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    May December
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    3,3
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    238 critiques spectateurs

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    Joce2012
    Joce2012

    204 abonnés 581 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    Film inintéressant au possible, scénario confus, malgré la présence de Natalie Portman et Julianne Moore ce film reste très ennuyeux
    Audrey L
    Audrey L

    634 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2023
    Une jeune et belle actrice prépare son prochain rôle en s'installant chez la reprise de Justice dont elle doit interpréter la vie, et sympathise avec son très jeune et beau mari... Clairement, vous avez déjà saisi ce qu'il va se passer dans ce May December qui ne tentera jamais de vous surprendre, et insiste tellement à son ouverture sur les indices narratifs qu'il est impossible de ne pas tout comprendre en deux minutes chrono. Pourquoi répéter continuellement que le personnage de Julianne Moore est âgé, que celui de Natalie Portman a le même âge que le mari, déjà que sa beauté ne fait pas grand suspens (on ne choisit pas d'embaucher Natalie Portman pour sa laideur...), et que le couple a des doutes sur leur durabilité... On sait pertinemment la suite amoureuse de ce premier constat trop évident, et on espère alors que Todd Haynes a prévu autre chose dans son scénario, que là n'est pas le principal atout de May December. Quelle déception. Car non, on espérait mal : Todd Haynes croit vraiment nous surprendre avec sa scène de spoiler: découche
    , et ne propose rien d'autre. Un long moment de solitude, qui jure avec les beaux Carol et Dark Waters qu'a su signer Haynes (il a dû boire de l'eau croupie, avant d'écrire le scénario creux et interminable de celui-ci). On s'étonne aussi de la scène de spoiler: tournage où l'actrice exige de rejouer sa scène
    , car ce passage n'apporte rien de plus et ressemble à du remplissage (on nous montre que le film se fait, mais on n'a jamais eu de doute sur la faisabilité du film, comme on oublie ce "détail" au profit du triangle amoureux lassant, et idem, cela voulait montrer qu'elle est directive, qu'elle prend sa vie en main ? On l'a bien vu avec son rôle dans ledit triangle amoureux... Bref, une pure scène de surlignage narratif inutile). Côté interprétation, Julianne Moore et Natalie Portman sont en mode automatique (on a le sentiment qu'elles s'ennuient, elles aussi), la musique est imperceptible, la mise en scène reste soignée (au moins ça), et le final a des airs de délivrance pour nous qui avons effectivement l'impression d'avoir passé huit mois dans cette salle.
    remyll
    remyll

    188 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Ayant réservé ce film sans regarder le synopsis au préalable mais confiant puisque la présence de Natalie Portman et de Julianne Moore pouvait laisser à penser que le film serait bon. Grave erreur!!! Le film est d'un ennui quasi abyssal. Dès les quinze premières minutes on se demande ce qu'on fait là, et passé la première heure on regrette juste d'avoir pris un fauteuil au beau milieu de la salle, alors, inexorablement, on s'endort, car le sujet ne m'a vraiment pas intéressé.
    Pourtant le sujet se révèle assez brûlant, et je n'aurais pas dû m'endormir. C'est ma faute apparemment, car nombre de critiques presse trouvent ce film très bon. Dont acte. Mais songez donc, le fond du sujet est en fait assez glauque : il tourne autour d'une femme d'âge mûr qui est tombée amoureuse il y a un bon moment d'un adolescent de 14-15 ans ! Ce n'est pas une blague, elle va même faire de la prison! Ah les Etats-Unis....Vraiment rien de passionnant, non ??? C'est long, prétentieux, empesé, et en fait tout à fait barbant.
    jerome S.d.c.
    jerome S.d.c.

    25 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Tout au long du film, une question lancinante ; pourquoi s'intéresser à cette histoire certes bien jouée mais sans relief véritable ni rythme. A découper en morceaux et à passer à la télé, ça mérite pas plus.
    Epistemon
    Epistemon

    30 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 mai 2023
    Retenons tout d’abord la surprenante reprise de la musique originale du film de Joseph Losey, Le Messager (également copiée par la série « Faites entrer l’accusé »), utilisée ici en point d’orgue après chaque.. paragraphe du scénario.
    Les ingrédients de départ rappellent étrangement « Mourir d’aimer », avec le scandale et une fin en apparence heureuse. Un jeu de miroir se met en place entre l’héroïne, Julianne Moore alias Grace et sa doublure, entre Julianne Moore et Nathalie Portman alias Elisabeth, actrice célèbre souhait connaître son personnage .
    Cette dernière au prétexte de s’identifier au mieux au personnage, va rencontrer tous les protagonistes et jouer un trouble jeu de séduction avec chacun
    La composition photographique est soignée mais desservie par une désolante granularité de l’image.
    Des dialogues ciselés et abondants donnent aux deux principales protagonistes l’occasion de tenter de donner le meilleur d’elle-même dans un étrange duel qui invite le spectateur à choisir entre l’original et la doublure. On s’interroge sur la nécessité pour cette dernière d’aller jusqu’au bout de son investigation en séduisant Joe, le mari d’Elisabeth.
    grey_egg
    grey_egg

