Mon compte
    May December
    Note moyenne
    3,3
    2877 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur May December ?

    238 critiques spectateurs

    5
    11 critiques
    4
    46 critiques
    3
    68 critiques
    2
    69 critiques
    1
    29 critiques
    0
    15 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 décembre 2023
    Inspiré d'une histoire vraie qui a fait scandale aux États-Unis avec spoiler: une enseignante qui a couché avec son élève de douze ans avec qui elle a eu des enfants
    , "May December" aurait très bien pu être un simple film sur cette affaire d'autant plus qu'elle s'est étalée sur plusieurs années, mais Samy Burch et Alex Mechanik, les scénaristes, ont eu l'excellente idée d'aller plus loin en racontant la rencontre entre cette femme et l'actrice qui va jouer son rôle. On découvre alors cette histoire tout en plongeant dans la préparation d'un rôle délicat avec Elizabeth qui tente de mettre le doigt sur la "vérité" afin d'incarner au mieux Gracie. Une actrice qui prend à cœur son travail avec une sorte de mimétisme troublant qui s'installe et une mise en situation glauque. On en vient à se demander jusqu'où ça peut aller, ce qui rend le film fascinant. Au-delà du côté malsain de l'histoire, il y a ce contraste intéressant entre l'image de la famille parfaite et l'origine immorale de cette relation. Cela permet une étude de caractère complexe et ambiguë avec une très bonne évolution des personnages alors qu'Elizabeth creuse de plus en plus son sujet. Si Natalie Portman est excellente, il faut saluer la performance de Charles Melton qui rend son personnage attachant notamment quand il s'ouvre et que l'on découvre un spoiler: homme broyé et prisonnier d'une vie qu'il n'a finalement pas choisi...
    Le style Todd Haynes bonifie totalement l'histoire avec une mise en scène calibrée, un sens de l'humour diabolique, une musique reconnaissable entre mille, et une ambiance étonnante... Un côté satirique pour un psychodrame sur les abus, les traumatismes indicibles et la perte de l'innocence qui est captivant et remarquablement incarné.
    Christoblog
    Christoblog

    827 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Au milieu du concert de louanges qui entourent la sortie de ce film, mon avis plus mesuré va probablement détonner, comme souvent quand il s'agit pour moi d'apprécier le travail de Todd Haynes.

    Je trouve en effet que le cinéma du réalisateur américain peut-être parfois froid et didactique, au point de paraître compassé (Carol, Loin du paradis).

    May december commence de manière très intéressante. Le rythme est alerte, le décor de la maison familiale parfait, et j'ai été diablement intrigué par ce que le film ne dévoile que très progressivement : une histoire à tiroir qui prend au début plaisir à nous égarer, dans un subtil jeu de miroir. Le jeu "neutre" de Julianne Moore contribue assurément à l'atmosphère de malaise latent que distille le film : mais que s'est il passé dans cette famille modèle ?

    Lorsque l'on comprend de quoi il retourne et ce qui reproché à Gracie, l'intérêt tombe d'un coup. Peut-être parce que l'aspect scandaleux des évènements ne nous frappe pas autant que les Américains. Le milieu du film est un ventre mou dans lequel il ne se passe plus grand-chose, jusqu'à ce que le scénario essaye de le relancer dans un registre proche du grotesque, Natalie Portman rejouant (assez mal, il faut le dire) ses allures machiavéliques de Black Swan, entamant une danse de mort aussi artificielle que creuse.

    spoiler: La scène de sexe dans la réserve de l'animalerie tombe totalement à plat (quelle idée saugrenue), et May december, qui jusque là captivait ou a minima intriguait, sombre alors petit à petit dans l'inconfort du ridicule.
    Abus Dangereux
    Abus Dangereux

    49 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    Gracie (Julianne Moore) a défrayé la chronique en ayant eu une liaison avec un tout jeune garçon, Joe (Charles Melton). Plus de vingt après, elle reçoit chez elle Elisabeth (Nathalie Portmann), actrice reconnue, qui va jouer prochainement son rôle dans une fiction et qui pour le préparer, vient la rencontrer ainsi que sa famille. Gracie a connu la prison, a eu trois enfants avec Joe et malgré le temps qui passe, la petite communauté qui entoure la famille se partage entre les bienveillants et les autres, qui ne pardonnent pas cette relation May December (formule qui marque la différence d’âge). Elisabeth va se livrer à une véritable enquête de proximité afin de cerner au mieux Gracie et de choisir un axe à son interprétation (ce que l’on découvrira à la toute dernière scène du film). Les deux femmes vont être dans une méfiance réciproque tout au long du film derrière des amabilités de façade, et vont se donner quelques coups de griffes. Le pauvre Joe, vampirisé par sa femme, sera manipulé par la jeune actrice et son passe temps qui consiste à élever des chenilles en cage jusqu’à leur métamorphose puis de donner leur liberté aux papillons sera la grosse métaphore du film. May December est un vrai drame psychologique avec consentement et acting comme thèmes principaux. C’est superbement interprété, mais Todd Haynes a déjà été plus subtil notamment avec « Carol ».
    Gregg S.
    Gregg S.

