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    Knock at the Cabin
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    Reynald D.
    Reynald D.

    25 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 février 2023
    Vraiment pas fameux... Scénario vide, pas de suspens, des idées peu exploitées... Il est très décevant, du début à la fin alors qu'on aurait pu attendre un twist final, c'est dommage... Et les effets sont moyens également....
    Brice Escane
    Brice Escane

    9 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2023
    Rien d'inoubliable, mais très bon divertissement. Au-delà du sensationnel, ce film a le mérite d'être surprenant et captivant. Un très bon Dave Bautista qui prouve qu'il n'est pas qu'un bloc de glace. Je recommande.
    Ciera Neko Meresin
    Ciera Neko Meresin

    1 abonné 11 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2023
    Via un scenario inspiré d'un livre, la classique des films du genre de la cabine dans les bois héraut de l'apocalypse, M. Night Shyamalan m'aura quelque peu déçu. Alors oui, peut-être m'attendais-je à une gestion qui ressemble plutôt à ses idées originales avec une écriture des personnages léchées et une direction exceptionnelle ; Ou alors était-ce le choix bon mais pas hors du commun de l'ensemble des acteurs ? Ou bien le fait que ce thème est marqué dans ma mémoire comme étant mieux traité par d'autre réalisateurs ? Au final, l'on ne m'aurait averti que le film était de lui, je n'aurais pas réalisé. J'y allais pour ça, j'en suis revenu penaud.
    Neuropsychologist
    Neuropsychologist

    1 critique Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2023
    Night Shyamalan il force avec le fait d'insérer son nom partout en intro et en clôture de film, et s'insérer en caméo à l'intérieur du film est hasbeen.

    Si vous voulez tout savoir, ce film est une bonne idée produite par un réalisateur de renom avec un rythme très mauvais. Le scénario du film est censé mettre en tension deux personnages clefs de l'histoire jusqu'au point de non-retour mais l'amorce s'éternise et ça a fini par m'ennuyer. Le fait que le film prend un temps considérable à nous mettre en tension et qu'à cela s'ajoute le fait que le film n'est pas du tout graphique car très pudique dans ses scènes "d'horreur", ne fait pas de ce film un thriller/épouvante horreur. Merci à Debbache qui avait parlé de lui à l'époque dans son émission, il y a surement une double voir une triple lecture à transposer avec le monde aliéné d'aujourd'hui, comme peut être le fait que les hommes deviennent imperméable aux autres en devenant adulte pour se protéger de l'horreur du monde, mais sincèrement ça ne justifiera jamais d'aller voir ce film. Le scénario du film est une idée intelligente mais le film était mou. Je finirai juste sur la performance de Batista, cet homme multicasquette passé par la WWE, qui s'est plutôt bien illustré en pieds poing en MMA, qui délivre une super performance. Un homme de plus d'un mètre 90, plus de 120 kg, moins de 15% de body fat, qui joue pas un rôle de mongolio dans un film hyper nerveux, mais joue le rôle d'un hypersensible désabusé qui flirte avec la fragilité d'un pedophile, chapeau. Cela me fait penser à John Coffey mais je compare pas le film avec ce monument, juste l'acting des deux hommes.Bref, Il joue juste j'ai adoré
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    135 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2023
    La dernière image ? La scène emblématique de la douche qui désamorce les rouages du genre, ou celle de la petite qui essaye d'échapper en vain aux griffes de l'"ogre" reprenant les codes familiers du conte...

    Les grands films de huis-clos qui m'ont marqué reviennent facilement. La Corde et son couple homosexuel à l'honneur déjà, Evil Dead et sa cabane dans les bois, Les Oiseaux et sa maison calfeutrée, La nuit des morts vivants et sa cave irrespirable.

    S'agissant de M Night Shymalan, je me rappelle évidemment de Signs. Mais je retiens surtout Le Sixième sens, j'y reviendrai.

    Dans l'ensemble et pour commencer, je trouve difficile de critiquer un film qui contient plus de cinéma que tout se qui sort sur les écrans depuis belle lurette...

