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    Les Bonnes étoiles
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    3,8
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    137 critiques spectateurs

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    velocio
    velocio

    1 319 abonnés 3 151 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Ne me demandez pas pourquoi, mais, mis à part pour "Notre petite sœur", je ne suis jamais arrivé à entrer dans l'univers du réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda. Il faut croire que je suis maso puisque, malgré tout, je continue régulièrement à aller voir ses films. Franchement, ce n'est sûrement pas avec "Les bonnes étoiles" que mon jugement va évoluer. Ce film aborde, une fois de plus chez Kopre-eda, le sujet des enfants et de ce qui peut contribuer à "fabriquer" une famille à partir de conditions peu habituelles. Ce sujet est a priori fort intéressant mais la paresse cinématographique habituelle du réalisateur rend le film particulièrement gnangnan et ennuyeux et le plaisir sadique qu'il aime prendre pour compliquer son scénario le rend très souvent incompréhensible. A voir si on aime dormir au cinéma ou, lorsqu'il passera à la télévision, si on n'arrive pas à s'endormir facilement et qu'on ne souhaite pas prendre des produits pharmaceutiques pour trouver le sommeil.
    selenie
    selenie

    6 331 abonnés 6 203 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Comme souvent chez Kore-Eda, la famille est au centre du récit et pose ainsi des questions aussi universelles que complexes comme qu'est-ce qu'une famille aujourd'hui ?! Qu'est-ce qu'être un père ou une mère ?! Le réalisateur apporte toute sa finesse, sa tendresse, sa subtilité à cette histoire touchante mais qui pêche un peu par un scénario peu plausible et une émotion pas toujours palpable. D'abord on ne comprend pas pourquoi la police n'interpelle pas les deux kidnappeurs, le flagrant délit est d'emblée effective puisque le bébé ne leur appartient pas (?!), sans compter le petit qui les accompagne, pire pourquoi attendre pour la maman ?! Ensuite, le film reste touchant par le lien qui se crée autour du bébé mais sinon il manque trop d'interaction entre les membres du petit groupe avec peu de jeu de regards, peu de gestes juste logiques au fil du temps, jusqu'à cette ellipse finale un peu facile. En résumé un road movie auquel il manque la folie d'un "Little Miss Sunshine" (2006), la dimension socialo-gag d'un Chaplin, mais le cinéaste japonais construit un récit dense et pertinent qui ne peut que faire écho à tous.
    Site : Selenie
    SUZY AND MEE
    SUZY AND MEE

    142 abonnés 111 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    Mais qui a pondu ce SCENARIO TARABISCOTE ET SANS INTERET ...???!!!
    Les hommes passent leur temps à se balader avec le bébé sur le ventre mais c'est le seul aspect mignon de cette histoire frelatée... on n'y croit pas une seconde et on a envie de reculer quand le réalisateur tente de nous tirer des larmes sur des sentiers bien trop faciles ( Merci d'être venu au monde :))
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    De « Distance » à « Une Affaire de Famille », Hirokazu Kore-eda est dorénavant un habitué de la Croisette, dont les récompenses se multiplient, à l’image de ses œuvres qui ne cessent de se diversifier. Les baby box rassemblent des nouveau-nés, abandonnés par leur mère et ce dernier en fait le sujet de tout un road-trip, de parrains et marraines, qui se découvrent un esprit familial. Un enfant à qui on refuse l’identité biologique finit par exister qu’après une grosse poignée de bougies soufflées. En confrontant le mal à la racine, on cherche rapidement à résoudre la parentalité défaillante contre un peu de sous, à défaut d’un confort permanent. L’intrigue s’empare ainsi des codes des contes, afin de démontrer une humanité triomphante, même lorsque tout est grave dans le fond.

    Avec un casting entièrement coréen, le cinéaste japonais continue d’explorer des univers au-delà de ses frontières, comme avec des têtes bien françaises dans « La Vérité ». Cependant, il serait facile d’identifier ses thématiques, très proche de sa palme d’or. Une famille reconstituée vivait de ses petits larcins, tandis que l’on va plutôt entrer en négociation dans cette dernière œuvre, touchante malgré sa simplicité. Ici, tout est de l’ordre du bricolage, au fur et à mesure que l’on avance, les coutures que Kore-eda a placé se décousent au compte-goutte. Paradoxalement, Sang-hyun (Song Kang-Ho) passe la plupart de son temps à rafistoler les tenues de son groupe. Sa maladresse ne l’empêche pas d’être pointilleux sur des détails infimes et souligne dans le même mouvement une générosité, qui traverse le récit. En tandem avec Dong-soo (Dong-won Gang), plus mystérieux et plus sensible, son trafic d’enfant deviendra rapidement une affaire personnelle, car chacun aura sa part de responsabilité et de paternité.

