Avis sur Massacre à la tronçonneuse

Une daube. Je ne comprends pas la majorité des notes, ou alors je comprends que le public jeune Netflix biberonné aux Marvels et cie a apprécié. C'est vraiment nul: un scénario cata, des persos affligeants juste prétexte à se faire trucider par un Leatherface Myers. D'ailleurs à l'image de Jamie Lee Curtis, on fait revenir l'ancien personnage qui espère son ultime revanche. Mais non face à lui, fusil à pompe a la main, elle discute, le laisse déambuler. Ça n'a aucun sens. Toute la fin est prétexte à inclure la tronçonneuse pour trucider tout le monde. Aucun respect pour le personnage culte de Tobey Hooper. On vit vraiment une période de prequel sequel reboot remake de merde...

Comme beaucoup de franchise d'horreur Massacre a la Tronçonneuse à eu le droit à une longue saga de film s'enfonçant dans la médiocrité jusqu'au remake de Marcus Nispel sans oublier le prequel de celui-ci tout deux produits par Michael Bay. Cette nouvelle mouture Netflix se voulant la suite directe du premier volet sortie en 74 s'en sort plutôt pas mal, sans atteindre la qualité du remake, l'ambiance poisseuse et dérangeante de celui-ci étant moins appuyée. Toutefois bien que le scénario soit léger comme la plupart des épisodes, les scènes de tueries sont bien mises en scènes et pas avares en hémoglobine, le poids des années n'ayant pas l'air de trop affecté leatherface qui doit donc avoir dans la soixantaine dans ce film. Un des reproches que je pourrais lui faire c'est qu'on es toujours face à l'éternel bande de jeunes, cet aspect de ce genre de film a beaucoup de mal à se renouveler, d'autant que ceux-ci sont peux marquants et pas spécialement développés. Pas un chef-d'oeuvre de grand cinéma, mais en tant que slashers il fait clairement le job.

Navrant.
Le plus réussi est le générique de fin qui a du dilapider le budget consacré au scénario, et qui, en plus, sonne comme une libération.

Alerte grosse daube. Histoire, dialogues, personnages,… tout est nul.
Laissons les classiques tranquille.

En 2013, Leatherface et les doux ronronnements de sa tronçonneuse avaient déjà commencé à sombrer à nouveau avec le piteux "Texas Chainsaw Massacre 3D", un film qui se voulait être une suite directe au film originel de Tobe Hooper mais dont la médiocrité était telle qu'elle en était presque arrivée à gommer les efforts du remake de Marcus Nispel (et de son sympathique prequel "Le Commencement") pour ressusciter avec réussite la saga en 2003. Toutefois, les derniers clous sur le cercueil des aventures du rejeton Hewitt durant cette décennie ont été clairement enfoncés par le film de 2017 consacrée à sa jeunesse, sobrement intitulé "Leatherface", réalisé par le duo Maury & Bustillo et sur lequel il ne vaut mieux pas s'étendre par politesse pour eux.

Condamnée à un repos bien mérité depuis cinq ans, la franchise fait aujourd'hui son grand retour sous l'égide du duo Fede Álvarez/Rodo Sayagues (le remake de "Evil Dead", les "Don't Breathe") à la production et à l'origine de l'histoire de cette suite une fois de plus directe au film de 1974 mais qui, ici, fait table rase de tout ce qui a pu mettre en scène Leatherface entre le long-métrage de Hooper et elle. Pour résumer, le tandem applique exactement les principes de la formule qui a fait le succès du "Halloween" de 2018 en convoquant à nouveau un duel entre les personnages les plus emblématiques de la saga au milieu d'une nouvelle génération prête à en être les dommages collatéraux. Michael Myers avait sa Laurie Strode, Leatherface aura ainsi sa Sally Hardesty, aujourd'hui interprétée par Olwen Fouéré à la place de Marilyn Burns et ne vivant que pour mettre la main sur le tueur à la tronçonneuse mystérieusement disparu il y a donc quarante-huit ans (!).
Cependant, contrairement à "Halloween" 2018 qui se fixait très vite sur le sort de Laurie Strode et ses descendants, "Massacre à la Tronçonneuse" 2022 a la bonne idée de laisser Sally un bon moment au second plan, se contentant d'évoquer le passé et sa soif de vengeance à travers ses apparitions, dans le but de mettre en avant le groupe de jeunes citadins qui va réveiller involontairement la soif sanguinaire de la bête texane. Bon, de ce point de vue, le film ne fait pas dans la dentelle en faisant de ses futures potentielles victimes une sacrée belle bande de bobos influenceurs, venue s'accaparer la ville fantôme de Harlow en compagnie d'un bus d'investisseurs afin d'y créer un lieu de villégiature pour une population urbaine. Autant dire qu'un tel projet ne peut que déchaîner le courroux de la folie furieuse de l'Amérique profonde sur eux !

