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    #Jesuislà
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    2,4
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    255 critiques spectateurs

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    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2020
    "Je suis là" , selon moi, n'est pas une comédie romantique, ni vraiment une réflexion sur le monde virtuel comme on peut l'entendre parfois. Instagram est bien entendu très présent mais, en dehors de quelques scènes où Stéphane a les yeux rivés sur son téléphone au lieu d'écouter son interlocuteur, l'idée qu'il privilégie les relations fictives aux réelles n'est pas mise en avant et il apparait au contraire comme quelqu'un de très sociable et de contact facile.
    C'est donc pour moi "juste" un film sur un homme qui se sent seul, un peu désabusé par la vie et qui sur un coup de tête va oser bouleverser ses habitudes pour partir en Corée du Sud à la rencontre d'une femme qu'il ne connait que par le biais de réseaux sociaux. Si le réalisateur avait voulu faire une critique acerbe de notre monde connecté, il aurait pu prendre quelqu'un de plus jeune, plus innocent, plus susceptible de subir une désillusion quand le personnage de Chabat a assez de bouteille pour savoir ce qu'il veut. Son optimisme béat à tout épreuve montre d'ailleurs bien qu'il n'est pas désabusé par l'échec de son entreprise amoureuse, que son seul but était d'aller au bout de son idée.
    Seulement, le scénario survole ce qui devrait être important (la solitude, les relations entre le père et ses fils par exemple) et aucun message ne passe vraiment. Nous avons heureusement le droit à une très belle photographie du Pays Basque (au début) et de la Corée (à la fin), et au milieu un remake asiatique du "Terminal de Spielberg" avec un long moment d'errance dans l'aéroport de Séoul.
    Chabat est, avec la petite balade touristique en Corée, le principal attrait du film qu'il tient sur ses cheveux grisonnants et sans lui #jen'auraisplusétélà. Quant à l'accent de Blanche Gardin, il cherche son chemin entre le Pays Basque et le bar de la Marine chez Marius et César et cela sonne horriblement faux.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    689 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 décembre 2020
    #Jesuislà commence comme une comédie romantique des plus conventionnelles avant d’enchaîner les surprises, d’amorcer des virages à 180° qui le rendent rapidement imprévisible, qui redéfinissent sans cesse sa trajectoire initiale pour se saisir de l’errance de son personnage principal comme du rapport au monde d’un certain type d’homme occidental perdu dans ses relations réelles et virtuelles. Car le long métrage d’Éric Lartigau interroge en profondeur notre société-images et les illusions qu’elle occasionne : qu’y a-t-il derrière une photographie, que comprendre d’un texto ? En inscrivant la relation entre Stéphane et Soo dans un cadre culturel différent – France et Corée –, le réalisateur rend manifeste le clivage entre deux conceptions du monde, deux sensibilités, deux idéologies différentes et qui s’opposent parce qu’elles ne réussissent pas à se comprendre l’une l’autre. Il manque le nunchi, cette capacité d’écouter les autres afin de s’harmoniser avec leur intériorité : le père et restaurateur tend l’oreille de façon distraite, fasciné par son téléphone portable et les promesses qu’il entretient jour après jour. Dès lors, la distance géographique entre le Pays Basque et Séoul est une métaphore, elle symbolise le voyage d’un père à la redécouverte de lui-même et de ses fils. L’intrigue romantique mute rapidement, devient un récit de la (re)filiation qui tire des cerisiers en fleurs les conditions d’une floraison nouvelle et véritable. Porté par un Alain Chabat aussi attachant qu’émouvant, #Jesuislà constitue une bonne surprise, originale et audacieuse, malheureusement desservie par la faiblesse de sa mise en scène – nous sommes loin de The Terminal signé Steven Spielberg – et des longueurs certaines. Voilà pourtant un film qui rappelle que la meilleure manière de trouver l’harmonie avec soi-même et les autres réside dans la conversion de la virtualité en réalité. Une belle idée.
    Luc Chataigne
    Luc Chataigne