    Là où le jeu réussit à divertir, c’est grâce à la présence de la jeune et désordonnée So-young (Ji-eun Lee). Son irruption dans le voyage apporte un peu plus de tendresse, mais balise également l’intrigue de ses problématiques, qui sont certes nécessaires et prévisibles. L’abandon et le déni occupent sa conscience, malheureusement, on ne dépasse que rarement ce stade, afin de justifier la chute, qui attend le groupe, qui est destiné à évoluer individuellement. Leur cohésion aura donc permis de panser des plaies, notamment surgies du passé et So-young serait le pivot de toutes ces réflexions. Il est encore temps de changer ou de renoncer à ses responsabilités, mais le fait de l’aborder avec autant de légèreté a tendance à transformer la mignonnerie et quelque chose de plus mièvre. La mise en scène sert toutefois l’introspection, rétrogradant ainsi le portrait d’un pays, soumis à ses contradictions et à la misère, qui pousse la plupart des citoyens à détourner les règles ne serait-ce que pour survivre un peu plus longtemps.

    Avec un petit air de « Tokyo Godfathers » dans le rétroviseur, ainsi qu’un duo d’enquêtrices supervisé et périodiquement commenté par Su-jin (Doona Bae), « Les Bonnes Étoiles » (Broker) roule incontestablement vers le bonheur, une utopie difficile à atteindre et plus difficile encore à entretenir. Les liens qui sont tissés entre les membres du groupe autorisent le récit à investir le mélo, sans que cela nuise à l’expérience de visionnage, mais à l’arrivée, on constate une ironie amère qui arrose l’écran. À trop vouloir surligner le partage et la générosité, qui manque d’ambiguïté, Kore-Eda trébuche dans des mécaniques dont le spectateur connaît déjà les subtilités et probablement la sensibilité. Sa sincérité n’est cependant pas à mettre en doute, mais il serait bon de ne pas confondre la bienveillance et la complaisance.
    Emmanuel Cockpit
    Emmanuel Cockpit

    64 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Le cinéma intimiste et sensible d’Hirokasu Kore-Eda est une nouvelle fois centré sur la famille et sa recomposition. Il en dégage des énergies positives et porte des émotions rares mises en couleurs avec ses recettes d’humanité. Dans « Tel père, tel fils » il mettait un père obsédé par sa réussite professionnelle face à son fils échangé à la naissance à la maternité. Dans « Notre petite sœur », trois sœurs accueillaient leur demi-sœur dans la maison familiale. Ici il surfe sur la sémantique entre « abandonner » son enfant et le « confier » à une institution. Ce groupe de Pieds Nickelés fait techniquement du trafic d’enfants, le regard bienveillant du réalisateur y distille cependant les émotions du quotidien avec délicatesse, en prenant son temps. L’indulgence gagne peu à peu le spectateur pour qui la mise en scène décortique ces personnages fragiles qui nous livrent leurs douleurs de manière poignante. Le spectateur regarde se dérouler cette fuite en avant où le dénouement n’a rien d’établi. C’est magnifique.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 386 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    En France, les femmes peuvent accoucher sous X. Dans d'autres pays, il existe des boîtes à bébés qui permettent d'abandonner le nouveau né en sécurité. Sur fond de trafics d'enfants, le réalisateur palmé Hirokazu Kore-eda nous raconte une histoire grave dans un ton doux, voire lunaire. Les comédiens sont exceptionnels et nous entraînent avec humour dans ce road trip singulier.
    Joce2012
    Joce2012

    208 abonnés 592 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Film au scénario complexe et pas toujours facile à comprendre, quelques longueurs, film pas mal dans l'ensemble
    Henner
    Henner

    65 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    Mortel ! Tout le monde roupille dans la salle tant c'est lent et tarabiscoté. A la base un scénario sur les enfants orphelins ou abandonnés qui pourrait se tenir. Malheureusement le réalisateur pense que pour accéder à la notoriété chez ses pairs il faut absolument faire des noeuds à la pellicule, aller très doucement, s'éterniser sur des situations, étirer le film sur deux heures neuf ....pour plonger le spectateur dans l'abêtissement, pardon, la méditation . Alors, bien sûr, une petite poignée de critiques professionnels crieront au génie, s'extasieront sur des plans "admirables" , loueront la finesse, la délicatesse, l'intelligence d'un réalisateur "inspiré". C'est bon pour quelques fanatiques de la technique, du cadrage, des effets de caméra et de lumière, mais, c'est oublier qu'un un film doit surtout faire passer de l'émotion. Et celui-ci est tellement pénible qu'il n'en communique aucune ... à part, bien sûr, l'ardent désir de fiche le camp.
    Yves G.
    Yves G.

