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ATON2512
58 abonnés
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3,0
Publiée le 19 août 2019
De Alexandre Aja (2019). Le frenchy live in US est de retour avec ce film nerveux et effice. Entre aventure et horrifique, on se sent happé par cette histoire bien huillée grace à un scénario nerveux , bien ficelé et efficace . Les acteurs sont dans leur jeu . Les effets spéciaux de la tempête sont immersifs . Des scènes bien trash. Un bémol toutefois certains effets numériques des crocodiles ! Avec Kaya Scodelario, Barry Pepper et Morfydd Clark .
The crawl est le dernier long métrage d'Alexandre Aja produit en partie par Sam Raimi. Au niveau réalisation tout est nickel des décors aux effets spéciaux. Du point de vue scénario ,il est construit de sorte que les 1h30 du film passe vite sans que l'on s'ennuie. Ou ce film peine,c'est au niveau du sujet abordé qui manque d'originalité et le dénouement manque de surprise.
Un film d'horreur diablement efficace signé par le cinéaste Français qui conquiert Hollywood Alexandre Aja !! On peux dire peut ètre que ce long métrage a été vu dans les années 70/80 un peu à la mode mais sans succès à l'époque, Aja remet le couvercle à sa sauce et ça marche avec beaucoup de tensions, d'angoisses et je ne vous cache pas que j'ai bondis pas mal de fois sur mon siège pendant la séance. "Crawl", c'est un ouragan comme on en voit souvent sur notre planète et l'histoire, celle d'une jeune championne de natation, qui va chercher son père sans nouvelle qui est dans la cave de sa maison mais plusieurs alligators qui rodent dans et autour de la maison plus l'eau qui monte, c'est un huis-clos assez terrifiant. Mise en scène crispante, scénario et situation qui nous tiennent en haleine, ce long métrage tient ses promesses en suspense et demeure même malin par moment. La jeune Kaya Scodelario et Barry Pepper, les deux acteurs qui tiennent le film a bout de bras avec les alligators sont excellents. Une oeuvre frissonnante
On pouvait redouter le pire en voyant débarquer en plein mois d'août cette série B au pitch nanardesque, où pendant un terrible ouragan une fille et son père sont coincés dans une cave et traqués par un alligator. Pourtant, le film dispose de plusieurs ingrédients qui en font une réussite dans son genre : un scénario malin qui exploite bien tout le potentiel cauchemardesque de la situation (le père est gravement blessé et le temps est compté par la montée des eaux), le savoir faire d'Alexandre Aja en matière de tension et d'horreur, des effets spéciaux réussis qui rendent la bestiole très réaliste et l'investissement total des deux acteurs principaux. On a donc affaire à un survival efficace et intense, d'une rare générosité envers le spectateur en quête de sensation forte, qui va droit au but mais tient la route sans tricher pendant ses 90 minutes. Plus oubliable que les remakes de la colline a des yeux et de Piranhas, il constitue malgré tout un parfait divertissement estival.
Je rejoins les critiques négatives sur ce film très décevant,à des années lumières des films de ce genre, tant on s'ennuie ferme à regarder pendant la très grande majorité du temps le père et sa fille coincés dans une cave avec deux alligators (passés par l'évacuation de la maison qui fait plus d'un mètre de diamètre !). Ils se font manger bras et jambes mais sont capables de se déplacer plus vite que les alligators et de discuter de la vente de leur maison, bref pas besoin de s'étendre, ça en devient risible tellement c'est nul. Je me suis surpris à vouloir sortir avant la fin ce qui ne m’était jamais arrivé. Je me suis dit: il va avoir une surprise de scénario...même pas et il n'y a même pas de fin. A éviter de toute urgence. L'actrice principale, que je ne connais pas, mérite sans doute mieux.
Très bon film avec du suspense, des moments où on sursaute, on est à fond avec les acteurs tout le long du film on espère tellement qu ils s en sortent indemnes... Il est juste Génial à voir au cinéma !