    22 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 janvier 2024
    Le jeu d'acteurs est incroyable, la photo superbe... mais le film souffre d'un manque de rythme certain. Difficile dans ces conditions d'entrer pleinement dans le scénario et de se prendre au jeu.
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Le nouveau film de Todd Haynes est tout en subtilité, celui des non-dits d'une vieille histoire ayant défrayé la chronique, d'une enquête qui progresse à tâtons et d'une relation endormie.
    Nathalie Portman incarne le personnage central du film, l'actrice qui rencontre celle dont elle va jouer le rôle, moyen habile du réalisateur pour placer le spectateur dans une situation d'enquête. Ce personnage qu'elle interprète avec talent est en fait un révélateur. Son intrusion au coeur de la vie de Julianne Moore et Charles Melton va briser le silence qui les emprisonne. Ce sont eux les vraies personnages centraux du film.
    C'est une enquête psychologique qui décortique à la façon d'une peau d'oignon les rapports de force entre les membres de cette étrange famille.
    La mise en scène est brillante ; grain de l'image, légère sur-exposition, mouvements de caméra et musique de Michel Legrand parviennent à créer une atmosphère opaque totalement adaptée à l'esprit du film. Certaines scènes sont magnifiques, à l'instar de la séquence du maquillage où Julianne Moore transforme Nathalie Portman.
    Intimiste et brillant.
    ben desiles
    ben desiles

    42 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 janvier 2024
    Je me demandais si c'était moi qui avais un problème de vue, mais en lisant les commentaires ici, j'ai vu "image laiteuse", "granularité de l'image", donc c'est bien le film qui offre cette image de mauvaise qualité ou du moins désagréable à l'oeil ! Ensuite, pendant la première heure, il ne se passe pratiquement rien, des bavardages superficiels, cela s'améliore un peu vers la fin, mais les fêlures intéressantes des personnages ne sont vraiment qu'esquissées, donc l'ensemble est plutôt décevant voire agaçant, notamment la musique assourdissante.
    dan47
    dan47

    56 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    un bon navet sans intérêt. encore beaucoup de bruit pour pas grand chose. c'est une histoire ordinaire de nos jours où certains et certaines épousent des fœtus. donc pourquoi faire un film sur un fait habituel ???? et le pire à chaque moment délicat d'écouter le générique de "faites entrer l'accusé" on attend Hondelatte poser et remettre son blouson en cuir. c'était insupportable. par contre les actrices et l'acteur ont mis tout leur coeur pour faire tenir cette histoire. le seul point positif
    Claudine G
    Claudine G

    203 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    J'avoue qu'analyser les personnages de ce film n'est pas chose aisée. Savoir faire la différence entre le passé et le présent de cette famille demande une philosophie à toute épreuve. Film très bien interprété et le thème à la fois intrigant et horrible (lorsque l'on a comme moi beaucoup de principes) n'est pas inintéressant. Les deux actrices principales jouent très bien leurs rôles, par contre vouloir tirer de cette histoire vécue un film...pas très sympa pour la famille...
    Baruch Jorgell
    Baruch Jorgell

    15 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 janvier 2024
    Il y a des films qui donnent tout et tout de suite. Le spectateur n’a pas d’effort à faire, tout est prémâché d’avance. Exit le mystère ! May December n’est pas de cette trempe.
    Une actrice (Natalie Portman) doit interpréter le rôle d’une femme (Julianne Moore), héroïne malheureuse d’un fait-divers qui défraya la chronique. Afin de travailler son rôle, l’actrice va s’immiscer dans la vie de son modèle afin de l’observer.
    Quel est ce fait-divers ? On l’apprendra petit à petit. Inutile de griller toutes les cartouches. L’écriture est une précieuse mécanique.
    De plus en plus, on voit des films où les personnages sont réduits à une fonction, le fameux stéréotype. Pas ici. May December a le bon goût de nous montrer des protagonistes ambigus. Tout est affaire d’apparence. On pense à John Cheever, l’écrivain de la « banlieue américaine ». Un recueil de nouvelles de Cheever porte le titre : « Le ver dans la pomme ». On pourrait appliquer cette formule à May December. Tout est idyllique en façade mais l’arrivée d’un élément extérieur (l’actrice jouée par Portman) va tout dérégler.
    Beaucoup de séquences de miroirs rythment May December : qu’est-ce que l’on a à cacher ? On pense à Douglas Sirk, grand cinéaste des apparences. On pense à Ingmar Bergman (Persona) pour les relations pas toujours cordiales entre les deux femmes. On pense à une sitcom pour certaines répliques absurdes (est-ce qu’il y aura assez de saucisses ?).
    Au milieu de cette relation ambiguë entre les deux femmes, se trouve un homme (Charles Melton) le vrai protagoniste principal. À la fois rassurant mais également perdu tel un petit garçon qui n’a jamais grandi. May Dember raconte également l’histoire d’une renaissance et c’est bouleversant.
    Avec May December, Todd Haynes signe un de ses plus beaux films. Tout simplement sublime.
    Phil_Walt
    Phil_Walt

