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    Les Bonnes étoiles
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    3,8
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    137 critiques spectateurs

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    tupper
    tupper

    135 abonnés 1 386 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    « Les bonnes étoiles » pèche par un manque de rythme qui m’a tenu à l’écart d’une bonne partie du début du film. Dommage car à part cela le film regorge de qualités : charmant, plein d’humour et au scénario original et intelligent.
    Maxime
    Maxime

    9 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    Long, Scénario qui ne tient pas debout et est irréaliste. L'intrigue principale du film est completment stupide, elle aurait simplement pu aller dans une association plutôt que de mettre son bébé sur le sol d'un hall d'entrée. et puis ils sont tous hyper motivé pour une somme de millions de won alors que ça ne represente qu'environ 7000Euros a diviser par 3. bref film nul et complètement irrefléchi et hyper long. n'allez pas le voir car vous aurez envie de partir très rapidement comme j'en ai eu l'envie
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    Décousu mais envoûtant en même temps avec une actrice d’ailleurs qui l’est tout autant. A voir si on aime le style Coréen soft après sinon ce n’est pas un drame de le louper.
    Ufuk K
    Ufuk K

    522 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2022
    "Les Bonnes étoiles" primé au festival de Cannes (meilleur acteur pour Song Kang-ho) est un drame coréen touchant. En effet le réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda (primé pour une Affaire de Famille en 2018) retrouve son thème de prédilection, les liens de hasard en explorant le phénomène des « baby box » en Corée du Sud dans un film certes imparfait et parfois long mais avec des acteurs si juste dans leur rôle dégageant un parfum de mélancolie à la fin de la projection.
    Jevaisciner
    Jevaisciner

    11 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2022
    Les Bonnes Étoiles propose un parcours insolite de personnages, qui vont évoluer tous ensemble. Les thèmes abordés sont intéressants et notamment les questions morales que l’intrigue soulève. L’ambiance propose un drame réel de la situation tout en le ponctuant de légèretés, sans jamais le désamorcer. Néanmoins, malgré un fond soigné, j’ai senti les longueurs par moment. Il manque peut-être de scènes plus impactantes pour moi (bien qu’on en retrouve tout de même un peu sur la fin)
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    160 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 décembre 2022
    Pour qui connait le cinéma d’Hirokazu Kore-eda, « Les Bonnes Étoiles » ne constituera ni une surprise ni une rupture par rapport au reste de sa filmographie. On pourra également soupirer face à certaines maladresses, une forme de naïveté… assez naïve, avec des bons sentiments et de l’humour qui peuvent paraître presque forcés…

    Pourtant, je trouve qu’il s’agit d’un vrai bon film, qui renouvelle l’art de Kore-eda. Il semble que son escapade en France avec « Vérité », que je n’ai pas vu, ne nous ait pas donné un grand film. « Les Bonnes Étoiles » n’en est peut-être pas un non plus. A vrai dire, il affiche une modestie qui pourrait le faire ranger hâtivement dans la catégorie « film mineur » pour Kore-eda.

    Mais je ne suis pas de cet avis. En s’échappant en Corée, il a redonné un coup de fouet à sa façon de faire, tout en restant dans une certaine continuité. Tout d’abord, au niveau des thématiques traitées, une fois de plus il s’attache à étudier les relations familiales, notamment maternelles, paternelles et filiales. « Les Bonnes Étoiles » est un magnifique film sur la famille, un de plus à mettre au crédit de Kore-eda.

    Et une fois encore, il s’empare d’un sujet social pour traiter ce thème inépuisable de la famille. Le point de départ de ce long métrage est l’une de ces fameuses « baby box », ces boîtes aménagées, assez courantes en Corée (et au Japon aussi), où des parents et notamment des mères déposent leur enfant, pour qu’il soit récupéré par des associations et peut-être être adopté, dans l’espoir qu’il vive dans de meilleures conditions qu’auprès de sa famille biologique.

