Votre avis sur God Save the Tuche ?
1,0
Publiée le 6 février 2025
L'Angleterre sent les studios ou du moins on ne ressent jamais la brume britannique. Mais surtout on sent bien que ce film va être le dernier (espérons-le !) car il n'y a plus ni idées ni envie. Cette fois il y a overdose, les gags sont strictement tous les mêmes, déjà vus et revus dans les opus précédent, pas une once de renouveau ni la moindre tentative de se renouveler. Résultat pas un rire (dans une salle d'environ 80 personnes dont environ 15 enfants). Mais le pire est qu'on sent que nous ne sommes pas les seuls, si Jean-Paul Rouve y croit forcément (et encore ?!), on salue l'abnégation de Sarah Stern et Isabelle Nanty, mais clairement Pierre Lottin n'en peux plus de jouer le benêt. Répétitif, redondant, éculé, plus rien de fonctionne même si l'empathie et la sympathie au fil des années nous pousse à l'indulgence. Ce film joue à peine avec la différence culturelle pourtant facile avec nos voisins, tandis que le scénario se permet d'être moins fluide encore, accentuant l'effet sketch assemblé comme on peut. Là on se dit que ce n'etait peut-être pas une bonne idée de se fâcher avec le procureur et le réalisateur des précédents, ou plutôt, plus simplement, ce n'était pas une bonne idée de refaire un film.
Site : Selenie.fr
2,0
Publiée le 4 mars 2025
Pas mieux, pas pire. Les Tuche nous donnent encore une comédie très banale qui manque de rires, et c'est bien embêtant pour ce genre de film. Si les personnages sont malgré tout très attachants, on est content quand ça se termine. C'est tout de même surprenant que cette saga dure autant.
0,5
Publiée le 5 février 2025
Cathy Tuche (Isabelle Nanty) est fascinée par la famille royale. L’occasion lui est enfin donnée de se rendre en Angleterre lorsque son petit-fils est sélectionné par la pépinière de jeunes talents d’Arsenal. Son mari, Jeff Tuche (Jean-Paul Rouve), sa mère et ses trois enfants l’accompagnent dans ce nouveau voyage.

Depuis 2011, "Les Tuche" est devenu une franchise bankable qui attire à chaque opus les spectateurs par millions – même si le quatrième a eu moins de succès (2,4 millions d’entrées) que le troisième (5,7). Ses personnages sont devenus des stars familières des cours de récré : Jeff, sa coiffure improbable, ses bananes, Cathy et son solide bon sens, la grand-mère punk, son sabir délirant et son alcoolisme pas très mondain, Stéphanie, la bimbo pas très futée, Wilfried, qui, contre tout entendement, entend réconcilier le rap et le bal musette et enfin Donald, le petit dernier surdoué…. Le ressort de chaque film est de placer cette famille si fièrement franchouillarde dans son exact contraire sociologique : Monaco ("Les Tuche 1"), les Etats-Unis ("Les Tuche 2"), l’Elysée ("Les Tuche 3")….

Le succès des précédents épisodes appelle mécaniquement le tournage des suivants. La logique de ses franchises est délétère, qui s’éteindront quand le box office déclinera. On espère que ce sera bientôt le cas pour ces Tuche à bout de souffle qui recyclent, sans souci d’innover, les recettes éculées des films précédents.

Le Covid aidant, j’avais eu la curiosité de regarder à la télé le premier épisode. J’en étais ressorti traumatisé par autant de médiocrité. Mais, le souvenir de ce douloureux précédent s’étant évanoui, je me suis retrouvé dimanche dernier à une avant-première, juste avant le Maria de Pablo Larrain.

Je pensais me divertir gentiment. Je me suis copieusement ennuyé. Pire, je n’ai jamais ri. C’est peut-être le signe que je n’ai aucun sens de l’humour ou que je n’ai pas le même que celui de Jean-Paul Rouve, qui a remplacé derrière la caméra Olivier Barroux, qui a claqué la porte de Pathé, et de ses co-scénaristes. « Moi, je suis Français, je roule à droite » est l’une des plus bêtes et des plus poussives punchlines du film. Et si « Date de naissance ? Le jour de mon anniversaire ! » est sa réplique la plus drôle, je vous laisse imaginer le reste…

La malheureuse Elizabeth II doit se retourner dans sa tombe….