    Côté mise en scène, science du hors champ, travail sur l'image, maîtrise formelle, inventivité visuelle, sens du rythme, infernal, nerveux, étouffant, alors que le réalisateur s'entête à contourner tous les "attendus" de ce genre de film, le revisitant de fond en comble en cela, le révolutionnant pour ainsi dire. Des personnages menaçants forcent l'entrée d'une maison, c'est pour mieux entourer les 3 héros de toute leur prévenance (pansement, conseil, pédagogie). Un sacrifice doit advenir c'est l'un des 4 qui trinque... Les codes semblent inversés et l'égoïsme supposé de la petite famille prend une dimension de plus en plus criante à mesure que le monde autour part en fumée. En cela, le film a déjà quelque chose de singulier à nous donner. Et tout don est par définition précieux. A chérir.

    Côté acteurs, brochette franchement fantastique avec une mention spéciale pour Jonathan Groff cet acteur (déjà vu dans Mindhunter) qui va finir par y laisser sa vie en sacrifice :"Donne-moi la mort et je vous laisse la vie !"

    Mais je veux en venir au plus important. La thèse du film qui ferait la part belle aux illuminés de tout poil, nous expliquant que la fin du monde qui est là donnerait raison à ces "fous de Dieu" auxquels il manquerait une case ou deux... Je n'ai pas compris le film comme cela.

    Reprenons les choses depuis leur commencement... La scène d'introduction. On est comme dans un rêve, au ralenti, dans les hautes herbes... Des gros plans, une lumière verticale mais diffuse. Quelque chose déjà nous dit que la réalité n'est pas forcément de ce monde.

    Avez-vous par ailleurs entendu parler de cette cabane vers laquelle on retourne en fermant les yeux lorsqu'il faut se retrouver ? S'échapper du réel ? Nous y voilà... La maison dans la forêt c’est le lieu où l’on se retrouve en pensée… Fermez les yeux et retournez dans cet endroit où vous vous sentez bien… La maison, le lac, les champs de fleurs, les sous-bois odorants, la route qui y mène est réchauffée par les rayons du soleil, on y chante à tue-tête. Mais les sauterelles du printemps ? Prisonnières d’une paroi de verre… En apparence elles sont en prise avec l’extérieur… Pourtant… Elles sont bien prisonnières du verre de ces bouteilles… Comme le spectateur que je suis.

    Je parlais en préambule du Sixième sens (alors qu'on évoque souvent Signs comme référence principale, ce qui se justifie aussi) parce que le point de départ c'est évidemment l'agression (fatale) du psychologue divinement incarné par Bruce Willis. Ici il est également question d'une agression extrême dans le passé des deux personnages principaux ? Lequel d'ailleurs ? Eric ? Andrew ? Sont-ils interchangeables ? Le personnage victime des coups dans le passé survit-il ? En a-t-on la preuve ? La certitude ? Rien n'est moins sûr... Si l'on repense au Sixième sens, le parallèle est éloquent, amène à s'interroger sur ce qui nous est donné à voir de ce monde étriqué, de ces personnages sortis de nulle part.

    Alors quoi ? Une agression qui passe par des coups répétés sur le haut du crâne ? Comme dans le "présent", le personnage incarné par Eric lorsqu'il a ses difficultés à affronter la lumière vive ? Des séquelles déjà de coups violents reçus sur la tête... L'histoire se répèterait-elle ? Et pourquoi donc ces 4 cavaliers de l'apocalypse bienveillants se sacrifieraient-ils via des coups de boutoir assénés au même endroit, sur la tête, tout en haut ? Et quel heureux hasard ferait que l'un des illuminés soit justement l'agresseur surgi d'un passé traumatisant ? Une coïncidence ?

    Quant à ces instruments de torture ne sont-ils dès lors pas une vision déformée de l'attirail du dentiste ou du chirurgien qui trifouille la matière grise de l'homme plongé dans un coma ? Tout ce qui permet d'opérer et d'ouvrir la boîte crânienne…

