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Tout d'abord dire que j'aime beaucoup Alain Chabat et que j'ai apprécié certains films d'Eric Lartigau mais j'ai trouvé celui-ci assez faible. Peu d'humour et/ou de poésie dans les interactions, la Corée joue les utilités et quand Alain Chabat erre tout seul dans l'aéroport de Séoul on a l'impression de le voir jouer le chien Didier....
Un personnage bizarre que ce Stéphane Lucas, qui vit un peu seul dans sa tête et dans sa vie, à la fois attaché à son terroir et sa famille mais capable de tout plaquer, d'un côté chaleureux, romantique, rêveur, et de l'autre taiseux, routinier et n'écoutant personne... C'est un grand plaisir de retrouver Alain Chabat mais pas sûr que lui même sache quoi faire avec ce personnage à part lui donner un côté lunaire à la façon d'un Pierre Richard... Globalement je suis resté sur ma faim, et mention spéciale pour la bande originale qui est particulièrement atroce pour les oreilles...!
Vraiment beaucoup aime ce film fin et sensible, amusant et décalé, entre France et Corée du Sud.
Un grand moment de plaisir du début à la fin. Chabat est extra.
Un grand moment de plaisir du début à la fin. Chabat est extra.
J'ai eu tout d'abord du mal à entrer dans le film, la faute à un préambule un peu long autour d'un mariage. Mais le douce musique de Chabat nous fait tenir jusqu'à son départ à Séoul. On oscille alors entre Le terminal et surtout Lost in translation. J'étais resté un peu en dehors du film de sofia Coppola. Etait-ce une question d'humeur ? Quoi qu'il en soit, la tendre mélancolie qui se dégage du film de Lartigau m'a elle gagné. La partie "romantique" du film étant très intelligemment gérée pour ne pas tomber dans les poncifs, on a vraiment le sentiment de voir "autre chose", d'être dépaysé et pas seulement parce que nous sommes en Corée. La critique des réseaux sociaux n'est pas ce qui m'a le plus interpellé dans le film : je ne suis pas sûr que le film avait besoin de tirer autant sur ce fil là même si j'en comprends l'intention narrative dans cette quête d'un homme qui essaie de (re)trouver soi-même pour retrouver sa place parmi ses proches.
Très bon film avec Alain Chabat juste et chaleureux. Les critiques sont dures à croire que certains sont passés à côté du film... Ce film apporte de la fraîcheur. Il évoque le partage, la curiosité, la découverte d'un pays, d'une culture différente, l'intelligence émotionnelle. Bonus : Très jolie musique.
Une comédie ?! non on ne peux pas appeler ça une comédie loins de la car qu'elle scène bien qui sont souriante et d'autres plutôt bonne mais pas drôle car ça ne l'ai pas . Un film romantique oui plutôt car une bonne comédie romantique mais sans plus Alain Chabat et plutôt bon comme l'actrice Coréenne mais le reste des acteur français pas terrible. Un homme qui discuté sur instagrame avec une femme coréenne a propos de la nature et les arbres au bout de plusieurs mois de dicution il décide de partir en Corée la rencontrer elle lui promet de venir le chercher à l'aéroport mais quand il arrive elle n est pas la et ne répond pas à sont message il va la chercher et il va lui arriver pleins de chose farfelue . Un film français qui met en vedette la Corée mais qui en montre que très peux finalement c'est frustrant.
J'ai beaucoup aimé la première heure du film, poétique et amusante. Mais la dernière demi-heure, qui tourne au mélo familial sans intérêt, est extrêmement décevante. Chabat est très touchant dans ce rôle qui lui va comme un gant.
Une belle histoire sur le thème des réseaux sociaux et des relations virtuelles avec un scénario bien écrit. Sans oublier le voyage en Corée du Sud qui donne envie d'aller découvrir ce pays. Alain Chabat joue parfaitement son rôle. Par contre, Blanche Gardin qui prend l'accent du sud-ouest, ce n'est pas possible (ça parait surjouer) !!
Surprenant, voilà un moment très agréable tout en douceur. Plaisir de voir Alain Chabat aussi beau à l'écran. Admirable travail du directeur de la photographie Laurent Tanguy. Regrettable que la mise en scène d'Eric Lartigau ne soit pas totalement au rendez-vous. Comme il est décevant le peu de présence à l'écran de Bona Bae, la faute à un scénario lost in translation de la vie. Boulevardducinema.com
Un très bon film d'Eric Lartigau avec Alain Chabat en Corée du Sud avec Donna Bae et Blanche Gardin. Une très bonne comédie.
