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Vu en avant première pour Halloween, Heretic est un film magistral ! Les personnages sont remarquablement interprétés par Hugh Grant, Sophie Thatcher et Chloe East, les dialogues sont exceptionnels.
Quel plaisir de voir Hugh Grant , le séducteur romantique par excellence accueillir deux jeunes mormones venue prêcher la bonne parole
Drôle souvent mais aussi terrifiant , un grand film
Drôle souvent mais aussi terrifiant , un grand film
Plutôt élégant dans la première partie, très bavarde, avec une ambiance qui prend son temps pour s'installer avant que les deux jeunes femmes comprennent qu'il est temps pour elles de filer "à l'anglaise". Chose qui ne sera pas aisée : la porte d'entrée est verrouillé et le propriétaire des lieux a vraiment envie que ses invitées passent la soirée avec lui. Le dénouement peut sembler déceptif, mais la présence de Hugh Grant dans ce genre de film est un petit miracle, alors ne boudons pas notre plaisir, et profitons de son accent so british!
Vu en avant première le 31 octobre à la soirée d'halloween. Soirée réussie! Atmosphère pressante, sensation d'étouffement et d'être pris au piège nous mêmes. Je ne peux que recommander ce film sans pouvoir raconter quoi que ce soit pour ne pas gâcher le plaisir de ce 8 clos insoutenable
Un rôle à contre courant pour Hugh Grant qui joue sur son capital sympathie, il n'ya pas grand chose à se mettre sous la dent cependant.
On avait vraiment envie d’y croire en ce suspense d’épouvante. Aussi bien par son sujet sur la religion que son concept de piège en huis clos ou encore par la présence de Hugh Grant en méchant. Mais ce serait oublier qu’on retrouve le duo de cinéastes qui nous avait gratifiés d’un sacré nanar l’an passé : 65 – La Terre d’avant. Un autre film au concept aguicheur, mais baigné dans la science-fiction cette fois, qui se révélait complètement raté. Avec Heretic, la catastrophe est clairement moindre mais le long-métrage est plein de défauts, entre un début interminable et excessivement bavard, un sujet religieux bien trop survolé alors qu’il était passionnant et des zones d’ombre en veux-tu en voilà, associées à de trop grosses facilités. Et puis on n’a pas vraiment peur… Bref, on peut clairement passer son chemin !
Retrouvez ma critique complète sur le site spécialisé Le Mag du Ciné:
https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/heretic-critique-film-scott-beck-ryan-woods-10072735/
Retrouvez ma critique complète sur le site spécialisé Le Mag du Ciné:
https://www.lemagducine.fr/cinema/critiques-films/heretic-critique-film-scott-beck-ryan-woods-10072735/
Vraiment pas mal... Une sorte de jeu pervers entre un gourou machiavélique et deux jeunes mormones où la question de la religion est au centre des débats... Ça parle beaucoup de théologie... Le film est très bavard... La mise en scène est classique, rien d exceptionnel... La fin est assez tordue mais intéressante... Bref c'était sympa mais je m attendais à mieux...
vu en avant première, bien jouer et bien interprèter mais le début trop long a voir en VF en ce qui concerne l'interdiction je mettrai - de16ans
Vu en avant première en séance "Mega Frissons" au Mégarama Bastide, Hérétic, réalisé par Scott Beck et Bryan Woods, avec Hugh Grant, acteur habitué aux rôles de charme, qui surprend dans une interprétation sombre et nuancée. Dès les premières minutes, l’atmosphère, tendue et menaçante, plante le décor d’un thriller qui aspire à faire vibrer le spectateur sur un registre viscéral. La photographie, sublime dans son approche chirurgicale du détail, participe pleinement à l’intensité du film en sculptant chaque scène pour accentuer le malaise.
