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Votre avis sur Midsommar ?
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Ovni ! Bon alors c'est sûr que cela ne conviendra pas à tout le monde.
Des scènes hallucinogènes, sanglantes, choquantes, clownesques, pittoresques, parfois drôles même, font de ce film une immersion dans une communauté des plus infréquentable.
Après, l'image est superbe, la caméra maniée avec grande précision et ingéniosité.
Un petit quart d'heure de moins aurait été parfait. Mais l'histoire s'enchaîne sur la même intensité sans temps mort et malgré un rythme lancinant, on reste scotché jusqu'à la dernière image et ce final réussi.
Sur la route du film culte !
Des scènes hallucinogènes, sanglantes, choquantes, clownesques, pittoresques, parfois drôles même, font de ce film une immersion dans une communauté des plus infréquentable.
Après, l'image est superbe, la caméra maniée avec grande précision et ingéniosité.
Un petit quart d'heure de moins aurait été parfait. Mais l'histoire s'enchaîne sur la même intensité sans temps mort et malgré un rythme lancinant, on reste scotché jusqu'à la dernière image et ce final réussi.
Sur la route du film culte !
Un an après nous avoir présenté « Hérédité », Ari Aster nous revient avec un genre totalement opposé. Dans ce village où la nuit ne tombe jamais, l'expérience visuelle à laquelle on a droit ici, autant au point de vue de la mise en scène que par les décors, est bluffante voire presque irréelle tant elle est réalisée avec soin. Contrairement à son prédécesseur, « Midsommar » a de nombreuses cartes en main comme cette ambiance pour le moins déconcertante ou encore cette façon d'exploiter des sujets comme le deuil, l'abandon ou le traumatisme. Lorsque la barrière menant à cette communauté est franchie, nous passerons par plusieurs phrases de sentiments différents : tantôt sereins et détendus, tantôt choqués et mal à l'aise. C'est plutôt ingénieux et c'est peut-être d'ailleurs ce qui nous permet de rester captivés lorsque le temps nous parait long. Bien que « Midsommar » est un bon film en soi, il a également ces défauts. Entre les rituels interminables et les incohérences, je dois bien admettre qu'il m'est arrivé d'en attendre davantage mais fort heureusement, les personnages sont là pour remonter le niveau. C'est ainsi qu'on se rend compte qu'aucun détail n'est laissé au hasard et que même les acteurs ont été choisi avec la plus grande minutie afin de mieux cadrer avec l'ambiance souhaitée. Bien qu'on retrouve les clichés habituels, leurs prestations restent convaincantes et efficaces. Pour finir, « Midsommar » fait parti de la liste interminable des films auxquels on accroche ou pas en fonction de ce que le spectateur recherche. Pour ma part, même si ce n'est pas le style de film vers lequel je me dirige habituellement, je me suis surprise à apprécier ce que j'ai vu ainsi qu'aux risques pris par le réalisateur pour nous convaincre.
Retrouvez-moi sur ma page : https://www.facebook.com/critiquedefilmsdhorreur/?ref=bookmarks
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L'esthétique du film est le gros point fort avec un décor suédois apaisant ce qui contraste avec ce que vont vivre les protagonistes et autre point fort aussi les costumes fantastiques.La première partie du film m'a également convaincu avec la découverte de cette communauté atypique et inquiétante et une pression qui monte progressivement.
spoiler:
Ensuite arrive la scène de la falaise et la c'est le drame!c'est pas la scène en soit qu'est le drame mais la réaction ubuesque et incohérente de la part de la plupart des protagonistes qui décide de rester après avoir vu deux membres de la communauté se suicider devant leurs yeux après un saut de l'ange de quelques dizaines de mètres pour venir au final se fracasser la tête sur un rocher en contrebas.