2,5
Publiée le 16 février 2025
Alors attention, je vous vois venir dans les commentaires "bliblibli il a mis 2.5/5 aux Tuche et ça se dit cinéphile". Alors d'une part, la cinéphilie ne se résume pas à apprécier les grands classiques américains et la Nouvelle Vague et à détester les comédies potaches (mais ce serait un débat beaucoup trop long) et ensuite, un film se note toujours, de mon point de vue en tout cas, à partir de son contexte. Et là, autant dire qu'on était franchement mal parti puisque nous sommes dans de la comédie franchouillarde bien lourde que je n'apprécie pas vraiment et il vient en plus se positionner cinquième d'une saga quand même bien ratée ! Eh oui, mis-à-part le troisième opus dont il parvient juste à sauver quelques meubles, les trois autres sont catastrophiques, notamment le quatrième qui bat tous les records ! Néanmoins, c'est peut-être maso mais je continue de persévérer dans cette saga en espérant tomber un jour. sur un de bon Et si ce jour n'est toujours pas arrivé, je dois bien avouer que j'ai été plutôt agréablement surpris par ce cinquième épisode. On y retrouve donc la famille Tuche qui part cette fois en Angleterre pour y mener le plus jeune à un stage de football. Mais ce sera surtout une occasion d'y rencontrer la famille royale. Alors si le principe des "Tuche" est de constamment créer un décalage entre eux et le milieu social qu'ils découvrent (Monaco, les États-Unis ou l'Élysée), ici c'est un peu différent puisque le voyage sert ici surtout de prétexte. En effet, les nombreux gags et références en tout genre ne laissent pas vraiment de place à l'histoire, on est presque même sur un schéma de film à sketchs dans lequel chaque scène en constituerait un segment. Les personnages n'évoluent pas vraiment non plus, certains sont encore plus débiles tandis que d'autres sont carrément relégués au second plan, comme Coin-Coin qui n'a pratiquement ici aucune importance. Ainsi, le film n'évolue pas lui-même entre son début et sa fin mais ne fait jamais évoluer la franchise non plus (chaque épisode avait une espèce de morale à la fin) car il ne raconte pas grand-chose, tout simplement. Mais c'est peut-être finalement ce dans quoi il se débrouille le mieux ! En effet, avec cette avalanche de gags, certes, on prend un peu les spectateurs pour des débiles mais j'ai envie de dire qu'on ne s'ennuie plus vraiment. Le film laisse également beaucoup moins de place à une certaine gêne (non volontaire pour le coup) que l'on pouvait retrouver dans les premiers films. Ici, c'est Jean-Paul Rouve qui réalise et il y a clairement un changement de ton qui se fait ressentir. En effet, le réalisateur n'hésite plus à aller dans l'absurde, quitte à imiter, voire même reprendre certains gags du "style Chabat" (qui fait d'ailleurs un caméo vocal dans le film), lui permettant de renouer en quelques sortes avec ses racines, c'est-à-dire "Les Robins des Bois". Alors bien évidemment, le film est loin d'atteindre le niveau des références sur lesquelles il s'appuie, il y a toujours des gags bien lourds, comme les tirades interminables de Jeff ou encore les répliques de Will ou de Mamie Suze qui popent comme ça bien souvent sans aucune raison. Alors je dirai que ça participe aussi au côté volontairement foutraque du film qui tente également quelques-fois d'imiter un humour absurde propre aux ZAZ, sans jamais bien-sûr y parvenir. Bref, si "God Save the Tuche" n'est clairement pas un bon film, il a tout de même quelques bonnes idées et reste en attendant, pour moi en tout cas, le meilleur de la franchise car c'est le seul qui place ses personnages tellement débiles que c'en est jamais crédible dans un contexte, lui aussi, absurde et donc irréaliste, ce qui efface ce décalage un peu gênant des premiers films.
