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Flower 0478
64 abonnés
257 critiques
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4,0
Publiée le 20 mars 2024
Pour ma part c'est une belle surprise personnellement vu en avant première chaque scène est bien faite je m'attendais pas à ça l'actrice principale joue très bien je trouve que ça change des films d'horreurs habituels je vous conseille d'aller le voir.
Vous allez me dire c'est encore un film de nonne. C'est vrai mais le film tire vraiment son épingle du jeu par rapport à d'autres productions du genre. Sydney Sweeney dévoile tout son talent. Elle campe ici un personnage fort avec une certaine fragilité que l'actrice incarne parfaitement. Le film assez lent, installe une ambiance pesante qui ne cesse de s'intensifier jusqu'à son final sanglant.
Vu en AVP : une excellente surprise qui a le mérite de sortir du lot des sempiternelles productions américaines (Nonne - Conjuring..). Extrêmement soigné sur la forme, ce long métrage bénéficie d'une lumière naturelle et d'une direction artistique de toute beauté. Le montage est resserré et ne laisse aucun plan au hasard (les plans en plongée et contre plongée qui traduisent rapidement une entité supérieure et oppressante sur ses proies par exemple). On y retrouve également un hommage très appuyé aux Giallos italiens qui ont fait les belles heures des années 70 (Dario Argento, Lamberto Bava, Mario Bava..) mais également un clin d'œil à des cinéastes plus contemporains comme Neil Marshall (The Descent). Dense dans sa réflexion, il en oublie pas d'insufler un parfum de soufre sur les sanctuaires religieux avec une radicalité assez inhabituelle. Réservé à un public averti et exigeant.
Je ne suis généralement pas fan avec les films d'horreurs. En effet, ceux-ci sont pour le plus souvent peu crédible, et cela me fait bien plus rire que peur !
"Immaculée" est une réussite. Il y a certes, encore une utilisation de la religion, de nonnes au centre de cette histoire d'horreur, mais dans ce film, c'est véritablement bien mené. Le scénario est bon, les personnages sont bien écrits, l'ambiance du film est pesante dés le début et ce, tout le long du film. Les acteurs sont vraiment bons, et Sydney m'a réellement bluffée : sa performance était superbe, ce qui a permis une crédibilité sans faille pour chaque scène du film.
Les effets spéciaux sont terriblement bien réussis, et ce qui m'a en grande partie plu dans ce film, c'est bien les plusieurs scènes de violence, ainsi que certaines scènes particulièrement ignoble du film. spoiler: Je pense par exemple à la scène de suicide de la soeur Marie, ou encore la scène de torture contre la pauvre soeur Gwen. Il y a également la scène où spoiler: la protagoniste soeur Cecilia, feint son propre accouchement, afin de s'échapper de ce lieu de malheur, qui est assez dure à regarder, mais qui est aussi très bien pensé de la part de notre protagoniste. La performance de Sydney Sweeney, fait vivre notamment ce genre de scène, tout comme une scène qui m'a vraiment bluffé : spoiler: celle où Cecilia tue une des nonne avec un crucifix. Cette scène est filmée en un seul plan, et on la nonne se faire défigurer, le visage se désagrège petit-à-petit : quel réalisme !
spoiler: Pour finir, ce film se conclue sur une scène bien dégoutante, avec un accouchement terrible et les spasmes d'un bébé mourant : Cecilia décime sa progéniture : tout est fini.
Immaculée est un film bien trop sous-estimé à mon humble avis. Les mécanismes horrifiques sont certes assez classiques et prévisibles, mais l’ambiance est tellement prenante et hypnotisante que je fus emporté par le délire. Puis esthétiquement c’est vraiment maîtrisé ! Les plans offrent des cadres avec une composition travaillée et une lumière assez intéressante. Cela peut paraître convenu au premier abord, mais il y a de véritables fulgurances visuelles qui élèvent l’œuvre à un tout autre niveau selon moi.
Les décors c'est du déjà vu, l'histoire est pas folle. Il y a quelques idées originales mais ça suffit pas, les screamers sont bien trop prévisibles. On nous introduit des personnages qui semblent intéressants mais on en fait rien c'est dommage. Il y a mieux comme film d'horreur dans le domaine des nonnes. On va vite l'oublier ce film.
Plutôt très agréablement surpris. Il faut avouer qu'on a pas été gâtés en terme d'horreur sur grand écran en ce début d'année, et malgré une petite attente due à ce magnifique casting, je ne pensais pas sortir de la salle aussi ravi !
Immaculée nous raconte l'arrivée de Cecilia au sein d'un couvant de nonnes étrange et dérangeant dés le premier abord. En effet, on débarque avec une scène d'entrée, brutale, permettant de lancer un film rythmé et absolument pas épuré en terme d'horreur.
Et en effet, dans la globalité, le cahier des charges horrifiques sera parfaitement rempli par la suite : des scènes de tensions intéressantes et prenantes, des images chocs bien dosées. Un point en moins pour les Jump scare abusifs en début de film.
Certains trouveront le film plutôt lent à certains moments, mais j'ai trouvé que le cadre instauré par le lieu, les différents personnages mis en scène un tout petit peu cliché et cette ambiance globale religieuse et dérangeante collaient parfaitement avec l'ensemble des évènements amenés par la suite au moment du fameux miracle.
L'histoire fait sens. La fin partagera forcément, mais de mon côté, je salue l'envie d'assumer parfaitement le dénouement tiré par les cheveux qu'on nous offre, avec plusieurs éléments de la mise en place du début du film qui remonteront parfaitement dans votre esprit à certains moments. Michael Mohan ne se trompe jamais dans son fil conducteur, et respecte son film et ses différents éléments mis en place jusqu'à la toute dernière seconde.
