Mon compte
    Les deux Papes
    Note moyenne
    3,8
    3943 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Les deux Papes ?

    104 critiques spectateurs

    5
    21 critiques
    4
    60 critiques
    3
    17 critiques
    2
    3 critiques
    1
    2 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Mohamed B.
    Mohamed B.

    78 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    Mon film préféré de l'année. Les dialogues sont magnifiques et nous font découvrir avec justesse et poésie la vie des deux hommes. Les flashback de Bergoglio (pape François) sont d'une finesse politique et d'une beauté déchirante dans leur description de l'époque du putsch militaire en Argentine fin 70. Deux films dans le film. Et comment mettre moins de 5 étoiles quand l'acteur principal s'appelle Anthony Hopkins. Un chef d'oeuvre signé Netflix.
    Cynévore
    Cynévore

    62 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 janvier 2020
    Si Fernando Meirelles amorce "Les deux papes" via nombre de clichés battus et rebattus sur la personnalité de ces deux hommes, il parvient subrepticement à les affiner par une confrontation de leur vision respective, et du caractère et du passé qui sous-tendent leurs positions officielles. Alors qu'on croirait au début assister à une mise à mort d'un Benoit XVI rétrograde et un encensement de son homologue progressiste, cette dualité initiale s'estompe au fil de l'eau au profit d'une compréhension plus fine des personnes qui se tiennent derrière les étiquettes médiatiques, et de leur psychologie. In fine, l'écueil du jugement est éludé avec brio, pour laisser place à une déclinaison de dialogues enlevés et intimistes sur deux hommes qu'on tendrait parfois à réduire à leur personnage public.
    traversay1
    traversay1

    3 645 abonnés 4 877 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 décembre 2019
    Perdu de vue depuis quelques années, le cinéaste brésilien de La cité de Dieu, Fernando Meirelles, revient avec Les deux papes, dont le scénario et le casting prestigieux auraient mérité une exposition dans les salles françaises, comme c'est le cas dans plusieurs pays. Tant mieux pour les abonnés de Netflix qui auront pu en quelques semaines voir les derniers Scorsese, Michôd et Baumbach, excusez du peu. Les conversations imaginaires entre un pape sur le point de renoncer à sa charge (Benoît XVI) et son futur successeur (François) constituent le plan de résistance d'un film qui utilise avec intelligence images d'archives et dialogues plausibles, eu égard à la personnalités des deux souverains pontifes. Et si Les deux papes est passionnant, c'est qu'il n'est pas qu'objet à rhétorique, traçant des portraits on ne plus sensibles d'hommes marqués par leur passé et leurs remords, en Allemagne et en Argentine, au temps des dictatures. Cependant, le film est beaucoup plus proche du pape actuel, revenant sur son passé quitte à prendre quelques libertés avec son histoire, et cette empathie se sent aussi dans le jeu de Jonathan Pryce, beaucoup plus libéré que celui d'Anthony Hopkins. L'affrontement entre deux visions de l’Église qui s'opposent diamétralement, comme deux points cardinaux, c'est le cas de le dire, nourrit la première partie du long-métrage, permettant de survoler les principaux thèmes de friction qui agitent toujours la communauté catholique. Mais le film est surtout réussi par son évolution vers la compréhension qui finit par se faire jour entre les deux papes, avec l'écoute qu'ils finissent par s'accorder, en dépit de leurs désaccords fondamentaux. L'aspect rigoureux du film, qui lui donne parfois une certaine sécheresse, est heureusement contredit parfois par la mise en scène, la musique et l'humour, caractérisé par une poignée de scènes savoureuses (la pizza, le football, la réservation d'un vol). L'occasion de montrer qu'au delà de ses sérieuses prérogatives, un pape n'en est pas moins un homme (presque) comme les autres.
    Ge0kok0
    Ge0kok0

    5 abonnés 90 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 mars 2020
    Masterpiece en tous points
    Scénario traversant les époques et traditions fabuleusement interprété.
    Construire des ponts plutôt que des murs pour lutter contre la mondialisation de l'indifférence.
    Inspiré de fait réel c'est un merveilleux témoignage d'amour et de paix. Après la cité de Dieu Meirelles dirige un nouveau chef d'œuvre
    Ben B.
    Ben B.

    4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 décembre 2019
    Film incroyable, je ne sais pas si tout est vrai, mais on passe un excellent moment ! Je recommande vivement ce film!
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 515 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2019
    2005. Jean-Paul II est mort. « Un nouveau pape est appelé à régner. Araignée ? Quel drôle de nom. »
    Oups… je m’égare.
    2005 donc. Le conclave se réunit dans la Chapelle Sixtine pour élire un nouveau pape. Doyen du collège des cardinaux, Joseph Ratzinger (Anthony Hopkins) est le grand favori. Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, il incarne la continuité d’un pape très populaire mais aussi très conservateur. Pourtant, au sein du conclave, des voix s’élèvent en faveur de Jorge Bergoglio (Jonathan Pryce), un jésuite argentin aux positions plus progressistes.
    Sept ans plus tard, le cardinal Bergoglio, atteint par la limite d’âge, souhaite renoncer à son office. Ratzinger, élu pape sous le nom de Benoît XVI, le convoque dans sa résidence d’été, à Castel Gandolfo, pour le mettre dans la confidence d’un incroyable secret.

