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PNAP
9 abonnés
133 critiques
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3,0
Publiée le 14 août 2024
Ce film va droit au but! Les bestioles sont bien faites, les acteurs sont correctes, l’histoire pas folle mais on n’est pas la pour ça! Ce film aimé par Tarantino lui-même m'a influencé pour le visionner.
Je suis très partagée sur ce film... Mon mari a détesté, il a trouvé ça très et surtout très invraisemblable. Et il a raison. Mais on sait ce qu'on vient chercher quand on regarde ce genre de films, non? C'est une vraie question que je me pose. Pourquoi quand on pense "survival + alligators", on sait qu'on va voir un film pas très étoffé niveau scénario et probablement pas réaliste du tout? Est-ce qu'un film "d'horreur" est forcément un film moyen? Bref, Crawl. Acting ça va. J'ai sursauté, il y avait une bonne tension. En soi, je ne me suis pas sentie déçue à la fin du visionnage, mais encore une fois, mes attentes étaient très basses. Plusieurs scènes sont totalement inutiles si ce n'est pour nous donner quelques macchabées... Bref, ça ne casse pas une patte à un canard mais ça fait surement le job qu'on en attend.
Sur une durée assez courte la tension est très bien dosée. C est très bien réalisé. Alexandre Aja est spécialiste du genre et tout fonctionne à merveille. Les comédiens sont parfaits ! sueurs froides assurées.
Dans mes souvenirs le film était clairement nul, mais finalement le film est assez angoissant et on a pas une impression que l'alligator a un réel avantage sur eux bien qu'il en a un évident rien qu'à l'affiche du film.
Un bon thriller dans l'ensemble au niveau tension, photographie et interprétations. Pour donner le piment, dommage qu'il y a beaucoup de "toujours plus" au point d'avoir 2 héros surhumains et même pas peur ... 3/5 !
C'est un énorme oui. Enfin quelque chose qui appâte, où tu ressens du stress et de la pression sur une longue durée. Alors on me dira peut-être que ce n'est pas original, des gens dans le besoin dans une détresse aquatique entourés de monstres marins. Mais là, le simple fait d'intégrer des alligators, ça rajoute quelque chose. Le chien rajoute aussi une source de stress, et on est plongés (littéralement) avec eux dans un cyclone, une montée des eaux, et des alligators affamés.
spoiler: Bon, je rajoute ça quand même, je ne mets pas 5/5 pour la simple et bonne raison que... Le père est terminator ? Non mais il se fait bouffer l'épaule, la jambe, le bras, bref il a des garrots en veux tu en voilà, mais il a toujours la force de tout faire. Et la perte de sang dans l'histoire ? Non ? Bon bah c'est pas grave.
On est prit dedans, on stress et on veut qu'elle survive. L'histoire a d'ailleurs du sens, et donc on est facilement amenés d'une bonne façon à la chute entre le quotidien et l'horreur. Petit bémol aussi sur les blablas entre deux moments de survie, bon, il y aura d'autres instances pour faire table rase du passé. Très réussi, on en veut encore !
Malgré des effets spéciaux vilains, "Crawl" a le mérite d’être simple, direct, efficace. Alors que "Piranha" assumait le grand-guignolesque, Alexandre Aja fait cette fois-ci le choix de prendre son sujet au sérieux en proposant un bon moment de frousse.
Alors, oui je sais, tous les herpétologistes amateurs spoiler: vont râler devant ces alligators qui semblent avoir des faiblesses dans les mâchoires et les étudiants en médecine vont s'étonner devant la capacité de nos héros à faire fi de leurs blessures . Mais il y a des films où les invraisemblances n'ont que peu d'importance tellement le spectacle est assuré… Ici pas besoin d'une introduction qui traine, on est très vite dans le bain (c'est le cas de le dire) et on y restera jusqu'à la conclusion, la tension est superbement géré ainsi que les apparitions des alligators que le réalisateur a sur rendre souvent imprévisibles. Et puis il y a Kaya Scodelario qui nous fait une prestation remarquable, elle y croit, elle est en plein dans le trip… et nous aussi.
Crawl fait le job. un bon divertissement du samedi soir avec un pot de pop corn et une boisson rafraîchissante. On s'éclate, on se ronge les ongles et on sursaute.