3,5
Publiée le 11 mars 2025
Pour ce sixième volet de la saga des aventures de La famille Tuche, Olivier Baroux est remplacé à la direction par Jean-Paul Rouve lui même qui à aussi coécrit l'histoire et bien sur interprété notre Jeff Tuche le chef de famille. Dans cette comédie ou les gags foisonnent, on retrouve également son épouse Cathy Isabelle Nanty et Claire Nadeau la mamie Tuche, toutes deux comme toujours excellentes servies par de jolis rôles.
Dans ce sixième volet de la sage La famille Tuche, est invitée une semaine au château de Balmoral par le Roi d'Angleterre. Voila donc notre royal family prenant la Renault Nevada avec bagages sur le toît, elle prend le tunnel sous la Manche et rencontre un train ? (un bon GAG!). Ils vont apprendre les bonnes manières, l'art de la table, visiter Londres: Big Ben, le British Museum, Abbey Raod...
Outre le couple royal, il vont même rencontrer un Sir Elton John plus vrai que nature.
2,5
Publiée le 2 février 2025
S’il constitue le cinquième volet des aventures de la famille mangeuse de frites, God Save the Tuche demeure avant tout un film réalisé par Jean-Paul Rouve, qui signe ainsi son cinquième long-métrage derrière la caméra, prenant la suite d’Olivier Baroux. Le résultat est surprenant tant l’ensemble s’affranchit de l’imagerie publicitaire ou téléfilmique jusqu’alors en vigueur pour composer une mise en scène véritable : qu’il s’agisse des différentes caméras utilisées (caméscope, smartphone, drone et autres caméras numériques), des expérimentations d’angle ( spoiler: la profondeur de champ de la buvette géante installée dans le stade de Bouzolles, le plan devant la maison prêtée par le gouvernement anglais déforme ciel et haut du bâtiment pour mieux, par un panoramique, capter l’arrivée de la voiture
) ou des effets visuels telle la clausule qui plonge la Nevada sous la mer, on peut volontiers affirmer que Les Tuche accèdent, enfin, au cinéma.
Quant au comique, Rouve et son équipe en mobilisent les différents types : les gestes, les mots, les situations, les caractères et les mœurs s’énumèrent dans des saynètes inégales qui, si elles ne font pas forcément rire, amusent et divertissent. En bon Robin des Bois, l’acteur et réalisateur procède par références et parodies successives, concevant son voyage en Angleterre comme une suite d’hommages à la culture britannique, de Paddington à Jack l’Éventreur en passant par la magie de Poudlard, sans oublier les clins d’œil à ses amis français (Alain Chabat, Élise Larnicol, Michel Blanc). Nous déplorerons l’inutilité du personnage de Donald qui n’aura décidément jamais eu sa place dans la famille, ainsi que l’agacement que suscitent les babillages de Wilfried.
De façon générale, si Jean-Paul Rouve s’avère être un bon réalisateur en matière de drame, il peine à trouver la dynamique nécessaire à la construction d’un rythme comique maîtrisé. Reste un divertissement soigné et attachant.
Film vu en avant-première au cinéma Turenne de Sedan.
3,0
Publiée le 3 février 2025
Pour l'un des très rares films que j'ai vu en avant-première, je suis plutôt satisfait de ce à quoi j'ai assisté, dans la mesure où ce cinquième volet des Tuche est sympathique, dans l'esprit du précédent. Evidemment, cela reste les Tuche, c'est une comédie gentillette, mais on est censé savoir ce que l'on va voir lorsqu'on décide de regarde le cinquième opus d'une saga, et je suis assez content d'avoir saison l'occasion d'aller le voir au cinéma, ce qui n'était pas le cas des quatre précédents.