Le scénario, bien construit et parsemé de retournements, mêle efficacement suspense et complexité thématique. Les dilemmes éthiques et moraux, la foi, la quête de rédemption et le sacrifice personnel sont autant de couches de réflexion qui enrichissent l’intrigue sans l’alourdir. Les personnages sont d’une profondeur rare, incarnant chacun des nuances de conflits internes qui les rendent attachants et profondément humains.
La performance de Hugh Grant, qui campe ici un Mr. Reed tourmenté, est saisissante et prouve l’étendue de son registre, tandis que Sophie Thatcher et Chloe East ajoutent de l’épaisseur à ce drame psychologique. La bande sonore, habilement dosée, renforce le poids de l’ambiance sans empiéter sur la tension.
Cependant, Hérétic s’inscrit dans la lignée de ces films d’horreur à grand budget qui peinent à retrouver l’incisivité et l’audace brute propres au genre. En effet, lorsque l’horreur s’allie à des acteurs célèbres et des moyens conséquents, une certaine prudence narrative s’installe souvent, freinant l’intensité et le choc sensoriel recherchés par les puristes du genre. Ici, l’impact psychologique est parfois adouci, et quelques moments plus convenus peuvent donner l’impression de trop en faire sans assumer pleinement une atmosphère radicale.
En conclusion, Hérétic est une œuvre soignée, une aventure cinématographique immersive qui, bien qu’elle ne frappe pas aussi fort qu’un film d’horreur à petit budget et sans concession, réussit à marquer par la qualité de son exécution et la profondeur de ses thèmes. Pour ceux en quête d’un thriller d’horreur alliant esthétique et réflexion, Hérétic reste un pari audacieux, à la fois grandiose et subtil, même si l’on regrette par moments le mordant d’un film de genre plus dépouillé.
Le scénario, bien construit et parsemé de retournements, mêle efficacement suspense et complexité thématique. Les dilemmes éthiques et moraux, la foi, la quête de rédemption et le sacrifice personnel sont autant de couches de réflexion qui enrichissent l’intrigue sans l’alourdir. Les personnages sont d’une profondeur rare, incarnant chacun des nuances de conflits internes qui les rendent attachants et profondément humains.
La performance de Hugh Grant, qui campe ici un Mr. Reed tourmenté, est saisissante et prouve l’étendue de son registre, tandis que Sophie Thatcher et Chloe East ajoutent de l’épaisseur à ce drame psychologique. La bande sonore, habilement dosée, renforce le poids de l’ambiance sans empiéter sur la tension.
Cependant, Hérétic s’inscrit dans la lignée de ces films d’horreur à grand budget qui peinent à retrouver l’incisivité et l’audace brute propres au genre. En effet, lorsque l’horreur s’allie à des acteurs célèbres et des moyens conséquents, une certaine prudence narrative s’installe souvent, freinant l’intensité et le choc sensoriel recherchés par les puristes du genre. Ici, l’impact psychologique est parfois adouci, et quelques moments plus convenus peuvent donner l’impression de trop en faire sans assumer pleinement une atmosphère radicale.
En conclusion, Hérétic est une œuvre soignée, une aventure cinématographique immersive qui, bien qu’elle ne frappe pas aussi fort qu’un film d’horreur à petit budget et sans concession, réussit à marquer par la qualité de son exécution et la profondeur de ses thèmes. Pour ceux en quête d’un thriller d’horreur alliant esthétique et réflexion, Hérétic reste un pari audacieux, à la fois grandiose et subtil, même si l’on regrette par moments le mordant d’un film de genre plus dépouillé.
