AlloCiné
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Votre avis sur Knock at the Cabin ?
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Bon le film se tient et ne commet pas de faute. Il est un bon film et un bon divertissement.
Je dirais que le seul bémol est le doublage français de la petite fille (et son premier monologue), sinon tout se tient.
L'histoire est cohérent, on a de l'empathie pour tous les personnages pour qui l'on veut qu'on ait de l'empathie. (Je ne sais pas si cette phrase est très française :-/ )
Très bon film.
Je dirais que le seul bémol est le doublage français de la petite fille (et son premier monologue), sinon tout se tient.
L'histoire est cohérent, on a de l'empathie pour tous les personnages pour qui l'on veut qu'on ait de l'empathie. (Je ne sais pas si cette phrase est très française :-/ )
Très bon film.
Excellent film malgré les mauvaises langues dont on se demande pourquoi certains continuent de regarder les films de M. Shyamalan s'ils le détestent autant. Personnellement c'est toujours un plaisir, beaucoup de créativité et ce film ne déroge pas à la règle, avec une bonne réalisation, du suspens et des acteurs convaincants. Après le thème on adhère ou pas mais cela ne change rien à la qualité de l’œuvre.
"Knock at the Cabin" est le nouveau projet du réalisateur M. Night Shyalaman. Souvent décrié par le grand public, c'est un metteur en scène que j'apprécie pourtant beaucoup. Il est particulièrement inventif au niveau de ces histoires et il propose toujours une mise en scène de qualité. Et globalement, ce projet aurait pu être le meilleur exemple pour illustrer son style. Malheureusement, à défaut d'être vraiment très mauvais, ce film se contente juste d'être un correct thriller. Sur ce point, le film réussit pourtant à être vraiment intéressant. Le paradoxe entre ce huis-clos, apportant donc un sentiment de renfermé, et les enjeux étant littéralement gigantesques, la tension est clairement présente durant toute l'œuvre. Le réalisateur parvient d'ailleurs parfaitement à gérer ce sentiment d'angoisse dans sa mise en scène, via des cadres très resserrés. On le voit dès le premier dialogue du film, tourné uniquement en gros plan. L'ambiance prend donc et elle permet à l'histoire de vraiment bien se développer. Elle est assez simple, mais son principe est particulièrement intéressant à mettre en scène au cinéma. Elle reprend l'excellente expérience de pensée dite du "dilemme du tramway". Cette expérience qui doit vous faire choisir entre un groupe d'individus que vous ne connaissez pas et une personne dont vous êtes proche. C'est exactement ce que ce film essaye de reproduire et cela fonctionne bien. L'histoire n'est pas extrêmement rythmée, mais elle réussit à avoir plusieurs bons rebondissements qui viendront parfaitement mettre en scène cette expérience, ainsi que la véracité de cette histoire. Il y a donc beaucoup de questions au sein du film, mais qui ne sont malheureusement pas assez mise en valeur. Quelques défauts viendront gâcher cet ensemble, à commencer par nos personnages principaux. Si les rôles secondaires sont globalement très énigmatiques et intéressants, nos héros sont assez peu attachants. Le film a eu l'intelligence de se commencer de manière immédiate pour favoriser la tension, mais cela enlève donc toutes les possibilités de s'attacher aux personnages. Le montage essaiera de rattraper un peu cela en tentant de nous proposer quelques séquences issues du leur passé au milieu de cette histoire, mais sans que ce parti-pris fonctionne vraiment. Ces scènes ne nous apportent finalement pas grand-chose, et elles sont surtout très mal intégrées au reste de l'histoire. Mais ce qui me déçoit particulièrement avec ce film est un peu le même reproche que j'avais eu pour le dernier projet en date du réalisateur, à savoir sa conclusion. Elle est beaucoup trop explicative ! Elle ne laisse absolument aucun mystère.