    Bien sûr, ce genre de démarche est tout sauf anodine, elle est même particulièrement douloureuse, pour la mère… et l’enfant. Qui a peu de chances de retrouver un jour ses parents, et pas tant de chances que cela de se faire adopter. « Les Bonnes Étoiles » vous fera donc écraser quelques larmes, car c’est vraiment un film émouvant.

    Mais là où Kore-eda traite ce sujet avec talent, c’est qu’il ajoute de la légèreté et un grain de sable (de folie ?) qui vient gripper ce « système » déjà fragile, en la personne d’escrocs à la petite semaine, dont l’inénarrable (et toujours aussi excellent) Song Kang-ho, qui vont récupérer le bébé de notre héroïne et tenter de le vendre à des parents souhaitant adopter un enfant.

    Kore-eda nous dépeint ainsi une bande de bras cassés, toute une galerie de personnages bancals et abîmés par la vie, qui vont en quelque sorte reformer une famille bricolée, un peu folle et délirante… et terriblement attachante. Un beau moyen de nous montrer qu’une famille ne repose pas forcément sur un même sang partagé, mais sur un amour mutuel. Un amour pas toujours assumé (il y a beaucoup de pudeur dans ce long métrage), mais manifeste.

    En cela, « Les Bonnes Etoiles » est un film aux personnages sublimes, des personnages complètements imparfaits, mais auxquels on s’identifie, et qui peuvent nous faire passer, en un claquement de doigts, du rire aux larmes. C’est aussi un « feel-good movie » qui s’assume, en témoigne la bande-son qui fait très cinéma indépendant américain, à la « Little Miss Sunshine », ce qui est tout sauf une insulte pour moi, tant ces deux films me semblent de belles réussites dans leur genre.

    Pour finir, je voudrais mettre l’accent sur deux autres qualités de ce film dont je trouve qu’on ne parle pas assez. Tout d’abord, il prend la forme d’un très sympathique road trip, qui mène nos (anti)héros sur les routes de Corée. Kore-eda nous offre ainsi des vues superbes du Pays du Matin Calme, un pays que j’ai redécouvert grâce à ce film, entre montagnes aux forêts à perte de vue, plages de sable fin, zones périurbaines d’une poésie moderne…

    Ce qui me permet de faire le lien avec l’autre point que je tiens à souligner : les magnifiques prises de vue qui émaillent ce film. La photographie est vraiment très belle, et les cadrages, les sujets filmés et la composition des plans, font qu’on se retrouve régulièrement face à des images bluffantes, qui font penser à du Edward Hopper contemporain. Ce sont ces plans géométriques sur des lignes électriques, la pluie qui coule sur une vitre, le reflet d’un visage qui répond au reflet d’un autre…

    Lors de l’avant-première à laquelle j’ai eu la chance d’assister, en présence d’Hirokazu Kore-eda, ce dernier nous a indiqué qu’il n’a regardé qu’un seul film pour préparer ce long métrage : « Le Fils du Désert » de John Ford. Et je trouve que « Les Bonnes Étoiles » est du même acabit, sans être aucunement un décalque du long métrage de Ford : c’est un très beau film humaniste, à la fois léger et profond, drôle et touchant. C’est un classique instantané (oui), un film intemporel, qui selon moi va rester. Peut-être pas un chef-d’œuvre. Mais un jalon clé dans la filmographie de ce formidable cinéaste japonais, et un film qui compte déjà pour moi. Et pour ça, arigato Kore-eda-san.
    MARMOTTE
    MARMOTTE

