Derniers Avis : Crawl - Page 24

C'était un navet et tout était prévisible. Les crocodiles n'était pas du tout naturel leurs déplacements et leur puissance de mâchoire n'était pas identique au crocodile dans la vraie vie.
Claqué au sol

J'ai cru voir quelqu'un en train de jouer un jeu vidéo... Ce ne sont même pas des alligators mais plutôt des PNJs... Il n'y a rien de réaliste dedans.
J'ai failli sortir de la salle au milieu du film si je n'étais pas au plein milieu de la rangée...

D'un côté, on sort du schéma « la belle et la bête » qu'on retrouve dans une quantité de films de ce genre. De l'autre, on tombe en pleine « mecxplication » avec Papa dans le rôle du mec.Inceste de citron, un règlement de compte familial, des alligators, secouez-bien et vous aurez un film pas mal fait, sans trop de surprises, mais très efficace. C'est l'été, fait chaud et je n'ai pas envie de m'étendre sur toutes les explications psy propres à ce genre. Les facs de ciné s'en chargeront très bien.

Très bon film d'une femme et son papa qui se batte contre de gros vilains crocodiles a voir pour un film sens prise de tête avec l'héroïne qui se défend bec et ongle pour sa survie

Le seul film que j’ai vu d’Alexandre Aja est l’excellentissime Haute Tension et depuis plus rien. Il y a bien un Piranha 3D qui me faisait de l’œil pour me rappeler ma passion juvénile pour les films de bestioles mais sans plus.
Et là, que vois-je, un autre film de bestioles vendu comme « réaliste » et toujours signé par Aja. Allez vendu ! Je prends le ticket et me pose pour apprécier les alligators affamés.
Là, on a le droit à un mix entre film de bestioles et film catastrophe. Malgré mon préjugé qui me faisait dire que l’ouragan n’était là que pour amener les alligators à sortir, il a finalement un rôle à part entière dans ce film.
Mais restons concentrés sur notre problème crocodilien. Est-ce que les alligators font si crédibles que ça ? Alors l’incrustation oui, à une scène près, ils font crédibles après je ne m’y connais pas assez en saurien pour savoir s’ils ressentent vraiment les petites bulles d’air qui leur chatouillent la gorge à ce point ou s’ils sont aussi têtus quand ils sont affamés mais on fera avec, c’est le genre qui veut ça.
Côté humain, le casting est réduit et le duo de protagonistes est vraiment digne d’un couple de superhéros. Ils survivent et se battent à fond. Là aussi, la crédibilité des blessures, le ressenti et la fatigue sont … superflues. Allez, je mets ça encore sur le genre.
En revanche, ce qui est maîtrisé, c’est l’ambiance stressante. Ce sous-sol clôt, cette eau qui monte, les sauriens qui surgissent et l’ambiance orageuse, il n’y a pas à dire Aja maîtrise ça.
Pour un film parmi tous les genres, c’est un film qui se laisse regarder mais pour un film de genre (et sous-genre saurien vorace), c’est un très bon film.

Visiblement le réalisateur ne connaît ni les ouragans, ni les hélicoptères, ni les alligators, ni le corps humains, ni le cinéma. C'est nul, convenu et totalement irréaliste du début à la fin. Aucun scénario, aucun suspens. Scène de la piscine glauque reprise de Star Wars et Aliens. Je ne comprends pas comment les critiques pro (sur lesquelles je me suis fondé) peuvent trouver la moindre qualité à ce navet zzzzz.

Une sorte de huit clos horrifique avec nos copains les alligators. Le film est très sympa et honnêtement , on reste sous pression durant tout le film .

En partant d'un pitch somme toute classique, voir ridicule (Booouuu les méchants alligators tueurs), crawl arrive pourtant à être une petite pépite de survival en huis clos.. Visuellement impressionnant, suspens bien dosé, moments de tension, j'ai passé un assez bon moment et ma foi, c'est pour ça qu'on va au cinéma non ?

