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Jordan M
17 abonnés
10 critiques
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3,5
Publiée le 20 octobre 2022
Je suis bon publique donc j'ai apprécié le film. Mais même étant bon publique il faut reconnaitre que ce film est assez "basique". Ca reste un bon divertissement sans prise de tête ni contenu "philosophique". Je recommande à tous ceux qui aime les petits films fantastique et qui ne veulent pas se plonger dans un monde trop complexe ^^.
Ce serait mentir de dire que j'ai passé un mauvais moment devant ce film réalisé par Paul Feig et sorti il y a quelques jours sur Netflix. Mais d'un autre côté, je suis loin d'avoir adoré et je me rend compte que je l'ai regardé plutôt passivement. Et c'est bien le problème des derniers films de Paul Feig d'ailleurs ; c'est un réalisateur qui était très bon dans ses premiers films et notamment avec les comédies "Les Flingueuses" et "Spy" mais dont la réputation s'est entaché avec le remake féminin inutile de "SOS Fantômes" et le plus que mièvre "Last Christmas". Et, sans être aussi mauvais que ces deux derniers films, celui-ci a le même problème majeur : tout est très aseptisé. Et c'est très dommage car je n'ai pas lu le roman original de Soman Chainani dont le film en est l'adaptation mais tous les ingrédients étaient là pour faire quelque-chose d'original, qui sortait du lot ! C'est donc l'histoire de deux jeunes filles qui tombent dans une école de magie, divisée entre le bien et le mal. Forcément, dès qu'on dit école de magie, on pense tout de suite à "Harry Potter" et ce n'est pas faux de penser cela puisque, grossièrement, c'est ici une école divisée entre les Gryffondor et les Serpentard. Sauf que nous avons également tout un aspect conte de fées non négligeable puisque l'école apprend, en gros, à être une bonne princesse ou un bon prince et, de l'autre côté, à être une bonne méchante sorcière. Le tout mêlé à une ambiance teen movie type "Jawbreaker". Malheureusement, le réalisateur ne prend jamais vraiment de risques, tout est très manichéen (c'est certes une école divisée entre le bien et le mal mais on s'attend justement à un retournement de situation qui n'arrive jamais), tout est assez gentillet et guimauve. Encore une fois, nous sommes face à un film qui n'a pas de cible précise et qui cherche donc à plaire à tout le monde, ce qui le rend complètement aseptisé et vidé de toute personnalité. Alors oui, en deux heures vingt, on ne s'ennuie pas car le tout est très bien rythmé mais d'un autre côté, ce n'est pas un film que l'on retiendra. "L'École du Bien et du Mal" est donc finalement un produit de consommation comme un autre qui se perd dans la masse de productions mainstream du même type.
La plus importante erreur de casting de cette School for Good and Evil, divertissement minable pourtant défini comme nouveauté à découvrir absolument par la plateforme auréolée d’un N rouge, tient à la présence de Paul Feig derrière la caméra. Réalisateur de comédies vulgaires aux dialogues millimétrés, à la mise en scène tranchante et à la direction d’acteurs – et surtout d’actrices, pensons à Melissa McCarthy ou à Kristen Wiig – hilarants, il n’a pas les épaules pour porter un blockbuster qui aimerait galvaniser le cadavre encore chaud de la saga Harry Potter. Son travail sur le remake féminin de Ghostbusters (2016), de grande qualité quoiqu’en pense le public moutonnier, articulait grand spectacle et pochade outrancière ; enlevez l’outrance et vous obtiendrez cette école de la magie nulle, production déséquilibrée et sans âme, qui tente çà et là d’injecter une dérision à des situations trop sérieuses et naïves pour convaincre.
L’ouverture, qui relate l’affrontement entre deux frères ennemis, ressemble au projet scolaire d’une classe de collégiens tant l’épique souffre de tous les clichés du genre, tant les effets spéciaux numériques piquent les yeux et heurtent par leur imprécision, tant le montage échoue à rythmer correctement ses plans et les charcute suivant le diktat des blockbusters contemporains. La suite agace puis endort, et ce n’est pas la partition musicale de Theodore Shapiro, sous perfusions James Newton Howard, qui saura nous réveiller. Un cauchemar narratif et visuel alimenté par les terrifiantes expressions faciales de Sophia Anne Caruso.
J’étais curieux de voir ce film pour la simple et bonne raison que la communication que Netflix a fait était assez énigmatique et conséquente. En tout cas, le film en tant que tel ne mérite pas autant de communication car il est tout bonnement très mauvais.
Déjà, concernant le scénario, nous avons déjà vu cela un milliard de fois et de meilleure qualité. En tout cas, le concept aurait pu être intéressant s’il était un minimum original et surprenant. Mais à la place, le film est carrément trop prévisible au point de t'enlever le plaisir de la découverte ; heureusement que l’univers est plutôt cool. Surtout que le récit nous fait croire que le monde n’est pas si manichéen que cela ; mais les personnages sont des stéréotypes sur patte ; concrètement, c’est des jeunes écrits par des vieux.