    3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 décembre 2022
    Film qui traîne en longueur sur un enfant abandonné par sa mère et récupéré par des escrocs - pas doués - pour le vendre. On a du mal à entrer dans l'histoire malgré de bons acteurs.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    84 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2022
    ​       En passant chez l'ancien colonisé, Hirokazu Kore-Eda n'a rien perdu de son style, si personnel, si ancré dans un quotidien toujours un peu borderline.....
           A priori, tout sépare le cinéma de ce délicat scrutateur de la famille, de toutes les familles -bizarres, recomposées... de la violence, du dynamisme, de la noirceur des films coréens.
           Et même si Les bonnes étoiles ont un petit côté thriller -il y a un meurtre, il y a une capitaine de police plus tenace qu'une bernique et quelques gangsters- c'est aussi le plus tendre, le plus émouvant des films de Kore-Eda. 
         Un jour, une très jeune femme, dans un Busan nocturne, sous une pluie battante, vient abandonner son enfant dans une "boite à bébés", spécialité coréenne.... Non: pas dans la boite. Devant. Pourquoi? Elle restera toujours mystérieuse cette jeune femme.
    Mais dans l'orphelinat qui est censé recueillir les bébés abandonnés, il y a Sang-Hyeon, faux prêtre mais vrai crapule: propriétaire d'un pressing en faillite, largué par sa femme qui a emmené leur fille; il pense que s'il touche beaucoup d'argent il pourra récupérer sa famille, et pour toucher beaucoup d'argent, il suffit de vendre un joli bébé à un couple en manque... Il parait que ce genre de trafic marche très bien au Pays des Matins Calmes. On a vu Song Kang-Ho dans Parasites et il a eu le prix  d'interprétation masculine au dernier Festival de Cannes.
       Avec lui il y a le jeune Dong-Soo (Dong-Won Gang), sans doute celui qui est le moins fouillé psychologiquement. On sait que lui même a été abandonné dans cet orphelinat; qu'il  y a été heureux et qu'il y est éducateur. Et se verrait bien jouer au papa et à la maman pour de vrai avec la jolie So-Young.
       Car elle est revenue, So-Young, la jeune maman (Ji-Eun Lee). Elle veut récupérer son bébé. Et, finalement, s'associer au duo pour vendre l'adorable nourrisson, dans une bonne famille où il sera heureux. C'est une boule de détresse, de rage et de contradiction cette jeune femme, prostituée très jeune, et qui vient de tuer le père du bébé, celui qui la pousse à se prostituer et voulait qu'elle avorte. Elle ne parle  jamais à son enfant. Elle laisse aux hommes, le plus souvent, le soin de le bercer et de le nourrir. Et pourtant....
       Le trio part donc dans un long road-movie dans la fourgonnette de pressing. Trio devenu quatuor, car dans le coffre s'est glisse un pensionnaire de l'orphelinat, Hae Jin, un marmot rigolo et rigolard, rond comme une boule, qui ne se sépare jamais de son ballon de foot. Mais les familles ne conviennent jamais.... Pendant ce temps, la commissaire Soo-Jin (Doona Bae), flanquée de son adjointe (Joo-Young Lee) suit les délinquants novices à la trace, obsédée par l'intention d'arrêter en flagrant délit les responsables d'un trafic qui lui apparait comme scandaleux. Espérant persuader So-Young de se désolidariser de ses complices d'occasion. Sûrement compliquée aussi Soo-Jin, qui n'a pas d'enfant et passe son temps à grignoter.
       Et derrière eux, il y a aussi les malfrats envoyés par la veuve qui veut, elle aussi, récupérer le marmouset.
       Le problème pour le spectateur, c'est qu'il les aime, ces crapules attendrissantes qui, malgré tout, veulent le meilleur pour le bébé et s'en occupent avec une tendresse vigilante. Sur une plage, dans une chambre de motel, dans l'habitacle de la fourgonnette, on les suit, et c'est à leur façon une vraie famille.... et quand l'inénarrable Hae Jin, pour faire une bonne farce, ouvre une fenêtre en plein milieu d'un car-wash, se fâchent ils? Non, ils rient...; C'est un film si tendre et si prenant à la fois qu'on en sort heureux. Ce n'est pas un vrai feel good movie, car tout ne s'est pas bien terminé pour tout le monde. Mais c'est un très beau film.

    Ralf Vogel
    Ralf Vogel

    30 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    C est 1 film qui décrit en quelque sorte un (ou des) drame (s) psychologique (s).

    La toile de fond est le trafic d enfants en Corée du Sud , donc les sujets traités sont sensibles et rarement abordés au cinéma, ce qui rend ce film intéressant ; on regrettera cependant trop de longueurs.

