J'ai adoré ! Chabat se la joue très naturel, et tout le film est ainsi... la vraie vie... les émotions... les délires... la spontanéité... Et Bae Doo-Na est si belle 🥰
12 minutes et rien ne se passe. Il n'y a pas de relief dans les dialogues. deux personnes discutent, mais chacun sors sa partition, chacun de son côté. Chabat ne relève pas le niveau. et Blanche Gardin est insupportable avec son accent forcé. j'attends la partie en Corée, avant de donner un avis final. J'ai encore un peu persévéré, mais je n'accroche pas.
La bande annonce dirigeait vers une comédie romantique avec Alain Chabat et Blanche Gardin, et un voyage en Corée du Sud. C'est très trompeur. Tout comme le titre. Le film s'intéresse à un homme qui passe à côté de sa vie et des gens, la tête ailleurs, et qui va tout planter pour rejoindre à Séoul une inconnue avec qui il échange sur les réseaux sociaux. Il va d'ailleurs rester plusieurs jours à l'aéroport à attendre celle qu'il idéalisé... qui fait ça ? Bref, c'est du cinéma et les comédies romantiques nous gavent de scènes bigger than life amors pourquoi pas ? Sauf qu'il n'y aura aucune romance. Le film met plus mal à l'aise et frustre. Alors le portrait est étonnant et non dénué d'intérêt car rare, mais il n'amène aucune empathie justement.
J'ai vraiment été surpris! Un film poétique, rempli de tendresse et de douceur. Une belle histoire de courage et d'amour menée par un grand Alain Chabat. Un coup de coeur pour cette réalisation.
Le film peine à trouver son sujet et tourne un peu en rond comme Alain Chabat dans l'aéroport pour finalement nous interroger sur la paternité plus que sur l'amour numérique.
Stéphane est chef cuisinier dans le Pays Basque, divorcé et père de deux garçons qu'il n'a pas toujours pris le temps de voir grandir. Il mène une relation presque-épistolaire avec Soo via Instagram et décide un jour sur un coup de tête de la rejoindre en Corée du Sud afin de voir les cerisiers fleurir.
Je n'ai jamais aimé Les Nuls et j'ai trouvé La cité de la peur très lourdingue. Mais Alain Chabat survole tout ça avec une grâce depuis tant d'années; je n'ai d'ailleurs pas le souvenir de ne pas l'avoir apprécié dans un rôle ou même lors d'un simple passage télé. D'aucun dirait qu'il fait du Alain Chabat dans chaque film mais c'est ça que j'aime ! Ses fins de phrases qui semblent prononcées que pour lui, cet humour absurde et surtout ce regard !
Alors oui le film est plutôt contemplatif et très français, et ça tombe bien puisque j'adore ce style. Oui il fait penser au Terminal avec Tom Hanks, à Lost in translation, ... Mais aussi à Citizen Kane puisqu'à un moment il y a un type qui passe au fond à gauche avec des oreilles. Bref, je me fous de ça, le plus important est que j'ai aimé et que ce film m'a mis le sourire même si tout n'est pas facile pour Stéphane.
Très bonne interprétation d’Alain Chabat. Un film plein de poésie sur le choc des cultures, on s’identifie rapidement au personnage paumé dans un Séoul bien restitué. Une bonne surprise
Conte moderne, cosmopolite et connecté, #JeSuisLà emmène le spectateur dans un voyage initiatique. Ce voyage, c'est Stéphane (alias Alain Chabat) qui le fait vers lui-même, fuyant sans doute l'incapacité de Blanche Gardin à adopter l'accent basque. Arrivé en Corée sur un coup de tête, le dépaysement l'amène à communiquer différemment avec les autres, pour mieux se découvrir. Partageant son aventure sur les réseaux sociaux, ce french lover devient influenceur malgré lui. Seuls ces médias de notre époque ont cette capacité de traverser les frontières et d'exciter les imaginaires au-delà des géographies et des langues. Dans sa quête, le héros s'émerveille de l'architecture, de la cuisine et des coutumes, en particulier le nunchi : "C'est marrant qu'ils marquent les restos avec une fourchette ici et pas avec une baguette." Son parcours le ramène vers ses fils, inquiets pour lui, comme si l'éloignement lui donnait soudain un regain d'intérêt à leurs yeux, loin du train-train quotidien de leur Pays Basque natal. Une belle aventure à voir avec des yeux d'enfants.