Ensuite, concernant la réalisation, nous allons commencer par préciser que les effets spéciaux sont horriblement dégueulasse et qu’on comprend que le budget du film est parti en publication Instagram ridicule. Puis, la mise en scène n'est franchement pas mémorable ; en fait, entre le “SOS Fantôme” de 2016 et maintenant, Paul Feig ne s’est pas amélioré et continue de filmer de manière chaotique une bouillabaisse de CGI. La seule chose que je peux admettre est le fait que la photographie est plutôt belle bien que beaucoup trop flashy.
Je ne vais conseiller ce film car vous allez vous ennuyer ; par contre, ce film sera un chef d'œuvre si vous avez vu peu de film, là, ce film sera une révolution dans le domaine de l’écriture.
Mais comme c'est nul et long malgré la présence de Kerry Washington, Charlize Theron, Lawrence fishburn, c'est définitivement un film pour adolescents ou petites filles ou tout individu adepte du girl power. Je passe.
J'attendais ce film avec impatience et j'ai adoré ! Une pure merveille ! Les personnages sont top et les effets spéciaux ainsi que les costumes de toute beauté. Une histoire très plaisante à suivre et un casting de haute volée. Un vrai chef d'oeuvre !
Quelqu'un a dit que c'est nul du début à la fin. Il ne s'est pas trompé. J'ai voulu le voir car Charlize Theron et Kerry Washington en ont fait la promotion, et que je leur fait confiance. Car ce sont des actrices de grands talents qui savent choisir leurs rôles. Je n'ai jamais été aussi déçu d'un film où joue Charlize Theron. Une histoire ridicule, que même les adolescents ne peuvent apprécier. Une mise en scène qui frôle le zéro. J'ai été impressionné par les dialogues navrants de Charlize et Kerry, ainsi que les personnages ridicules qu'elles doivent camper. Je n'ai tenu jusqu'à la fin du film que par respect à ces deux actrices que j'apprécie énormément.
Naïvement attiré par le casting du film, je ne savais pas encore à quoi m'attendre, bien loin d'imaginer que je m'apprêtais à voir le plus gros navet qu'il m'est était donné d'admirer. Au menu de ce superbe navet : effets visuels dignes de mes meilleurs montages PowerPoint du collège, incohérences scénaristiques improbables, jeu d'acteur rappelant les plus belles heures des télénovelas Sud Américaines, et une accumulation de clichés à plus savoir quoi en faire,bref dans sa nullité c'est un chef d'œuvre.
Très difficile de faire une critique en bien et en mal, quand tout est mal fichu, mal scenarisé, mal joué. Et pour voir des gens faire la gueule, autant prendre le métro.
Résumé à la con : Deux souillons sans avenir dérochent une place dans une école de branlos composée de gentils et de méchants et où la magie ne tient qu’à un doigt.
L’avis pas ouf : Qu’on se le dise : au moment où j’ai lancé le film j’ai instantanément vu s’afficher « 2h30 » sur ma télé. J’étais entre l’infarctus et le besoin de passer un coup de fil à un ami. J’ai quand même décidé de me lancer au risque de devoir salement prendre sur moi et sachez que c’est pour vous que je l’ai fait. Pensez à ma petite boîte de chocolats à Noël bordel. Bon là, on est clairement sur de la tragédie de collégiennes. Bien sûr le film est à destination des gosses et adulescents mais le fait est qu’en tant qu’ex ado, je peux l’affirmer : ce n’est pas ça que j’aurais voulu voir si j’avais voulu un projet qui aborde le thème de la magie et des princesses.
L’avis moins cool : Contrairement à ce que l’on pourrait croire au premier abord, l’univers est beaucoup trop étriqué. Le budget passe dans quelques scènes aux effets spéciaux réussis mais on ne pousse jamais le concept assez loin. C’est toujours un plaisir de voir les extraordinaires Michelle Yeoh et Charlize Theron en action mais leur rôle est finalement assez anecdotique. On leur aurait préféré des inconnues pour que leur cachet serve à étoffer le récit et l’univers. Dommage que les autres personnages aient le charisme d’un demi-personnage des Chronique des Bridgerton. Le récit tente péniblement de briser les codes des histoires classiquement manichéennes mais pas sûr que vous ayez besoin d’aller sur Netflix pour savoir que dans la vie, tout n’est ni tout noir ni tout blanc.
Si tu veux voir des films avec des princesses charismatiques : STAR WARS : EPISODE V - L'EMPIRE CONTRE-ATTAQUE, 1980 - Irvin Kershner PRINCESSE MONONOKÉ, 1997 - Hayao Miyazaki
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