Derniers Avis : Crawl - Page 8

Un bel ouragan, des gros alligators amateurs de chair humaine. Une jeune femme qui veut sauver son père et son chien, voilà un bon film carastrophe comme j'aime quand je suis bien au chaud devant la tele.

Crawl l'histoire d'une famille déchirée .. a l'arrivée d'un cyclone .. un père ne réponds pas à sa fille. Cette dernière s'en presse d'aller à son secours. Malheureusement, des petits alligators seront là surprise .. l'idée est intéressante mais les séquences sont un peu trop illogique .. malgré de multiples blessures .. ils surmontent à tout ! Trop gros pour être réel. Pas terrible

Sympa et décomplexé, Alexandre Aja démontre qu'un petit Français peut faire aussi que les Ricains, malgré un budget des plus modestes. Un survival qui tient la route avec de belles scènes effrayantes et parfois drolatiques. On relèvera aussi une lumière de qualité. Mais la palme revient aux effets spéciaux avec des alligators numériques, mais très réalistes.

Film d'horreur de grande qualité signé Alexandre Aja. Un film d'horreur à l'ancienne où le danger vient de la nature (Anaconda, les dents de la mer...). Cette fois un père, sa fille et leur chien vont devoir survivre en plein ouragan alors que la ville, peu à peu inondée, est remplie d'aligators.
Malgré un concept déjà bien connu, la qualité du jeu d'acteur de Kaya Scodelario et Bary Pepper, ainsi que l'excellente réalisation, font vivre le film au spectateur. De plus Alexandre Aja réussit cette fois à ne pas tomber dans le piège du gore à l'extrême (Piranhia 3D). Le résultat est un film moins vulgaire et stupide.
En résumé c'est un très bon film d'horreur à l'ancienne.

J'avais passé une bonne journée et puis j'ai regardé Crawl. Ne comparons pas s'il vous plaît ce nanard au "Dents de la mer" comme j'ai pu le lire !
Un bon début toutefois ! Mais au bout de 20 mn
Invraisenblances à répétitions...à un point que cela en devient comique...
Bref à éviter !!!

Crawl marque le grand retour du réalisateur français Alexandre Aja à la grosse production, et ce dans son registre de prédilection : l’horreur. Le pitch est simple mais permet à Aja de donner une place centrale à la peur et au suspens dans son récit, qui s’oriente ici sur les alligators. Une fille doit sauver son père des alligators, mais il est pris au piège dans le sous-sol de sa maison, et un ouragan s’abat sur la région… Un grand divertissement donc qui peut rappeler à certains le pitch de Sharknado… On est loin de la débilité de ce film (où des requins volent dans des tornades) car le talentueux réalisateur français met en scène une véritable traque orchestré par les reptiles, et joue avec les lumières et les décors pour nous mettre sous pression. L’intrigue se développe rapidement et nous sommes vites pris au piège avec la fille et son père. On ressent la maitrise d’Aja, qui joue avec le moindre objet, ou même son pour nous tromper et nous immerger face aux alligators. Bien-sûr, même si le film ce veux le plus réaliste possible, certains moments paraissent assez aberrants, surtout quand on connait la force de la mâchoire d’une de ces bêtes, ou encore la puissance que peut exercer un ouragan. Cela reste une grosse production hollywoodienne, et le résultat est vraiment à la hauteur des espérances, ce survival est intelligent, surtout que le sujet maintes fois traité au cinéma peut paraitre usé. Avec un peu de talent et de moyens, Alexandre Aja nous offre une bonne heure et demi de tension, sublimée par une bonne photographie et une pointe de scènes impressionnantes qui restent en mémoire. N’oublions pas que le système français de production laisse peu de place au cinéma de genre en France (horreur, fantastique ou encore science-fiction), préférant les comédies usées jusqu’au bout du filon pour faire des entrées faciles. Vraiment dommage quand on voit que des réalisateurs français talentueux préfèrent aller là ou on leur donne leur chance et les moyens. Alexandre Aja en fait partie, et je salue son dernier film qui rempli le cahier des charges. Quand au cinéma français, j’espère qu’il va finir pas évoluer….

