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    Midsommar
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    3,5
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    640 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 février 2020
    C'est un très bon film, il change des films d'horreur de d'habitude. Les images et les musiques sont également très belles. Pour finir j'ai apprécié le jeu des acteurs.
    TitiBob _
    TitiBob _

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 octobre 2020
    Je me suis surpris à rester en haleine pendant tout le film, en admiration face à la réalisation et ce qu'elle propose. Que dire de la performance de Florence Pugh que je trouve remarquable. Non ce film n'est pas un film d'horreur, c'est bizarre, dérangeant, lent, contemplatif mais sur moi ca a marché !
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    40 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2023
    Après un "Hérédité" qui avait été une superbe expérience pour moi et qui avait beaucoup fait parler de lui, Ari Aster revient avec "Midsommar". L'objectif était clairement dans l'optique de continuer dans le genre de l'horreur, mais en explorant des styles assez particulier et pas forcément très tourné vers le grand public. Ici, le long-métrage va se porter vers un style très ésotérique, et va donc se baser sur une ambiance assez particulière, avec beaucoup de symboliques et de philosophies au niveau du scénario. Et si j'ai personnellement beaucoup plus accroché à son film précédent, je dois tout de même avouer que ce long-métrage est quand même vraiment bon. Ce projet n'est pas vraiment mon style à première vue, on s'éloigne de l'horreur proposée par "Hérédité". Mais Ari Aster arrive vraiment bien à rendre tout cela intéressant, principalement par sa mise en scène et par son style. Après une introduction qui semble nous réintroduire à un univers proche de son précédent film, le réalisateur choisit de prendre son spectateur à contre-pied. Après les décors renfermés et la photographie sombre du début, le film choisit de s'ouvrir aux larges environnements extérieurs par la suite. Et globalement, à partir de là, on retrouvera une mise en scène très lente, avec un montage qui n'interviendra que très peu. Le plan-séquence est privilégié pour se plonger au sein de cet univers et de cet environnement, et le parti-pris fonctionne. On se sent plongé au cœur d'un monde très particulier et qui angoisse naturellement de par son éloignement avec nos coutumes occidentales. Ce côté très ésotérique va notamment beaucoup se ressentir dans la photographie, où les couleurs blanches vont dominer et ressortir de manière très prononcée. On est réellement plongé dans cette ambiance pendant 2 longues heures et Ari Aster ne veut rien nous épargner. Ce sera parfois très violent, gore, mais surtout extrêmement angoissant. Et dans l'ensemble, il est vraiment que ces deux heures peuvent vraiment paraître longues. On aura quelques longueurs, durant lesquels il faut savoir rester éveillé. C'est un parti-pris, efficace pour l'ambiance, mais beaucoup moins pour le rythme. À voir si vous serrez sensible à cette proposition. Par conséquent, le film est une proposition très particulière, qui s'éloigne beaucoup du film d'horreur actuel que l'on voit tout le temps. Il brille par son ambiance oppressante et par le soin apporté au moindre détail. Et même s'il n'échappe pas aux problèmes de sa durée importante, il nous fait passer un moment vraiment particulier. Pour conclure, un film très étrange, mais qui remplit du coup très bien son travail.
    Mia Wallace
    Mia Wallace

    14 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2020
    Un film que j'attendais beaucoup et j'en suis très satisfaite.
    Les acteurs sont très bons, l'ambiance est "trop belle pour être vraie", des scènes marquantes, très bien placées. L'histoire est prenante et m'a tenu en haleine jusqu'à la fin!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 février 2020
    Enfin un film d'horreur qui vaut le coup, pas de screamer à la noix, juste une véritable torture mentale qui nous plonge dans un théâtre chamanique oppressant, une mise en scène magnifiquement bien gérée et un scénario terrifiant... Après Hérédité et Midsommar, on attend avec impatience ton prochain film Ari !
    romano31
    romano31