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 janvier 2024
    Pourquoi les critiques pro s’emballent ? Parce que ce film [attention]… parle de cinéma ! Dans un film de cinéma ! Incroyable, du jamais vu.
    Bon, plus sérieusement, je suis très surpris de son excellent accueil critique. Tentons de préciser ce qui ne va pas :

    - le rythme est lent, tout est mou, rien n’est saillant, sauf les intervention fracassantes d’un thème musical que j’ai trouvé, même en étant fan de Michel Legrand, absolument rebutant.

    - la récurrence du dit thème musical est totalement incongrue, (volontairement?) caricaturale, mais pourquoi ? Est-ce une comédie, un drame ? Vu le sujet, difficilement une comédie, mais alors pourquoi ces saillies presque second degré, comme cette réplique spoiler: ‘‘Je crois qu’il n’y aura pas assez de hot dogs’’
     ?

    - non, la photographie n’est pas superbe ; voyez ce plan où trois personnes mangent à table : la mise au point est faite sur Portman au milieu, les deux autres personnages sont légèrement flous car trop d’ouverture sur l’objectif ; fait exprès ? Pourquoi, quelle symbolique ?? Vu les dialogues à ce moment, aucune en particulier.

    - devinez par quel symbole est représenté le cheminement psychologique du jeune mari ? spoiler: Une chenille, qui va devenir papillon et prendre son envol – papillons qu’il élève d’ailleurs lui-même, au cas où la symbolique, subtile, ne serait pas passée. C’est incroyablement original ! Vers la fin du film, une chenille va devenir papillon, et s’envoler…
    Hm.

    - des scènes très gênantes où la prise de son est faite très, très proches des acteurs afin de capter susurrements, déglutitions, bruits de couverture… J’avoue ne pas aimer du tout ce genre de scène sur-intimistes, surtout dans une salle de cinéma pleine avec un son bien fort.

    Ce film m’a donné l’impression de rassembler un nombre impressionnant de clichés du cinéma ‘‘indé’’ : réception critique (presse) dithyrambique, forme volontairement plate pour montrer que, hey non on ne fait de spectacle à la DisneyWorld ici, scènes intimistes à la limite de la gêne, qui peuvent rappeler un certain cinéma français, pistes scénaristiques explorées à moitié pour laisser le spectateur en carafe, mise en abyme du cinéma sur le cinéma…
    Certains de ces aspects peuvent être exploités de façon brillante. On ne peut d’ailleurs s’empêcher, en voyant May December, d’avoir une pensée pour Lynch et ses étourdissantes plongées dans des labyrinthes psychologiques. Chez Lynch, le trouble d’identité entre la Blonde et la Brune est poussé à son paroxysme. Chez Haynes, le trait reste épais et nous laisse sur l’impression d’une ébauche de film...
    Matthieu B.
    Matthieu B.

    12 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2024
    Film visionné au cinéma.

    A mes yeux, May December se positionne en SAV de la rubrique fait-divers. On rentre ainsi dans l'intimité d'un couple, que la presse a abondamment exploité fut un temps, car bien des années ont passé depuis les faits. Autant le dire, ce n'est pas vraiment le type des films que j'apprécie. Le malaise de plonger dans la vie des autres pour en tirer du plaisir me rend malade. Et c'est également pourquoi je trouve que ce film est tant réussi : il constitue une attaque en règle contre ce monde.

    Nous plongeons dans une histoire où la performance exceptionnelle de Julianne Moore crève l'écran et, sa complicité avec Nathalie Portman apporte deux scènes mémorables en miroir, dont l'une, en un seul tenant de plus de 3 minutes. Chacune de ces scènes sont parfaitement anodines, mais en réalité, m'ont donné des frissons de malaise. Bien relayé par la musique, en forme de conclusion après un détail important ou pour dicter le rythme, c'est d'une efficacité redoutable.