    1 494 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 décembre 2022
    Une jeune femme abandonne, par une pluvieuse nuit d’été, son bébé dans une « baby box » à Busan en Corée. Au lieu d’être recueilli par l’association charitable dont c’est le rôle, ce bébé est kidnappé, par deux filous, Dong soo, un enfant trouvé lui aussi, et Sang-hyeon (Song Kang-Ho, le héros de "Parasite", dont l’interprétation ici lui a valu le prix d’interprétation masculine à Cannes), le propriétaire d’un pressing au bord de la faillite. Poursuivis par deux policières qui les traquent en attendant de les arrêter en flagrant délit et bientôt rejoints par la mère du bébé, prise de remords, Dong soo et Sang-hyeon prennent la route pour vendre le bébé à un couple en mal d’adoption.

    Le dernier film d’Hirokazu Kore-eda mettait l’eau à la bouche. On avait adoré les précédents films de ce grand réalisateur japonais, en particulier "Nobody Knows" (2004) sur une nombreuse fratrie abandonnée par sa mère et condamnée à survivre tant bien que mal sans elle. "Une affaire de famille" recevait la Palme d’or en 2018, une distinction qui récompensait autant sinon plus une oeuvre tout entière qu’un seul film.

    "Les Bonnes étoiles" – dont le titre prend un parti beaucoup plus bienveillant que son titre original, « Broker », un terme anglais nettement plus péjoratif, qui désigne un courtier ou un intermédiaire – explore une fois encore un thème cher à Kore-eda : la famille. De qui sommes-nous les enfants ? De nos parents biologiques ou de ceux qui nous ont élevé ? À longueur de films Kore-eda ressasse la même question, dont il faut reconnaître que sa réponse ne fait guère de doute : les liens de l’affection ne sont pas moins puissants que ceux du sang.

    J’attendais énormément de ces "Bonnes Etoiles". Je n’en ai été que plus amèrement déçu. J’avoue avoir été perdu par un scénario inutilement compliqué, qui multiplie les fausses pistes. Plus grave : alors que je pensais pleurer des rivières, je n’ai pas été ému un seul instant, même pas dans cette dernière demi-heure que les critiques m’avaient promis lacrymale à souhait. Est-ce le signe que j’ai un cœur de pierre ? que je suis passé à côté du film ? qu’il vaut moins que ce qu’on en dit ?
    Bart Sampson
    Bart Sampson

    348 abonnés 661 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 décembre 2022
    Le réalisateur Kore-Eda-Hirokazu continue sa passionnante explorations des rapports humains et particulièrement la notion de famille.
    Qu'elle soit laissée à elle-même ("Nobody knows"), reconstitué ("Notre petite soeur") ou alliée de circonstance ("Une affaire de famille"), le réalisateur japonais n'a pas son pareil pour faire transpercer l'humanité contenue de ses personnages.

    Preuve en est "Les Bonnes étoiles" qui encore une fois nous pose en hypothèse une histoire écartelée : "Par une nuit pluvieuse, une jeune femme abandonne son bébé. Il est récupéré illégalement par deux hommes, bien décidés à lui trouver une nouvelle famille. Lors d’un périple insolite et inattendu à travers le pays, le destin de ceux qui rencontreront cet enfant sera profondément changé."

    C'est admirablement filmé d'autant que l'action est transportée dans une Corée du Sud contemporaine et admirablement portée par des acteurs en état de grâce, dont le prix d'interprétation masculine du dernier Festival de Cannes, Song Kang-ho qui a acquis une stature internationale avec le film "Parasite" dans lequel il interprétait le chef de famille.

    J'ai déjà en mémoire des plans mémorables tout en ombre et clair obscur.

    C'est beau, c'est universel et surtout c'est du cinéma !!!!