    284 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2020
    Vu directement en version longue, Midsommar est un film qui ne laisse pas indifférent. Après le superbe Hérédité, Ari Aster signe avec Midsommar un film hypnotisant, esthétiquement magnifique et dérangeant. J'ai beaucoup de mal à dire que ce film est un film d'horreur. Pour moi, c'est un drame. Un drame qui parle de mort et de communautarisme sectaire. Je n'ai pas vu passer les quasi trois heures de film car Midsommar vous captive à travers sa magnifique mise en scène, son ambiance et ses scènes qui sont parfois sublimes et parfois choquantes. Florence Pugh livre une très belle prestation, les décors et costumes sont superbes et la musique finit d'instaurer une ambiance malsaine. Midsommar est moins facile à appréhender que Hérédité et c'est un film qui divise c'est une évidence. Ceci étant, je trouve que pour son deuxième film, Ari Aster a fait une nouvelle fois de l'excellent travail et même si j'ai préféré Hérédité à Midsommar (bien que les deux films soient totalement différents), force est de constater que ce dernier a des qualités indéniables et est d'une maîtrise affolante. Un très bon film donc et Ari Aster est définitivement un réalisateur à suivre.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 17 février 2020
    Profondément déçu par ce film, dont j'avais beaucoup d'attentes suite a de multiple bon écho.

    Ce film, personne peut le nier, est une claque visuelle, les plans sont magnifique et les effets spéciaux, loin d'être ouf sont quand même plutôt bon.
    Les acteurs, sont aussi, je trouve bien choisi ainsi que les figurants. J'ai trouvé le jeux de Christian et de Dani excellent, bien que surprenament, Christian est le seul a m'avoir réellement rendu triste pour lui; de par son acting.

    Mais voilà ; je n'ai pas était tant mal a l'aise, et ce car le Scénario et d'un vide sans nom, aucune originalité, rien qui sort de l'ordinaire, dès qu'ils on était dans la secte, j'ai deviné quasiment les 3/4 des choses, ce qui au lieu de me dégoûté, m'as plutôt : Fait RIRE,
    Pour ne pas aider, le film est d'une longueur a mourir...

    Je vous le recommande si vous savez vraiment pas quoi faire; car seulement l'acting et les plans sont géniaux... Mais ça reste une perte de temps a mon humble avis...
    Déçu, par un film qui aurait pu être tellement meilleur...
    bobbyfun
    bobbyfun

    43 abonnés 1 253 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2020
    D'une grande maitrise cinématographique, spoiler: Aster nous plonge dans un huit clos à ciel ouvert où l'on n'en ressort pas indemne.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 085 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 février 2020
    Cette critique pourrait vous dévoiler des éléments de la conclusion d'Hérédité et du scénario de Midsommar.

    Hérédité laissait déjà entrevoir comme principale thématique du cinéma d'Ari Aster les rites cruels liés à des sectes aux pratiques peu catholiques. Là où l'action de son premier long-métrage s'axait plus sur l'antéchrist et ses disciples, celui-ci figurera comme un exercice de style pour le réalisateur, dont la tâche, ardue, sera d'à la fois développer la culture d'une communauté nordique marginale et de les mettre en scène dans un contexte aux antipodes de ce qu'il nous avait précédemment proposé.

    Là où Hérédité donnait lieu à des moments de tension en huis clos, parfois de nuit, Midsommar prendra le chemin inverse en plaçant ses protagonistes dans un lieu de vie gigantesque illuminé par le Solstice d’Été : la peur, loin de venir uniquement des intérieurs, prendra ses bases sur une vaste plaine séparée du reste du monde par une forêt dense, et c'est en se réfugiant dans des baraquements que la sécurité semblera venir en premiers lieux (avant de disparaître entièrement, et progressivement, de ces lieux de pèlerinage).

    Le grand talent d'Aster, tout comme Kransinski tenta de le faire en jouant sur la perception du son dans Sans un bruit, est de prendre à revers les habituelles situations horrifiques basées sur le manque de lumière et les angles de vue dissimulateurs pour créer une atmosphère de tension en privilégiant les plans larges sur des paysages superbes et divinement éclairés, sans négliger bien sûr ses quelques scènes de terreur intérieure.

    La claustrophobie naît justement de son rythme décalé de la production actuelle : loin d'épouser les jumspcares et l'action perpétuelle de la plupart des productions horrifiques (chose qu'il entreprenait très bien avec Hérédité), il joue sur la patience du spectateur en prenant bien son temps pour placer son intrigue, développer ses personnages et enrichir ses thématiques de ce ressenti de fatigue ambiante, sur la fin d'exténuation que le spectateur pourrait presque palper.