1,0
Publiée le 11 février 2025
Un Enfer. Le pire des 5, et pourtant le 3 était difficile à battre. La seule vanne qui a fait glousser la salle (assez remplie) a été le jingle de la qualité sonore (parmi les sponsors du début, lourdement doublés par "Jeff Tuche") qui a fait retentir "frites" avec un son cristallin dans chaque baffle du cinéma, voilà, c'était tout pour les zygomatiques qui sont restées amorphes pendant l'heure quarante qui a suivi (par contre un joli concerto de soupirs exaspérés, à chaque fois qu'une vanne recommence pour la sixième ou septième fois, il y en a eu quelques-uns qui étaient au bout de leur vie : on compatit). Voici donc Les Tuche 5, qui vous prend pour des niais (on va le dire poliment), avec ses gags recyclés ad nauseam (chaque vanne est refaite cinq ou six fois, alors que la première n'était déjà pas drôle : c'est interminable...), avec ses problèmes de continuité dans la saga (où est passé le deuxième enfant de Stéphanie ? Pourquoi Cathy affirme-t-elle que la recette des frites est secret défense, alors qu'elle l'a refilé à la cinquantaine de cuistots de l’Élysée sans problème dans le troisième opus ?...), et surtout avec ses gags incompréhensibles. Au choix : parce que les acteurs en font maintenant tellement des caisses avec leur accent qu'on ne comprend rien à ce qu'ils baragouinent dans certaines répliques, parce que les phrases semblent sortir de nulle part ("Qui es-tu, petit bonhomme ?" dixit Will...quand il n'y a plus personne à qui s'adresse cette phrase. Logique.), parce que l'omniprésence de blagues sur le slip dénote avec l'ambiance familiale qui régnait dans les opus précédents (que c'est vulgos), et que la seule occasion où le "Cot cot cot" insupportable de Will aurait pu être drôle n'est pas exploitée (on s'attendait, lorsqu'il guide la voiture en marche arrière, à ce qu'il se mette à faire le détecteur d'obstacle : "cot, cot, cot, cotcotcot, coooooot.", ça n'aurait pas volé haut, mais on aurait souri, mais même pas. Le film n'a aucune bonne idée, c'en est désolant). Aussi, ne cherchez pas Coin-Coin, il doit avoir environ cinq minutes de temps d'écran en tout (juste pour se moquer des écolos, avec une finesse de tonton facho de bout de table), n'espérez rien de ce road-trip londonien qui n'a à offrir que des clichés (incompréhensibles, là aussi : pourquoi spoiler: Paddington
dans les urinoirs ? Pourquoi spoiler: Jack L’Éventreur
après la dispute de Cathy et Jeff ? Pourquoi... On peut arrêter environ 80% des vannes de ce film à ce simple mot : "Pourquoi ?") sans réel scénario, sans enjeu, sans envie (pensée pour Pierre Lottin qui vient de nous décoiffer avec le magnifique En Fanfare, qui s'enquiquine royalement à n'égrener que des "cot cot" dans ce navet : son personnage a tellement baissé en intelligence au fur et à mesure des opus, qu'il ne sait plus faire une phrase, même grammaticalement fausse, donc maintenant il fait la poule. Pauvre Pierre Lottin). On s'ennuie comme des rats morts dans ce film qui tourne à vide (même le montage est outrancièrement raté : regardez seulement le "dialogue" de Will avec "Christophe le serviteur", dont 50% des plans le montrent de dos en train d'écouter un autre dialogue... Ce sont deux scènes différentes qui sont montées ensembles, et espèrent que le public est assez bas du front pour ne pas se rendre compte que la personne à qui l'on parle n'est "juste" pas dans le bon sens... Est-on si bête que cela ?). 1h40 de silence mortifié dans la salle, ceux qui espéraient encore passer un bon moment ont fini par soupirer devant la redondance des mauvais gags (longs, mais longs...), les autres ayant déjà lâché l'affaire et finissant les répliques en susurrant (tout est ultra-prévisible), regardant d'un œil torve ce qui promet d'être un succès au box-office (allez, trois millions bien tapés). God Save the Tuche ? Un Enfer.
2,5
Publiée le 9 février 2025
Plaisant de retrouver un nouvel episode mais comme a chaque fois pas de grosse surprise et assez décevant. Quelques petits moments amusant quand meme.
