Crawl est le nouveau film d’horreur d’Alexandre Aja et produit par Sam Raimi. Le scénario est assez classique et l’on nous offre un film de série B qui s’assume totalement sans jamais vouloir en faire trop ni tomber dans trop de facilité. On se retrouve avec un huit clos qui tourne un peu trop en rond. On aura le droit à notre dose de sang et de chair déchiquetée avec les rôles secondaires et accessoires. Le film se regarde, mais cela sans réel plus.
Un film d'horreur totalement banal. Les personnages sont superficiels et inintéressants. L'histoire quant à elle se voit venir à des kilomètres. Les scènes d'action avec les crocodiles n'accrochent pas du tout le spectateur et la fin est décevante. Un film manquant d'ambition.
Comment peut on dépenser autant d'argent dans des effets réussis...et avoir un scénario aussi vide, des personnages aussi caricaturaux, des dialogues aussi plats, et autant d'incohérences ...ou est le Aja que j'adorais, celui de Haute Tension, de la colline à des yeux ...
Des incohérences assez flagrantes, même si le scénario est original. J'adore Barry Pepper mais le film est assez tiré par les cheveux et son jeu d'acteur bien qu'excellent n'est pas suffisant pour relever la note.
Un film qui remplit les fonctions attendues juste comme il faut: un scénario simple, efficace qui laisse place aux soubresauts. Un film d'été qui nous apporte les sensations qu'on aime éprouver dans les salles ciné.
Un film qui aurait pu être plus original, mais qui reste assez captivant. Je trouve qu'il y aurait pu y avoir un peu plus d'histoire. spoiler: Je suis un peu lasse de l'histoire du père qui se rapproche de ne pas avoir été bien. C'est du deja vu. Mais, en même temps, le film ne s'attarde pas troo la dessus, et ça, ça m'a plu. Dans beaucoup de films de ce genre, je reproche le fait que bien souvent, il y'a des moments où on a envie de aux personnages que ce n'est pas le moment de penser à ça, qu'ils feraient mieux de ne pas perdre leur temps, et trouver un moyen de partir. La, il y a 2/3 moment où ils pensent un peu à leurs soucis familiaux, mais c'est tout , et la fille tâche de signaler qu'il vaut mieux songer à leur situation actuelle. Ça ne veut pas dire que je dénigre toutes les histoires de leurs problèmes extérieurs. Je trouve meme que CRawl"manque manque un peu au début. Je pense juste que ça ralenti et rabaisse un peu trop souvent les personnages. Je croyais que la fin serait prévisible avec un seule qui survit, mais j'ai été surprise. J'ai bien aimé. C'est divertissant, mais le scénario est un peu trop convenu.
Au bout d'un moment, on n'attend qu'une chose : que ces deux abrutis se fassent dévorer par les alligators. Malheureusement, même avec une jambe ou un bras broyé, ils continuent à courir et à nager et on devra supporter leurs conversations idiotes jusqu'à la fin.
J'ai toujours beaucoup de mal avec les films qui s'assoient sur la cohérence. A la base il y a ce qu'on appelle "la suspension d'incrédulité consentie". Qu'est ce que c'est que cette bête là ? C'est le fait d'accepter le pitch de départ pour entrer dans l'histoire. C'est le fait d'accepter que la magie existe pour regarder Harry Potter par exemple. Donc ici quel est le pitch ? Un ouragan très violent en Floride (jusqu'ici pas de soucis) et des alligators qui profitent du bazar environnant pour faire une balade hors de leur zone habituelle. Ok pas de soucis, j'achète. Et ensuite ... Ben ça devient n'importe quoi ... Spoiler : spoiler: On a le père qui a une fracture ouverte de la jambe qui va marcher dessus pendant toute la dernière partie du film (je vous conseille d'essayer, on en reparle), l'héroïne qui, dès les premières scènes se fait happer la jambe par un alligator, heureusement pour elle l'idiot de la portée, qui ne pense pas à tournoyer sur lui-même pour arracher le membre (ce qu'on verra à plusieurs reprises par la suite, mais n'oublions pas, celui-ci est le taré de la portée). On a donc le droit à un beau plan sur la jambe lacérée avec de magnifiques plaies bien sanguinolentes. Plaies qui ne s'infecteront pas malgré le séjour dans l'eau, jambe qui ne gonfle pas malgré le traumatisme, saignement qui s'arrêtera de lui-même avant qu'il n'y ait une hémorragie importante et j'en passe.