Même si on a un peu de mal à croire que Leatherface se soit tenu à carreau pendant autant de temps, il faut bien reconnaître que les agissements malheureux des protagonistes qui vont conduire au réveil de ses pires instincts sont plutôt bien sentis pour signifier concrètement la "punition" qu'il s'apprête à subir du fait du choc de civilisation qu'ils engendrent en s'appropriant ces lieux à des fins purement superficielles. Et, aussitôt que Leatherface passe en mode dingo pour incarner le bras vengeur de cette Amérique rurale et oubliée, "Massacre à la Tronçonneuse" 2022 se calque sur la même fureur que la tronçonneuse de son tueur pour découper de la chair fraîche à tout-va ! D'une durée très courte comme celle de l'original et dans une esthétique assez similaire à celle mise en place par la relecture moderne de Marcus Nispel, ce nouveau chapitre se donne en effet pour but de redonner ses lettres de sang au titre "Massacre à la tronçonneuse" en tant que tel, avec une profusion d'exécutions toutes aussi généreusement gores les unes que les autres sur un rythme soutenu et qui atteignent même leur point culminant lors d'une séquence qui risque de rester dans les annales de la saga en termes de victimes découpées en un temps record !

En s'axant autant sur le déchaînement de violence de son prédateur, "Massacre à la Tronçonneuse" 2022 n'évite bien sûr pas les excès, rappelant même "Don't Breathe 2" (autre production d'Álvarez et réalisée par Sayagues) sur cet aspect too much ici décuplé et même carrément WTF dans certains rebondissements de son acte final, trop peu de temps est également accordé aux développements des principales héroïnes, sur leur relation de sœurs ou le fait que le traumatisme du survivant de l'une fait écho à celui de Sally, pour nous y attacher véritablement (cela dit, les autres personnages se résument simplement à de la chair humaine à côté d'elles), mais, au-delà de ses faiblesses évidentes, le film réalisé par David Blue Garcia s'avère tout de même une bonne surprise en nous envoyant en permanence des giclées de sang à la figure comme pour nous rappeler que la sauvagerie de Leatherface et de ce qu'il incarne est sans commune mesure face à ses collègues croquemitaines.
On n'en attendait vraiment pas grand chose mais force est de constater que ce nouveau "Massacre à la Tronçonneuse" remet la franchise sur de biens meilleurs rails que celles où on avait laissé sa carcasse démembrée tristement pourrir. Rien que pour ça, on dit merci à Fede Álvarez et Rodo Sayagues.

C'est franchement nul......
.............. La nana versions Sarah Connor qui vient se venger....
Des acteurs moyens..
J'ai cru que tout le monde fesais une mauvaise blague...
Tourné vite fait sur un plateau, décor surfait.
........ ..
.... Un Nanard
....
Rien à ajouter
.

Film juste gore sans vraie histoire. Personnages pas attachant du tout spoiler: et encore un méchant invincible fasse a un fusil a pompe

Leatherface is back !!!! je suis étonné mais en fait pas malheureusement pas tant que ça des mauvais avis sur le site . Netflix amène donc beaucoup de gens qui sont consommateurs avant tout...et moins d autres personnes plutôt passionnés par le cinéma en général...bref pour ceux qui aiment le genre jetez un coup d œil au film qui fait renaître le personnage et du coup la licence sur du neuf .
Oui c est vrai c est sans doute un peu la même chose déjà vue mais quoi ? c est un Massacre à la Tronçonneuse pas un film d auteur ! . Pour les amateurs je suis sûr que vous au moins serez ravis .

