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Orno13
12 abonnés
603 critiques
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3,5
Publiée le 26 juillet 2024
Les bonnes etoiles, un film mineur dans la filmographie de kore eda, cinéaste qui dans la majeure partie de son œuvre parle des ses familles dysfonctionnelle qui au final se rapproche avec un final tendre et plein d espoir. Les bonnes étoiles ne diffère pas de ses habitudes avec un sujet au départ assez lourd, l abandon d un enfant et même pire la vente de nouveau né. Apres un début assez difficile, on a du mal à s attacher a ses personnages, mais petit à petit on commence à comprendre la psychologie des personnages qui ont tous une part de tendresse et nous les rends plus avenants, c edt vraiment la patte de kore eda que j admire film après film. Celui ci est tout de même inférieur à 3 sœurs par exemple mais on passe tout de même un agréable moment
J’avais déjà regardé un film de Koreda que je n’avais pas aimé et ici encore une fois, pas du tout accroché. C’est loin d’être mauvais et sur le papier, ce drame familial a tout pour émouvoir mais en fait je trouve que sur la forme le film est tellement long… une mise en scène ultra plate, très peu de soundtrack, beaucoup de blabla assez banal… je comprends l’intention de se rapprocher du quotidien et d’un film crédible mais la c’est à un point ou je m’ennuie incroyablement et suis incapable de me concentrer devant un tel film. Complètement hermétique à ce style, désolé !
Une jeune femme décide d’abandonner son bébé. Il est récupéré par deux hommes qui cherchent à le revendre illégalement. Ils prennent la route à la recherche des futurs parents qui adopteront le bébé mais ils sont suivis sans le savoir par deux policières qui cherchent à les prendre la main dans le sac. C’est un joli film intéressant, les personnages sont creusés et donc attachants et touchants. Il y a même quelques moments amusants (comme par exemple lors du lavage de la voiture quand le petit garçon qui les accompagne s’amuse à ouvrir la vitre). J’ai par contre regretté la finspoiler: qui est à la fois étonnante et trop facile, tout le monde semble heureux .
Le réalisateur de «Une Affaire de Famille» revient avec un nouveau film tendre sur la parentalité, subie ou choisie. Un road movie centré sur une "famille" atypique, où le bébé représente le passé et la culpabilité de sa mère, mais aussi l'espoir d'un avenir meilleur. Ce film reste dans la lignée de "Notre petite sœur" ou de "Une affaire de famille" par exemple. Le point de vue de l'enfant, l'infinie compréhension du malheur des humbles, l'absence d'agressivité - avec un zeste d'humour qui permet d'alléger les situations scabreuses - constituent la toile de fond de ce road-movie à travers une Corée des banlieues tristes, un voyage qui transforme peu à peu le point de vue du spectateur. On se fait une joie de retrouver le grand Song Kang-ho qui nous offre encore une très belle prestation toute en finesse. Mais les autres acteurs ne déméritent pas et transmettent de nombreuses émotions. Le point fort du film hormis son casting excellent et très juste c'est son scénario on ne s'ennuie jamais devant ce film même lors de scène un peux plus calme c'est un plaisir de le voir .
Hirokazu Kore-Eda décoit dans "Les bonnes étoiles", le scénario est compliqué et plein de fausses pistes qui n'ont pas vraiment d'intérêt. La photographie est belle mais on trouve bien bizarre cette histoire de fille qui abandonne son enfant puis veut le faire adopter par un autre couple.....Comprenne qui pourra
Un film primé à Cannes qui décrit une sorte de road trip original coréen avec le fait de vendre un bébé qui a été abandonné. On arrive à suivre et trouver les personnages attachants mais tout est un peu trop obscur dans leurs motivations. De même l'épilogue tout en étant plutôt bienveillant n'est pas aussi clair qu'il le devrait.
Un film raté, trop long, fade est ennuyeux. Le sujet est traité de manière lente et laborieuse sans profondeur. L'émotion n'effleure jamais vraiment. Dommage le cinema Coréen d'habitude très bon, nous à habituer à bien mieux!
J'ai trouvé ce road movie/polar vraiment très beau.
Il parle de multiples sujets de société qui me touchent beaucoup : l'abandon d'enfant, l'inégalité entre les filles et les garçons (qui valent plus d'argent que les filles à la "vente"), le rôle et la responsabilité des pères à la naissance d'un enfant, la complexité pour les familles monoparentales et homosexuelles pour adopter en Corée du Sud...