spoiler:
Cela passe par le fait de nommer à voix haute le concept des 4 cavaliers de l'apocalypse, ce qui aurait pu rester en simple référence et/ou en détail d'écriture. Mais aussi par le fait de nous montrer une scène qui vient nous expliquer que tout était finalement vrai et que nos héros ont réussi à tout arrêter. Sauf que cette scène dans cette espèce de restaurant aurait peut-être mieux fait de ne pas être intégré. J'aurais vraiment préféré voir le film se conclure plus tôt, ce qui aurait laissé une sorte de suspension d'incrédulité assez intéressante. On aurait pu deviner que cela était vrai, mais sans que l'on ne nous le dise explicitement. Ce qui aurait été beaucoup plus subtil.
Par conséquent, même si le film avait beaucoup de bonnes idées, je lui reproche globalement les mêmes choses que pour "Old", le dernier projet de M. Night Shyamalan. C'est un long-métrage angoissant et stressant, mais qui se loupe notamment beaucoup dans sa conclusion. À l'avenir, plus de subtilités sont donc à prévoir pour ce réalisateur. Pour conclure, un bon moment, mais qui n'est clairement pas parfait.
Par conséquent, même si le film avait beaucoup de bonnes idées, je lui reproche globalement les mêmes choses que pour "Old", le dernier projet de M. Night Shyamalan. C'est un long-métrage angoissant et stressant, mais qui se loupe notamment beaucoup dans sa conclusion. À l'avenir, plus de subtilités sont donc à prévoir pour ce réalisateur. Pour conclure, un bon moment, mais qui n'est clairement pas parfait.
Si vous avez du temps à perdre allez-y sans cela passer votre chemin.
Le casting est bon, c’est bien filmé mais ça n’a aucun intérêt.
Le casting est bon, c’est bien filmé mais ça n’a aucun intérêt.
Film au climat oppressant mais terriblement efficace servi par un excellent Dave Bautista ! Tout en finesse et en retenue malgré son physique impressionnant qu'il arrive à dompter dans son jeu d'acteur de meilleur en meilleur il s'affine se peaufine et n'utilise que rarement sa carcasse de Goliath qui tout se petit monde d'un claquement de doigt " et de bons acteurs "respect" .Sinon j'aime l'idée scénaristique du film et son suspense car on se mets vite fait à la place des protagonistes qui sont dans un éternel dilemme (pas facile)La notion de sacrifice bienfaiteur dans toute sasplendeur.Jaime
Vu Knock at the Cabin Un Shyamalan mineur dont on comprend pas tout les aboutissants. L'avenir de l'humanité ne tient que part un Couple Gay oueh c'est sa. Film vraiment hors sujet avec un Twist qui méritait mieux dommage
Très bon film avec de très bon acteur apart Rupert Grint bonne mise en scène ext mais le couple homosexuel ne fait pas vrai
spoiler:
la fin on dirait que la morale c'est faut que couple homo se sépare pour sauver le monde tout sa est très religieux et en même temps le film défend les homo allor que on a l'impression que non bizzard comme film
mais sans toute cette histoire le film est excellent !
mais sans toute cette histoire le film est excellent !
Du très grand shyamalan.
Comme pour la plupart de ses films, on se pose énormément de questions pendant le film et comme a chaque fois, a la fin, on obtient la réponse a toutes nos questions qui nous scotche complément.
Eh bien pour knock at the cabin, il n'a pas déroger a la règle.
Le scénario est simple mais bien ficelé et la réalisation extrêmement soignée.
Les acteurs sont excellents et leurs jeux de rôles rondement bien mené avec une mention spéciale à un Dave Bautista plus sombre que jamais.
Le film souffre tout de même de quelques longueurs qui nous empêche de l'apprécier a sa juste valeur.
Il reste tout de même un très bon divertissement.
Comme pour la plupart de ses films, on se pose énormément de questions pendant le film et comme a chaque fois, a la fin, on obtient la réponse a toutes nos questions qui nous scotche complément.