    15 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Film d'une rare lourdeur, mais c'est sans doute parce que je ne comprends pas la psychologie du personnage, parce qu'à Hollywood on filme dans une esthétique de pub pour parfum (Portman ne fait plus que ça) mais n'empêche qu'on fait des films psychologiques, alors tu vois il faut que tu fasses le regard ténébreux parce que ton personnage il souffre mais il réfléchit parce que c'est psychologique, mais quand il a bien réfléchi il pleure parce qu'il souffre... Et aussi, le personnage est toujours filmé face au bord du csdre, regard vers le bord, parce qu'il est face à un obstacle, tu vois... Et la musique, c'est pas compliqué, à chaque fois que c'est psychologique tu mets de la musique qui souffre, tu vois.... Et puis aussi il y a plein de coïncidences dans le scénario parce qu'en fait le personnage il est victime du destin, tu vois....
    Bref, on ne peut guère faire plus caricatural.
    Allez voir Pauvres creatures !
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Après avoir traité de l'homosexualité frustrée au sein de couples hétérosexuels ( " loin du paradis" (2002) et " "Carol " ( 2015)) réprimée par les conventions sociales des années 50, Todd Haynes aborde dans " May-December" le thème du couple interdit par la Loi ( reposant sur la relation entre mineur et majeur).

    Une actrice qui prépare son prochain film rend visite au personnage qu'elle va incarner : une mère de famille de 36 ans, mariée qui entama une relation avec un mineur de treize ans, fonda avec lui une autre famille, après avoir rendu des comptes à la justice.

    Inspiré d'un fait réel, le scénario va tenter de nous faire pénétrer dans les ressorts psychologiques profonds de cette femme ( interprétée par J.Moore).

    Malheureusement, Haynes empreinte des chemins de traverse, avec des successions de scènes peu éclairantes ou il n'aborde pas l'essentiel et finit par perdre le spectateur en chemin.

    Certes, il restera quelques pistes vaguement esquissées mais aussi le sentiment à la fin de la projection que les tréfonds de l'âme du personnage principal sont insondables.

    On oubliera ( selon moi), la réflexion sur le travail de l'acteur ou Haynes rate complètement son affaire.

    Le moins qu'on puisse dire c'est qu'avec ce titre le cinéaste américain n'est pas au sommet de son talent. Son style merveilleux est malheureusement presque absent et le metteur en scène méconnaissable.

    Il restera l'affiche ( pour les amateurs des deux actrices ) et l'ambition thématique. Trop maigre à mon goût.
    selenie
    selenie

    6 233 abonnés 6 183 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    D'emblée on est gêné par un élément qui s'avère omniprésent, la musique ou plutôt le thème popularisé entre autre par l'émission de faits divers "Faites Entrer l'Accusé" (2000-2020) à laquelle on ne peut que penser à chaque fois. Agaçant mais aussi complètement inadéquate vis à vis de l'histoire. Pourquoi Gravie/Moore accepte une telle intrusion, pourquoi Elizabeth/Portman a besoin d'autant de précisions et d'infos ?! On ne saura jamais, et finalement on se dit tout ça pour ça ?! On ne comprend jamais les motivations ou les raisons de l'une et de l'autre. Le rythme particulièrement lancinant pour insister sur un éventuel mystère nous pousse à espérer un rebondissement et/ou une révélation mais on n'apprendra toujours rien de bien intéressant. Il y a bien une crise existentielle, mais elle arrive un peu tard et à laquelle on ne croit pas franchement 24 ans après et trois enfants. Heureusement nous sommes en présence de deux actrices sublimissimes, qui offrent deux belles performances au nuances fascinantes, un face à face qui sauve le film du naufrage. Sans doute le film le plus décevant de Todd Haynes, dommage...
    Site : Selenie.fr
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Gracie Atherton (Julianne Moore) et Joe Yoo avaient défrayé la chronique deux décennies plus tôt lorsque leur liaison avait été rendue publique : mariée et déjà mère de trois enfants, Gracie avait à l’époque des faits trente-six ans et Joe, stagiaire dans l’animalerie gérée par Gracie, treize à peine. Vingt-quatre ans plus tard, alors que le tohu-bohu autour de cette affaire est retombé et que Gracie, une fois purgée sa peine de prison, est revenue vivre à Savannah avec Joe et a fondé avec lui une famille, Hollywood s’apprête à tirer de leur histoire hors normes un film. L’actrice Elizabeth Berry (Natalie Portman) se voit confier le rôle de Gracie. Pour préparer le tournage, la production l’a envoyée à Savannah et a obtenu de Gracie qu’elle ouvre à Elizabeth les portes de sa maison.