2,0
Publiée le 4 mars 2025
Cinquième volet mettant en scène la famille la plus célèbre de Bouzolles, God Save The Tuche, réalisé pour la première fois par Jean-Paul Rouve qui succède à Olivier Baroux qui était derrière la caméra pour les quatre premiers épisodes, est un film très moyen. L'histoire nous fait suivre les Tuche qui mènent à nouveau une vie paisible dans leur village, jusqu'à ce que Jiji, le petit fils de Jeff et Cathy, se retrouve sélectionné pour un stage de football par le club d'Arsenal. C'est l'occasion rêvée pour les sept membres de la famille d'aller découvrir le Royaume-Unis et d'y rencontrer la famille royale. Ce scénario s'avère pas très original à visionner pendant toute sa durée d'un tout petit peu plus d'une heure et demie. On assiste pendant tout ce temps à une intrigue assez faible, sans surprise, ne jouant même pas bien des clichés anglais. Cette escapade de l'autre côté de la manche aurait pu donner lieu à des scènes beaucoup plus inspirées. Hélas, il n'en est rien. On assiste à des situations peu créatives n'exploitant même pas assez la culture du pays visité. Les références n'ont pour certaines aucun sens et les autres sont à peine survolées. Si l'humour fonctionne tout de même par moments en parvenant à décrocher quelques rires, il s'avère également très souvent très lourd et tire en longueurs ses gags au point d'en devenir gênant. L'ensemble est porté par des personnages qu'on connait très bien depuis le temps. Et il faut dire qu'on ne voit aucune évolution parmi eux. Certains membres de la famille sont franchement fatigant, notamment le fils Wilfried qui provoque le malaise et l'usure à chaque fois qu'il ouvre la bouche. Celle qui s'en sort le mieux et qui est la plus drôle est clairement mamie Suze. Les autres sont toujours fidèles à eux mêmes, à l'instar de la distribution qui joue ces rôles depuis maintenant quatorze ans, comprenant toujours Jean-Paul Rouve, Isabelle Nanty, Claire Nadeau, Sarah Stern, Pierre Lottin, Théo Fernandez et Aristote Laios. Ils sont entourés par des rôles secondaires souvent mal utilisés, campés par quelques sosies ressemblants, comportant Bernard Ménez, Élise Larnicol, Dominique Frot, Peter Hudson ou encore Philippe Dusseau. Tous ces individus entretiennent des rapports basés sur la bêtise et les malentendus qui sont assez pénible à la longue. Des échanges soutenus par des dialogues maquant de piquants. Même l'apprentissage de la langue de Shakespeare n'est pas assez bien exploitée. Sur la forme, la réalisation du cinéaste français s'avère très classique. Sa mise en scène ne prend aucun risque mais a tout de même le mérite d'intégrer quelques petites idées avec des incrustations à l'écran, même si celles-ci n'apportent pas grand-chose. De plus, elle évolue dans des environnement pas assez vivants qui ne montrent pas assez les lieux emblématiques de la ville de Londres. Cela donne vraiment l'impression que ca a été tourné ailleurs et on ne croit pas beaucoup à ces lieux factices. Ce visuel quelconque est accompagné par une b.o. aux titres joviaux collant bien avec l'ambiance globale. Mais aurait gagnée à davantage jouer avec la richesse de la musique britannique. Reste une fin pas très inspirée venant mettre un terme à God Save The Tuche, qui, en conclusion, est un long-métrage dispensable et un des opus, si ce n'est l'opus, le moins bon de la franchise qui n'a plus grand-chose à raconter sur cette famille restant coincée dans sa caricature.
1,0
Publiée le 23 février 2025
Et dire qu’il y a déjà cinq épisodes… Ce dernier volet ne tient en haleine qu’un quart d’heure, les minutes passant très lentement, accentuant ainsi son côté lourd et peu marrant. Les premières minutes esquissent un ou deux sourires (d’où la note d’une étoile au lieu de 0,5), mais rapidement, l’ennui s’installe. J’ai voulu faire plaisir à mon ado, mais sa seule victoire de la soirée a été de reconnaître que c’était vraiment nul. Tout est dit.
