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    Midsommar
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    LeGâto
    LeGâto

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    De jolies fleurs... Et c'est tout.
    Le film n'a aucun sens: pas de fil conducteur, aucune intrigue. On ne comprend rien au film car il n'y a rien comprendre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 janvier 2020
    Midsommeil. Ce film devrait s'appeler Midsommeil.
    Ayant entendu parler moult fois de ce film comme d'un chef d'oeuvre d'esthétisme totalement innovant, je me suis laissée aller à la curiosité.
    Alors certes, la photographie est léchée, belle... mais froide. On ne ressent rien en voyant ces images, si ce n'est un vague mal de mer à certains moments (et encore je l'ai vu sur petit écran, je n'imagine pas l'effet détestable en grand). Ça c'est pour l'esthétique.
    Pour le reste, c'est long. L'intrigue met une éternité à se mettre en place, alors que cela aurait pu être fait très rapidement. Les dialogues sont d'une pauvreté déconcertante. Malgré tout je ne quitte pas le navire par curiosité. Et la curiosité est un vilain défaut. Le récit du voyage n'apporte absolument rien, si ce n'est l'information "c'est loin", et ensuite on arrive dans un lieu censé être paradisiaque. On entend comme mille flûtes emplir nos oreilles alors que nous sommes à ciel ouvert et que seuls trois flutiaux sont présents. Ça sonne discordant, mais pour les personnages c'est le paradis. Ok, admettons. On fait un petit tour, on sait qu'on est en huit clos au grand soleil (censé être déstabilisant, mais pour moi ça n'a pas marché du tout). Enfin au grand soleil, SAUF quand ça arrange pour l'intrigue. Enfin l'intrigue, bien grand mot.
    Ce film censé être novateur, va reprendre pendant les deux heures qui reste TOUS les clichés du film d'horreur, mais avec du gratuit, de l'absurde, du mal fait, et d'interminables longueurs.
    Tout est beau et puis d'un coup des gens sautent d'une falaise, gros plan bien gore de face écrabouillée. Voir on éclate la dite face à coup de marteau en TRES gros plan. Tout le monde est choqué mais après une petite explication type "Mais c'est cultureeeel" hop ça passe. Deux visiteurs pour qui ça ne passe pas disparaissent. Et le lendemain hop on mange de la tourte à la viande (le passage du poil, vraiment? #gêne) . Sérieusement, personne ne voit rien venir? Oh on se réveille avec des copains en moins, on s'inquiète pas. Ah mais on nous fait comprendre TRES TRES subtilement qu'ils sont drogués alors ça paaaasse. Et très logiquement, on se dispute pour une thèse.
    On nous filme dans tous les sens possibles des rites folkloriques à deux balles avec des effets visuels psychédéliques bidons pour justifier la 3D, et ça s'étire, ça s'étire en longueeeeur. Les chants discordants incessants sont insupportables, les réactions des personnages n'ont aucun sens, bref, on s'arrête fréquemment pour regarder l'heure.
    Et pourquoi je suis encore devant mon écran me direz vous? Eh bien parce que je me demande s'ils vont faire TOUS les clichés du mauvais film d'horreur. Et je ne vais pas être déçue, car il n'y aura pas que les clichés de films d'horreur. Eh oui. On aura droit à du gore gratuit, mais avec des fleurs (je pense que le réalisateur a pris au pied de la lettre l'expression "Dites le avec des fleurs") et pas seulement. On aura droit à tout : des personnages bêtes et drogués, de l'accouplement rituel gênant tout en groupe et en chant, du sacrifice humain, de la trahison, une famille retrouvée, encore un peu (BEAUCOUP) de folklore (le loto façon runes, j'admets que je l'avais pas vu venir), de musique insupportable et surtout une fin abominablement grotesque. Qui a eu cette idée de transformer une victime en Nounours de Bonne Nuit Les Petits?
    RIDICULE. INCOHERENT. GROTESQUE. PRETENTIEUX.
    Si après cette critique vous avez encore envie de vous risquer, sachez que vous n'aurez pas peur. Vous risquez de rire, de vous endormir, de trouver que ohlala c'est joli toutes ces fleurs quand même, mais ce film ne vous empêchera pas de dormir!
    BabsyDriver
    BabsyDriver

