorsque des thèmes communs sont récurrents dans sa filmographie. Chez Klapisch, le thème de prédilection est la jeunesse déjà présent dans l'excellent Le Péril Jeune et dans Peut-Etre. Autre récurrence dans son oeuvre : le rôle principal revient encore une fois à Romain Duris, son alter ego devant la caméra.
    A sa sortie en 2002, le film est un beau succès en France (3 000 000 d'entrées) et même à l'international (4 000 000 de dollars de recettes en Amérique du Nord) et remporte également un César (meilleur espoir féminin pour Cécile de France). Un succès mérité car le film est un chef d'oeuvre d'un réalisme inoubliable.
    La réalisation de Klapsich est très travaillée avec des montages en accéléré quand ce qui est dit ou montré a peu d'importance surtout en début de film. Les plans, malgré des cuts, sont bien fichus et Klapisch délaisse parfois la caméra numérique, pour la caméra amateur, pour mieux coller à l'ambiance étudiante. Il a également recours à l'écran divisé pour montrer le ''bordel'' dans la tête de Xavier.
    Le scénario est assez réaliste sur ce qu'est la vie étudiante et (sans doute, je ne peut hélas pas le confirmer) sur le programme Erasmus (en Espagne dans le film) : cours à la fac, soirées étudiantes bien arrosées, amours, ...
    Les acteurs sont également excellents et ont la chance de pouvoir s'exprimer dans leur langue natale ce qui reflète bien le ''choc des cultures'' (contrairement à Malavita, où en VO, les français parlent anglais !) et ce qui explique sans doute en partie le succès du film à l'international.
    Enfin, la musique, l'une des forces des films de Klapisch, est parfaite et plus en particulier le morceau de Radiohead qui reflète bien la mélancolie de Xavier de retour en France en fin de film.
    Si vous pensiez que les films d'auteurs, ce n'est pas pour vous, comme moi avant d'avoir ce film, vous savez ce qui vous reste à faire !
    bobmorane63
    bobmorane63

    197 abonnés 1 980 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2008
    Voici sans aucun doute le film qui fait marcher le commerce étudiant d'"ERASMUS" (rire). J'ai beaucoup de personnes dans mon entourage qui ont etaient guidés par cette voie pour partir en Espagne, en Angleterre ou en Roumanie et qui en gardent une trés bonne expérience. Comme quoi, l'Europe n'a pas que des effets négatifs dans notre société actuelle. Moi, j'en gardes toutefois un bon souvenir de "L'auberge Espagnole" de Cédric Klapish que j'ai découvert à mes débuts dans la vie actif. Comme le héros, je m'interrogeais beaucoup sur le fonctionnement de la vie, sur moi mème, sur les femmes, les bons ou mauvais aspects relationnels de notre société. Faut dire que le cinéma de Cédric Klapish me ressemble un peu de ce que j'ai intérieurement. Que ce soit "Le péril jeune", "L'auberge Espagnole" ou "Les poupées Russes", je m'y retrouves dans ces films et je ne dois pas etre le seul vu le succés public et critique qu'ils ont. Xavier, étudiant en économie, se voit quitter sa famille et sa petite amie pour étudier pendant 9 mois à Barcelone. Le jeune homme sort de son cocon pour trouver un loyer, se démerder seul dans une ville ancienne à l'air parfumé Latino. Il fait connaissance de ses colocataires venant de tout horizons Européens et s'y attache. Il s'amourache aussi de la femme coincée d'un ami Français rencontré en Espagne. Le tout du voyage raconté de façon narrative par notre héros Xavier. Filmé en caméra DV, Cédric Klapish nous fait découvrir les rues et endroits de cette belle ville de Barcelone et nous attache avec cette belle amitié ces colocataires assez sympatiques. Un film que j'ai beaucoup aimé qui soit son succés grace à un excellent Romain Duris qui était cantonné jusque là à des roles de barges. A ces cotés, Cécile De France, Audrey Tautou, Judith Godrèche, Kelly Reilly et le reste du casting dont je ne connais pas les noms sont tous attachants. Un film que je conseilles vivement de visionner si vous l'avez pas vus
    reymi586
    reymi586

    479 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2010
    L'auberge espagnole est sans doute mon film français préféré avec sa suite Les poupées russes. Cédric Klapisch réalise un film hors norme avec de l'amitié, de l'amour, de l'humour, des coups de gueule, la vie quoi. Ce film dépasse les frontières et on rêverai tous de passer du temps dans cette auberge espagnole. Tout un groupe d'acteurs formidables qui nous font rire et vibrer tout le film. La photo est très belle, la film est très bien réalisé et c'est très beau esthétiquement.
    iceman7582
    iceman7582

    51 abonnés 1 169 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Un film vraiment sympathique. Une agréable surprise. Un super casting associé a un scénario frais et pleins de bons moment. Un film qui raconte la vie, l'amitié... A voir pour passer une agréable soirée.
    conrad7893
    conrad7893

    305 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2012
    film très actuel
    les problèmes des jeunes étudiants à l'étranger y sont bien représentés : difficultés de se loger, les bons et mauvais côtés de la colocation
    des acteurs jeunes qui ont fait leur chemin depuis
    des belles images de la ville de barcelone
    Pleymo210
    Pleymo210

    52 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 juillet 2011
    18 / 20 L'auberge espagnole est tout simplement un des meilleurs films français à mon goùt. Klapish traite ici différents sujet à travers le personnage joué par Romain Duris à merveille. Un phénomène de société traité en profondeur grâce à son héros très attachant, l'histoire qui s'y déroule est parfaite.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 juillet 2007
    J'i une très jolie formule au sujet de ce film c'est le vide du plein. C'est-à-dire que l'interrogation est intéressante : Qu'est-ce que je fou là? Questionnement typiquement jeune et crucial. Mais Klapish choisit déjà un acteur principal horripilant de narcissisme et de mélancolie surjouée. Deuxièmement aucune originalité dans la réalisation : la musique est sans intérêt (je conseil à Klapish de regarder un Visconti ou un Kubrick de toute urgence), un formalisme insupportable, et je dirai même qu'il trahit son travail d'artiste : nous montrer la réalité telle que nous ne la voyons pas. Il nous montre exactement ce que nous pouvons voir.Rien ne perturbe tout est facile. Ce n'est qu'une série de gag vite oubliés, aucune image intuitive, que du déjà-vu, cela plaira sans doute aux jeunes cinéastes prétentieux qui pensent faire du film d'auteur avec un soupçon de mal-être et une réalisation faussement innovante. L'histoire d'amour est ridicule et sans intérêt. Juste une farce dans un roman de gare. Pour juger le Monde avec autant de préjugés soit on est absurde soit on est tout simplement idiot.
    mr. edward
    mr. edward

    165 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 avril 2011
    Pour faire simple, je n'aime pas.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 mars 2009
    Ils ont osé... faire un Loft Story au cinéma ! Il n'y a en effet rien de plus intéressant dans dans les aventures insipides de ces petits bourgeois en fac-vacances à l'étranger que dans l'émission débile de télé réalité qui le bonheur de M6 et de son audience de mous du bulbe. Avec en prime une touche internationale pour nous faire subir de la V.O sous-titrée les 3/4 du film, pour un film français, c'est un comble ! Ca rappelle "à nous les petites anglaises" mais au moins celui-là ne se prenait pas au sérieux assumait son statut de nanar. C'est pas ce que M.Klapisch a fait de mieux.
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