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RealPrime
89 abonnés
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3,5
Publiée le 23 décembre 2024
Cette fois, plus de "reboot", flash-back dans tous les sens ou incohérences de scénario, on est bien là dans une réelle suite, de réelles années après le "Chapitre final" avec en prime, une réelle nouvelle équipe dont la nouvelle affaire sordide s'inspire clairement de Kramer. Premier volet à ne pas (enfin) spoiler: nous remontrer John en phase mourante ou à "former" son futur disciple (c'est d'ailleurs la première incohérence, ou est finalement passer Scott Patterson ?), un nouveau cast mener par, et c'est une première pour la saga, par Chris Rock (bien plus issu du comique et des talk-show) et Marisol Nichols en "énième" flic mais là aussi une première, première femme flic "principale" de la saga, là ou Athena Karkanis ("Saw 4 & 6) était seulement agent. Un duo dynamique d'entrée de jeu avec une familiarité assez fun dépoussiérant les habituels codes verbaux de la saga, charactère moins "officieux", un élan plus "rock" sans trop aller dans les formalités. Niveau récit donc, la succession est bien gérée, un jeu percutant avec les traits comique assez direct de Rock, dans un registre gore, c'est assez spéciale. Une dynamique entraînante dans ce récit ou le policier reviens nettement à la charge comme le premier volet, avec des scènes de tortures moins clivantes disons franchement, même si le montage, visuels et son sont top, on reviens là aux tous débuts, plutôt dommage en réalité, mais le thriller reste implacable. Niveau messages télévisés, on baisse cruellement en qualité, la technique se passe des bonnes tensions et passe aux vidéos presque numériques assez minables et à l'audio non travailler, adieux donc la vieille poupée en costume 3 pièces (encore une première). "Spirale" offre donc son GROS LOT de nouveauté afin de vouloir de "débarrassée" de ses éléments phares, mais pas certains que ces nombreux détails fassent l'unanimité. Le ratage technique du "3D" est officiellement loin mais le retour à l' "expresse gore" et le départ de la poupée star entament presque un déclin annoncer. Le final reste par contre percutant, assez facile là ou le thème emblématique signait le clap véridique, laissant place à de simples regards vaquant. La force de la saga ne s'est pas totalement envolée mais quelques éléments baisses en régime. Le comique à réussi son entrée, va savoir s'il sera de retour prochainement et pour le reste, allons également savoir ?
Le film Saw que j'aime le moins. Ce film perd sa magie et son esprit des autres films, c'est dommage il y avait du potentiel. Il y a quand même des scènes intéressantes, j'avoue, c'est pour ça que je mets la moyenne. (Mais Saw est une de mes franchises d'horreur préférés)
Le film est tiré par les cheveux, dénouement simple et peu original, heureusement que le dernier Saw a fait remonter la saga dans mon estime car quand je l'avais vu je n'avais plus d'espoir pour la license
J'ai vu tous les Saw et ceux qui disent que celui-là est le pire, je comprends pas trop. Pour moi, hormis le 1er, ils se valent à peu près tous sauf que dans celui-là, il y a une histoire compréhensible et pas abracadabrantesque avec un mort qui érige des plans sur des années depuis l'au-delà (d'ailleurs je défie les gens de me faire un résumé logique de ce qui se passe dans cette saga). Là il y a une enquête policière au moins et un vrai tueur. Les scènes de massacre sont parfois dégueux, ce ne sont pas les pires qu'on a vues mais bon... j'ai bien aimé la fin même si cela semblait prévisible. Chris Rock n'est pas très bon mais les acteurs des anciens Saw, ils étaient bons peut-être (Costa Mandylor) ? Et moi Tobin Bell, au bout de 7 ou 8 fois, c'est bon, j'ai ma dose (surtout quand on fait une préquel avec un gars qui a pourtant 20 ans de plus -80 ans !- avec le X)... Donc là on est dans un film d'horreur "bidon" de tout façon, dans le sens où le but n'est que de voir des meurtres horribles justifiés par un scénario improbable et finir sur un twist capillotracté (hormis le 1er évidemment). Ca ne va pas au-delà de ça. Du fast-food movie. Donc ça se mâte, on s'ennuie pas et quand c'est terminé, ben y a deux heures qui se sont écoulés.