    Les métiers des cavaliers (évoqués par chacun avec empathie) peuvent aussi évoquer le personnel intervenant autour d'un malade cloué sur un lit dans un coma profond depuis 13 longues années... Une femme qui nourrit (aide qui apporte les repas), une autre qui soigne (infirmière qui prodigue les soins), le troisième, Leonard, qui peut incarner le docteur référent, le professeur… Celui qui peut décider de débrancher le patient avec l'accord du conjoint… Celui qui annonce à l'enfant qu'il "n'aime pas avoir à annoncer ce qui va arriver"... Discours typique du docteur annonçant à la famille une décision importante du corps médical. Je pourrais pousser le bouchon un peu plus loin (c'est mon côté obsessionnel) en rappelant que Léonard a l Envers donne "Dr Anoel". Doctor en abréviation. On extrait aussi aisément de son patronyme les lettres formant "Noah/Noé" le guide d'avant l'apocalypse celui qui sélectionne et sauve des espèces, des vies,... La métaphore filée du médecin ?Mais oui ! En filigrane ce dernier peut comparer ses patients à des élèves dont il aurait la responsabilité... "Certains ont réussi nous dit-il , d'autres on échoué"... Entre les lignes certains sont en rémission d'autres n'ont pas survécu...

    Andrew rappelle à Éric qu'il n'a plus les idées claires. Qu'il est fragilisé, qu'il mélange des choses. Qu'il est manipulé. Au point qu'Eric puisse imaginer par exemple Andrew victime dO'Bannon dans le passé a sa place ? Possible. Il se projette ainsi en lui pour mieux revivre la scène comme spectateur. Faisant face à Andrew. Au restaurant. Comme lorsque Leonard les installe ainsi dans la cabane. Face à face... Eric est naturellement ce patient possiblement cloué sur un lit comme on l'est sur une chaise et ligoté... Immobilisé ? L'engourdissement des jambes d'Andrew plus tard lorsqu'il se libère de ses liens fait écho à ce souvenir diffus d'un homme paralysé qui retrouverait brièvement les sensations vives de l'usage de ses jambes. Les distances sont d'ailleurs toutes courtes ici, l'univers clos. On ne voit jamais l'intérieur des chambres. On ne peut que deviner des choses, comme depuis un lit d'hôpital où le seul univers est sa petite chambre aux draps blancs immaculés. Ceux qu'on glisse sur sa tête avant de tirer sa révérence. Logique un malade ne connait vraiment de sa chambre que le lit et la salle de bains (on la découvre bien ici dans une scène emblématique).

    Evidemment dès lors ce qui revient en flashes back ce sont uniquement les moments les plus marquants de sa vie dans le positif (rencontre entre eux, avec leur fille adoptive) comme dans le négatif (Agression dans le café, premier repas avec les parents de l’un d’eux et la cruelle désillusion qui en découle).

    Il faudrait nous dit-on sacrifier quelqu'un dant le "réel" du film... Or il est rapidement clair que le seul personnage autour duquel le destin du film se joue, celui dont il faudra faire le deuil pour les deux survivants (Wen et Andrew) c'est Éric et personne d'autre... C'est lui qui est assommé au début, qui a des migraines, qui souffre dans la lumière qui pénètre de l'extérieur, qui comprend progressivement quelque chose d'essentiel... Que c'est en partant qu'il permettra à ceux qui lui survivent de reprendre le cours d'une vie plus normale. Une vie nouvelle. New (Wen a l envers, trois lettres bien présentes aussi dans le prénom Andrew),

    On pourrait même penser que le revolver a vraiment été acheté par Andrew dans le passé pour assouvir une vengeance contre l'auteur du crime (O'Bannon) mais que symboliquement en ne l'utilisant finalement pas contre autrui, en ne me retournant que que contre sa famille, contre Eric (on ne voit jamais le moment du coup de feu), Andrew s'est libéré métaphoriquement de sa rage, de sa haine, de sa soif de vengeance, pour mieux pouvoir tourner la page.

    Le film n'est qu'un long apprentissage du deuil. Treize ans de coma peut-être et la décision prise ce fameux jour de débrancher Eric ? Peu importe, ce qui marque c'est l'intuition qu'Eric le comprend subtilement par étapes malgré la résistance d'Andrew qui lui répète "tu n'as pas les idées claires, tu as reçu un choc, ne les écoute pas, reste avec nous". C'est Eric qui prenant conscience d'être le frein à la marche de "leur monde" pousse finalement Andrew à le "tuer", le débrancher, Andrew qui symboliquement accepte de lui dire au revoir, Eric acceptant finalement son sort. Partir, se faire oublier, pour les laisser vivre.