Alerte SPOIL !!! Bonjour. Je suis Eryso TURPIN. Je n'ai aucune connaissance en cinéma si ce n'est quelque base. M'enfin. Je vais vous rédiger une critique express de crawl. Avec les points négatifs comme positif.

Point positif :
- la durée du métrage : Malgré les apparences trompeuse, Crawl n'est point rapide comme film. En effet, malgré sa durée ne dépassant pas l'heure et demi se dernier possède un très bon rythme opposant tension, lenteur et scène très active et mouvementés. Je pense notamment au premier acte du film qui pose doucement l'ambiance (piscine, recherche du père) jusqu'à l'attaque du crocodile, où la tension augmente, de même pour le rythme. Le film va vraiment crescendo. Plus les personnages avancent dans l'histoire, plus cela et dangereux et mouvementé.

- Le casting et personnages : l'un des meilleurs point du film sont les acteurs. Nous avons le personnage principal féminin de Haley, interprèter par Kaya scodelario (labyrinthe). Et elle se débrouille très bien. L'on rescent très bien sa joie, sa colère et ses douleurs. L'on peut en dire autant pour Barry pepper (la ligne verte, ll faut sauver le soldat Ryan) qui se débrouille aussi très bien. Autre point intéressant est la relation des 2 personnages. Ces dernier sont en froid, même durant les situations difficiles. Or, la situation fait qu'ils doivent se serrer les coudes si ils veulent survivre. La scène dans la cave où Haley demande a son père de lui parler pour la rassurer est assez représentative de mes propos. En effet le père ne sait pas de quoi parler ayant déjà évoqué la météo. (thème récurant lors d'une conversation entre deux personnes froides). Il lui parle alors de la compétition. Sujet qui a fâché les 2 protagonistes. Malgré ses propos déplacés qui dérange Haley, il arrive à la distraire et à la rassurer. Bien sûr cette aspect froid des 2 personnages s'estompe au fil du film. Je félicite la relation des 2 personnages père / fille en froid malgré le risque de tomber dans le stéréotypes.

- les crocodiles : le point le plus important du film. Les crocodile furent réalisé en post production, du moins pas pendant le tournage. Le réalisateur Alexandre aja, et l'équipe d'animation VFX ont voulu rendre les crocodiles les plus réaliste possible. Est-ce réussi ? Oui. Leurs effets visuel comme sonore sont très bien réalisé. L'on recent tout de même un côté '' chip'' au niveau de certaines animations. Une espèce de saccade dans leurs mouvements. Je ne sais pas si c' est dût à la volonté du réalisme des animaux (car ils ne bougent pas beaucoup) mais parfois ils sont très réaliste comme parfois presque débile (surtout hors de l'eau) mais ils ne que 2 ou 3 plans sur les crocodiles qui m'ont déranger (quand Haley se fait attaquer par les 2 crocos et qu'elle arrive à coincé la tête de l'un d'eux dans une cage, quand Haley sort de bouche d'aération et qu'elle aperçoit en contre plongé un croco vers la surface). Dans l'ensemble les crocodiles sont plus un point positifs que négatifs. Par ailleurs les scènes de morts par les crocodiles sont très bien faites. Ils sont très bien animés et coordonner au mouvement de l'acteur en question.

- L'horreur : interdit au moins de 12 ans en France, Crawl est décrit comme un film d'horreur. Lorsqu'on pense à un film sur des crocodile, certains pense à un slasher, d'autres à de l'horreur et où à un film gore. Crawl réuni les 3. Alexandre aja est de retour en force. Il arrive très bien à alterné entre scene d'ambiance stressante ou tension (horreur) comme avec gore et répulsion (sang, os cassé, bras manger, cris de douleur) et notamment slasher ( 5 personnages meurt mine de rien). Enfin, la réalisation est très bonne, l'horreur est présente, tout comme le gore. C'est très réussi. Moi qui ne réagi pas vraiment au film d'horreur '' classique '' (conjuringverse) j'ai vraiment flipper à celui ci.