Un spin off assez captivant dans sa narration, on est plutôt vers un thriller horrifique que dans du gore pur et simple même si certaines scènes sont vraiment très violentes avec des pièges vraiment trashs !! Dommage que l'interprétation ne suive pas ...
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0,5
Publiée le 20 novembre 2023
Au 9ème rang d'une saga de dix films, "Spiral : From the Book of Saw" (2021) est bel et bien l'ètron d'une franchise qui n'en finit plus de se recycler inlassablement! Quoi que "Saw V" (2008) ou "Saw VI" (2009), la concurrence est rude pour la palme du plus mauvais opus! La dèfense de Darren Lynn Bousman ? Reprendre la saga en changeant totalement de sujet, mais avec trop peu de prèparation et trop peu de matière scènaristique! L'inventivitè des pièges est là, mais absurde et trash au possible, à la merci de ses pauvres victimes! Complètement èteint en inspecteur de police, Chris Rock n'a jamais ètè aussi nul qu'ici! Tiens on n'a bien envie de lui filer une gifle façon Will Smith pour ce rôle! Pas certain que "Saw X" (2023) remette la franchise sur les bons rails! Et pourtant il est possible d'aller plus loin, toujours plus loin, avec le retour de Tobin Bell et Shawnee Smith! Le dèfi est lancè! Mais quand tout cela va-t-il s'arrêter ???
Alors oui on est dans l'univers de Saw mais ça n'as rien à voir avec tout les autres films, la on est sur un film d'enquête, ça change et ça fait du bien. Le plot twist est très bon. C'est pas le meilleur de la saga mais il est dans le top 3 pour moi.
La saga Saw a su se renouveler avec ce film. Ici on a une enquête policière sur un tueur dont le mode opératoire rappelle étrangement Jigsaw. Côté piège, on n'est pas vraiment dans la mécanique de Jigaw spoiler: car ce dernier laissait la possibilité de s'en sortir (même si ce n'était pas toujours évident), alors que là, la seule issue c'est la mort . En plus, les parties pièges sont passées un peu (trop) à la va-vite. Là où avant c'était l'élément principale du film, ici ça devient plutôt secondaire. Car c'est l'enquête l'élément principale. Par contre, on retrouve un côté plutôt gore au niveau des pièges là ou c'était décevant dans le précédent film. L'histoire est super avec des rebondissements et un suspens bien géré, et ce renouvellement est un bon point car cela évite à la saga de tourner en rond. Par contre, ce renouvellement peut décevoir les fans de saga qui aurait aimé revoir la mécanique du jeu et des pièges tel qu'on l'a connue. Si on sort ce film du contexte de la saga, c'est un super film sans déception possible.
Spiral: Le Saw qui n'en finit jamais de s'enrouler
Imaginez un univers parallèle où Chris Rock serait un maître Jedi, maniant le sabre laser avec autant d'élégance que Yoda. Malheureusement, dans "Spiral," il est plus proche du côté obscur de la farce que de la Force. On nous promettait une révolution, mais on se retrouve avec un comédien plus perdu qu'un Stormtrooper dans une forêt d'Endor. L'homme qui nous a fait rire pendant des années se transforme en triste patate au milieu de pièges aussi surprenants que Jar Jar Binks en tant que Sith Lord.
Les twists dans les films "Saw" sont devenus aussi courants que les clins d'œil à Stan Lee dans les films Marvel. Dans "Spiral," le twist est aussi surprenant que le fait de découvrir que Batman est en réalité Bruce Wayne. C'est comme si le réalisateur avait décidé de se la jouer Sherlock Holmes avec une pipe géante qui crache de la fumée en forme de "C'est moi le méchant !". On aurait aimé une pirouette scénaristique digne de Deadpool, mais on se retrouve avec un méli-mélo digne d'un épisode de Scooby-Doo.