    84 abonnés 818 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2020
    Avec son second film "Midsommar", Ari Aster prouve qu'il n'est pas là pour rigoler ! Investissant le trop rare sous-genre de l'horreur païenne, "Midsommar" est un formidable trip ensoleillé dont on sait déjà qu'on ne l'oubliera pas de sitôt.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 janvier 2020
    Très bon film d'horreur, original et puissant! je recommande de belles images et de beaux moments de frayeurs
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 356 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Ça va bientôt faire un an que j’ai vu « Hérédité » du même Ari Aster et je n’ai toujours rien écrit à son sujet. Pas que je n’ai pas aimé – bien au contraire – c’est juste que j’ai senti que j’avais besoin de le digérer.

    Eh bah – je vous le donne dans le mille – c’est clairement ce que je ressens également à la sortie de ce « Midsommar ».
    Même plaisir. Même sensation. Et même paralysie verbale au sortir de tout ça.

    Et c’est vrai que, d’un certain point de vue, je devrais peut-être me satisfaire de cette situation. Parce qu’après tout, n’est-ce pas la quintessence même d’une œuvre d’art que de ne savoir parler qu’au travers de ses propres outils ?
    « Midsommar » ça se voit. Ça se confronte. Ça s’expérimente.
    Car, au fond, les mots ne sont pas opérants sur des films comme celui-là.

    Cependant, d’un autre point de vue, chercher à fuir le commentaire, c’est aussi vouloir fuir l’exercice d’une analyse. Car après tout, quand on parle sur un film, ce n’est pas le film qu’on cherche à transformer et travestir en mots, mais bien plutôt son propre ressenti. Son approche de la chose.
    Or – vous me connaissez – bavard comme je suis avec mon clavier – j’entends bien me risquer malgré tout à parler de mon ressenti de ce « Midsommar » quitte à devoir peiner un peu.
    (Voire grandement.)

    Or, si je devais caresser ce que fut pour moi « Midsommar », je dirais d’abord que – comme « Hérédité » – il fut une séduction sensorielle.
    Ari Aster est doué. Il sait poser un cadre. Jouer avec la lumière et les reflets. Il adore mettre des miroirs un peu partout pour enrichir sans cesse son image. Pour que des détails nous échappent forcément. Et surtout pour nous prendre en traitre comme il aime si bien le faire. Le coup du reflet menaçant qui apparait derrière le protagoniste en danger, c’est quelque-chose qu’on a déjà fait cent fois et qu’Ari Aster fait à plusieurs reprises dans ce film.
    Mais bon, il le fait si bien. Donc comment lui reprocher ?...

    Dans la foulée de cette première idée, je dirais aussi que « Midsommar » c’est une lente descente aux enfers programmée.
    Personnellement, sitôt avait-on mis le pied en Suède au sein de cette communauté « du temple solaire » que j’avais déjà tout en tête.
    A chaque élément amené, de la rencontre des autres voyageurs anglais à l’ours dans sa cage en passant par le temple interdit, je me suis dit : « OK, je vois très bien ce qu’il va se passer. »
    Le déroulement de l’intrigue m’a donné raison. Aucune surprise donc. Et pourtant ça ne m’a posé aucun problème.
    Parce que les films d’Ari Aster sont ainsi faits.
    On sait qu’il est vain de lutter.
    On sait qu’à peine se retrouve-t-on dedans qu’il est déjà trop tard.
    Le simple fait d’avoir accepté de voir ça est déjà en soi un acte irréversible ; presque d’acceptation pleinement consentie à se laisser avaler par les abimes.