Eh bien pour knock at the cabin, il n'a pas déroger a la règle.
Le scénario est simple mais bien ficelé et la réalisation extrêmement soignée.
Les acteurs sont excellents et leurs jeux de rôles rondement bien mené avec une mention spéciale à un Dave Bautista plus sombre que jamais.
Le film souffre tout de même de quelques longueurs qui nous empêche de l'apprécier a sa juste valeur.
Il reste tout de même un très bon divertissement.
Une ambiance d'apocalypse règne alors que le film est un huis clos ce qui est un tour de force, les acteurs jouent très bien et le scénario est original.
Bande annonce très alléchante et au final.....UNE GROSSE ESCROQUERIE. Il est loin le temps de Sixième sens. Pourtant ça part vraiment bien, les intrus sont ils fous ou pas ? Et après bah rien...vide intersidéral et dodo.
Endoctrinement
Avec 'Old', M. Night Shyamalan montrait déjà des signes de manque de vigueur, ici il spoiler: s'écrase dans un raz de marée de mysticisme idiot
.
En opposant la foi à la raison de manière aussi aveugle, lourde et violente, le dernier film de Shyamalan perd non seulement son âme, mais il devient aussi dangereux, surtout avec sa spoiler: conclusion nauséabonde
.
Car, si une foi vous apprend à manquer de respect, à haïr ou à tuer en son nom, vous devez immédiatement vous libérer de telles croyances toxiques.
Personnellement, j'ai acquis suffisamment d'années d'expérience au sein de sociétés gouvernées par les croyances au détriment des connaissances pour savoir que tant qu'elles ne se libèrent pas de cet endoctrinement intergénérationnel, elles ne peuvent pas évoluer intellectuellement.
Et quand, en parallèle, elles acquièrent un pouvoir financier, politique et technologique excessif, elles deviennent un danger immédiat.
1.0/5
Avec 'Old', M. Night Shyamalan montrait déjà des signes de manque de vigueur, ici il spoiler: s'écrase dans un raz de marée de mysticisme idiot
.
En opposant la foi à la raison de manière aussi aveugle, lourde et violente, le dernier film de Shyamalan perd non seulement son âme, mais il devient aussi dangereux, surtout avec sa spoiler: conclusion nauséabonde
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Car, si une foi vous apprend à manquer de respect, à haïr ou à tuer en son nom, vous devez immédiatement vous libérer de telles croyances toxiques.
Personnellement, j'ai acquis suffisamment d'années d'expérience au sein de sociétés gouvernées par les croyances au détriment des connaissances pour savoir que tant qu'elles ne se libèrent pas de cet endoctrinement intergénérationnel, elles ne peuvent pas évoluer intellectuellement.
Et quand, en parallèle, elles acquièrent un pouvoir financier, politique et technologique excessif, elles deviennent un danger immédiat.
1.0/5
Réalisation impeccable de M. Night Shyamalan, on sent la grande maîtrise derrière,
et niveau acteurs mention spéciale à Dave Bautista charismatique dans son rôle.
et niveau acteurs mention spéciale à Dave Bautista charismatique dans son rôle.
Ce thriller, commence très bien et impose un climat à la « Simple Mortel » (1991) de Pierre Jolivet. Malheureusement, il a beaucoup de mal à tenir la durée et là où le film de Pierre Jolivet arrivait à retomber sur ses pattes par une explication crédible, celui-ci, plus mystique, ne convainc pas les esprits les plus cartésiens. On est cependant face à un beau numéro d’acteurs en huis-clos et on se laisse porter par le suspense, même si quelques aspects font trop « fabriqués »
spoiler:
(le quota « diversité » trop appuyé, un cheminement simpliste façon publicité pour la National Rifle Association of America, l’utilisation à outrance de la facilité à laquelle des personnes, adeptes du complotisme (exemple : les « platistes »), peuvent se réunir via les réseaux sociaux pour partager un même dessein, la crédulité des spectateurs envers une certaine télévision d’information par forcément très éthique sur le journalisme, etc.).