    Le titre de ce film pourra sembler bien opaque aux non anglophones. Je suis d’ailleurs surpris que les distributeurs français – et encore plus les Québecois – ne l’aient pas traduit. J’ai moi-même dû aller en chercher la signification sur Internet : « A “May-December romance” is when someone in the “May” or “spring” of life (youth) is romantically involved with someone in the “December” or “winter” of life (old age). The saying is from a song, “An Old Man Would Be Wooing,” a ballad from at least 1818 ».

    L’affaire Russier remonte à 1969. On se souvient de cette enseignante de trente ans qui s’était suicidée après avoir été condamnée – à une peine légère de sursis – pour avoir entretenu une relation inappropriée avec son élève de quinze ans. La mémoire collective n’a pas oublié les paroles inhabituellement poétiques que le Président de la République de l’époque avait prononcées à son sujet après sa mort : « Moi, mon remords, ce fut la victime raisonnable au regard d’enfant perdu, celle qui ressemble aux morts qui sont morts pour être aimés. » On pourrait d’ailleurs se demander les réactions wokistes que susciterait aujourd’hui cette réaction qui semble amnistier, au nom de la passion amoureuse, ce détournement de mineur.

    Depuis 1969, les différences d’âge entre les membres de certains couples sont devenues des sujets brûlants. Nul besoin de citer les noms de Brigitte Macron, de Frédéric Beigbeder – qui consacra à ce sujet un livre entier, Oona & Salinger – ou ceux de Judith Godrèche et de Benoît Jacquot. Pour autant, à ma connaissance, aucun film ne s’en est emparé. C’est la principale qualité de "May December", de prendre à bras le corps ce couple improbable et en apparence si mal assorti. Il le fait d’une façon doublement intelligente.

    Premièrement, il ne nous inflige pas un voyeurisme malaisant en évitant de raconter au présent la rencontre des deux amants. Il les montre au contraire vingt-quatre ans plus tard, formant un couple harmonieux et soudé, avec leurs trois enfants : l’aînée a déjà quitté le nid familial et les deux cadets, dont la cérémonie de remise de diplômes marquant la fin de leurs études secondaires approche, sont sur le point de le faire. Cette apparente félicité est la meilleure des défenses face à tous ceux qui doutaient de la sincérité de leur passion. Voire – mais ce point n’est jamais développé dans le film et c’est dommage – il questionne le bien-fondé de la peine de prison qui a été infligée à Gracie.

    Deuxièmement, "May December" ne se borne pas à raconter l’histoire de Gracie. Elle raconte celle d’Elizabeth, la star hollywoodienne chargée d’interpréter son rôle. Le film se dote ainsi d’une couche de complexité supplémentaire. Il n’y est plus seulement question de la différence d’âge entre Gracie et Joe, mais de celle entre Gracie et Elizabeth, qui a l’âge de Gracie au moment de sa rencontre avec Joe… et donc à quelques mois près l’âge de Joe aujourd’hui !

    Il faut ajouter à la finesse de ces deux partis pris deux autres atouts de taille. Le premier est le réalisateur, Todd Haynes, sans doute l’un des plus stimulants du cinéma américain contemporain. Héritier revendiqué de Douglas Sirk, il a signé quelques chefs d’oeuvre : "Carol", "I’m not There", "Loin du paradis"… Sa mise en scène embrasse le parti pris audacieux de ressusciter la patine des films des années 70 avec la musique mythique de Michel Legrand et l’usage aujourd’hui passé de mode des zooms arrière.
    Le second est les deux stars du film. Julianne Moore accompagne depuis près de trente ans Todd Haynes. "Safe" en 1995 l’a révélée autant qu’il l’a révélé. Elle est ici d’une troublante ambiguïté jusqu’au dernier plan du film : femme-enfant naïve et fragile ou femme-mère castratrice ? L’autre star est Natalie Portman dont le rôle, en apparence plus lisse, se révèle tout aussi complexe; car elle aussi révèle lentement une vie sentimentale compliquée.
    Bruno CHEVILLARD
    Bruno CHEVILLARD