    Et ce serait d’ailleurs le dernier point que je retiendrais de ce « Midsommar ».
    Il est envoûtant.
    On sait où il nous emmène.
    On sait qu’on va voir des choses qui ne vont pas forcément nous plaire. Nous déstabiliser.
    Et pourtant on veut les voir quand-même.
    On accepte.
    On se résigne.
    C’est que, un peu comme dans « Hérédité », sombrer peut offrir un gain, alors que résister ne pourra qu’entrainer sa perte.
    Je trouve d’ailleurs assez saisissant comment Ari Aster arrive toujours à faire en sorte que la posture de son spectateur face au film corrobore à ce point à la posture des protagonistes face à la destinée qui leur est offerte.
    Ainsi il y a-t-il toujours quelque-chose de séduisant dans les pièges à âmes d’Ari Aster.
    Ici, dans « Midsommar », l’enfer a des allures de paradis.
    Il fait tout le temps jour et beau.
    De belles nymphes s’offrent aux voyageurs qui s’égarent.
    Les moments de douleur deviennent des chorégraphies partagées et se transforment presque en champs rituels.

    « Midsommar » au fond, c’est ça.
    Une échappatoire aux frustrations et aux douleurs qui nous avalent.
    La plupart s’y perdent. Et quelques-uns trouvent dans cette chute libre une forme d’équilibre nouveau.
    D’ailleurs – tout un symbole – rayonne au sein de cette plongée cathartique l’être au final le plus malmené psychologiquement. Florence Pugh y devient bien plus qu’une Reine de mai. Elle se révèle au contraire comme une actrice puissante que je ne me priverai pas de suivre avec intérêt dans les années à venir.

    Voilà donc pour ma part.
    Le temps est venu pour moi de vraiment me taire.
    Vous laisser voir « Midsommar ».
    Que vous puissiez goûter aussi à ses doux enfers.

    Mais bon… Après ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 janvier 2020
    Une fois de plus, un film avec essentiellement de la forme, et très peu de fond. On s'ennuie, on attend la fin, en se disant qu'il va se passer quelque chose, et non. Il ne se passe rien. Vous voulez être "dérangés" par un film d'horreur? Allez voir du coté du premier "Massacre à la Tronçonneuse" ou pire, "Cannibal Holocauste". Cette bande de relous en toges blanches ne fait pas vraiment peur, et on se demande bien pourquoi les victimes ne s'enfuient pas. Ah oui mais non, c'est un film sur la dépression, m'voyez... Donc bon. C'est de l'art abstrait c'est ça? Ça doit se ressentir? Se vivre comme une expérience? Trop facile cette excuse pour faire des films ou il ne se passe rien. Reste la photographie. La musique, admettons, mais en fait non, on a entendu mieux et surtout mieux mixé. Toutes ces femmes qui crient ça casse les oreilles. Le jeu d'acteur? Pas sur. Tout le monde a l'air à coté de la plaque. Le nouveau Kubrick? Attention, fausse valeur droit devant!! Ces films ne vivent que parce que les gens n'osent pas dire que c'est ennuyeux. Les gens sortent de la salle? C'est parce qu'ils s'embêtent, pas parce qu'ils ont trop peur. Un ovni dans le cinéma d'horreur? A ce compte là, "Fantomas contre Scotland Yard" aussi!! Non, ce n'est pas du très bon cinéma. Ni d'horreur, ni de rien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    L idée est bonne mais film trop lent à mon goût. Entre secte et bizarreries. Bref je pense qu on aime ou pas
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 5 janvier 2020
    Les paysages du film sont magnifiques à regarder à l'écran Le jeu d'acteurs du couple est intéressant mais reste énigmatique.
    Le film parle de rupture dans un couple et de l'influence des sectes religieuses face à la fragilité de certaines personnes.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 janvier 2020
    Circulez, il n'y rien à voir !
    Film ridicule, inutilement long et prétentieux.
    Il faut arrêter avec ce genre de film et les critiques psy qui vont avec d'ailleurs !
    Zéro pointé et près de 3 heures de perdues...
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 janvier 2020
    Avec "Midsommar" j'ai enfin trouvé le film d'horreur que j'attendais depuis longtemps. Le film d'horreur qui propose un cadre intriguant, qui nous mène dans des méandres inquiétants et inconnus et qui nous scotche à notre fauteuil par la seule force de sa narration. Ajoutons une mise en scène et un montage remarquables, et il devient évident que "Midsommar" est un grand film, l'un des tous meilleurs de l'année 2019.
    killxx
    killxx

