Mais quelle énorme daube! Comment peut-on attribuer une bonne note à un navet pareil ? Scénario nul, personnages plus que mauvais, même les scènes gores sont pitoyables! spoiler: La scène dans le car est à la limite du ridicule quant à la scène où le shérif ressuscite après avoir été littéralement tronçonnée de haut en bas, j'ai pas les mots! spoiler: Pour faire des remakes pareils, autant ne rien faire!
J'hallucine en lisant les commentaires des rageux à zéro étoile... et j'ai perdu 1h30 de ma vie bla bla bla... Il faut être un peu honnête, en regardant massacre à la tronçonneuse, on ne s'attend pas à voir le film du siècle, d'ailleurs, ça ne sera pas le cas. Par contre, j'ai toujours regardé des films d'horreur. Cet opus répond à mon sens à tout ce que peut demander un amateur de gore, et franchement, le pense que cette version est la meilleure depuis l'original. Alors oui, j'assume de mettre le max d'étoiles, malgré des incohérences, etc... parce qu'il y aura toujours des gens comme moi qui aiment regarder un bon délire d'hémoglobine avec des pop corns, sans se prendre la tête. De plus quand on voit le niveau des films du genre qui sortent depuis des années, je ne trouve aucune raison de se plaindre... moi je conseille.
Tout dépend ce qu'on cherche ! Parce que si vous cherchez un scénario bien structuré c'est quand même très léger, Des actrices glamour ? Non c'est raté. En revanche si vous cherchez du gore et de l'hémoglobine vous allez être servi et à ce propos la scène de l'autobus est quand même croquignolette. Le gore c'est un peu comme le porno, on vient le voir pour les scènes imposées par son genre… Mais quand tout cela est entouré d'un bon petit scénario qui raconte une histoire bien solide c'est quand même mieux, non ? Au final nous avons là un film assez bancal mais dont le gore est bon
On est très loin du chef d'œuvre de Toob Hooper. C'est raté. La ou le 1er afin eu l'intelligence de nous plonger dans la peur le stress et le malaise. Ici c'est gore gore et regore. Aucun intérêt . De plus les personnages ne sont pas attachant du tout . Quand au scénario rien non plus. Sans parler des incohérences. Juste un conseil regardez le premier de 74. Tout est là .
2/5 Pas terrible. Honnêtement, il y a du sang partout et un méchant qui est clairement un surhomme. Des exagérations massives par ci par là. À aucun moment on n'y croit. Et la fin est encore plus un grand n'importe quoi que le reste... Pas terrible.
Ya quelques moments bien gore, mais sa ne fait pas avancer le schmilblick. Histoire ecrit sur un post it. Remake ou Suite on ne sait pas mais un Slasher beaucoup trop facile comme beaucoup d'ailleurs dommage
Dommage que cette suite du film culte de Tobe Hooper ne soit pas sortie en salle car contre toute attente elle est plutôt réussie. Reprenant en version moderne cet affrontement initial entre l'Amérique rurale et celle des villes, entre les rednecks et les bobos ce massacre vise juste et sort l'artillerie gore de manière très efficace. Et quand Leatherface déchiquète à la tronçonneuse des influenceurs inconscients du danger qui rôde on pourrait presque parler de salubrité publique.
Massacre à la tronçonneuse est le premier film de son réalisateur et c’est encourageant. Généreux, rythmé et (très) sanglant, c’est un plaisir à regarder. Bête et méchant oui mais aussi bien mis en scène alors on ne s’ennuie pas (malgré les quelques faiblesses du film).
Avis mitigé ! Hélas on se retrouve pas l'amiance glauque et latente de l'original. Ca va très vite cest gore, des acteurs en carton, des incohérences en permanence ! Après cest un film pop corn qui divertit ! Par contre le coup de mamie badass c'est ridicule !
Remake, suite ou énième version d'un film ayant eu de nombreuses sagas, remake en passant par le reboot, Netflix, qui s'associe pour la première fois à un grand studio, Legendary, nous prouve que cette franchise n'à plus rien à montrer, plus rien à raconter et plus rien à revendre. Il est cependant, pour certains, la suite directe de l'original, comme tous les autres. Un scénario signer Fede Alvarez, déjà derrière la caméra du remake "Evil Dead" d'où il disait clairement : "On avait un petit budget, donc nous devions tous faire pour ne pas avoir de surenchère". Autrement dit il est habitué au film minime ayant pour résultat, le minime (sauf ce remake en question). Un scénario donc aussi plat qu'une poêle, rien à développer, rien de concret pour 1h30 démarrant à une allure bactérienne et ne nous offrant d'abord qu'un minimum d'horreur gore indigne du -18, pour conclure de nuit, sur une cavalcade bouchère sans intérêt et plus bruyante que sublime. Une longue marre sanglante imaginée et donc, écrite à l'arrache pour se dire : "On va là mettre comme ça, ça respecte le genre", mais d'une facilité indigeste ou le gore s'y place juste pour se montrer. L'ultimatum, illogique et stupide, démontre donc que cette franchise devait réellement s'éteindre depuis un moment, ou plutôt, après l'Origin story de 2017.