Et pour ce qui suit c'est pas beaucoup plus glorieux,on part dans un délire psychédélique comme un long bad trip dont on ne peut pas se réveiller toute en longueur et pénibilité,on en vient même à en rire tant les décisions et réactions des personnages sont grotesques.Pour ceux qui est du but recherché de la communauté au final ça reste un mystère,ça part dans un délire bien trop interstellaire pour en comprendre quoi que ce soit.Donc si vous êtes sous produits illicites vous pourrez peut être apprécier sinon un conseil passez votre chemin.2/5
Et pour ce qui suit c'est pas beaucoup plus glorieux,on part dans un délire psychédélique comme un long bad trip dont on ne peut pas se réveiller toute en longueur et pénibilité,on en vient même à en rire tant les décisions et réactions des personnages sont grotesques.Pour ceux qui est du but recherché de la communauté au final ça reste un mystère,ça part dans un délire bien trop interstellaire pour en comprendre quoi que ce soit.Donc si vous êtes sous produits illicites vous pourrez peut être apprécier sinon un conseil passez votre chemin.2/5
J'ai eu le sentiment de regarder un film-B ou un film culte depuis le début. Le jeu des acteurs étaient mauvais. Le film manque de suspense et est très prévisible. Vous ne vous sentez jamais connecté à aucun personnage. Il se passe dans les 10 premières minutes plus que dans les deux heures suivantes. Au bout de 70 minutes, on a l'impression que quelque chose d'intéressant allait se passer, mais rien ! Trop lent pour moi et pas assez de violence pour un film supposé d'horreur. Ce film était si troublant, tellement bizarre que je ne le recommanderais à personne. Je n'ai jamais été aussi confus. Je me suis assis tout le temps pendant ce film en me disant qui a réellement investi de l'argent dans ce film ? et pourquoi diable l'écrivain a-t-il ressenti le besoin même d'écrire cette histoire ?. Certains aimerons, moi cela n'est pas ma tasse de thé...
J'avais vu le premier long-métrage d'Ari Aster, qui m'avait beaucoup plu. Malheureusement, Midsommar est un navet... On imagine qu'il va se passer quelque chose, mais en fait, rien de bien intéressant, c'est extrêmement long et ennuyeux. Certaines scènes sont complètement absurdes et se rapprochent du comique (Mais j'imagine que ce n'est pas voulu).
Suis je le seul à détester ce genre de films sans enjeu, sans intérêt. Je suis désolé mais c'est juste un documentaire sur une secte, les personnageq des étudiants sont d une nullité, à chaque choix j avais bien envie de les éclater tellement ils sont chiants. L'actrice principale est la seule convaincante, c'est un peu trop tiré par les cheveux. Aussi bravo au réal qui voulait nous montrer qu'il sait comment filmer les gens de loin,mdr c est grave.
Midsommar est un film métaphorique tellement déroutant qu'il serai trop simple de le classer dans "épouvante/horreur". Visuellement c'est magnifique, les plans sont envoûtants et maîtrisés. Le film est réalisé comme un livre peut être écrit, en utilisant différentes figures de style (métaphore, l'oxymore etc ..) et c'est totalement réussi. C'est le genre de film qui peut se targuer d’être lent et long puisqu'en contre-partie ce rythme naturel laisse le temps d'apprécier pleinement la réalisation. On est intrigué, presque hypnotisé face à cette secte où le soleil ne se couche jamais, comme accompagné vers un destin macabre avec une fatalité heureuse. Et les quelques scènes choquantes apportent des pics de tension monumentales.
Le réalisateur a pris le parti d'un film lent, métaphorique et clivant ce qui est critiquable, et je peux comprendre qu'on puisse détester. Mais pour ma part c'est réussi.
Le réalisateur a pris le parti d'un film lent, métaphorique et clivant ce qui est critiquable, et je peux comprendre qu'on puisse détester. Mais pour ma part c'est réussi.
Après le très bon Hereditary, Ari Aster avait forcément éveillé la curiosité de nombreux cinéphiles. Pour moi il confirme avec Midsommar qu'il est très prometteur et possède un style auquel j'adhère. Le rythme de ce film est hypnotisant, et même si il est un poil trop long, on est immergé dedans sans difficulté dès le début avec un évènement tragique qui touche l'héroïne. On la suit ensuite avec un groupe d'amis rejoignant une communauté suédoise afin d'assister à un festival estival. À partir de ce moment on sent qu'il va se passer des choses bizarres, à raison, car l'atmosphère devient anxiogène. Cette atmosphère est appuyée par une BO discrète et lancinante collant parfaitement à ce qu'on voit à l'écran. La lumière est également très importante de même que le cadre idyllique et l'apparente gentillesse des autochtones , qui mettent inexplicablement mal à l'aise le spectateur alors qu'il se s'est encore rien passé de foncièrement mauvais. Bref Midsommar est un bon film à ne pas mettre entre toutes les mains, sa longueur et son manque d'action pourrait en rebuter certains , mais franchement c'est une expérience marquante qu'on n'apprécie encore plus avec du recul.