Produit par Netflix, ce nouveau massacré à la tronçonneuse aurait mérité de sortir au cinéma tant il surpasse, en terme de mise en scène et même d'effets gores, les derniers halloween et scream. Si le scénario n'est pas dénué de quelques incohérences et que le personnage de Sally est calqué sur celui de Laurie Strode, le film est d'une efficacité redoutable, parfois drôle dans sa critique des hipsters, et d'une violence assez sidérante. On retiendra d'ailleurs une scène de boucherie d'anthologie. On pourra trouver le film, sous bien des aspects assez conventionnels, mais il réussit à captiver et son ambiance poisseuse rend hommage au chef d'œuvre de Hooper. Bref, dans la lignée du sympathique remake du début des années 2000, ce retour de Leatherface est une vraie bonne surprise pour les amateurs de films d'horreur .

Strictement aucun intérêt, c'est dénué de mise en scène, dénué de personnage, ça n'a rien à raconter et pas grand chose à montrer. On assiste simplement à un massacre totale, très gore, très vain et paradoxalement très gênant dans la vacuité de la chose.
Les 1h15 de film permettent malgré tout d'avoir un rythme soutenu et un film relativement dynamique mais qui mouline dans le vide.

Mais franchement à quoi bon ? Perdre autant de temps à réaliser un film pareil mise à part proposé un ""contenu"" en plus sur une plateforme...

Décidément, cette franchise aura eu du mal à nous offrir de bons films ! Neuvième opus de la saga "Massacre à la tronçonneuse" mais suite directe au premier film de Tobe Hooper, réalisé par David Blue Garcia et sorti tout récemment sur Netflix, est, sans surprises, mauvais ! On ne peut pas dire que je sois véritablement un fan de la saga, même du premier à vrai dire, que je trouve pas mal par rapport à son propos, ses analogies et surtout son montage mais malgré tout assez long. Je n'attendais donc pas particulièrement cette suite même si j'étais tout de même curieux du résultat ! On retrouve ici une bande de jeunes entrepreneurs qui visitent une ville fantôme du Texas et tombent sur Leatherface. Le bougre se réveille donc de sa longue retraite (on parle donc d'un mec qui a approximativement entre soixante-dix et quatre-vingt balais !) mais croise également la route de Sally qui a décidé de prendre sa vengeance. Vous avez dit "requel" ? Effectivement, le terme popularisé par la dernière bouse qu'était "Scream" s'applique ici, au même titre que "Halloween" (précisons d'ailleurs que dans ce cas là, l'âge avancé de Michael ne choquait pas plus que ça car il y a un certain aspect fantastique qui plane au-dessus de la saga depuis le début), "The Craft", "Candyman" ou encore "S.O.S. Fantômes : L'Héritage". Et oui, les reboots, c'est démodé, ne parlons même pas des remakes ; la nouvelle recette à Hollywood est donc de mélanger suite et reboot en créant une "nouvelle" (faut le dire vite) histoire, tout en gardant des éléments des précédents opus. Et si c'est (rarement) réussi, il faut avouer qu'ici, ça tombe à l'eau ! Tout d'abord car, à l'inverse d'une Laurie Strode, Sally n'a aucune profondeur, son personnage dans le premier film de Tobe Hooper n'en ayant pas beaucoup plus. Difficile alors de faire plus que de nous sortir une vielle femme bourrue à la Laurie Strode 2018 qui regarde sans arrêt la photo de ses vieux potes pour bien faire comprendre au spectateur (apparemment débile) que c'est bien Sally du premier film ! Puis, le fan service s'arrête là, Sally ne servira pas à grand chose dans la suite de l'intrigue. Concernant Leatherface maintenant, on a aussi notre lot de plans iconiques façon fan service, comme ceux sur la tronçonneuse, son fameux tablier jaune et bien sûr sa petite danse avec la tronçonneuse reprise du premier film. Mais là encore, le personnage est plutôt bâclé. On peut peut-être alors se rabattre sur les nouveaux personnages ? Et bien non, le film n'est pas plus riche de ce côté-là non plus puisque ce ne sont que de la chair à canon. Pourtant, le film partait avec une idée relativement intéressante (mais, encore une fois, reprise du premier film) avec les bobos de la ville qui venaient foutre un peu leur merde dans la campagne En effet, si les membres de la famille de Leatherface étaient des laissé-pour-compte car virés de leur boulot dans le premier film, ici les citadins les virent carrément de chez eux. Mais c'est une idée qui n'est pas exploitée jusqu'au bout, le film préférant accumuler des plans bien gores, notamment la scène dans le bus qui est digne d'un torture porn (on parle quand même d'une suite d'un film dont le montage ne faisait que suggérer la violence à la base, ce qui était d'ailleurs bien plus malin). Cet énième épisode raté de "Massacre à la tronçonneuse" est donc une perte de temps, tout simplement !