On ne parle pas des pillards qui vont se faire pulvériser en deux secondes par les autres membres de la famille Alligator, ceux qui ne sont pas totalement idiots et/ou rachitiques, ni des flics qui subissent le même sort en quelques secondes.
Bref, un pseudo suspens bien étrange avec des alligators à deux vitesses, qui n'attaquent pas le père et la fille de la même façon que n'importe qui d'autre dans le film. Des incohérences en voici en voilà.
spoiler: Je ne parle même pas du sous-sol de la maison qui ne fait jamais si la même surface ni la même hauteur.
Donc un film à prendre au trois ou quatrième degré, avec la dose réglementaire de scare jumps et c'est tout. Oublié presque aussi vite qu'il a été vu.
Les comédiens, n'ont jamais appris à interpréter leurs rôles. L'actrice principale est insupportable :spoiler: avec toutes les péripéties qui lui arrivent, comment elle s'en sort indemne ? Incohérent. Malgré cela, ça reste un bon film, côté effets spéciaux, c'est pourquoi, j'ai mis 3 étoiles, c'est tout !
Le film n'est vraiment pas bien. Payer 10 € pour voir ça ? non ! Je me suis ennuyée du début à la fin. L'idée était bonne mais le résultat n'est pas à la hauteur. Passez votre chemin.....
C'est bizarre : faites une recherche sur « interview Rasmussen film crawl" sur Qwant ou autre, Vous n'obtiendrez aucun résultat. Parce que, comme moi, vous vous demandez comment il est possible d'associer une réalisation aussi spectaculaire à une écriture aussi nulle ! Mais cette recherche permet de découvrir que le scénario original a été remodelé par le réalisateur, Lequel a réclamé 50 % des royalties liés au script… pour avoir sabordé ce film. Est-il possible que ce français Alexandre Aja, fort de son passage à Hollywood, se soit arrogé En Serbie l'autorité suffisante pour imposer ses vues ? Le scénario retraçant le parcours émotionnel d'une jeune femme devient une machine métronomique à broyer les membres (toutes les cinq minutes). Très vite, l'histoire devient morbide (les dents de l'amer) puis risible. Mon fauteuil a dérouillé, d'abord par ennui, puis par fous rires.
Après les requins, les piranhas et les cobras, c'est au tour des alligators de sortir le grand jeu ! Alexandre Aja, réalisateur français qui a déjà de nombreux films de genre à son actif, s'en sort plutôt bien avec cette série B divertissante. Bien que tout le scénario soit fondé sur un nombre incalculable d'invraisemblances et de faux-raccords, le huis-clos humide de cette maison en Floride qui se gorge d'eau de la cave au grenier a de quoi donner des palpitations. Bon, le courage intrépide et la force surhumaine des personnages principaux face à ces bêtes colossales frisent parfois l'absurde. D'autant plus lorsqu'on voit les personnages secondaires se faire déchiqueter en un temps record... Après, tout ça ne fait que renforcer le côté bad-ass de Kaya Scodelario dont on admire l'endurance et la performance physique tout du long. La relation complexe avec son père vient solidifier la fragilité de l'action, trop prévisible, ce qui rend "Crawl" assez "bateau" (jeu de mot !). Si le scénario coule vite sous le poids de ses incohérences, le film pèse lourd grâce à des supers effets et à son suspense bien dosé. De plus en plus étouffant, alors que les échappatoires s'immergent (et que Kaya n'est toujours pas fripée), les alligators gagnent du terrain sans qu'on ne les repère à la surface. En cela, le film maintient une tension généreuse jusqu'au final, avec une dose d'hémoglobine suffisante pour ranger ce survival dans la catégorie des films d'horreur. C'est violent, efficace et assez immersif ! Dommage que les personnages soient aussi anormalement "immortels". Mais je peux vous dire que ça m'a rafraichi de le voir lors des jours de canicule !