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S5Clem
82 abonnés
435 critiques
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4,0
Publiée le 9 mai 2020
Très joli film qui ne cherche pas à faire dans l'extravagance ou la scène tire-larme à tout prix. On a droit ici à une invitation simple au voyage, au Carpe Diem, au laisser-aller. Une sympathique histoire de rencontres, de voyage et de découvertes, où l'on ne cherche rien d'autre que Vivre et profiter simplement de l'instant présent. Une histoire banale mais d'actualité, qui mélange habilement vie numérique et vie réelle. Porté par un Chabat au top de sa forme pour ne pas changer. Il est le principal élément de la réussite du film, c'est toujours le même plaisir de le retrouver à l'écran. Superbement filmé et très justement interprété, un très bon moment à ne pas manquer
J'aime bien Chabat mais force est de reconnaître que cette comédie dramatique, sans être déplaisante, tourne un peu en rond, avec quelques grosses ficelles. ce film traîne son spleen, comme le sparadrap du capitaine Haddock, et faut aimer....C'est pas nul, mais ça vaut non plus les hourras de la foule. Reste un Alain Chabat, toujours très juste
C'est l'histoire d'un restaurateur du Pays basque qui après avoir échangé quelques messages sur Instagram avec une coréenne décide d'aller la voir à Séoul. Celle-ci lui pose un lapin et il reste à l'aéroport pendant 11 jours pour l'attendre puis il finit par la retrouver. Voilà ... Tout est dit ... C'est un film sans intérêt et sans fond. Il se veut moderne (cuisine, art et Instagram) mais il est raté et sans intérêt. Les incrustations d'échanges de messages sont sans intérêt. Alain Chabat ne peut, à lui seul, sauver ce film.
Grand fan d'Alain Chabat, j'ai trouvé ce film bien terne. Voulant certainement dénoncer l'hyper connexion, Eric Lartigau nous abreuve de tweets tout au long du film pour au final pas grand chose. Cette œuvre se veut poétique mais ne vaut que par la brève découverte des paysages et de la culture sud-coréenne. Vous l'aurez compris, cette comédie numérique qui se veut originale ne décolle que trop rarement et souffre de nombreuses longueurs.
Stéphane est bien entouré avec ses deux fils, son ex-femme, ses amis et son restaurant. Mais sa vie, du moins le ressent-il, manque de piment. Ce petit quelque chose en plus, il le trouve dans ses échanges avec Soo, sud-coréenne. Lorsqu’il décide sur un coup de tête de prendre l’avion pour Séoul, il ne se doute que sa vie va changer. #Je suis là a pour moi un seul défaut majeur, le #... Plutôt introspectif comme film, l’association outrancière des réseaux sociaux est inutile. Ses interactions avec une série de personnages sympathiques et gentils ne dépendent pas vraiment de ce qu’il publie sur les réseaux sociaux. Passé cette constatation, il faut bien admettre que le film est beau, beau dans ce qu’il raconte, beau dans la naïveté de Stéphane. Alain Chabat est un acteur accompli capable de faire un rire tout en étant touchant. Son personnage a dans le regard une fragilité assumée. Il assume totalement sa situation. Avec #Je suis là, Eric Lartigau signe un film plus profond qu’il n’y paraît et remet en cause les envies d’ailleurs de tout un chacun.
j'attendais avec impatience ce film. L'intrigue jusqu'au 2/3 du film est parfaite, on n'attend avec impatience la rencontre, on se demande pourquoi Chabat attend... Qu'est-il arrivé à Soo ?!? Malheureusement, c'est après que la bât blesse, spoiler: la rencontre est décevante, on aurait espéré un décès, une histoire grandiloquente du pourquoi de l'absence de Soo, mais non, le scénario passe à travers pour se recentrer sur la relation père-fils, pas ce que j'attendais réellement. Sympa, mais pas abouti, ou plutôt mal abouti. Tant pis...
Une comédie 2.0 dénonçant les abus des réseaux sociaux, si la première partie est honnête, la deuxième plutôt surprenante, la dernière partie qui dérape sur les relations père-fils n’a ni queue ni tête. Sorti d’Alain Chabat que l’on a plaisir à revoir, cette comédie se déguste comme de la guimauve et rien de plus.
Tendre petit film sans prétention, à voir sans prise de tête; je n'aurais jamais pensé que ce film me plairait autant, d'ailleurs voir autant de critiques négatives est assez décourageant mais c'est toujours bien de se faire une propre idée. Alain Chabat est impeccable dans son rôle. Ce film sort un peu de l'ordinaire, fait réfléchir, fait du bien.
Malgré une approche originale et une idée de base sympathique, le film s'avère fade car simple spectateur de sa propre histoire. Ni vraiment drôle ni jamais émouvant ou dénonciateur, la caméra nous propose simplement de suivre un moment de vie sans nous impliquer ou nous faire voyager, sans critiquer ni encenser son support.
Sans Alain Chabat pour le porter à bout de bras, le film serait même à classer dans la catégorie des œuvres rapidement oubliables...
Hormis le fait que ce film laisse à réfléchir spoiler: sur les rapports virtuels et superficiels entre les gens ......mais.......après, pas sur que pour arriver à cette réflexion on est besoin de subir ce film moyen même si j'aime bien Alain Chabat. Les longues séquences dans l'aéroport sont digne de terminal avec T.Hanks et lassantes spoiler: puis le reste passe en étant cool et déçu pour le personnage de cette rencontre physique morte/née après avoir fait l'effort de se déplacer . .
çà démarre plutôt bien, un peu long mais c'est pas mal. On veut croire que cette relation virtuelle puisse aboutir à une rencontre réelle. Malheureusement , Stéphane achète un billet d'avion et part en Corée sans demander à son amie virtuelle si elle est d'accord. Il l'avertit une fois parti ,spoiler: mais elle ne sera pas au rendez vous car elle n'est pas intéressée par une rencontre en réel avec lui. Il va rester une dizaine de jours dans l'aéroport de Séoul à attendre. Au bout de quelques heures j'aurais déjà fait demi- tour. La partie Séoul aéroport est un non sens. Et j'en sais quelque chose , car j'ai rencontré plusieurs personnes étrangères en France et à l'étranger bien sûr. Le but du film est de dire qu'il ne faut pas rêver, les choses les plus importantes sont autour de nous. Et je suis en désaccord total avec le réalisateur.
Éric lartigau signe un film d'une lenteur et d'une platitude inexplicable et incompréhensible. Déjà le scénario sur lequel repose le film est bien mince et de plus il est étiré au possible du coup on assiste à un enchaînement de scènes inintéressantes et même parfois presque grotesques comme lorsqu'il se met à cuisiner dans les cuisines de l'aéroport. On assiste à une sorte de Lost in translation la poésie en moins, The terminal l'intérêt en moins du coup il ne reste que l'ennuie. Alain Chabat ne suffit pas à donner de l'intérêt à ce film qui est dénué de sens.
Un film parfois ennuyeux, à l'image du personnage principal qui s'ennuie dans sa vie, se cherche et traverse une forme de crise existentielle. La mélancolie douce amère qui baigne ce film n'est pas sans rappeler "Lost in translation" , et les errements de son protagoniste. Cependant, on se surprend à suivre les déambulations et la ténacité de Stéphane , ses rencontres et finalement le fait de se trouver lui même et retrouver les siens. Au final, si Chabat n'etait pas là , le film n'aurait sans doute pas le même capital tendresse.