Pour ma rentrée au cinéma, j’ai été gâté. La construction de l’ambiance est géniale. C’est vraiment psychologique. Le personnage de Dani est parfaitement construit. Pour ne rien gâcher, Florence Pugh est super dans ce rôle. Vous pourrez d’ailleurs la retrouver en 2020 dans BLACK WIDOW. Le reste du casting est aussi à la hauteur. J’ai découvert William Jackson Harper qui m’a agréablement surpris. Avec ce petit groupe on va être plongé dans une communauté que le réalisateur a construite grâce au folklore et aux traditions païennes suédoise. Tout se tient parfaitement. Il a même été jusqu’à inventer une langue fictive. L’immersion dans cet univers permet d’être à fond dedans. On perd même la notion du temps avec un soleil qui ne se couche jamais durant cette période de l’année en Suède. La réalisation va s’appuyer sur des plans très travaillés pour créer une ambiance pouvant être parfois angoissante. Ils ne vont pas aussi lésiner sur le gore avec certaines images qui seront brutes. Au-delà de cela, le scénario se tient très bien grâce aux explications qui sont distillées tout au long du film. L’histoire est intéressante et on veut savoir ce qu’il va advenir à ces quatre Américains plongés en terre scandinave. Car même si au fond, on sent ce qui va leur arriver, il y toujours quelques choses pour relancer notre curiosité. Seule petite ombre au tableau, parfois quelques longueurs vont se faire ressentir. Ce n’est pas toujours simple de mettre en place quelque chose d’aussi complet.
Scénario, jeu des acteurs, réalisation : tout est millimétré et semble atteindre un niveau d'excellence rarement égalé dans ce conte horrifique profondément dérangeant et d'une beauté plastique ahurissante. Un chef d'oeuvre.
Un festival de neuf jours qui n'a lieu que tous les 90 ans! Un cadre mêlant folklore et èpouvante! Vous allez adorer...ou non [...] Florence Pugh dans tous ses ètats! L'actrice britannique confirme face camèra son monstrueux sex-appeal en jouant un personnage particulièrement instable et très dèpendante d'autrui tandis que Jack Reynor n'a jamais ètè aussi bon que quand il est sous influence de drogues! Succès critique de l'ètè 2019 pour un film d'èpouvante extrêmement visuel. "Midsommar" frise parfois le ridicule sans toutefois jamais y tomber! Ambiance malsaine, humour tordu et final glaçant! On sent vraiment que le rèalisateur s'est beaucoup inspirè de l'inoubliable "The Wicker Man" (version 1973). Un peu trop quand même! Reste qu'on est plongè dans cet ètrange voyage en Suède et qu'il est bien difficile d'en sortir indemne! La version director's cut allongèe prolonge un conte de fèes pour adultes qui n'en demandait pas tant! Un film à rèèvaluer...
La bande annonce vaut le coup d’œil mais se coltiner « Midsommar » dans son intégralité s’est avéré une vraie purge. Ari Aster a beau savoir manier sa caméra, créer le malaise et aborder le cinéma d’horreur de manière particulière, il doit assurément connaître un bon revendeur de produits interdits.
ce film m'a horrifié il est long et je n'ai pas vu le temp passer j'ai adoré et pourtant je n'ai rien compris a regardé mais ce qui est sur il ne va pas plaire pas a tout le monde loins de la, et cette fin je ne m'attendais pas du tout a sa
Une étoile en moins pour certaines idées pas très bien exploitées. Pour le reste, excellent film, dont je viens de visionner la version de 3 heures. Avec "Hérédité", on définit les contours des obsessions d'Ari Aster. Mine de rien, ces deux films donnent un coup de frais au film d'épouvante. Pas de "jump-scare", mais surtout des personnages bien écrits et des acteurs bien choisis. Le seul reproche que je lui fais, c'est de catapulter certaines situations sans plus d'explications. Surtout concernant le couple d'anglais, et les deux copains qui disparaissent. Mais ce serait dommage de s'arrêter à ça.
Après la bombe "Hérédité", voici le deuxième long métrage d'Ari Aster! C'est toujours impressionnant et dérangeant, avec des scènes choc et une ambiance malaisante à souhait! Le réalisateur a clairement décidé que le spectateur ne regarderait pas ses films confortablement installé dans son fauteuil, mais qu'il serait malmené et aurait un effort à fournir. Chez Ari Aster, l'horreur ne se présente pas sous sa forme attendue, il ne s'annonce pas, il s'insinue de blanc vêtu et ne vous confronte que lorsque vous êtes déjà battu! C'est fascinant et déroutant, parfois difficile mais singulier et sans concessions! Je regrette néanmoins les digressions psychédéliques qui plombent un peu le récit et nuisent à sa lisibilité, même si on peut les estimer pertinentes.
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