    L'histoire fourmille de détails, de la fin du monde (on a plus de hot-dog), à Joe que j'ai pris pour le fils au début (la grande réussite revient à ce visage juvénile), les miroirs, révélant le fond des personnages fracassés de cette histoire. Avec aisance, le spectateur comme Elizabeth concentre son jugement impitoyable à Gracie, nous nous rendons compte progressivement qu'Elizabeth n'est pas si adorable, comme ce spectateur assoiffé derrière son écran au cinéma ou sa télévision.
    brunocinoche
    brunocinoche

    91 abonnés 1 102 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2024
    Todd Haynes aime les actrices et leur a souvent donner de très beaux rôles. Son dernier film ne fait pas exception à la règle en affrontant 2 actrices majeures actuelles Julianne Moore et Natalie Portman. Si la première, sublime dans leur film commun "Au plus près du paradis" est de nouveau juste, elle ne nous surprend pas vraiment par rapport à ses prestations antérieures. Par contre, Natalie Portman impressionne dans son rôle d'actrice dont elle va révéler la part d 'ombre grise (comme dit dans le film). Ce qui ne veut pas dire que les 2 actrices éclipsent leurs partenaires, bien au contraire, Charles Melton jouant le mari de Julianne Moore est époustouflant.
    Coté mise en scène, Todd Haynes y va sans complexe et c'est tant mieux : utilisant la musique d' un chef d'œuvre de Losey (The go between) pour évoquer comme le maître anglais une liaison somme toute dangereuse en tout cas non conventionnelle semble finalement assez logique. Mais, c'est ouvertement que Todd Haynes s'inspire du cinéma bergmanien dans sa façon de filmer les 2 actrices principales face à face ou face à un miroir et surtout bien évident lors de la scène où Natalie Portman s'identifie au personnage de Julianne Moore, c'est tout simplement superbe.
    Reste le scénario qui prend, reconnaissons le, un peu de temps avant de nous submerger dans le trouble et l'émotion, mais l'attente en vaut vraiment la peine.
    Jean-Pierre Jumez
    Jean-Pierre Jumez

    96 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2024
    Une allégorie plutôt simpliste : un papillon Monarque (le jeune garçon) se sort d'une chrysalide (l'ado) qui prend son spectaculaire envol vers la liberté -- les Monarques parcourent des milliers de km.
    Bon.

    Pourquoi pas ?

    Là-dessus, nous nous sentons comme jurés à l'Actors Studio. Chaque caractère dispose de 90 secondes pour nous dévoiler son génie.

    Tout cela pour témoigner que le scénario est biscornu et ennuyeux !
    Loldiwan
    Loldiwan

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 janvier 2024
    Belles prestations des acteurs mais aucun intérêt au scénario, pourtant l'histoire m'interpellait. Musique 10 fois trop forte. J'ai lutter contre le sommeil. À éviter
    CINÉ FEEL
    CINÉ FEEL

    50 abonnés 210 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 janvier 2024
    Grosse déception à la vision de ce film qui ne m’évoque que deux qualificatifs : artificiel et maniériste. Tout est fake Déjà, le thème même du film : une célèbre actrice, pour se preparer, décide d’aller vivre quelque temps auprès de celle dont elle incarnera le rôle au cinéma. Retour au gros fatras de l’Actors Studio, qui a peut être donné au cinéma des stars, mais qui paraît aujourd’hui bien démodé, voire très lourd. Et de fait c’est à lourdeur qui prime : par exemple l’utilisation très appuyée de la musique du film Le Messager. Mais qu’ont donc bien pu faire à Todd Haynes Joseph Losey et Michel Legrand pour qu’il nous assène ainsi pendant près de deux heures ces quelques notes au piano, jouées fortissimo et qui sont censées créer de la tension ? Il n’en est rien, on s’ennuie ferme malgré la sophistication de l’intrigue et sa fin ridicule. Les personnages sont schématiques, les symboles ( la chrysalide, le serpent) lourdingues et tout cela ne ressemble au final qu’à un simple prétexte au numéro d’actrice de Nathalie Portman qui ne nous émeut ou trouble à aucun moment. Le seul plaisir du film c’est le personnage de Julianne Moore, et la belle interprétation qu’elle en livre
    Mais sinon, fans de Vertigo ou de Persona, passez votre chemin et revoyez vos classiques ou bien au passage le très beau Messager ou même Mourir d’aimer, autrement plus prenant.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top