    La dernière scène est bien celle d'une famille recomposée : Andrew et Wen au volant d'une voiture, recréant la scène de la chanson à trois, du bonheur arraché qu'on est prêt à revivre à deux (tentative répétée de refaire partir la musique du poste comme à la grande époque), qui plus est dans la voiture du responsable de leur malheur (O'Bannon), façon de laisser comprendre que le pardon est accordé, que le deuil est assumé, que la vie va pouvoir reprendre, que le monde en somme est sauvé.

    Un bien beau film.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2023
    Knock at the cabin prolonge la réflexion menée par M. Night Shyamalan sur l’héroïsme, notion complexe qu’il fait peser sur des individus ordinaires subitement projetés dans une destinée collective qui les submerge. Le cas présent en constitue peut-être la pièce la plus radicale et pertinente : en jouant sans cesse avec nos attentes de spectateurs, en désamorçant une situation initiale qui s’apparente à un home invasion, en détournant les préjugés qu’incarnent chacun des personnages – Leonard apparaît telle une armoire à glace mais est en réalité un instituteur calme et soucieux de bien faire, Sabrina ressemble à une fervente adoratrice du Christ alors qu’elle se déclare athée etc. –, le cinéaste nous invite à regarder ailleurs : les antagonistes ne sont pas ceux que l’on croit, voire n’existent pas, voire glissent depuis le quatuor armé vers une famille tiraillée entre égoïsme éclairé et altruisme.
    Ainsi, le long métrage postule pour une défiance à l’égard des images, ou plutôt nous convie à reconquérir leur sens. Les reportages en immersion dans des zones dévastées suivent des programmes commerciaux où deux bonimenteurs vous poussent à acheter un appareil ménager pour paner votre poulet, ainsi que des séries animées candides à destination des plus jeunes. Cette invitation à la critique des images vise l’accès à la vérité, présente mais enfouie sous des couches de divertissement régressif et soumise à l’interruption lorsque l’écran est éteint. Ce n’est pas parce qu’on ne le voit pas que cela n’existe pas, adage bien connu qui prend ici une signification particulière puisqu’il associe les théories du complot – par exemple, celle du platisme selon laquelle notre planète est plate sous prétexte qu’elle ne l’a pas vue ronde – véhiculées par les nouvelles technologies à la croyance religieuse vers laquelle tend le long métrage. La clausule insiste sur ce point : ce n’est pas parce que l’on coupe la radio que la chanson favorite du couple n’est pas diffusée. Aussi est-il plus difficile de vivre avec la vérité que dans son ignorance ou dans l’apparence de vérité : le vraisemblable.
    Knock at the cabin repose donc sur une entrée en croyance de personnages sceptiques, comme souvent chez Shyamalan, sur leur accès aux coulisses derrière lesquels suivre le fonctionnement caché du monde et y prendre part. Le culot du cinéaste tient alors au choix d’un couple homosexuel, qui d’ordinaire subit l’égoïsme extérieur – les flashbacks le rappellent : parents incapables de comprendre leurs fils, mensonges à l’orphelinat, violences endurées dans les espaces publics –, comme cellule soumise à un dilemme individuel aux retombées collectives. L’héroïsme ne ressemble plus à ces fantoches numériquement retouchés que déversent les productions Marvel ou DC, il se fait souffrance, malédiction, peuplé de visions cauchemardesques auxquelles nous avons accès d’abord par le récit qu’en font les cavaliers de l’Apocalypse, ensuite par le téléviseur qui les confirme. Nous retrouvons le David Dunn d’Unbreakable (2000), seul rescapé d’un accident ferroviaire qui le conduit à se reconnaître super-héros et à accepter son destin.
    Shyamalan rend légitimes et réalistes tout un panel de figures aussi variées que Jeanne d’Arc, guidée par des voix ; il confond les influences esthétiques et les religions pour aboutir à la célébration du sacrifice ordinaire et anonyme, ce même sacrifice qu’acceptent non sans lutte, jour après jour, des familles pour permettre au monde de tourner et aux autres de vivre. Il le fait toutefois, comme à son habitude, avec une pesanteur théorique qui plombe la dernière partie : le cinéaste a systématiquement ce besoin de tout expliquer, de lever le mystère au nom du tout-puissant « twist ». Pourquoi expliciter les cavaliers de l’Apocalypse ? pourquoi filmer les documents d’identité de chacun ? Aucune confiance n’est placée en un spectateur guidé par un gourou omnipotent, qui devrait apprendre à laisser les portes de son univers ouvertes à l’interprétation plutôt que de les fermer toutes à double tour. Reste une œuvre originale et intelligente, portée par une mise en scène soignée et des acteurs convaincants.
    Hervé L
    Hervé L

