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Jorik V
1 279 abonnés
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3,0
Publiée le 20 octobre 2022
Il faut avouer que les prémisses de ce film de fantasy pour adolescents, et davantage tourné vers la gent féminine, fait peur. On y voit le personnage de Kit Young se battre contre lui-même, puisqu’il joue deux jumeaux, l’un représentant le Bien et l’autre le Mal. Mais visuellement, tout cela ressemble au « Donjons et dragons » du début des années 2000 (!) et les effets spéciaux sont très limites, rendant tout cela presque ridicule. D’ailleurs, tout ce qui touche aux effets visuels ne sera pas toujours à la hauteur et ce sera l’un des gros handicaps de « L’École du Bien et du Mal ». Entre des fonds verts moches et voyants (la scène de cours dans la forêt en est l’exemple parfait) ou encore certains pouvoirs qui puent les images de synthèse mal incrustées, ce n’est pas toujours à la hauteur, donnant au film un aspect parfois low cost. Alors que pour d’autres moments, on sent qu’il y a du budget, spécialement au niveau des décors et costumes.
Mais ce premier aperçu est trompeur puisqu’une fois nos deux amies projetées dans le monde des contes de fées, le film prend son envol et l’histoire qui y est contée évite la plupart du temps le côté fleur bleue et niais propre à ceux-ci. On a même droit à une relecture amusante des principes fondateurs de ces histoires connues de tous, de Cendrillon en passant par le Roi Arthur ou Peter Pan. On peut également saluer le discours sur les notions de Bien et de Mal qui ne sont pas prodigués de manière trop insistante et avec une certaine profondeur. L’aspect girly est agréable et le côté woke est ici bien plus à sa place que dans pas mal de productions puisqu’on est ici dans l’univers des contes et que ceux-ci demeurent respectés mais actualisés. Comme quoi Netflix peut réussir à distiller du progressisme sans que cela soit ridicule ou sans logique.
On apprécie également le charisme des deux actrices principales, convaincues et convaincantes, ainsi que des seconds rôles adultes qui montrent Michelle Yeoh ou Charlize Theron s’amuser et nous amuser dans leurs rôles de professeur. Cependant parfois, les minauderies sont excessives, la scène d’arrivée de Sophie au repas après sa transformation abuse de cela bien plus que de raison et quand bien même la musique de Billie Ellish soit hautement appropriée à ce moment précis et agréable. Même constat, lors du combat final où Paul Feig a bien du mal à diriger ses acteurs adolescents qui en font des tonnes dans les mimiques. Mais « L’École du Bien et du Mal » dure près de deux heures et demie et on ne les voit pas passer malgré que cela reste très porté vers les adolescentes et que le kitsch imprègne parfois trop l’ensemble. Cela reste divertissant, amusant et distrayant comme un épisode de la saga « Harry Potter » modernisé et féminisé.
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Ayant lu le livre je trouve quand j'étais encore petite, ce film m'a raviver de merveilleux souvenirs de mon premier "vrai roman", les paysages et les graphiques, les tenues les musiques tout est magnifique ^^ je comprends qu'on prenne ça pour un "déjà vu" trop classique mais moi j'ai vraiment passer un super moment et j'ai été éblouie et c'est tout ce qui compte n'est-ce pas ?
Entre "Descendants" et "Harry Potter", le nouveau film fantastique de Netflix "L’école du Bien et du Mal" n’est malheureusement pas à la hauteur des attentes. Avec une durée excessive de deux heures et demie, le film qui prend son temps à démarrer souffre de longueurs narratives et d’une écriture bien trop prévisible pour parfaitement captiver ses spectateurs. De plus, malgré son univers intéressant et ses magnifiques costumes, le long-métrage est en revanche peu réussi visuellement. La scène d’ouverture affreusement filmée sur fonds verts déçoit particulièrement pour un film d’un tel budget. Au final, bien que "L’école du Bien et du Mal" reste divertissant, sa lourde introduction, ses personnages clichés et peu attachants ainsi que son absence de surprise manque de nous convaincre suffisamment. - 10/20 Critique sur L'École du Bien et du Mal (film) Vu le 20.10.2022 sur Netflix
Ridicule, soporifique, film a vomir tellement c'est mal joué, scénario sans aucun interêt et prévisible. Tout le long on entend que "les gentils les méchants"," le bien le mal", "jamais toujours"... c'est jamais intéressant et toujours niais.