Kore-eda nous parle de tous ses sujets épineux à travers des personnages très doux. Il fait preuve de beaucoup, peut être trop d'humanisme et de foi en la bonté de l'homme en nous dressant le portrait de deux trafiquants et d'une meurtrière. Et si ce sont au premier abord des caractéristiques bien sombres et mêmes glaciales, on apprend à découvrir des humains absolument adorables. Si le trafic d'enfant se passait comme ça dans la vraie vie, le monde serait bien beau...
Ce sont des personnages très nuancés, qui ne sont pas "que" des criminels mais aussi des hommes et femmes aux passés compliqués et dont les fragilités nous apparaissent au fil de leur périple. Je trouve que le réaisateur a réussi à leur donner une profondeur et une humanité qui font d'eux des personnages crédibles (avec le fait que c'est un casting assez incroyable) Ils sont initialement tous liés par l'appat du gain mais se retrouve finalement comme une famille à essayer tant bien que mal à guérir leurs blessures et ils se retrouvent finalement tous liés plutot par l'amour qu'ils portent pour un petit être humain qui va chambouler leurs vies.
La mère m'a beaucoup émue, elle apparait comme une femme déchirée par les regrets, très fermée au monde extérieur et glaciale mais qui s'ouvre au fil du voyage et montre sa sensibilité, une douceur ainsi que son amour pour son enfant qui transparait en elle malgré les épreuves. Son lien avec le jeune homme (dont j'ai plus le nom) est super beau. En parallèle de l'histoire de la petit famille, on suit la filature avec les deux policières dont la plus "importante" est très dure dans son jugement des autres, très ferme mais cache une douceur insoupçonnée au premier abord. Ce sont les personnages qui m'ont le plus marquée (mais il ne faut pas oublier le petit garçon qui arrive en cours de route et est un vrai vent de fraicheur au film)
L'esthétique du film est très belle, j'ai particulièrement aimé les couleurs qui créent une atmosphère assez unique. Certaines scènes m'ont beaucoup marquée comme celle où la mère du bébé parle de son rêve sous la pluie ainsi que la scène dans la grande roue qui sont très poétiques et très émouvantes, comme des moments de suspension dans l'histoire.
"Considèrez nous comme les bonnes étoiles qui vont veiller sur votre enfant"
En bref, c'est un très beau film, une jolie histoire de guérison, de reconstruction et de quête du bonheur pour des personnages fracassés par la vie.
Un road-movie insolite qui traite entre fantaisie et gravité du thème de l'abandon et de la traite de nourrissons, terni par un scénario invraisemblable et manquant de rythme, mais plein de tendresse envers ces personnages cabossés par la vie.
« Les bonnes étoiles » est un drame social assez touchant qui repose beaucoup sur son ambiance soignée et sur un casting vraiment bon, notamment l’inénarrable acteur caméléon Song Kang-ho, ici dans un registre plus pudique. Le scénario, très sensible interroge sur le sort des bébés abandonnés en Corée et sur l’adoption en général. Toutefois, un gros problème de rythme dans l’ensemble, des sous-intrigues inutiles et une fin un peu bâclée gâchent le métrage finalement un peu trop long à mon goût.
Une histoire farfelue pour un film tantôt amusant tantôt émouvant mais un peu trop bavard et souffrant de quelques longueurs. Les acteurs sont très convaincants.
Un road movie où tout ne sonne pas juste ou crédible, même si l'angle de la thématique traitée est nouvelle. Avec des scènes sans intérêt, du bavardage de remplissage, ce drame fleuve n'a aucun rythme! L'ennui plane malheureusement souvent jusqu'au final également décevant.
En 2022, le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda aborde une nouvelle fois le thème de la place des enfants au sein de la famille. Le sujet est toujours aussi dramatique avec cette fois-ci le trafic illégal pour l’adoption de bébés. Mais comme à son habitude, le cinéaste compose avant tout une comédie sociale. Toutefois, en raison de multiples rebondissements superflus, le scénario reste brouillon même si les péripéties de cette tribu composite sans lien de sang sont le plus souvent tendres et drôles. Bref, un portrait sensible d’une société où les repères traditionnels tendent à voler en éclat.
Un film avec des qualités certaines, bien interprété, émouvant parfois, mais qui mélange un peu tout, et dont le scénario n’est pas toujours très crédible. Également des longueurs à certains moments ou on s’ennuie un peu. Pas mal, mais pas aussi bien que les critiques pourraient le laisser croire.