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 janvier 2024
    J'ai horreur de sortir d'une projection et de me demander de quoi parle le film que je viens de voir. Mais je ne suis pas le seul !
    "Un film éblouissant mais vide de sens ?"
    La majorité des critiques est en pâmoison. Encore une énigme.
    Pour moi, le cinéaste passe à côté de son sujet, enchaîne les clichés, Portman cabotine, et Julianne Moore a été bien mieux dans plein d'autres films. Et en plus, ils ont repris la somptueuse partition de Michel Legrand pour "Le Messager", ça m'a énervé ! 😃
    traversay1
    traversay1

    3 570 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Le savoir-faire de Todd Haynes est toujours intact, et notamment sa manière de capitaliser sur les moments a priori creux ou encore digressifs de son intrigue principale (en l'occurrence, ici, les papillons et les gâteaux), mais May December est de loin de pouvoir rivaliser avec les meilleurs films du cinéaste, à commencer par Carol. Quel est d'ailleurs son sujet ? La récupération par le monde du cinéma d'une liaison scandaleuse qui a fait les gros titres des journaux, deux décennies plus tôt, ou bien l'analyse des dysfonctionnements d'une famille davantage décomposée que recomposée ? Un peu des deux, sans doute, avec le projecteur plus particulièrement braqué sur l'exercice de vampirisme exercé par une actrice sur la femme qui a été hier l'objet de l'opprobre. Avec Julianne Moore et Natalie Portman en têtes d'affiche, l'on était en droit de s'attendre à un véritable duel mais celui-ci se circonscrit à quelques assauts à fleurets mouchetés. Au point, d'ailleurs, que l'intérêt dévie vers l'homme qui se retrouve en quelque sorte entre les deux femmes, incarné par le remarquable Charles Melton. Constamment en attente d'une grande scène qui susciterait un surcroît d'émotion, il y a malheureusement une certaine frustration sur cet aspect. spoiler: Par ailleurs, le plus gênant dans tout cela, et Haynes n'y est pour rien, est le thème principal de l'accompagnement musical du film qui fait plus que penser à celui, célèbre en France, de "Faites entrer l'accusé."
    velocio
    velocio

    1 302 abonnés 3 134 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2024
    La connaissance de la signification du titre, May December, n’est pas absolument indispensable lorsqu’on se dirige vers une projection de ce film, mais, indéniablement, elle apporte quand même un petit plus : Aux Etats-Unis, cette expression est utilisée pour décrire une relation amoureuse entre deux personnes d’âges très différents. L’âge de la personne la plus jeune est assimilée au mois se mai, en plein milieu du printemps, alors que celui de la personne la plus âgée est assimilé à décembre, le dernier mois de l’année, celui qui voit l’arrivée de l’hiver. May December s’inspire d’une histoire vraie qui avait défrayé la chronique en 1996, celle de Mary Kay Letourneau, une enseignante qui, cette année là, alors qu’elle était âgée de 34 ans, avait eu des relations sexuelles avec un de ses élèves, Vili Fualaau, alors âgé de 13 ans. Alors que Mary Kay Letourneau est décédée en 2020, Vili Fualaau, lui, est toujours vivant et se montre très amer de ne pas avoir été consulté pour la réalisation du film qui est pour lui une arnaque comparée à sa véritable histoire. critique complète sur https://www.critique-film.fr/critique-may-december/
    norman06
    norman06

    346 abonnés 1 664 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mai 2023
    Todd Haynes séduit par cette pseudo-parodie de soap opera, marquée par ses dialogues percutants, son second degré incisif, sa satire sociale subtile et son interprétation de qualité. On a toutefois l'impression d'assister à la bande-annonce d'un film qui aurait pu être davantage élaboré sur le plan du scénario, mais l'ensemble est élégant et agréable.
    Marclille
    Marclille

    24 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 janvier 2024
    Soporifique. Image laiteuse. Métaphores du serpent et de la chrysalide pour l'incitation à la luxure et l'envol du papillon retrouvant enfin son éphémère liberté...C'est un cinéma chichiteux traitant fort mal deux thèmes pourtant interessant : Passion amoureuse entre adulte et ado, et l'appropriation d'un personnage par l'acteur.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    201 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Œuvre flamboyante et glacée servie par deux actrices immenses, Natalie Portman et Julianne Moore. Film mystérieux. Hommage troublant et intelligent au cinéma. Double portrait fascinant de femmes et d’actrices. Mise en scène rigoureuse, au cordeau, très subtile de Todd Haynes. Le spectateur est emporté dans un tourbillon d'émotions et d'interrogations. Références directes à Bergman, à "Persona" pour le rapport entre les deux femmes. Le rôle du jeune amant tenu par le magnifique Charles Melton tient aussi toutes ses promesses.
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