    11 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    Trop long, trop dérangeant, la naïveté des personnages face à l'absurdité de ce qu'ils sont entrain de vivre et leur non réaction est grotesque. On décroche vite de film dont le seul et unique but semble être, de nous mettre mal à l'aise.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    60 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    Deuxième film d’Ari Aster, Midsommar choisit la Suède pour nous dépayser dans un événement ayant lieu tous les quatre-vingt-dix ans en plein solstice d’été. La protagoniste Dani, incarnée par Florence Pugh (The Passenger), est à deux doigts de la dépression après d’étranges décès et son petit ami Christian, qui semble avoir du mal à prendre soin d’elle, décide de l’emmener avec des amis dans cet étrange village traditionnel aux allures sectaires qui se sentent à plusieurs kilomètres. Si le film met un certain temps à se mettre en place, la narration se veut assez prenante et on cherche à comprendre le fin mot de l’histoire dans cet étrange univers pseudo paradisiaque, où tout a de quoi angoisser.

    Midsommar fait partie de ces films difficiles à définir. Loin d’être un film d’horreur, il s’agirait plutôt d’un thriller à tendance horrifique rappelant fortement la narration d’A cure for life, de Mother ! ou encore de l’épisode « Éternelle jeunesse » de la série animée Batman. Le banal côtoie le sublime dans un scénario avec une simple bande de jeunes qui semblent se morfondre dans une existence insouciante en fumant de l’herbe et en sniffant de la drogue. Will Poulter (Le Labyrinthe, The Revenant) y a un rôle particulièrement inutile tandis que spoiler: ce qu’il devient
    a de quoi effrayer tant l’image peut se montrer perturbante. Entre spoiler: sacrifices
    et connotations sexuelles de plus en plus marquées, le film vaut surtout pour ses images gores et choquantes qui ne peuvent qu’amener la perturbation de celui à qui elles sont soumises.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 décembre 2019
    L'intrigue, l'idée de base est bonne... Mais c'est beaucoup trop lent, il y a plein de passage qui ne servent à rien... Certes il se passe des choses mais à la fin du film, on se pose plein de question. Les personnages se retrouvent dans des situations bizarre et incompréhensible (on sait pas pourquoi ils doivent faire ça), du coup ça casse le côté mystérieux de cette "secte"
    C'est dommage parce que le film commence bien, mais tout deviens trop intriguant et on ne comprend plus rien
    prol3eter
    prol3eter

    2 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    un groupe d'amis partent en suède dans une communauté très isolé pour assister a une cérémonie estival qui n'a lieu qu'une fois tous les 90 ans si au début l'enthousiasme est de rigueur petit a petit le comportement de leurs hotes va basculer d"amical a très inquiétant et un piège terrible va se refermer sur eux midsommar commence comme un conte onirique sur du folklore suédois pour continuer sur un mauvais trip aux acides qui vire au cauchemar dans un reve eveillé une atmosphère étrange qui annonce un dénouement tragique pour les protagonistes une fable cruel sur les dérives sectaires ames sensibles s'abstenir
    Wilfrid G.
    Wilfrid G.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2019
    Midsommar un chef d'oeuvre horrifique magistral, pendant 2h on et plongée dans un monde sordide , une secte vraiment morbide encore + glauque que Get out . franchement si j'aurais pu mettre 10 étoile j aurais mi . un film magnifique et touchant en même temps. je vous le conseil vivement.
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