Ce nouveau Massacre à la tronçonneuse déchire dans tous les sens du terme! Sur que les puristes vont encore crier au sacrilège devant cette version, mais elle fait du bien! Le film va à une vitesse folle (1h23,exactement comme l’original), les morts s’enchainent sans répit, le sang coule à flot et le gore pousse le curseur assez loin. Leatherface est déchaîné comme jamais et c’est tout ce que l’on demande au fond avec ce genre de version rajeunie. Bref, excellent et redoutable, à part une fin peut être expédiée trop vite. A consommer sans modération pour passer le temps.

Est-ce que je vais oser le dire? Oui, je vais oser. Bon dieu que ce film était excellent! Ce nouveau «Massacre à la tronçonneuse» est pour moi le meilleur depuis l'original (si on oublie le remake de 2003, qui surpasse évidemment cette nouvelle mouture). Cette re-suite (ou re-re-suite?) a des défauts impardonnables que je ne peux pas nier. Les dialogues sont ridicules et dignes d'une parodie. Le jeu des acteurs fait partie des pires que j'ai vu de ma vie, exception pour Sarah Yarkin qui fait son possible et Olwen Fouéré qui succède à merveille à feu Marilyn Burns dans le rôle de la badass Sally Hardesty. Le scénario du film est prévisible au possible, mais la réalisation est tellement bien exécutée qu'il réussit quand même à nous choquer. Je vous l'assure : votre mâchoire tombera plusieurs fois dans cette montagne russe d'émotions. Les meurtres sont gores et les effets spéciaux incroyables (merci qui? merci Legendary Pictures!), les quelques screamers ne sont pas inutiles et étonnement bien exécutés. Le film n'a pas peur de prendre certaines décisions encore une fois, choquantes. En conclusion, Massacre à la tronçonneuse est un film fait par les fans, pour les fans. C'est un long-métrage qui reprend le mot d'ordre qui a fait la force de l'original : choquant. Même moi, fan d'horreur qui suit difficilement impressionable, je ressentais un profond sentiment de malaise quand le film s'est terminé. Et c'est ce qu'on attend d'un Texas Chainsaw. Si vous êtes un vrai fan de slasher, vous ne serez pas déçu. Je ne peux maintenant que vous dire de foncer le voir!

Je ne comprends pas les mauvaises critiques de ce film? Si vous êtes si nostalgique du premier film, allez le regarder et laisser Netflix faire son travail. C’est un pure abattoir humain, on n’a jamais vu un leatherface aussi colérique et prêt à tout pour dégainer la tronçonneuse. Coriace jusqu’au bout ce grand garçon n’a pas dit son dernier mot… on en veut encore!!!

C'était un rêve pour moi que la franchise reprenne, autant que celle de Halloween, Vendredi 13 et autre Jason...
Bercé par ces films des années 80, la nostalgie toussa toussa...
Bon, parlons sérieux, à part pour quelques boutonneux qui adorent gueuler dans les salles de cinéma en voyant ce genre de m... , pardon de films, qui s'intéresse encore au genre de tueur immortel qui revient encore et encore?
Encore que cet opus évite la case salle, c'est déja ça de pris.
On suit des jeunes qui ont acheté une ville et qui vont tomber sur leatherface. Voila, après le film dure 1h15 hors crédits, fallait pas s'attendre à du scénario léché.
Le problème avec ce genre, c'est qu'il n'a pas évolué. On peut mettre des voitures électriques, des téléphones portables, on se retrouve toujours avec le tueur qui se téléporte, des victimes totalement décérébrées, un tueur intuable, des jumpscare ridicules et un film difficilement regardable à moins de vouloir se taper une bonne barre de rire devant tant de médiocrité.
Bref, regardez autre chose, vous perdrez moins votre temps.