-le scénario : une intrigue simple, réaliste et qui fonctionne. Le film est un survival, on ne s'attend à des retournement, une enquête. Non, juste survivre et sa marche très bien. L'intrigue principale de savoir où est le père d'Haley est tout de même plutôt lente, voir inutile. Malgré ce point les personnages sont bien écrit, l'histoire est simple et attachante. L'on comprend d'une traître le récit, c'est sans prise de tête.


Points négatif :
Les morts : les morts en elles mêmes ne dérange pas, c'est beau spectacle. Mais les personnages qui meurent ont été créé spécialement pour mourir et offrir du spectacle.
Par exemple les 2 gillets jaunes sont morts pour du spectacle. Et encore, le jeune, l'ex de la sœur d'Haley est le personnage le plus attachant qui meurt. Ce ne sont pas les pires. Prenons l'exemple des 3 cambrioleur de la boutique. Ils ne servent quasiment à rien dans l'intrigue. Si ne n'est que l'un des 3 à vu une lampe. Et c'est génial ça ! C'est dommage.

Réalisme : Le film se veut réaliste d'entrer. L'ouragan et les crocodiles en Floride n'on rien de dérangeant. C'est même naturel d'avoir un croco dans son jardin en Floride. Quant au Ouragan il y en a pas mal au Usa.
Or certaines incohérences et faciliter scénaristiques porte à confusion sur le réalisme du film. Premièrement les blessures. Haley à deux grosses blessures. La première et à la jambe, une grosse morsure sur la cuisse et la seconde est une morsure sur le bras. Je ve bien qu'elle se soit fait un garot, mais elle n'a aucune difficulté à nager avec sa jambe et son bras en Bad. C'est d'autant plus choquant lorsqu'elle se fait mordre le bras. Elle mets clairement 5 minutes à s'en remettre. Alors qu'avec sa jambe, l'on insiste plus déjà. C bien montré qu'ils ont mal sur la durée, mais sa n'as quasiment aucune sequel sur Haley (L'on peut justifier par le fait qu'Haley est bonne nageuse mais quand même) C'est encore pire pour le père. Ce dernier dès le début du film est super amoché à l'épaule. Il a une fracture ouverte, il c'est noyé. Et il c'est fait mordre le bras, avant de se le faire faire déchirer. Et ils n'as pas perdu sont sang. (bon d'accord il a fait des garot et a replacé son os mais faut pas abuser).
Une facilité scénaristiques encore, le crocodile arrive à casser une vitre. Pourquoi il n'arrive pas à enfoncé le plastique de douche quand Haley l'enferme ?

Métaphore : une methapore filé est présente entre Haley et les Alligators. Premièrement Haley nage et fait de la natation. D'où le nom Crawl. Comme la nage. Nage qu'elle effectura pour échapper aux reptiles. Son entraîneur et paternel la compare à un : '' super prédateur " forcément en référence aux crocos. Haley le sort plus tard dans l'histoire d'ailleurs. Le prénom Haley se prononcé '' Alli" en VF comme Alligator. Ce genre de comparaison trop explicite et tiré par les cheveux rendre l'intrigue moins réaliste.

CONCLUSION : Malgré quelques points noirs et incohérences et une lenteur au niveau du 1er acte Crawl est un film très bien réussi. L'un des meilleurs d'Aja d'après moi. Les acteur rendent leurs personnages attachant, l'intrigue est simple et intéressante, la réalisation est très bonne. L'horreur comme le gore est présent, le rythme est bien géré. C'est un film que je vous conseille fortement de voir, pour les fan de cinéma d'horreur comme pour les amateurs.

Il faut soutenir se genre de cinéma. Merci de m'avoir écouté et au revoir.

0,5/5 Nul. Ah ça faisait longtemps !!! Un navet pareil profitant d'une bonne pub (inadmissible). Tout est mauvais, irréaliste et suréxagéré dans ce film. Une bonne grosse daube à l'ancienne !