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2020
    L'idée de retrouver le duo acteur réal de Prête moi ta main étais une belle promesse hélas décevante.
    Si Alain Chabat est formidable comme souvent, touchant comme toujours, le film est au final assez décevant, un peu plat.
    Christiane Delanoue
    Christiane Delanoue

    2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2020
    Grosse déception
    Je me suis ennuyée à mourir
    Un film qui tire en longueur sans surprise
    Dommage, j’adore Alain Chabat et les extrais de ce film étaient alléchants
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 avril 2020
    J'ai trouvé ce film très reposant et émouvant a regarder pour le plaisir de voyager et de voir le coté touriste familier avec les coréens, ça m'a fait rire de mignonnerie et de voir aussi qu'il a réussi a se retrouver avec lui même c'est beau, c'est magique et
    Tim93
    Tim93

    31 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2020
    Eric Lartigau ("La Famille Bélier", "Prête-moi ta main"), avec Alain Chabat en tête d'affiche, propose un film contemplatif sur un cinquantenaire perdu et déconnecté dans la vie qu'il mène et qu'il cherche à trouver un second souffle en cherchant l'amour à l'époque des réseaux sociaux. Un film sympathique et entraînant mais pas forcément facile d'accès et présentant certaines longueurs. Alain Chabat porte parfaitement sur ses épaules le rôle de son personnage.
    FaRem
    FaRem

    8 657 abonnés 9 533 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 avril 2020
    La frontière entre le virtuel et le réel semble inexistante de nos jours avec les réseaux sociaux et pourtant elle est bien présente. C'est ce que va découvrir Stéphane, un restaurateur au Pays Basque, qui décide de tout plaquer pour partir en Corée pour rejoindre une femme avec qui il échange depuis plusieurs semaines sur Instagram. C'est déjà assez dur dans la vie d'avoir la certitude des sentiments de quelqu'un alors à travers les réseaux sociaux... Il peut toujours y avoir du positif derrière une déception et c'est exactement ce qu'Éric Lartigau essaie de montrer avec son film. Si tout ne passe pas comme il l'aurait espéré, Stephane va quand même vivre une sacrée expérience là-bas. Et en parlant d'expérience, le long moment au sein de l'aéroport de Séoul est particulièrement réussi. Dans le même style que Steven Spielberg avec "The Terminal", ces instants de vie dans un nouveau pays, mais dans une sorte de bulle, sont attendrissants et pleins d'humanité. Alain Chabat est particulièrement génial. On a presque envie de le voir prendre une caméra et partir à l'aventure. Il est chaleureux, sociable et attachant. Finalement, c'est la romance en elle-même qui est décevante et gâche presque le film. J'ai beaucoup aimé les scènes avec les fils et c'est à se demander si le film n'aurait pas été mieux avec un simple voyage père-fils. Au final, "#JeSuisLà" est un joli petit film bien qu'un peu inégal.
    R1 M
    R1 M

    24 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 avril 2020
    #jesuislà heureusement que je n ai pas payé pour voir ce navet car franchement c'est vide . L idee originale de partir rencontrer la femme a l autre bout du monde pourquoi pas mais la le réalisateur a juste voulu visiter Séoul aux frais de la production...
    Philippe C
    Philippe C