    Allez y dès mercredi !
    vidalger
    vidalger

    325 abonnés 1 252 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 novembre 2022
    Le pitch (enfant abandonné, malfrats recherchant un acheteur) pourrait laisser craindre le pire. Mais Hirokazu Kore-eda est derrière la caméra et ceux qui ont déjà eu la chance de voir certains de ses films connaissent sa sensibilité et l'infinie tendresse qu'il manifeste à l'égard des enfants et de l'humanité en général.
    Ce film reste dans la lignée de "Notre petite sœur" ou de "Une affaire de famille" par exemple. Le point de vue de l'enfant, l'infinie compréhension du malheur des humbles, l'absence d'agressivité - avec un zeste d'humour qui permet d'alléger les situations scabreuses - constituent la toile de fond de ce road-movie à travers une Corée des banlieues tristes, un voyage qui transforme peu à peu le point de vue du spectateur.
    Les acteurs sont parfaits, même si le prix d'interprétation remporté à Cannes par Song Kang-ho peut paraître un peu exagéré...
    Superbe image, quelques plans magnifiques, mais aussi un petit manque de rythme...
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 485 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 décembre 2022
    Ce film, que j'ai pu découvrir en avant-première grâce à Allocine, réalisé par Hirokazu Kore-eda, n'est vraiment pas mal du tout. Je dois d'ailleurs avouer que c'est le tout premier film du réalisateur dont je ne connais donc absolument pas le travail et surtout pas ses thématiques ! Effectivement, il semblerait, au vu de ce film et du titre d'autres de ses familles, que la famille (biologique, recomposée, de cœur etc.) est un thème central de sa filmographie (encore une fois, ce n'est qu'une supposition). C'est en tout cas le thème central de ce film dans lequel nous suivons deux courtiers essayer de vendre un bébé abandonné dans une baby box (qui sont des boites dans lesquelles les mères déposent leurs enfants pour qu'ils soient pris en charge). Mais ils seront également accompagnés de la mère du bébé, sûre de vouloir donner un avenir serein à sa progéniture, ainsi que d'un jeune garçon s'ennuyant dans son pensionnat et en quête d'aventure. Mais ils seront surtout suivis de deux policières bien décidées à mettre fin à ce trafic de bébés. Voilà, c'est donc un synopsis bien long, déjà car je suis très mauvais pour correctement résumer les films, mais également car le film a finalement une intrigue assez complexe. Effectivement, même si elle n'est pourtant pas du tout difficile à suivre, il y a beaucoup d'enjeux et c'est un peu le jeu du chat et de la souris, ce qui implique beaucoup de personnages. Et ce sont d'ailleurs des personnages très attachants ; il est en effet très amusant de suivre cette famille dysfonctionnelle (qui rappelle d'ailleurs beaucoup celle de "Little Miss Sunshine"), ainsi que les deux policières dont le tandem fonctionne bien, en plus d'ajouter quelques touches d'humour par-ci, par-là. Et c'est un tour de force de rendre ces personnages attachants car nous parlons tout de même de trafic d'enfants et sans passer par le voyage initiatique classique, le réalisateur arrive à les rendre de plus en plus attachants dans les rapports qu'ils entretiennent entre eux mais également dans leur vision du monde, de la famille etc., qui évolue au fil de l'intrigue. J'ai également apprécié le fait que le film ne tombe dans la facilité en étant mièvre ou larmoyant, ce qui pourrait être très facile avec ce genre de sujet. Malgré tout, j'ai trouvé l'intrigue parfois un peu longue avec des scènes un peu contemplatives s'étirant en longueur (qui font très Festival de Cannes d'ailleurs), d'où les quelques réserves que j'ai sur l'ensemble. Cependant, malgré ces quelques longueurs, "Les Bonnes Étoiles" échappe fort heureusement au film d'auteur nombriliste en nous proposant quelque-chose d'original et de touchant !
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    190 abonnés 1 866 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2022
    Film interessant, bien réalisé et bien joué, mais pas suffisamment captivant. Il manque un développement de relations autour du bébé qui est quand meme le moteur du film. Il y a bien des interactions entre chaque personnage mais assez avec le bébé. Le film pose pourtant de très bonnes questions. Une curiosité à voir pour ceux qui aime le réal, mais ce n'est pas si émouvant que cela. Merci à nouveau au Club Allociné pour cette belle soirée
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 185 abonnés 5 188 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 novembre 2022
    Un sujet évidemment sensible. Kore Eda disait lui même que l’abandon en Corée n’était pas si anecdotique: 300 enfants par an.
    C’est un rythme doux et des personnages qui évoluent tout au long du film.
    J’aime la façon dont en vérité il compose in fine une famille. Et certaines scènes nous invitent vraiment à y croire.
    Mais le passé doit être effacer pour renaître dans la vérité et non dans un fantasme irrationnel.
    C’est assez beau.
    Coric Bernard
    Coric Bernard

    382 abonnés 603 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 octobre 2022
    Dans ce film au scénario original, le réalisateur a choisi d’aborder le problème des bébés abandonnés en Corée du Sud. Ce film est bien réalisé et interprété par ce couple de trafiquants que l’on suit dans leurs aventures mouvementés et qui deviennent finalement bien sympathiques malgré la gravité du sujet traité. Cette sorte de road-movie est très agréable à suivre et nous permet de découvrir les beaux paysages de ce pays très bien filmé et mis en valeur par le réalisateur.

    Bernard CORIC
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