Si vous n'êtes pas une fille adolescente, passez votre chemin !!! Clairement destiné à une seule catégorie de personne. On est sur du pseudo Harry Potter filles, dans une ambiance pseudo Disney. Scénario et fin prévisible, en tant qu'adulte je me suis bien fait chier pendant ces 2h25. Le seul point positif : les effets spéciaux sont potables
Pour les amateurs de conte de fées, de girlpower et de jolie morale ! Je ne connais pas le roman mais j'ai trouvé le film très distrayant, bien que quelquefois un peu long, parfois des scènes très pré-ado aussi, mais ça reste sympa. Mention spécial pour les costumes : j'aimerais bien savoir qui les a créé. Après toutes les séries qui ont déjà été réalisées sur ce thème c'est clair : il n'y a rien de neuf mais ça reste un film à découvrir. Et pour Halloween ça tombe à pic pour les vacances !
"L'École du bien et du mal", film fantastique américain réalisé par Paul Feig, sorti en octobre 2022 sur Netflix. Adaptation du roman "Young adult" de Soman Chainani. Après le dernier "SOS Fantôme" et d'excellentes comédies comme " Les flingueuses" et "Spy", le réalisateur Paul Feig s'aventure sur le terrain du film de "magiciens" et de "sorcières" pour adolescents. Un film avec Charlize Theron, Laurence Fishburne, Kerry Washington et Michelle Yeoh. Le film est très bien réalisé, une belle photo, un film techniquement ben fait, mais à moins d'être un fan du genre, il est assez difficile de se sentir concerné par le contenu. Le réalisateur nous avait habitué à des production moins lisses.
J'ai seulement visionné la bande-annonce et cela suffit à juger le film de son début à sa fin. Le titre laisse penser que cette école forme les méchants et les gentils pour maintenir l'équilibre du bien et du mal. Même sans avoir regardé le film, je sais que l'histoire repose sur ce genre de bêtise si prévisible. Le film cible les ados pas très malins et les adultes attardés.
Dans l’espoir de construire une franchise familiale, Netflix adapte un best seller fantastiques, entouré d’un casting prestigieux et de deux jeunes actrices prometteuses. Qu’est ce qui pourrait mal se passer ? « L’école du bien et du mal » est un film sympa dans son concept, mais affreusement cheap et daté dans son exécution. Avec une longueur aberrante (2h30 !) et des effets spéciaux tantôt passables, tantôt venus d’une autre époque, le scénario sous exploite grandement l’univers qu’il est en train de créer et s’enferme dans une histoire d’amitié vu et revu des centaines de fois. Il reste son duo d’actrice principale qui, au milieu de stars qui se demande constamment ce qu’elles font là, trouvent une belle justesse de jeu.
L’école du bien et du mal J’ai adoré !!!! Que ce soit l’ambiance ou les personnages, j’adore !!!! Je pourrais pas vraiment expliquer pourquoi mais j’aime tellement Sophia !! J’espère qu’ils vont faire la suite car j’ai pu voir qu’il y avait environ 7 tomes de L’école du bien et du mal donc j’espère que ce film va faire une bonne audience. J’espère vraiment pouvoir profiter pendant un certain temps encore de la compagnie de Sophia et Agatha.
Le casting est pas mal mais c'est à se demander ce que font certains dans ce film. C'est un film niveau téléfilm qui se regarde mais qui est très en longueur avec des "We have to talk" a foisons et des philosophies sur le bien et le mal assez pompeuses. Bref un film moyen qui passe le temps.
spoiler: Un film "à regarder en famille" tant que vous avez 12 ans ou moins
Ce qui est surprenant c'est comment la marque Netflix parvient à conserver une image relativement premium en 1. produisant des divertissements minables comme celui-ci et 2. en le labellisant "événement" ou "perle" ? Sérieusement la première scène m'a fait saigner du nez tellement elle cumule les tares : des effets spéciaux criards qui crient le gâchis du budget, un montage qui échoue à créer de la tension ou même faire comprendre ce qui se passe, des dialogues plus clichés qu'une génération de ChatGPT et un enjeu d'une absurdité à même de faire saigner du nez le spectateur n'ayant pas encore endormi son cerveau, pre-requis indispensable aux aberrants 2H27 !!! que durent ce téléfilm.
Une histoire gentillette et naïve qui n'est pas faite pour les personnes comme moi. On connaît d'avance le dénouement de l'histoire et certains passages sont plus que long. Cependant les décors et les effets spéciaux sont superbes.