3,0
Publiée le 5 février 2025
Petit plaisir coupable (?), je suis retourné voir les aventures de la famille Tuche avec cette fois-ci Jean-Paul Rouve aux manettes. Cette petite escapade en Angleterre est plutôt plaisante. On y retrouve les ingrédients qui ont fait le succès de la saga. Jean-Paul Rouve est en pleine forme, Pierre Lottin (que j'adore) est lui toujours aussi agaçant dans son jeu, mais si les gags ne font pas souvent mouche, il y a un tel rythme de vannes que ça fonctionne quand même. Les références audiovisuelles ainsi que publicitaires sont omniprésentes et échapperont sans doute aux plus jeunes. Ce n'est pas grave car on se déplace en salle en sachant à quoi s'attendre, et au final, on retrouve l'esprit "Tuche", parfois agaçant, mais toujours avec l'impression de retrouver des vieux amis (avec une petite touche de poésie à la fin).
2,0
Publiée le 8 février 2025
Déjà le 5ème volet de cette saga des Tuche !
Les voici aujourd'hui en route (à gauche !!) pour l'Angleterre !
Le gros souci, c'est que 90% des gags sont lourds (clichés-land !!), pour seulement 10% d'un peu amusants, c'est léger !
Et encore, dans ces 10%, la majeure partie a déjà été vue dans la bande-annonce, ce qui limite l'effet de surprise.
Bref, ce film est globalement comme les 4 premiers de la série (même si le numéro 1 reste le "meilleur") : si vous adorez cette famille aux QI désespérants, vous allez vous éclater !
Sinon, n'allez pas voir ça, vous risquez de souffrir !
Je me situe entre ces 2 extrêmes : j'arrive à mettre de côté la faiblesse générale du scénario pour ne picorer que les quelques trop rares moments réussissant à me faire pouffer, surtout par l'intermédiaire de Jean-Paul Rouve que j'aime beaucoup par ailleurs (fa dièse !).
Conclusion : moins que BOF pour des gros BEAUFS !
Site CINEMADOURG.free.fr
0,5
Publiée le 11 février 2025
La Saga des "Tuche" frappe à nouveau, on ne peut l'ignorer, tant le battage médiatique est actif ( passage sur les chaines nationales de grande audience, articles qui fleurissent partout... ). J' ai failli zapper, mais il convient de visionner soi-même par honnêteté personnelle. Attention, je n'ai rien contre Jean-Paul Rouve, ajoutant à son rôle emblématique celui de réalisateur, mais que dire sinon "N A V R A N T"..... comme j'entends autour de moi, pardon pour la reprise.... on tuche le fond !! Catastrophique et ultra maladroit ; au delà des dialogues qui font très mal à notre belle langue, même en suggérant des circonstances atténuantes au bénéfice de l'humour, le casting maintenant ultra connu se ruine dans des rôles minables : Claire Nadeau ( mamie suze ) qui nous a fait rire un temps -ancien - ou Sarah Stern ( Stéphanie ) ou Pierre Lottin ( Wilfried ) pour ne citer qu'eux, n' ont jamais été aussi grotesques et misérables. J'en ai déjà beaucoup trop dit.. Affligeant...... !!**
1,5
Publiée le 2 mars 2025
Malgré leur plaisir de se retrouver pour jouer les beaufs, les spectateurs se contentent d’une accumulation de blagues qui font flop et de scènes même pas tournées en Angleterre. Y’a quelques gags et jeux de mots sympas, notamment avec l’anglais de Stéphanie Tuche mais « La mayonnaise ne prend pas » comme a dit ma mère en sortant de la salle… C’était obligé d’avoir un divertissement qui ne plane pas haut alors qu’il n’y a pas d’histoire et que le scénario ne cherche pas à faire évoluer ses personnages, misant tout sur leur naïveté et leur bêtise… On a là une énième suite qui n’a rien à raconter, offrant juste une nouvelle loufoquerie à un public attaché aux Tuche.
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