Un film un peu inattendu, je suis allé le voir uniquement, parce qu’il était en avant-première le soir de Halloween,mais on a été agréablement surpris, il est hautement philosophique autour du thème de la religion, comme processus itératif de manipulation, des masses,Dès le début. On est entraîné par le discours. Les deux jeunes actrices sont plutôt bonnes Hugh Grant bien entendu montre son talent d’expression d’émotion. Ce n’est pas à proprement parler un film horrifique, il y a beaucoup de suspens
Vu en Avant-première au Grand Rex présenté par Mr Grant lui-même. Ce film est un thriller haletant toute la 1ère moitié, avant de se transformer en film d'horreur, la transition est suffisamment bien amenée pour que cela ne soit pas perturbant. La 1ère partie est à mon sens, bien meilleure que la seconde avec un face à face psychologique en huit clos, dont la grande originalité repose sur la montée de l'angoisse créée par notre imaginaire renouvelant ainsi un genre délaissé (Psychose ou encore les Dents de la mer, avec ce requin que l'on craint pendant 1 heure sans le voir). Les dialogues et réflexions sont disruptives et plus poussées que ce à quoi les films à frissons nouvelle génération nous ont habitué et donne à réfléchir bien au delà de la croyance religieuse, mais autour de notre croyance en nous même, notre confiance en nous, notre crédulité et notre conviction. La 2ème partie vient détruire cette mise en apnée de l'angoisse en
spoiler:
ajoutant une touche sanguinolente sans profondeur avec ce petit musée des horreurs en sous sol. Les personnages secondaires ajoutés à ce trio à des fins horrifiques
n'apportent rien selon moi et gâchent meme l'intelligence du scénario développé en premier lieu.
Cela n'en reste pas moins un bon film avec un Hugh Grant magistral gardant son air légendaire de gentleman ce qui ajoute à l'angoisse. Une réalisation superbe et esthétique capable de nous glacer le sang juste avec un gros plan sur une bougie, un bouton de porte ou un simple sourire.
n'apportent rien selon moi et gâchent meme l'intelligence du scénario développé en premier lieu.
Cela n'en reste pas moins un bon film avec un Hugh Grant magistral gardant son air légendaire de gentleman ce qui ajoute à l'angoisse. Une réalisation superbe et esthétique capable de nous glacer le sang juste avec un gros plan sur une bougie, un bouton de porte ou un simple sourire.
L'idée du film en soit est très intéressante mais sur ce format là je n'ai pas du tout accrocher, c'est malheuresement mal réalisé, par moment il y a des soucis de vitesse, de vraisemblance enfin bref on a connu mieux en thriller énigmatique d'horreur
Quel film ! A24 nous sert encore un délicieux chef d’oeuvre psychorrifique avec un rôle taillé sur mesure pour le jeu de Hugh Grand ! Le méchant parfait qui a l’air de s’éclater et nous laisse sous tension du début à la fin. C’est le genre de film dont on ne se lasse pas de parler à la sortie, forcément, avec le thème religieux, et sa mise en scène impeccable. Je cherche un point négatif mais c’est difficile, puisque j’ai déjà envie de le revoir. Ah si :
spoiler:
j’aurais aimé une fin plus flamboyante et moins prévisible, plus ouverte aux spéculations comme dans Midsommar mais elle reste très poétique et fait bien le job tout de même.
Vu en avant première le jour d'halloween au Pathé de Conflans-Sainte-Honorine, nous pensions voir un thriller avec une dose d'horreur, ce fut quelque peu... non en fait, très décevant.
Indépendamment du sujet principal des religions traité dans ce film, tout n'est prétexte qu'à de longues tirades interminables de Hugh Grant devenu rapidement insupportable, beaucoup de blablas pour pas grand chose au final.
Hélas, certaines scènes de la bande annonce laissait imaginée un film avec un peu plus de contenu que ce qu'il propose au final ! C'est linéaire et sans surprise.
spoiler: J'attends d'avoir des explications sur la maquette de la maison et les petites figurines ! Au final il n'y a que 2 pièces, je pensais voir des épreuves avec des pièces qui s'enchainent pour confronter les héroïnes à leur croyance religieuse, une sorte adaptation du concept du film Cube de Yasuhiko Shimizu, c'est beaucoup plus basique, dommage.
Indépendamment du sujet principal des religions traité dans ce film, tout n'est prétexte qu'à de longues tirades interminables de Hugh Grant devenu rapidement insupportable, beaucoup de blablas pour pas grand chose au final.