"Crawl," sorti en 2019, se distingue principalement grâce à son élément original : des alligators. Le scénario est simple : un cyclone frappe la région, le père, joué par Barry Pepper, ne répond plus, et sa fille, incarnée par Kaya Scodelario, se lance à sa recherche. Ce qu'elle découvre dans les sous-sols de la maison est bien loin de ce à quoi elle s'attendait : des alligators dangereux.
Ce qui rend le film vraiment intéressant, c'est la présence omniprésente des alligators. Ces créatures redoutables et imprévisibles apportent une dose d'originalité et de tension au genre du film d'horreur survival. Les scènes d'action avec les alligators sont palpitantes, maintenant le spectateur en haleine du début à la fin.
L'un des points forts du film réside dans la relation entre le père et la fille, ainsi que dans la manière dont les querelles familiales sont explorées et expliquées. Cela ajoute une couche d'émotion à l'histoire et permet au spectateur de s'attacher davantage aux personnages.
Cependant, il faut reconnaître que le film comporte plusieurs facilités scénaristiques, notamment en ce qui concerne la présence des alligators dans les sous-sols. Leur raison d'être là peut sembler un peu tirée par les cheveux.
Dans l'ensemble, "Crawl" n'est peut-être pas le film de l'année, mais il offre une expérience cinématographique agréable sans ennui, en grande partie grâce à la présence des alligators, qui apportent une touche d'originalité au genre. Si vous cherchez un film d'horreur survival avec des rebondissements inattendus et des créatures redoutables, il vaut la peine d'être vu.
Bon ... Soyons honnête, le film est plutôt captivant tant l'action est permanente. En revanche, c'est truffé d'incohérences, il faut le dire ! Un hélicoptère qui vole pendant un cyclone avec des vents à 200km/heure ?!? Je crois que c'est ce qui m'a le plus choqué mais ce n'est pas la seule absurdité que j'ai retenu dans ce film. C'est dommage parce que c'est plutôt bien joué et pas trop mal réalisé non plus. Malheureusement, un finale prévisible et des incohérences à n'en plus finir.
Crawl confirme que Alexandre Aja déçoit rarement, il prend pour le coup un sujet éculé qui a vu bon nombre de productions souvent hasardeuses et avec talent le renouvelle sans non plus le révolutionner. Contrairement à d'habitude on a envie que les personnages s'en sortent, attachants qu'ils sont, et puis les effets spéciaux sont bons, les crocos ne sont pas parfaits mais bien modélisés mais c'est surtout concernant la photographie qu'Aja fait des miracles. En effet les décors et l'atmosphère en plein ouragan sont du plus bel effet et on y croit tout simplement. On y croit forcément un peu moins en ce qui concerne les nombreuses péripéties des personnages mais ils ont le mérite de ne pas faire de choix débiles et comme l'ensemble est bien rythmé on ne prête pas trop attention aux incohérences. Un bon retour aux sources en somme pour Aja et puis à titre personnel ça me fait plaisir de revoir Barry Pepper.
Ce film n'a AUCUNS sens. Je ne sais même pas où commencer. Peut être par lpare fait que il y a un OURAGANT avec des vent soufflant à plus de 200kmh et que les cheveux ne bouge même pas. Si ce n'étais que ça... Les personnages sont invincible et absolument stupide. À quel moment tu te dit "woow on est en sécurité dans la maison, si on allais dehors où il y a plain d'alligatores" les alligators on (normalement) une force de pression dans la mâchoire de 1000 KILO ça veux dire que si un alligators mord mon bras JE N'AI PLUS DE BRAS ET JE NE VAIS ENCORE MOI ME TAPER UNE BRASSE DERRIÈRE. D'autant plus que le père aillant un os qui ressort il se déplace plutôt bien. Évidement si on prend des cours de piscine on nage plus vite qu'un alligators (qui a un vitesse de point à 50 kmh) quand on sais que le record de vitesse d'un humain SUR TERRE est de 47 kmh dans l'eau ça me paraît assez improbable.
Le film ne tien pas la route et rajoute des scène juste pour en rajouté, à force ça devient limite drôle tellement c'est nul. Je conseil au réalisateur de se reconvertir dans la finance ou peut être (si il veux rester dans le cinéma) dans les films p*rnographiques. Un film merdique que je déconseille
un film d'horreur un peu quelconque. le puis les crocodiles s'acharnent sur les 2 protagonistes du film, classique. Je pense que face à un vrai crocodile, le film n'aurait pas durer 1h30.