J’aurai tellement aimé retrouver le M. Night Shyamalan de ses débuts, beaucoup plus attentif à la qualité du scénario.
J’aurai tellement aimé retrouver le M. Night Shyamalan de ses débuts, beaucoup plus attentif à la qualité du scénario.
Film à la morale plus que douteuse! Une fin tirée par les cheveux une énorme deception! Comment perdre son temps.
Tout le génie de M. Night Shyamalan (quand il ne se plante pas lamentablement) c’est de réussir à constituer des ambiances inattendues, singulières et subtilement décalées. Il en est de même de sa réalisation qui joue avec les cadres et la caméra pour surprendre, amuser et titiller la curiosité de son audience. Cette force lui a permis de mettre au monde de jolis bouts de cinéma tel que le « Sixième Sens », « Signs » ou « Split » (et si on est un peu plus indulgent, le sympathique « The Visit »). Il faut le reconnaître, M. Night Shyamalan a sa « patte ».
Mais voilà, le plus gros défaut de ce réalisateur c’est son besoin permanent et irritant de devoir lever tout doute à la fin de ses fables fantastiques. Il est un peu à l’image d’un sculpteur qui, à chaque fois qu’il présenterait une de ses œuvre, l’exposerait sous une rampe de néons blancs, pleins feux, afin de gommer tout ombre et tout relief. Or le doute est essentiel lorsqu’on traite de l’étrange et il serait opportun que le réalisateur le comprenne un jour. On attend avec impatience un M. Night Shyamalan qui pourra supporter que le dénouement de son intrigue reste en suspension (le plus bel exemple à ce propos en est la fin de « The Thing » de Carpenter, ou même Nolan qui l’avait très bien amené dans « Inception »).
Et forcément, ce « Knock at the Cabin » en est l’exemple type. Une ouverture dans des plans, un montage et une réalisation sublime, fine, rythmée. Une tension amenée crescendo. Des acteurs soigneusement placés et dirigés. Un doute s’instillant partout, chez tous les protagonistes, spectateur compris. Tout se passe à merveille, on oscille d’un état de certitude à un autre. Le plaisir est au rendez-vous, la jubilation monte.
Tout cela pour un final d’une platitude stratosphérique (et c’est peu dire) laissant s’évaporer la magie et le suspens qui s’étaient lovés en nous. Dommage.
Mais voilà, le plus gros défaut de ce réalisateur c’est son besoin permanent et irritant de devoir lever tout doute à la fin de ses fables fantastiques. Il est un peu à l’image d’un sculpteur qui, à chaque fois qu’il présenterait une de ses œuvre, l’exposerait sous une rampe de néons blancs, pleins feux, afin de gommer tout ombre et tout relief. Or le doute est essentiel lorsqu’on traite de l’étrange et il serait opportun que le réalisateur le comprenne un jour. On attend avec impatience un M. Night Shyamalan qui pourra supporter que le dénouement de son intrigue reste en suspension (le plus bel exemple à ce propos en est la fin de « The Thing » de Carpenter, ou même Nolan qui l’avait très bien amené dans « Inception »).
Et forcément, ce « Knock at the Cabin » en est l’exemple type. Une ouverture dans des plans, un montage et une réalisation sublime, fine, rythmée. Une tension amenée crescendo. Des acteurs soigneusement placés et dirigés. Un doute s’instillant partout, chez tous les protagonistes, spectateur compris. Tout se passe à merveille, on oscille d’un état de certitude à un autre. Le plaisir est au rendez-vous, la jubilation monte.
Tout cela pour un final d’une platitude stratosphérique (et c’est peu dire) laissant s’évaporer la magie et le suspens qui s’étaient lovés en nous. Dommage.
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