Afin de lutter contre une certaine solitude, Stéphane surfe sur les réseaux sociaux et entretient une relation à distance avec Soo une Sud-Coréenne. Il décide un jour d'aller la rencontrer dans son pays. Malgré sa promesse de l' accueillir a l aéroport, elle n est jamais venue. Va alors commencer pour Stéphane une longue attente dans cet aéroport... car jamais il ne désespère et va croire jusqu au bout qu elle viendra... Il va faire de belles rencontres humaines... Une solidarité va se mettre en place autour de lui, quelle curiosité ce français qui reste la par amour.... Très beau film, plein de poésie, très touchant avec un Alain Chabat qui joue magnifiquement bien ce rôle d un homme sincère, qui ne triche pas et qui a voulu tellement croire que cela était possible ! Un très beau conte alchimique !
A mi chemin entre ‘Le terminal’ et un ‘Lost in translation’ à la française, #jesuislà voit un restaurateur français tout plaquer pour partir à la rencontre de la femme sud-coréenne avec qui il communique sur les réseaux sociaux. Une fois sur place, rien ne se passe évidemment comme prévu, sa correspondante n’est pas là et le Français se retrouve coincé dans l’aéroport d’un pays dont il ne maîtrise pas la langue et ne comprend pas la culture. Le ton se veut néanmoins léger et c’est la raison pour laquelle c’est le toujours sympathique Alain Chabat qui campe ce personnage lunaire, qui tente de s’adapter bon gré mal gré à sa situation absurde (il ne veut ni rentrer chez lui ni quitter l’aéroport, au cas où Soo apparaîtrait). #jesuislà est un film bienveillant mais heureusement sans niaiserie : Stéphane finit par percer la carapace de réserve des Coréens qu’il croise à l’aéroport et devenir à son insu une célébrité médiatique, puisqu’il poste sans le savoir sa communication à sens unique avec Soo en mode public. Implicitement, cette odyssée immobile est aussi l’occasion de se poser, de réfléchir au chemin parcouru, à celui qui reste encore à parcourir, de couper les liens en trop et d’en tisser de nouveaux. On dirait le film typique d’un homme en pleine crise de la cinquantaine…mais qui ne le vit pas trop mal !
Pas eu envie de voir ce film à sa sortie en salle mais curieux de voir ce que pouvait donner l’actrice sud-coréenne Doona Bae dans un film français. Et puis les films d’Eric Lartigau…Je les vois surtout pour les acteurs. Sans crier au génie, celui-ci est plutôt mieux réussi que les autres. L’histoire est classique et sans surprise, on ne s’ennuie pas et il y a même un petit suspens. Alain Chabat cabotine bien mais il est plutôt touchant. Quant à Doona Bae elle apparait en fait très peu. Surtout pour une (assez longue) scène dans la dernière partie. Elle y est bien sûr impeccable. Et tout en français. Sans parler de surprise, voilà un petit film qui se laisse regarder, souvent drôle et émouvant, mais qui ne restera pas les mémoires bien longtemps.
Découvert par pur hasard, il est passé sur TF1, j’ai décidé de le regarder. Globalement ce n’était pas trop mal même s’il y a un gros déséquilibre dans le film. Une histoire toute simpliste mais qui n’est pas désagréable ou ennuyante à suivre. Alain Chabat est attachant dans son rôle. De jolis plans.
Le film #Jesuislà, réalisé par Eric Lartigau, présente une histoire intéressante sur les relations en ligne et l'amour à distance. Cependant, malgré son sujet prometteur, le film a quelques défauts qui le rendent difficile à recommander.
Tout d'abord, le scénario manque de profondeur et d'originalité. Les thèmes abordés dans le film ont déjà été explorés dans d'autres œuvres cinématographiques, et #Jesuislà ne parvient pas à ajouter une touche nouvelle à ces thèmes.
De plus, les performances des acteurs sont inégales. Si certaines scènes sont bien jouées, d'autres semblent fortement surjouées et peu naturelles. Cela donne l'impression que les personnages manquent de crédibilité et d'authenticité.
Enfin, la réalisation est également un peu décevante. Bien que le film soit tourné dans des endroits magnifiques, les plans sont souvent trop longs, et certains passages sont confus et difficiles à suivre.
Dans l'ensemble, #Jesuislà a du potentiel, mais il ne parvient pas à atteindre les attentes. Le film manque d'originalité, les performances des acteurs sont inégales, et la réalisation est décevante. Pour ces raisons, je lui attribue une note de 2/5.