    C'est ainsi qu'il lui fait ressentir ce que vivent ses protagonistes; en déboussolant par l'action située de jour, il réussit là où Krasinski avait échoué en poussant le concept à son paroxysme : le temps, étiré jusqu'à l'étouffement, trouve difficilement une logique chronologique et aide à développer un profond sentiment de malaise, presque de paranoïa, qui fait irrémédiablement penser à la réussite émotionnelle du très intense Body Snatchers de Philip Kaufman.

    Le dépaysement est d'autant plus grand qu'il propulse le spectateur dans une culture qu'il ne connaît pas (pour le grand public) au travers du personnage principal, Florence Pugh placée comme vecteur d'approche. Elle que personne ne soutient, pas même son copain, incarne une partie de la société rejetée : ceux un peu bizarre dont on aime se moquer amicalement, qu'on sous-estime à longueur de temps, qu'on laisse sur le carreau pour écrire la Grande Histoire construit ici l'intrigue en devenant finalement le pont entre la culture du monde moderne et de cette secte ancestrale.

    C'est en abandonnant une civilisation qui ne la comprend pas qu'elle trouve un sens à sa vie : jusqu'ici menée par son petit-ami, méprisée par ses compagnons thésards, elle incarne cette "lie" de l'humanité en quête de revanche, ces laissés-pour-compte rarement représentés de façon si réelle et juste sur les grands écrans qui trouvent ici une raison d'avancer, et deviennent malgré eux les grands noms de l'histoire.


    Cette destinée inattendue (devenir un idéal, une figure quasi divine) construit une idéalisation faîte d'humilité et d'une revanche bien méritée : en prenant le parti des maltraités, des personnalités fragiles car écrasées sous le poids de la popularité des figures idéales de la société dites civilisée, Ari Aster rejette de toute évidence le stéréotype occidental, beau et compétitif, donc performant physiquement et intellectuellement, au profit d'un retour à la nature salvateur pour celui qui ne rentrerait pas simultanément dans ces deux cases.

    Il l'imagera d'ailleurs en représentant les thésards comme des "amis" incapables d'avoir confiance les uns envers les autres lorsque surviendra le sujet de leur voyage, la thèse qu'ils devront faire, soit lorsque reviendra sur le devant de la table leur véritable nature : l'irrespect, l'égoïsme, un individualisme ayant pour vocation de dominer l'autre sans aucune pitié.

    Comment éprouver une grande empathie face à ceux qui ne respectent pas les coutumes ancestrales d'un peuple traditionnel, ni même la nature qui les entoure? Outre le retour à la nature de cet Homme qui a perdu son instinct animal à trop se pervertir en ville (notamment dans la quête d'une situation haut-placée), on relève aussi un paradoxe moral amené par l'identification que le spectateur se fait au personnage principal.

    Propulsé dans l'intrigue et ressorti du film par deux grands évènements de la vie de Dani (profonde Florence Pugh), il s'identifiera à elle au point de souhaiter la punition de son compagnon psychologiquement maltraitant, entrant dès lors en conflit avec ses propres valeurs : comment cautionner le meurtre, l'ultraviolence d'une culture en appréciant cependant de suivre le rétablissement de l'ordre naturel des choses? Et comment d'un autre côté cracher sur une culture ancestrale, largement plus ancienne que la société moderne présentée dans le film, sous prétexte de se croire plus évolués, plus humains, finalement moins cruels avec tous les excès nés de notre mode de vie?