Franchement, pas réaliste du tout, décevant... il faut vraiment faire abstraction, de tout ce qui est juste impossible dans le monde réel, pour pouvoir continuer d'être dans le film, or pour nous c'était impossible, trop irréaliste

Ce film est du même acabit que tous les films décérébrés à effets jamais pas assez spèciaux ( C est pas seulement le cinéma qui est en train de se faire assassiner ! C est quand qu hollywood récupére sa tête ? ( plutot que leurs bourses déjà pleines )
C est ma faute me direz vous jvai payer pour ce type de film mais bon ! Il vaut mieux parfois se remettre a lire que subir ce qui fait parti au final de la grande catastrophe écologique de l esprit !
Bref ! Le talent au cinema serait donc de nous faire croire ? Mais quand les invraisemblances trop multiples viennent saboter une oeuvre qui pourrait se payer la seule chose qui est gratuite : L' INTELLIGENCE !

Très honorable, image très propre et relativement réaliste, quelques sursauts évidemment.
C'est bien joué, le scénario tient assez la route tout nous épargnant aucun des clichés des films du genre.
Sympa.

Très déçu. Je m'attendais à des scènes spectaculaires d'un cyclone gigantesque, mais tout se passe dans une cave inondée où 2 alligators sèment la terreur. Et dehors, c'est pire. La maison est cernée par d'innombrables alligators qui dévorent tout ce qui bouge, flics et pillards.
Dans la cave ( 90% du film ) ça devient vite lassant. Et même grotesque car père et fille se font coincer régulièrement un bras ou une jambe dans la gueule des monstres, mais ils s'en tirent systématiquement avec quelques blessures superficielles.
On est à des années lumière d'un Spielberg avec les Dents de la mer, qui vous prenait aux tripes.

pe cette zone de Floride. Elle retrouve son père blessé dans la cave mais il n'est pas seul...

Crawl est un film d'horreur d'Alexandre Aja de 2019.

Le thème du crocodile tueur a alimenté une importante filmographie depuis 40 ans, parfois avec bonheur (Solitaire, le crocodile de la mort), souvent maladroitement (Supercroc...).
Alexandre Aja (La colline a des yeux 2006, Horns, Haute tension...) réussit de nouveau son pari avec un film bien scénarisé et plein de tension.

Après une introduction dans laquelle le réalisateur prend le temps de situer son sujet et ses protagonistes, Crawl démarre véritablement lorsqu' Hawley investit la cave et y découvre son père blessé. Assiégés par des alligators affamés qui sont comme des poissons dans l'eau avec le niveau de l'eau qui n'arrête pas de monter, le père et la fille vont jouer à "cache cache" avec les prédateurs qui n'ont qu'une idée en tête: les dévorer. Hawley est une nageuse de compétition qui va leur donner du fil à retordre...
Le film réserve son lot de saillies horrifiques avec quelques victimes savamment mises en situation avant d'être "croquées" sans ménagement par les bestioles. Sans être gore, les séquences sont tout de même efficaces. Aja tourne quelques affrontements en contreplongée également vraiment bien vus, ce qui donne une idée de la taille des crocodiles, de leur rapidité...et de leur appétit.
L'environnement des 2 survivants est tout simplement infernal: les protagonistes essaient de rester en vie dans une ville de plus en plus immergée, sous une pluie battante et un ciel de fin du monde avec des vents de plus de 150 kms/heure.

Coté casting, on voit surtout Kaya Scodelario (Hawley) et Barry Pepper (Dave Keller), tous les deux convaincants.

Même s'il est bâti sur un format court (88 minutes), Crawl est un film horrifique efficace et parfaitement maitrisé, le contraire m'aurait étonné de la part d'Alexandre Aja.

Bien que tourné dans les conditions d'un ouragan, le film est garanti sans "requins volants".

Le film produit par Sam Raimi a été tourné en Serbie.