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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 février 2020
Les images sont plutôt belles , on sent une certaine “poésie” mais l’histoire n’a ni queue ni tête , ce film est un énorme navet. Gardez votre argent .
Personne n'a osé expliquer à Blanche Gardin que l'accent du sud-ouest n'a rien à voir avec celui du sud-est...! Mis à part un peu de clichés parisiens sur le pays Basque, le film est agréable et permet de partir un peu découvrir la coréenne Séoul, Alain joue bien, tout va bien..!
C'est assez agaçant de voir ce genre de film en salle obscure, qui sous ses apparats de film de cinéma (acteurs célèbres, film tourné a l'étranger, pseudo profondeur de l'histoire) ne nous envoûté pas le moins du monde. Les parties en Corée ressemblent vraiment a un film promotionnel touristique. En effet, on nous montre tous les services d'un aéroport de Séoul, ainsi qu'une certaine quantité de lieux touristiques. Au final, je n'ai pas trouvé non plus l'intérêt de tourner au Pays Basque, surtout si c'est pour y glisser des acteurs qui prennent l'accent une fois sur deux. La relation entre le père et ses fils est très mal étudiée, la relation qui évolue entre eux semble donc totalement artificielle. Au-delà d'un sujet principal qui ne se veut pas vraiment explicite, beaucoup de scènes sont assez désinteresantes, déjà vu ou sortis de nulle part :spoiler: le père qui n'écoute pas son fils parce qu'il pianote sur son téléphone, le fils qui a une copine en Corée ans qu'on sache d'où elle vienne, le père qui devient une petite célébrité via les réseaux sociaux , mais cela n'apporte rien de franchement passionnant a l'intrigue malgré une bonne idée. En fait, les fondations de l'histoire ne sont pas posées et ce manquement fait périr tout le film. Bref, c'est très décevant, je me suis ennuyé, mais le film est quand même passé vite, peut être parce qu'on est dans l'expectative de quelque chose qui n'arrive jamais ?
J'ai aimé ce film parce que des bons comédiens. J'ai voyagé dans le sud de la France et en Corée du.. Sud. J'ai aimé les rapports entre les personnages : père fils, ex et ex, Chabat employé aéroport... Bref un film qui fait du bien.
Ne vous laissez pas tenter par la présence d'Alain Chabat au casting !!! Cette histoire commence assez bien même si quand même assez surjouée,,mais les deux derniers tiers du film sont vraiment plats ; mais oui, nous connaissons parfaitement, hélas, les dégâts et la bêtise qui émanent du fait d'être accro aux réseaux sociaux ... on le voit tout à fait quand Chabat, se promène sur une plage avec sa femme : il envoie un sms pendant qu'elle essaie de re -capter son attention en lui faisant croire qu'une femme est en train de se noyer... et bien sûr il ne percute absolument pas, étant complètement grangréné par sa manip sur son portable
Alain Chabat joue son rôle à la perfection, émouvant, léger, drôle. Le film surprend où on ne l'attend pas d'après la bande-annonce et c'est une belle surprise. Le ton est juste, les situations aussi. Un très bon moment !
Oui, c'est peut être un peu longuet, pour ceux qui aiment les films d'action ou des trillers... Mais c'est plutôt une fresque philosophique, en demi-teintes. A propos de la recherche du bonheur, d'amour. Parfois, pas besoin d'aller en Corée mais juste regarder autour pour trouver. J'ai aimé
C'est une très bonne histoire, d'une légère justesse de la part de Lartigau même si c'est pas son meilleur film. On peux souligner son excellent scénario sur les réseaux sociaux, cette virtualité qui transperce le film. Mais par contre c'est nettement dommage que l'histoire est lent et n'a aucun rythme. Mais y'a quand même un bon sens. Du côté des acteurs, complètement raté le jeu de Blanche Gardin qui a complètement détruit l'accent du sud, c'est vraiment dommage pour une excellente comédienne. Heureusement qu'il y a Alain Chabat et Donna Bae pour relever le niveau, deux acteurs formidables et géniaux. Alain Chabat qui n se rend pas compte des réseaux sociaux et qui doit confronter à cette réalité. Ce film résume le bon et le mauvais côté des réseaux. #Jesuisdéçu
# j ai adore le film, poétique photographique # magique! Un film différent de ce qu on voit en ce moment où tout y est. On n’a besoin de rien de plus il faut juste y aller sans attente juste s imprégner de ce joli moment! Alain Chabat magistral et touchant mais tout en finesse!!! Merci merci merci M Lartigau j ai même versé ma petite larme... ❤️
super film merci Alain toujours plein de bienveillance d humour et de leçon sur l usage de la technologie. Très belle histoire qui sort de l ordinaire. Ceux qui note à moi je la moyenne ne comprenne pas ton humanité. Comme je te l ai dit une fois quand je t ai eu téléphone il ne doivent pas capter sur le réseau Itineris. Continue comme ça. Bienvenue chez Wam ;-)
franchement ce que j'ai vu est sans nom! je mets une étoile car je n'ai pas le choix je me suis déplacée pour alain chabat ainsi que le réalisateur dont j'ai vu tous les films...merci de respecter les spectateurs
Une jolie fable, une belle histoire qui dit qu'il faut parfois croire en ses rêves pour ouvrir son cœur et vivre sa vie. Ce ne sera pas un film inoubliable, mais Chabbat assure bien dans un rôle original, qui mêle tendresse, humour et dérision... pas incontournable, mais se laisse voir pour un moment de poésie et de superbes vues des cerisiers en fleurs...
Des scènes en Corée du Sud, un personnage principal prénommé Stéphane joué par Alain Chabat, amoureux d’une femme coréenne et le concept de « Nunchi », cela fait beaucoup de bonnes raisons qui m’ont amené à voir ce film. Autant le dire tout de suite, vu mon amour pour le pays du matin calme, il y a un risque que je ne sois pas objectif dans ma critique du film. Ces précautions liminaires partagées, j’ai aimé « #JeSuisLà », un peu plus que « L’Homme qui voulait vivre sa vie » (2010) mais bien moins que deux autres films d’Eric Lartigau : « La Famille Bélier » (2014) et « Prête-moi ta main » (2006) que j’ai vus et revus à plusieurs reprises avec toujours autant de plaisir. Quand on va voir #JeSuisLà, on pense aller voir une comédie romantique et en fait, ce n’est pas vraiment cela, c’est davantage une critique des réseaux sociaux et de l’isolement que cela procure au détriment de ce qu’on laisse échapper dans la vraie vie car autant le héros est très observateur sur Instagram, autant il passe à côté de plein de choses dans sa vie réelle. Même si j’ai apprécié ce cheminement personnel du héros, je trouve que le film n’est pas aussi abouti qu’il aurait pu l’être. Pour finir, je décernerai une mention particulière à Eric Lartigau pour sa façon de filmer les lieux de ce long-métrage : on a envie d’habiter au Pays Basque et la ville de Séoul est magnifiquement filmée, façon carte postale touristique qui donne envie d’y aller ou d’y retourner. Quant à l’aéroport d’Incheon, Alain Chabat le parcourt façon Tom Hanks dans « Le Terminal » (2004) sauf que l’aéroport d’Incheon n’est pas un aéroport comme les autres et voir ce film, c’est comprendre toute les différences, de la salle de cinéma aux concerts gratuits, avec un aéroport comme ceux de Paris par exemple.