L'idée de faire un film d'horreur avec des alligators était tellement évidente que l'on pouvait se demander comment Alexandre Aja se proposait de l'exploiter. Sans surprise, c'est le minimum. Crawl se résumant à UN enchaînement banal des poncifs de l'horreur contemporain comme d'un prétexte pour s'amuser avec les reptiles, et même de ce côté-là c'est décevant. Une première partie en sous-sol interminable, pas même une exploration destructrice de la maison familiale pour extérioriser les soucis familiaux, aucune connexion entre les problèmes père-fille et les bestioles. Résultat, le flash-back occasionnant l'action salvatrice sort de nulle part et on est juste content que ça se termine. Il y avait mille façons de rendre cette lutte de survie plus dramatique, iconiser une seule bête au lieu de plusieurs, faire durer l'exposition, étendre le champ d'action ou à défaut, opter pour un divertissement jouissif.

Une version de pluie d'enfer à la sauce alligators méchants.
j'ai rarement vu un film avec autant d'incohérences.
On y croit pas une seconde tellement la ficelle est grosse.
Seul point positif les effets spéciaux qui sauvent ce naufrage.

Je ne vais pas trop m'étendre sur ce film tellement je l'ai trouvé mauvais et ennuyeux. Trop d'incohérences, que ce soit dans les réactions des protagonistes que dans les situations, rien ne colle et ça agace très rapidement. J'aimais le Aja des débuts (Haute Tension, La Colline A Des Yeux), j'aime nettement moins depuis (Piranha, Crawl)...

Correcte.
Les alligators sont très biens faits et l'idée du film est cool.
En revanche il n'est pas très prenant et le stress n'est pas bien géré. De plus les personnages sont pas terribles et l'héroïne paraît invincible (elle se fait mordre fortement 3 fois les bras et jambes par des alligators et s'en sort avec des égratignures).
Le seul personnage dont on à de l'inquiètera est le chien.
Divertissant mais oubliable.

Incroyable navet cumulent toutes les erreurs du genre que je ne pourrai citer, préférant vous laissez la chance de les découvrir par vous même. Un genre cinématographique pour adolescents et préadolescents non épargnés par la puberté. Et dire, que l'on arrivera toujours à trouver toute une production pour nous sortir un tel film, et bien entendu, tout un public qui en redemandera, encore et encore, sans même se rendre compte de l'ampleur de l'arnaque

J'avoue que je m'attendais à pire pour ce film. A ma connaissance, le filon "bêbête qui dévore tout le monde" n'avait pas été exploité avec les alligators.
Je suis plutôt agréablement surpris, si ce ne sont les inévitables petits moments d'amour retrouvé entre père et fille, après avoir boudé mutuellement pendant pas mal de temps.
L'aspect guerrier inculqué par le père à sa fille m'a un peu dérangé également. J'aurais préféré un discours plutôt axé sur le respect de l'autre. Mais ceci est anecdotique par rapport à l'ensemble de ce film.

Ce type de production n'est clairement pas ma tasse de thé, et "Crawl" ne déroge nullement à la règle.
Outre une histoire purement improbable, les effets spéciaux sont de mauvaises qualités et les acteurs pas franchement brillants.
Reste une critique positive : le scénario est court, le rythme par conséquent sans vrais temps morts. La douloureuse reste supportable.

Comme tout film catastrophe ou d’horreur, il y a un grand nombre d’incohérences et « Crawl » malheureusement n’échappe pas à la règle. Parfois ça passe si le récit qui nous est conté est solide, s’il y a de la matière ; et parfois on ne voit que ça. Dommage, par moments, je reconnais avoir été capté, mais pas suffisamment sur la durée en raison des incohérences qui me faisaient sortir du film. Quand on se pose autant de questions, quand on est constamment sceptique sur la mise en scène, sur les choix narratifs, ce n’est pas bon signe. « Crawl » est une promesses non tenue.

Crawl est un huit-clos horrifique d'Alexandre Aja, un habitué des films d'horreur, qui nous plonge en Floride au milieu d'un ouragan. On suit alors une jeune femme qui va tenter de retrouver son père dans leur maison d'enfance... mais voilà, avec la montée des eaux, la maison est entouré d'alligator assez vorace et assez malin, forcément, ce sont des américains...
Donc, je dirai que ce film se laisse voir et apprécier sans souci pour le genre qu'il est mais qu'il ne surprend pas plus que cela et évidemment, montrera quelques clichés habituels.
Bref : si vous avez les crocs, ce film est à déguster !