    C'est là qu'est le grand talent d'Ari Aster : en plus de nous présenter un travail visuel digne de toiles de grands maîtres et de cadrage des plus grands films (l'inspiration de Kubrick saute encore aux yeux), le réalisateur/scénariste propose un travail de fond où la réalité se mêle au virtuel, questionnant à la fois sur le rapport à la lumière, au rythme et plus largement à la chronologie de l'action dans les films d'horreur, et laissant en tête une réflexion d'ouverture à l'autre habilement proposée, jamais évoquée de façon moralisatrice, soit suffisamment bien sous-entendue pour mener le spectateur à réfléchir non pas sur le film en lui-même, mais bien sur sa propre vie et son rapport au monde.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2020
    Une trop longue plongée dans ce woodstock de l'horreur finit par nous ennuyer et le scénario manque de sang frais. Toutefois, le cadre bucolique du film nous rend cette bande d'illuminés par moment sympathique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 7 février 2020
    Je pense que le thème horreur ne convient pas à ce film. Légèrement malaisant éventuellement mais en aucun cas horreur (sauf spoiler spoiler: éventuellement la scène où les deux de 72 ans se suicident
    ). Le film est bien réaliser en soi, les scènes sont belles, le casting est bon. Les références aux croyances scandinaves sont là (pour celles et ceux qui connaissent les croyances vikings, le 9 est très présent spoiler: les âges (il me semble que le premier est 18, ensuite 36 puis 72, donc 1+8, 3+6, 7+2, la cérémonie se tient tout les 90 ans, dure 9 jours et il y a 9 sacrifices à la fin... petit rappel de la cérémonie se trouvant dans la série Viking avec 9 sacrifices de chaque espèces tous les 9 ans
    ). On retrouve également le volontariat de l'esprit des sectes. Cependant, de mon point de vue, il n'y a pas d'histoire. Peut-être n'ai-je pas compris le film mais je ne remarque aucun lien entre le début et la fin. Le film est long à démarrer et be démarre jamais vraiment. Une vraie déception car j'en attendais bien plus psychologiquement. Il y a du bon car beaucoup de travail mais une vraie perte de temps quand on attend quelque chose de l'histoire. (Je ne suis pas une grande cinéphile et ne recherche que du divertissement mélangé au beau... là il n'y avait que du beau pour moi...)
    Wylan
    Wylan

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 février 2020
    Donc ce film est un film d'horreur-épouvante, j'attends toujours de voir l'horreur et l'épouvante. Je dirais plus que c 'est un film étrange et complètement absurde. Comment peut-on se faire avoir par une secte aussi facilement en voyant des choses dès le début et pourtant y rester. Les protagonistes sont tellement naifs faut rester dans la réalité quand même se faire avoir aussi facilement c'est d'un comique.Les seules choses biens dans ce film ce sont les scènes plutôt choquantes.
    arthur_h_82
    arthur_h_82

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2020
    Bien que légèrement rafraîchissant, dans un paysage hollywoodien catastrophique, ce film me fait penser à un mauvais épisode des contes de la crypte.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2020
    Dans la foulée de son retentissant "Hérédité" qui était, même si je l'ai énormément apprécié, un film d'épouvante à l'intrigue et à l'ambiance plutôt classiques, le réalisateur américain Ari Aster livre là l'archétype même d'une oeuvre clivante, aussi magistrale que déstabilisante, aussi puissante que complexe et métaphorique, un peu à la manière du film de Na Hong-jin "The strangers". Plutôt que dissimuler ses éléments surnaturels dans l'obscurité, ici le choix est fait, dans la lignée de ce qu'avait pu faire Stanley Kubrick avec son adaptation de "Shining", de tout éclairer d'une lumière crue et dure, presque aveuglante, ce qui n'empêche pas à l'ensemble d'offrir un scénario très mystérieux, accumulant les pistes pour se dévoiler au fur et à mesure. Un récit fleuve qui prend son temps pour développer sa trame mais qui n'évite pas certaines longueurs un peu pénibles. Une mise en scène remarquable, chargée de symbolisme pour une réflexion intéressante sur le thème déjà abordé dans son long-métrage précédent d'un culte sectaire, de ses dérives mais qui traite également de la barrière des langues, de la possibilité d'une communication au delà de telles limites par la danse, la gestuelle corporelle. Sous de faux airs féeriques et lumineux, un drame horrifique qui réserve des passages d'une violence tant physique que psychologique d'une sauvagerie presque insoutenable, terrible contrebalançant avec un rythme globalement lent. De bons acteurs que je découvre pour la plupart ici. Indéniablement une claque mais peut-être pas tout à fait le coup de coeur attendu.
    Kriskouailleur
    Kriskouailleur

    16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2020
    Quelle claque !
    Totalement hors du commun, acteurs juste parfaits, une film d’horreur en plein soleil nordique.
    Hypnotisant, terrible, magnifique !
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