    73 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2023
    Un film original un scénario intéressant sur l'idée du sacrifice individuel permettant de sauver quelque chose de plus grand. L'ambiance est singulière et les acteurs crédibles dans ce jeu difficile et cruel
    Housecoat
    Housecoat

    122 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2023
    Les années ont été bénéfiques pour M.Night Shyamalan qui a gagné en humilité pour mieux se concentrer sur l’artisanat de ses films à destination du public, toute proportion gardée, car Knock at the Cabin laisse encore apparaître son égo (la présence de Dieu et les longs monologues sur la religion). En laissant ça de côté, le thriller monte formidablement en tension (l’intro) et rythme parfaitement les événements et les flashbacks pour fracturer petit à petit les visions préconçues de ses personnages, victimes comme envahisseurs, jusqu’à les obliger à devoir faire des choix qu’ils étaient incapables de faire auparavant. Exploitant parcimonieusement les problèmes sociaux actuels en laissant parfois le sensationnalisme prendre le dessus, Knock at the Cabin est un film honorable du réalisateur qui a trouvé son rythme de croisière.
    Da D
    Da D

    3 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 février 2023
    Alors, quoi dire? On connait le réalisateur, c'est toujours maîtrisé en terme de réalisation (plans, couleur, musique), le casting est parfait mais après au niveau du scénario, c'est farfelu!
    Je n'en dirai pas trop, mais je suis très déçu par la fin, alors qu'il nous a toujours habitué à un twist original, mais là c'est trop téléphoné, aucune surprise.
    Bof Bof
    Thomas P.
    Thomas P.

    47 abonnés 62 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 février 2023
    Les acteurs en font un peu trop mais c'est une mise en scène intéressante du dilemme philosophique du sacrifice d'un proche pour éventuellement réussir à sauver des inconnus. Un bon Shyamalan.
    TwentyEight
    TwentyEight

    4 abonnés 139 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 février 2023
    Ce film est tout simplement nul, il n'y a rien à sauver.
    Vous allez vous faire chier du début à la fin tellement c'est vide de sens.

    Les acteurs joue très mal, ils voient un type se faire exploser le crânes avec une hache mais bon aucune réactions, comme si c'est tout à fait normale.

    La mise en scènes est pauvre pour pas dire médiocre.

    Les effets visuels sont grotesques.

    L'histoire parlons en : 4 types débarquent de je ne sais d'où, pourquoi eux on ne sait pas, qui viennent dans un couple de père et leur enfant adoptée pour soit disant sauver l'humanité. L'un des trois doit tuer l'autre pour arrêter l'apocalypse, Pourquoi cette famille, on ne sait pas.

    Passez votre chemin ça n'en vaut pas la peine
    remyll
    remyll

    189 abonnés 433 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 février 2023
    Le scénario d’une cruauté inouïe (mais sans trop montrer d’hémoglobine) mélange les grandes peurs lancinantes de notre civilisation actuelle avec le message apocalyptique de quelques groupes américains sectaires et fanatisés. Mais cela relève plus du salmigondis pseudo-religieux que d’une thèse bien fondée. Dommage car le fond de ce sujet pourtant très intéressant n’est jamais évoqué clairement. Dommage.
    Marie Dusserre
    Marie Dusserre

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2023
    je n'ai pas du tout aimé. le scénario est bidon, dénué de sens, voire grotesque. On a du mal à croire à cette farce.
    Yannick Dessenante
    Yannick Dessenante

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2023
    Déçu perte de temps autant rester chez soi je ne sais pas comme il peut atteindre 3 étoiles.
    Difficile de savoir où il veut en venir à part une pseudo moral.Je vous conseille de passer votre chemin
    Clement Kuhn
    Clement Kuhn

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 février 2023
    Le film n'a aucun sens, le suspens est vraiment nul.. Le réalisateur devait sans doute être obliger de sortir un film..
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