    A noter la prestation remarquable des acteurs, une réalisation solide. C est 1 film à voir, même si sa durée n est pas justifiée.
    HASTENEP
    HASTENEP

    12 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2022
    Un scénario qui peut manquer de rythme certes , mais la beauté de cette histoire, le jeux des acteurs et les mille et une petites perles de vie qui traversent ce film en font un beau long métrage
    Cinephille
    Cinephille

    159 abonnés 628 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 décembre 2022
    Quelle déception ! Apres Affaires de famille que j’avais énormément aimé on retrouve évidemment une famille complètement bancale entre la mere abandonneuse les deux lascars le bébé et le petit footballeur. Oui mais rien ne fonctionne, ça se traine, la musique est insupportable les situations se répètent (on finit par avoir envie de tuer la capitaine de police) et le scénario est filandreux. Je crains que même avec 30 min de moins ça n’aurait pas donné un bon film.
    PL06
    PL06

    10 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2022
    Dans de nombreux pays et en particulier au Japon et en Corée, l’accouchement sous X prend la forme de l’abandon dans des boites à bébé, plus ou moins légales et plus ou moins sûres… Destinées à pallier l’absence de solution pour les femmes en détresses et les infanticides qui en résultent, le point de départ de ce film est un vrai drame universel.
    Sur le fond, c’est un film ambitieux et très humain, mêlant les questions d’abandon, de trafic d’enfant, de maternité, de famille recomposée, d’avenir pour les enfants abandonnés. Il s’attache nettement à la tendresse qui réside en chacun fût-il (elle) flic, mère indigne ou truand, et nous bouscule par là-même.
    Pour ma part j’ai trouvé le jeu des deux femmes remarquable (la mère et la policière-chef), davantage que celui des deux hommes avec ce surprenant prix d’interprétation masculine décerné à Cannes.
    Le scénario nous emmène malheureusement sur des voies assez sinueuses. Il puise dans le thriller policier, avant de tourner à la fable avec des ingrédients de comédie, et de terminer dans un registre dramatique. Le montage ne rend par ailleurs pas les choses faciles à suivre puisque la compréhension de nombreuses situations nous est donnée plus tard.
    En conclusion : c'est un assez bon film mais à trop vouloir embrasser le réalisateur perd le poids de son sujet et ne suscite pas l’émotion qu’il mériterait. La vigueur du propos politique en ressort atténuée.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2022
    Sous les apparences d’un cinéaste apaisé prêt à pardonner tous les péchés du monde Hirokazu Kore-eda nous raconte la fable de deux méchants petits bonhommes qui s’apprêtent à revendre un tout petit bébé, moyennant un bon prix. Mais pas suffisant aux yeux de la maman qui vient de les rejoindre, et regrettant à peine l’abandon de son protégé, donne du fil à retordre à nos deux lascars. Ils vont se révéler bien différents, et de la même manière la jeune femme retrouvera ce qui l’a fait devenir maman. La police n’est pas en reste, abandonnant la filature de ce trafic humain, pour reprendre le cours d’une réflexion personnelle , où l’intime paraît ranimer un passé douloureux. Autant fabuliste que moraliste, Hirokazu Kore-eda ajoute à sa palette scénaristique une touche presque délicate, une lumière diaphane dans le grisé du quotidien. Un très beau film à la profondeur insoupçonnée. Il faut se méfier des apparences.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Gonzalezalbert
    Gonzalezalbert

    6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    belle histoire--un peu long a démarrer----un road movies crescendo
    le cinema sud coréen me touche de plus en plus----allez y .....
    les acteurs et la trame du film nous emportent dans un univers complexe--des situations abracadabresques
    le sujet de l adoption , de l abandon ,vue du cote oriental et la façon différente d'appréhender ce sujet est intéressante
    a tous les amateurs du cinema asiatique-----FONCEZ
    Vous serez pas déçus
    l acteur principal--palme d or d interpretation du dernier festival de cannes vaut le detour ainsi que le petit enfant "squatteur de cette famille"
    Jylg
    Jylg

    45 abonnés 377 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2022
    Très jolie histoire qui se suit comme un conte. Des acteurs formidables et palme méritée . C'est juste un peu long.
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