Vraiment décevant. La bande annonce est même mieux que le film, de plus Alain Chabat n'exprime rien, il nous a habitué à mieux
Cette comédie me fait penser à Lost in translation pour le dépaysement et l'espèce de noman' land qui permet de se retrouver; un peu aussi à Her pour les rencontres virtuelles qui donnent le vertige et une grande solitude charnelle. Dans les 3 films le héros que ce soit Alain Chabat, Bill Murray ou Joaquin Phœnix est extraordinaire, rien que pour eux ça vaut la peine d'être vu. Mais Lost on translation dépasse #Je suis là, avec plus d'humour, de dérision et moins d'eau de rose, je vous le conseille encore plus de 10 ans après.
La cinquantaine est également une crise existentielle qu'il faut donc passer, subir ou (sur)vivre. L'occasion définitive et salvatrice d'être enfin en accord avec soi-même? Et si cette étape régénératrice s'accompagne d'une maîtrise incontrôlable des réseaux sociaux, qui permet à cette génération discrète et investie qui les découvre de prouver aux yeux du monde qu'elle existe et vit également. Voilà donc le pitch de cette comédie rafraîchissante et sincère, qui sait manier les standards français dans l'art de la comédie, en lui donnant un réalisme et une modernité étonnante et authentique. La partie coréenne est la plus réussie, apportant une prise de recul au récit, et de jolis moments de comédie, particulièrement dans la confrontation et l'échange de deux modes de vie et de coutumes bien différents. "#JeSuisLà" lorgne beaucoup sur le "Terminal" de S.Spielberg et sur "Lost In Translation" de S.Coppola, et sans être un film percutant, sillonne son identité un peu empreinte avec un plaisir évident. A.Chabat y est magistral, jouant de subtilité, de naturel, de drôlerie, de détresse et de beaucoup de tendresse: à défaut d'une performance à César, une performance de coeur. E.Lartigau réalise un film d'une jolie sensibilité, pas toujours égal dans la longueur, mais solide dans sa volonté de surprendre par la simple et spontanée affection qu'il nous transmet.
C'est un beau film rempli de poésie et de belles photos. Chabat est génial (mais bon je l'adore...). Pas mal de questions pour nous faire réfléchir.
Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est le partage et la communication qu'ont tous les amoureux de la cuisine; sans parler la même langue, ils se comprennent à travers l'élaboration de petits plats délicieux.
Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est le partage et la communication qu'ont tous les amoureux de la cuisine; sans parler la même langue, ils se comprennent à travers l'élaboration de petits plats délicieux.
ayant eu des problèmes sur notre internet FREE, notre FAI nous a offert ce film en dédommagement... A l'heure actuelle, je me demande souvent comment il est possible de réaliser des films qui pourtant demandent un certain budget, (un certain nombre de signatures de partenaires donc) avec des sénari aussi peu ambitieux, aussi maigres, voir même sans intérêt aucun.
La seule réponse que je trouve pour la réalisation de ce film c'est qu'Alain Chabat avait envie de faire un voyage en Corée du Sud et avait envie de se le faire payer par tous ceux qui ont payés pour voir ce film. Je ne doute pas qu'il ne s'est pas ennuyé lui là bas, différemment de moi durant toute la trop longue durée du film.
C'est exactement ce que je m'étais déjà dis quand j'avais vu un autre navet avec Florence Foresti : "Hollywoo". Mais visiblement la leçon est dure à comprendre car j'ai aussi malheureusement vu avant ça "BROKEN FLOWERS" avec Bill Murray et plus récemment "Tenet".....
La seule réponse que je trouve pour la réalisation de ce film c'est qu'Alain Chabat avait envie de faire un voyage en Corée du Sud et avait envie de se le faire payer par tous ceux qui ont payés pour voir ce film. Je ne doute pas qu'il ne s'est pas ennuyé lui là bas, différemment de moi durant toute la trop longue durée du film.
C'est exactement ce que je m'étais déjà dis quand j'avais vu un autre navet avec Florence Foresti : "Hollywoo". Mais visiblement la leçon est dure à comprendre car j'ai aussi malheureusement vu avant ça "BROKEN FLOWERS" avec Bill Murray et plus récemment "Tenet".....
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