Je ne vais pas taillée dans la dentelle , seul le premier massacre à la tronçonneuse vaut le coup ... Là on nous ponds encore sans imagination un autre remake foireux tout droit sorti du cerveau en manque d'idées d'un scénariste qui croit tenir le chef d'oeuvre du moment . Sauf que c'est nul et peu plausible comme suite de l'histoire originale . Le leather face 2022 aurait 80 /90 ans vu qu'en 1974 il devait avoir la trentaine bien tassée et sa tronçonneuse prête à l'emploi après 48 ans cachée dans un mur est un miracle. C'est dommage l'idée et l'introduction sont pleines de promesses mais comme tout remake ces derniers temps ça retombe comme un soufflet . Je me suis ennuyée durant toute la durée du carnage de bobos duquel j'aurais espéré une résistance plus acharnée .
Le premier paradoxe qui vient à l’esprit dans ce que la saga de Leatherface représente, c’est bien la boucherie qui en découle. À la force des mains et autres ustensiles à charcuter des sacs de peaux, les suites comme les remakes, voire reboots, ne semblent jamais en accord avec la trajectoire de son boogeyman. Mais l’enfant est-il réellement le monstre qu’on aurait pu imaginer, sachant la conclusion que donne Tobe Hooper à la famille cannibale en 1986 ? Une partie de la vérité s’est égaré, dans ces nombreuses suites et réinterprétations d’un personnage, souffrant de l’emprise de sa famille, ainsi que d’une maladie mentale qui ne lui laisse que ses muscles et ses pulsions s’exprimer. Un échec après l’autre a pu rapprocher Netflix de cette franchise, qui a longtemps déserté ses bases.
Et quand bien même, il semble s’en soucier, ce ne sera ni son réalisateur de dernière minute David Blue Garcia, ni son scénariste Chris Thomas Devlin qui viendront rendre hommage à l’œuvre d’origine. Ils viendront plutôt la trahir, très mal et plus qu’il n’en fallait afin d’exploiter des retrouvailles intergénérationnelles, choses que Blumhouse a au contraire réussi avec la résurrection de Michael Myers et sa final girl némésis. Ajoutons à cela un mouvement d’actualité qui insère l’idée de gentrification dans un espace, dont on a déjà épuisé les ressources et l’économie, pour transformer de jeunes citadins en un nouveau bétail pour des mises à mort gores, mais sans intérêt pour la tension que l’on pourrait générer autour. Et c’est tout le problème du récit, qui cultive mal ses principes, en les refourguant à un spectateur sans doute venu pour une poignée d’amusement, mais pas pour qu’on installe son intelligence dans un mixeur numérique.
La technologie n’est présente que pour l’unique blague que l’on pourrait en faire, au même titre qu’une anecdote sur une fusillade d’écoliers. Le second point étant plus sensible et ancré dans une culture, où l’arme semble être le seul outil d’émancipation pour la jeunesse, comme pour les pauvres redneks qui persistent encore dans l’Amérique profonde. Ce sera donc au détour de clichés insupportable et à l’idéologie exécrable que Leatherface revient saucissonner les vauriens d’un monde déconnecté du présent et pourtant colonisateur d’un passé qui ne les estime pas légitimes. Le retour du personnage de Sally Hardersty atteste d’ailleurs cette mauvaise appréciation d’une intrigue, qui se désintéresse totalement de son cas et de son challenge, malgré les années de martyrs qu’elle semble avoir traversées. Elle traversera ce village fantôme avec un soupçon d’absurdité, qui ferait rire un troupeau de fans planqués derrière leur portable.
Hélas, tout est dramatique jusqu’à la dernière goutte de sang versée, à l’arrière-goût d’un recyclage qui passe mal et qui manque l’occasion de fêter un retour aux sources. Au lieu de cela, « Massacre à la tronçonneuse » (Texas Chainsaw Massacre) rompt avec une radicalité sans incarnation, sans âme et surtout sans frissons. Ce qui se revendique comme la suite de l’original de 1974 n’est qu’une mascarade, un troll sous un masque de peau humide, où une nouvelle génération confond le gag et le décalage humoristique, comme nous avons déjà pu le voir au sein de la famille complètement barrée. Mais il faut croire que l’on aura tout sacrifié, jusque dans les détails techniques, qui ont poussé un film à développer sa réflexion sociale, où le théâtre des meurtres ne serait que la conséquence de pouvoirs supérieurs et extérieurs.
La mise en place est astucieuse, dans un Texas devenu niche pour de nouveaux investisseurs. Ce n'est pas une modernisation complète, c'est d'ailleurs pour mieux se recentrer décapiter le côté teenager et les bus party. Un régal. Sur une durée plutôt serrer, il y a pourtant quelques relâchement et en même temps bien nécessaires, afin d'essuyer nos rétine gorgées de sang. Une demi réussite car le frisson vient réellement d'une violence extrême loin des intentions de Hooper, mais un plaisir exquis jusqu'à son générique de fin, tant il est bon de respecter l'œuvre originale, sans la dénaturer.