Un point en plus pour la belle performance de Sydney Sweeney, qu'on n'attend pas forcément dans ce genre de rôle. Mais je ne peux que saluer son innocence en début de film et sa force d'interprétation de la terreur à la fin.
Dans l'ensemble je recommande, ça remonte clairement le niveau de l'horreur grand public en ce début d'année !
Le scénario et les acteurs sont tellement grotesques qu'on rit du début à la fin. En fait, en guise de film d'horreur, on a un grand film comique. Mais l'accumulation de sang (ainsi que quelques vomissements) dans la deuxième partie finit par provoquer le dégoût. Bref, le film manque sa cible : il n'y a rien d'horrifique là-dedans!
Cecilia, une jeune religieuse américaine, s’installe dans un couvent isolé au beau milieu de la campagne italienne et ne va pas tarder à y découvrir un terrible secret…
Le réalisateur Michael Mohan retrouve pour la seconde fois Sydney Sweeney, après The Voyeurs (2021) et nous entraîne dans un film d’horreur tout ce qu’il y a de plus classique, dans la droite lignée de la "nunsploitation", ce sous-genre cinématographique des 70’s & 80’s.
En pilote automatique pendant tout juste 90 minutes, le film se regarde d’un oeil tout en scrutant régulièrement notre montre, tant il n’a rien de transcendant à nous raconter. Ses (trop) nombreux jump scares viennent nous rappeler leur utilité, à savoir nous maintenir éveillé coûte que coûte jusqu’au dénouement final (la fameuse scène dite de la "scream queen").
Mise à part la prestation de (la coproductrice) Sydney Sweeney (Reality - 2022), il n’y a rien à en retenir de cette petite prod’ horrifique. A aucun moment on ne ressent une quelconque tension, le couvent dans lequel se déroule l’intrigue détonne et manque de réalisme (les bonnes soeur ont fait vœu de pauvreté mais vivent dans l'opulence la plus totale, les repas ressemblent à des banquets et boivent dans des verres en cristal. Le couvent sert aussi d’hospice pour les nonnes séniles, bardé de nouvelles technologies, mais cela ne les empêchent pas de s’éclairer uniquement à l’aide de bougies, ça n’a aucun sens), sans parler du "plot twist" qui s’avère foncièrement ridicule et restera cantonné à la Série B.
Pas mal, mais un brin en dessous de ce que j'attendais avec ce film qualifié d' horreur . On est sur un film esprit italien des années 70/80 (M. Brava) , un peu dans le genre "Rosemary's Baby" mais revisité à la sauce "Conjuring" (d'ou vient d'ailleurs "La None " ....) Ici ,c'est une jeune novice américaine qui débarque dans un sombre couvent de la cambrousse italienne et qui se trouve entourée avec beaucoup trop d'attentions par ses habitants pour que cette histoire soit bien catholique (facile ,mais je la fais quand même!)Et paf! voilà qu'elle se retrouve enceinte par l'opération du Saint Esprit (qui n' est pour rien dans l'affaire, en vérité) Il faut dire ,pour être réaliste, qu'il y a trop jumpscares abusifs , mais que c'est magnifiquement filmé dans les clairs obscurs et remarquablement joué par Sydney Sweeney ,surtout dans le final en mode "Warrior Nun", car évidement ,tout ne se passe pas très bien dans cette grossesse miraculeuse ou ATTENTIONspoiler: ils comptaient recréer l'ADN de Jésus et c'est disons ....l'inverse qui s'est produit !!!
Donc , un final assez jouissif dans un ensemble correct mais qui décevra les amateurs d'horreur des années 2020 !
On rencontre soeur Cecilia/Sweeney, jeune nonne américaine s'exilant en Italie et qui se fait remarquer pour sa beauté diaphane et une jeunesse qui est devenue rare dans les couvents de l'Eglise catholique. Le climax est très pesant, anxiogène, voir menaçant avec des ombres aux masques rouges bien intrigantes. Le film favorise l'ambiance horrifique sans abuser des jump scares qui restent parcimonieux. La première heure est donc assez contemplative, distillant petit à petit un environnement insidieux et vénéneux jusqu'à ce twist parfaitement amené et qui fait monter la pression tant on perçoit soudain le grand final. Le récit se fait autant féministe (la soeur s'éveille soudain à une sorte d'instinct de survie du sexe faible) que anti-clérical (la religion comme cause d'abomination !). La beauté diaphane et "immaculée" évolue alors de l'ingénue à la battante pleine de rage. Résultat, un film esthétiquement hypnotique, d'abord lancinant avant un dernier acte surprenant et spectaculaire même si l'issue de soeur Cecilia est un peu too much. Site : Selenie.fr
Le père de Sydney Sweeney a initié très jeune sa fille aux films d’épouvante. Et c’est ce genre qu’elle choisit pour son premier film en tant que productrice. Même s’il ne fait pas vraiment peur et emprunte un univers ultra-convenu, celui de l’Italie cléricale, il apporte quand même son petit lot de surprises et déroule un scénario plutôt original. Papa Sweeney doit être content.
La Nonne a-t-il fait des émules au point de motiver les producteurs à relancer les films de genre clérical ? Portée par l'actrice en vogue du moment, Sydney Sweeney, plutôt convaincante, l'oeuvre se place comme un film modeste dont le reste du casting est relativement méconnu et dont l'empreinte visuelle se place vers les productions génériques type Netflix. Au-delà de ses problèmes de rythme, le long-métrage souffre d'une écriture très scolaire qui manque de bases contextuelles et d'épaisseur. On ne s'implique que peu avec l'héroïne et surtout, on peine à avoir quelques frissons. Le dernier acte reste sympathique mais le film laissera forcément un goût de déception.