Ce film ne tient pas ses promesses horrifiques:c'est essentiellement un huis clos à 2 personnages : le père et la fille; et cela enlève tout suspense ; car ils doivent tenir 1H27 qui semblent bien longues.On sursaute de temps en temps mais on se croirait dans un nouveau "dents de la mer " et les alligators ont remplacé les requins.N'y avait il pas autre chose à faire à partir de cet ouragan? Alexandre Aja a perdu son inspiration, et les situations ne sont pas crédibles car on ne comprend pas comment les personnages s'en sortent malgré leurs nombreuses morsures.
Aja aux commandes, on ne pouvait qu'attendre quelques choses d'un certains "level" Là ou (quand il touche au sous genre monster movie / Survival) il reste adepte des films du genre, chacun avec son succès et ses cotés parfois opposés. On va dire parodique pour Pirhanas 3D mais réussissant le pari, bien que certains penser un film sérieux. La colline a des yeux a également connu et reste toujours dans les films du réal avec de bon retour (pourtant remake par moment). Ici on part sur un Survival plus qu'une monster movie. Assorti presque d'une forme de huit clos pour la majorité du film ; accentuant l'angoisse et la tension ; ou dés le début l'ouragan pointe déjà le bout de son nez.. Pour la suite, l'histoire l'indique et la BA en montrerait "presque" trop. Peu d'acteur mais le duo principal reste correct (sans avoir pris des acteurs de haut de gamme on va dire). Une fois la rencontre arrivait, de bonnes séquences font leur apparition. Ainsi que quelques jumpscares , juste ce qu'il faut. Après on peut noter quelques maladresse ou incohérence (mettant de coté l'ensemble puisque c'est fictif (mais ce type d'histoire amoindri c'est déjà vu dans certains pays)). spoiler: Mais la fracture de l'homme, qui ensuite marche presque normalement ou alors comme si une simple foulure. Et le plus gros, reste pour le fille et sa jambe croqué par l'alligator mais puis le film avance moins de sang n'apparaisse… Et vers le final, elle nage un crawl ; ou on ne constate plus une goutte et nage le crawl à la perfection (presque mieux que lors de ses compétitions^^) . Mais sur l'ensemble, on rentre vite dans le film et là ou l'on aurait attendu certaines choses que l'on voit généralement dans ce genre de film. N'apparaisse pas à l'écran pour le coup. On ne s'ennui pas une seconde et la tension, ambiance… (l'haut qui continu de monter…), ne nous lâche pas du début à la fin. Durant d'une durée classique, la dernière scène aurait pu dans l'absolu être continué et rajouter une bonne demi-heure. Mais après ceci, reste mon avis. Bref, du Aja comme j'en ais l'habitude de voir ; qui continu de me réjouir. Un des réalisateur, comme James W ou encore d'autre maitrisant leur genre ; mais arrivant toujours ou du moins souvent à réussir la majorité des films même si ce n'est pas le genre prédominant. On ne peut pas réussir à tout les coups, mais une fois de plus ; je suis resté scotché!
En moyenne, un alligator adulte mesure 3,30 mètres de long et peut peser jusqu’à 450 kilos. Cet animal quasi dinosauresque a été numériquement recréé pour les besoins du film. L’équipe chargé des effets spéciaux a effectué un travail des plus extraordinaires. Les alligators de Crawl sont en effet monstrueusement terrifiants. Il fallait au moins ça pour compenser un casting peu enthousiasmant et l’absence de scénario. Alexandre Aja ne peut...
Venez lire ma critique sur mon site ScreenReview !
Par manque de temps cela fait quelques temps que je n'ai pas posté de critiques.
Je vais donc rattraper mon retard même si je dois l'avouer elles seront très succinctes car les films ont étés vu il y a un mois voire plus.
Je commence donc par Crawl, le nouveau film d'Alexandre Aja. J'adore ce réalisateur et je suis rarement déçu.
Crawl ne fait pas exception. Pourtant le sujet a été traité déjà plein de fois.