Le réalisateur Darren Lynn Bousman semble avoir découvert les filtres Instagram et les a utilisés à outrance dans "Spiral." On se croirait dans un clip de rap des années 90, avec autant de néons que dans la Batcave de Schumacher. Les pièges, quant à eux, sont plus redondants que les répétitions d'un épisode de "Friends" (et c'est dire). C'est comme si Jigsaw avait décidé de recycler ses idées, en ajoutant simplement un peu plus de ketchup (ou plutôt de sang) et de mayonnaise pour masquer la fadeur.
Le scénario de "Spiral" nous plonge dans un service de police corrompu, avec des ripoux plus évidents que les champignons dans le monde de Mario. On espérait une critique sociale profonde, mais on se retrouve avec une morale aussi subtile que la bouche de Pac-Man dévorant des pac-gommes. L'intrigue policière est plus basique que Mario collectant des pièces pour sauver la princesse Peach. En bref, c'est un peu comme si Sonic avait perdu ses anneaux et ne pouvait plus sauter sur les méchants.
À ce stade, "Spiral" est comme un jeu vidéo sans mode multijoueur, un rollercoaster sans descentes, un cosplayer sans costume. On se retrouve dans une spirale d'ennui et de désespoir, espérant désespérément que le film se redresse comme un zombie affamé cherchant un cerveau. Mais au lieu de ça, on se retrouve avec un remake médiocre de "Saw" qui nous rappelle pourquoi on ne joue plus aux jeux du cirque depuis les gladiateurs de l'Antiquité.
"Spiral: From the Book of Saw" aurait pu être la renaissance de la franchise, mais au lieu de cela, il ressemble à un Power-Up vidé de toute son énergie. Chris Rock n'est pas le héros que nous méritions, et le twist est aussi inattendu qu'une révélation sur l'identité de Superman avec des lunettes. Le film nous laisse dans une spirale de déception, nous rappelant que parfois, il vaut mieux laisser les classiques intacts plutôt que de les ressusciter comme des morts-vivants. Vous feriez mieux de dépenser votre argent pour acheter des comics de qualité, au moins là, les super-héros ne vous décevront pas.
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Darren Lynn Bousman reprend les commandes de la saga pour nous en livrer une sorte d'ersatz à la manque qui n'a plus ni l'âme d'un Saw ni son extrême machiavélisme. Ce Spirale oscille entre navet et série-B avec en rôle titre un Chris Rock lamentable, Samuel L. Jackson est passé faire coucou en touriste, le scénario n'a ni queue ni tête, il n'y a même presque plus de pièges. C'est tiré par les cheveux, truffé d'incohérences et d'un ennui mortel pour couronner le tout, même le "twist" final est au rabais. On peut peut-être convenir qu'on a fait le tour de la saga là non ?
9eme opus de la saga saw, celui ci, repart presque sur une toute nouvelle histoire assez intéressante mais prévisible et de loin, les protagonistes jouent bien cependant
Des pièges peu créatifs combinés au jeu d’acteur de Chris Rock assez horripilant tant il en fait trop, ainsi qu’à des acteurs secondaires sans background, font qu’on se désintéresse très rapidement du sort de tous les protagonistes ! Alors quand en plus on a des incohérences ou des invraisemblances de folie (cf. : la scène dans le sous-sol du commissariat) et une fin ratée car on voit très bien qui tire les ficelles depuis le début, on se dit qu’on a affaire là à un bien mauvais épisode de la saga qui d’ailleurs n’a que très peu de rapport avec elle à part une mention dans son titre !
Je mets 5 étoiles pour remonter la note globale du film que je trouve injustement sous-noté.
Je trouve les avis très durs envers ce film et pense qu’il ne faut pas le voir comme un ‘spin-off’ ou comme un ‘renouveau raté’ de la franchise et qu’il faut simplement prendre le film comme il est. Personnellement j’ai passé un très bon moment, ça aurait pu être bieenn pire que ça. On retrouve les codes de la série, des pièges toujours aussi morbides et j’ai trouvé le duo Chris Rock - Samuel L Jackson bien venu dans cet opus, avec une intrigue qui tient en haleine jusqu’à la dernière seconde.
La chose que je dirais à ceux qui ne l’ont pas encore visionné est de ne pas vous fier à la note globale et de vous faire votre propre avis car Spirale L’Heritage est loin d’être un mauvais film.