Hélas, certaines scènes de la bande annonce laissait imaginée un film avec un peu plus de contenu que ce qu'il propose au final ! C'est linéaire et sans surprise.
spoiler: J'attends d'avoir des explications sur la maquette de la maison et les petites figurines ! Au final il n'y a que 2 pièces, je pensais voir des épreuves avec des pièces qui s'enchainent pour confronter les héroïnes à leur croyance religieuse, une sorte adaptation du concept du film Cube de Yasuhiko Shimizu, c'est beaucoup plus basique, dommage.
Pour préciser le contexte, j’ai pu assister à une séance de Heretic directement à ça sortie aux États Unis, ce qui me permet donc de rédiger cette critique avant sa sortie en France.
Selon moi Heretic est un véritable renouveau dans la catégorie de l’horreur, là où la plupart des courts et longs métrages de ce genre mettront en scène des phénomènes paranormaux ou surnaturels, à l’inverse Heretic nous propose un long métrage d’environ deux heures où nous sommes invités à rentrer dans une aventure tout à fait rationnelle sur le plan sûr de la possibilité des événements, ou autrement dit que cette situation pourrait complètement se produire en vrai. Donc à partir de là nous pouvons ressentir comme un malaise, le sentiment que quelque chose de plus grave se trame, sans oublier l’ambiance générale, dans mon cas j’ai trouvé cela plutôt ingénieux de nous enfoncer, en même temps que les les personnages, dans cette maison d’apparence banale, et d’en découvrir tous ses secrets, mais cette ambiance plutôt froide et malaisante se ressent également grâce a la performance de Hugh Grant dans la peau de Mr. Reed, un homme d’une cinquantaine ou soixantaine d’années, plutôt charismatique et plutôt accueillant, on pourrait le voir comme ce voisin d’à côté toujours souriant, à qui on pourrait confier son animal de compagnie par exemple, enfin bref… Un peu comme à l’image de sa maison, c’est en avançant avec ces jeunes femmes que nous allons commencer à cerner le personnage, découvrir son projet principal, et cela va grandement entretenir ce sentiment désagréable qui capte le spectateur pendant toute la durée du film.
En conclusion c’est un film très bien qui pourra plaire à tous les spectateurs plus ou moins fan de film d’horreur, car celui-ci se place dans une sorte d’entre deux entre l’horreur et le thriller.
Selon moi Heretic est un véritable renouveau dans la catégorie de l’horreur, là où la plupart des courts et longs métrages de ce genre mettront en scène des phénomènes paranormaux ou surnaturels, à l’inverse Heretic nous propose un long métrage d’environ deux heures où nous sommes invités à rentrer dans une aventure tout à fait rationnelle sur le plan sûr de la possibilité des événements, ou autrement dit que cette situation pourrait complètement se produire en vrai. Donc à partir de là nous pouvons ressentir comme un malaise, le sentiment que quelque chose de plus grave se trame, sans oublier l’ambiance générale, dans mon cas j’ai trouvé cela plutôt ingénieux de nous enfoncer, en même temps que les les personnages, dans cette maison d’apparence banale, et d’en découvrir tous ses secrets, mais cette ambiance plutôt froide et malaisante se ressent également grâce a la performance de Hugh Grant dans la peau de Mr. Reed, un homme d’une cinquantaine ou soixantaine d’années, plutôt charismatique et plutôt accueillant, on pourrait le voir comme ce voisin d’à côté toujours souriant, à qui on pourrait confier son animal de compagnie par exemple, enfin bref… Un peu comme à l’image de sa maison, c’est en avançant avec ces jeunes femmes que nous allons commencer à cerner le personnage, découvrir son projet principal, et cela va grandement entretenir ce sentiment désagréable qui capte le spectateur pendant toute la durée du film.
En conclusion c’est un film très bien qui pourra plaire à tous les spectateurs plus ou moins fan de film d’horreur, car celui-ci se place dans une sorte d’entre deux entre l’horreur et le thriller.
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