Le réalisateur a su quand même renouvelé un peu le genre et nous livre un film vraiment oppressant et rempli de suspens.
Il y a juste un point négatif, je trouve les plans en extérieur vraiment mal faites. On voit que c'est filmé en studio. L'éclairage est je trouve vraiment bizarre et fait très "toc".
Par contre pour ce qui est des points positifs, le film est très gore, même très limite pour une simple interdiction aux moins de 12ans.
Il y a peut-être aussi un problème de réalisme, en effet les héros sont vraiment invincibles "lol" mais rien de méchant.
Nous avons passé un très bon moment et avons sursauté plus d'une fois, je vous le conseil donc.
Ce film est vraiment génial, j'y suis aller dans l'optique d'avoir des frissons et c'est réussi. Ce film fait peur, il est stressant et on est submergé par le film tout le long. Le scénario est basique mais vraiment bien réalisé donc je recommande.
Film sympa à regarder qui arrive vite au sujet principal sans fioritures. Ni trop gore,ni trop violent.j'ai passé un bon moment à le voir. Un petit regret,le film s'arrête brusquement sur le sauvetage.Une conclusion sur la relation père-fille s'imposait puisque dans le scénario en second plan.
Assurément un très bon divertissement signé Alexandre Aja. Et uniquement un bon divertissement. Parce que malgré lui, le spectateur va se trouver pris dans la tourmente dessinée par l’intrigue et ressentir par moments un suspense parfois insoutenable, l’amenant fatalement à sursauter sur quelques jump scares. Car quoi qu’on en dise, "Crawl" se révèle efficace. Très efficace. Pourtant le film est de courte durée (88 minutes, génériques compris), mais il est clair, net et… concis. Ahaaa vous attendiez « précis » hein ? Hé bien non. Je ne peux prononcer ce mot en raison de quelques incohérences dont je parlerai un peu plus loin. Pour tout dire, l’entame ne laisse rien présager de ces défauts car la mise en place du contexte est bonne et se permet le luxe de prendre le temps de démarrer malgré la faible longueur de l’œuvre. Mieux, tous les éléments sont réunis avec méthode et précision. Des petits détails qui peuvent paraître insignifiants comme certains accessoires, mais dont l’importance future est soulignée par la caméra du cinéaste. Rien de superflu donc. On nous amène en Floride, une région de temps en temps balayée par des cyclones. Ben justement, un ouragan menace de ravager la région, une personne demeure injoignable, des agents de police s’évertuent à boucler la zone, et tout cela à proximité d’une attraction qui en temps normal attire la curiosité des gens. Dans ces conditions, il n’est pas très difficile de deviner ce qu’il va se passer, surtout quand on sait qu’un tel événement climatique peut envoyer l’équivalent de plusieurs années de pluie en l’espace de quelques dizaines d’heure. Mais heureusement, le tout est suffisamment bien ficelé, avec en prime une bonne musique qui contribue à mettre le spectateur dans le bain jusqu’au cou en renforçant le côté anxiogène. Mais surtout, on a là une excellente prestation de Kaya Scoledario, laquelle devient du même coup le principal atout du film, éclaboussant de tout son talent les vilaines bébêtes. Evidemment, le spectateur peut profiter pleinement de ce spectacle offert par cette sorte de huis clos, à condition de ne pas être puriste. Encore que même sans être puriste, il sera difficile de ne pas relever des énormités : difficile d’admettre qu’un tel animal soit dans l’incapacité de casser une simple paroi de douche ! Ou que le simple support de savonnette puisse supporter le poids d’un être humain. Bon je ne vais pas citer toutes les incohérences car il y en a quand même pas mal. Elles restent néanmoins regrettables dans le sens que cette multitude de petites choses qui ne coulent pas de source nuise à la qualité de ce qui aurait pu être un long métrage majeur du genre et crée des remous dans la satisfaction du public. "Crawl" reste malgré tout un ouragan cinématographique particulièrement mordant, étonnamment sans images trop gores.