    97 abonnés 1 050 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Certes, le film est plutôt sympathique, mais le thème n'est finalement pas très original : celui d'un homme, cuisinier, séparé de sa femme, père de 2 enfants, un peu naïf, qui prend ses conversations avec une jeune femme via Internet, comme sérieuses et décide d'aller la retouver, en Corée du Sud où il va erreur 15 jours dans l'aéroport ne comprenant pas ce qui lui arrive. Les choses se termineront bien et on aura droit, heureusement, dans la dernière partie du film de voir un petit bout de la Corée au printemps au dela de l'aéroport ultramoderne. Sur ce thème du piège du virtuel, on a pu voir récemment un film autrement profond et bein construit, à savoir "Seules les Bêtes", même s'il n'a pas rencontré le succès qu'il méritait.
    Ici, tout repose sur les épaules d'Alain Chabat qui porte le film qui y est excellent, mais ça ne suffit pas à sauver un scénario poussif, qui tourne en rond dans le halls de l'aéroport de Séoul, avant de se terminer sur un happy-end sur fond des valeurs de la famille.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 avril 2020
    La vie de Stephane est parfaite. Il possède un restaurant dans un cadre magnifique du pays-basque, son fils vient de se marier et son deuxième l’aide au restaurant. Pourtant, Stéphane à envie d’autre chose, il se sent pas bien dans son restaurant où l’empreinte de son père reste omniprésente. Il décide de s’évader. Une évasion dans un monde où le partage est très facile : les réseaux sociaux. Là où des nouveaux liens peuvent se créer dans le’ monde entier. Mais le restaurateur va se faire reprendre par ce mur qui fait office de séparation entre le monde réelle et virtuelle celle où on veut montrer le meilleur côté de sois. La vitesse de propagation est aussi un deuxième problème, la célébrité arrive très vite. Ce long-métrage donne un super message sur la séparation de deux mondes. Un film avec un humour léger qui nous fait découvrir une nouvelle culture et qui fait du bien !
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 avril 2020
    Sans Alain Chabat, #Jesuislà n'aurait aucun intérêt. C'est l'ex-Nul qui apporte son humour bon enfant, son côté adolescent attardé, rêveur, lunaire. Celui de Didier, de Papa. Sa douceur. Sa candeur. Quitte à ce que ça se retourne contre lui. Mais ces moments-là, à l'aéroport, sont trop brefs. La partie en France est trop longue. Blanche Gardin avec son accent raté est complètement à côté de la plaque. C'est dommage aussi que spoiler: ses fils viennent le rejoindre à la fin au lieu de le laisser respirer
    . #Jesuislà aborde aussi le problème des réseaux sociaux, des tchats en ligne. Aujourd'hui, tout le monde passe son temps connecté, à se prendre en photo, à liker, à partager et ce cuisinier n'a jamais été aussi seul. Seul dans un aéroport immense. Dans une grande ville. Étonnant. Et comme il est seul, il se fait des films sur cette femme avec qui il parle par écrit et qu'il ne connaît finalement pas. Dur retour à la réalité quand on se rend compte que spoiler: les sentiments n'étaient pas partagés
    . Faisant contre mauvaise fortune bon cœur, c'est quand il découvre Séoul et cette nouvelle culture que Jesuislà décolle. Lartigau aurait dû appuyer là-dessus et en faire un Walter Mitty à la française. Chabat et Ben Stiller ont le même humour en plus. Ça aurait pu coller.
    Romain
    Romain

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2020
    Magnifique film que je vous recommande. On se sent bien après l'avoir vu, et la prestation d'Alain Chabat est excellente. En revanche, si vous cherchez des barres de rire, ou beaucoup d'action, vous risquez d'être deçus car le film contient certaines longueurs...
    Wasapat
    Wasapat

    24 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 avril 2020
    parfois il faut savoir dire non quand on propose un scénario creux
    là c 'est juste un film pour faire un film c 'est lent vide et surtout ça mène à rien
    un vrai cas d' école d inutilité
    Nico H.
    Nico H.

    16 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Le film part tellement bien, Chabat est tellement touchant, tout est intriguant et intéressant, joliment mis en scène ... Et puis paf, le mauvais choix scenaristique, la rupture volontaire pour surprendre, mais qui frustre au lieu de susciter l'intérêt. Vraiment dommage, il y avait la de quoi faire un grand film. A la place, on retiendra le film qu'on aurait voulu voir, et on oubliera malheureusement celui la...
    Greg L.
    Greg L.

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Juste le plaisir de voir Alain Chabat sur le grand écran.
    Du reste, un énième film "à la française", c'est à dire le fantasme parisien du retour à la nature, ou de l'immersion dans quelque chose "d'autre", ne servant finalement que d'écrin à un égocentrisme insupportable.
    Les petits états d'âmes et névroses du personnage principal devenant une sorte d'épicentre de l'univers, qui semble tourner autour de ce "soleil" sans aucune crédibilité et surtout de façon assez agaçante.
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