    La renonciation de Benoît XVI est un des actes les plus importants qu’a vécu la papauté ces dernières décennies, un des plus surprenants, des plus « disruptifs » de la part d’un pape réputé au contraire pour sa fidélité au dogme.

    Il était tentant d’en raconter l’histoire, quitte à en simplifier les enjeux. On aurait volontiers imaginé une pièce de théâtre, un huis clos mettant en présence les deux papes, comme Talleyrand et Fouché dans "Le Souper", ou Choltitz et Nording dans "Diplomatie". Le réalisateur brésilien Fernando Mereilles (qu’on avait connu plus audacieux dans ses précédents films "La Cité de Dieu", "The Constant Gardener", "Blindness", "360") n’ose pas opter pour ce parti pris radical. Si les face-à-face entre les deux hommes, à Castel Gandolfo d’abord, dans la Chapelle Sixtine ensuite, constituent le plat de résistance du film, il s’est senti obligé de les entourer d’amuse-bouche et de trous normands.

    Et c’est bien dommage. Car le film aurait dû se focaliser sur leurs rencontres. Il aurait dû confronter leurs visions antagonistes de l’Église : un attachement irréductible et d’une imparable cohérence intellectuelle au Dogme chez Benoît, une visions d’une Église en mouvement, obligée de s’adapter au monde dans lequel elle vit, chez le futur pape François. Il aurait dû creuser les grands dossiers qui ont fait tomber Benoît qui ne sont mentionnés qu’en passant : les scandales financiers à la Banque vaticane, le silence gardé sur les abus sexuels commis par certains religieux, l’attachement forcené de la Curie romaine à ses privilèges…

    Le film s’égare dans des chemins de traverse. Des flashbacks sépia nous montre le jeune Bergoglio au mitan des années cinquante hésiter sur sa vocation apostolique dans une Buenos Aires sépia. On le voit ensuite, en couleurs, sous la dictature argentine, prendre des positions compromettantes qui le hanteront tout le reste de sa vie. on le voit enfin dans les années 2000 mener son sacerdoce au contact des plus pauvres dans les banlieues de Buenos Aires. Ces développements certes nous éclairent sur la personnalité du pape François et son passé ; mais ils nous éloignent du vrai sujet du film qui aurait dû être la confrontation entre els deux hommes.

    Mais nous sommes dimanche. Les cloches sonnent. La messe nous appelle. Il est temps de clore cette critique.
    ffred
    ffred

    1 728 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2019
    Encore un excellent film à voir uniquement sur Netflix chez nous. Jonathan Pryce et Anthony Hopkins sont formidables respectivement en pape François et en Benoit XVI. Légèrement plombé par trop de flashbacks, Fernando Mirelles réussit malgré tout un film aussi intéressant que passionnant.
    Shephard69
    Shephard69

    341 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2020
    Après "La cité de Dieu" et "The constant gardener", ma troisième incursion dans la filmographie de Fernando Meirelles et je découvre là un film impressionnant de puissance narrative sur une histoire d'amitié à priori impossible entre deux êtres aux visions diamétralement opposées. En revenant sur un épisode que je méconnaissais de l'histoire récente du Vatican et cette transmission de pouvoir entre le pape Benoit XVI et l'archevêque Jorge Bergoglio futur pontife François, le réalisateur brésilien livre un très beau long-métrage qui est parvenu à me toucher malgré un sujet auquel je suis très extérieur au départ, un ensemble assez lent à l'instar de nombreuses oeuvres dont l'intrigue repose sur des dialogues dans un face-à-face. Une mise en scène très riche, subtile, une magnifique photographie mais surtout une rencontre exceptionnelle entre deux géants du cinéma contemporain, Anthony Hopkins habitué à ce type de personnages aux hautes charges de travail, de devoir apporte ici une nuance très intéressante de doute, de friabilité face à un Jonathan Pryce superbe d'humilité religieuse, de remise en question dogmatique. Une analyse sensée de la dictature militaire en Argentine dans les années 70 et une réflexion sur le rôle de leader, la conception des responsabilités entre traditionalisme et réformisme. Un grand moment de cinéma.
    Ufuk K
    Ufuk K

    522 abonnés 1 486 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 février 2020
    " the two popes" nommé trois fois au oscar cette année est un drame historique très moyen. En effet le film doit tout à son tandem d'acteur Jonathan Pryce et Anthony Hopkins très habite dans leur rôle respective qui relate la passation de pouvoir entre Benoît XVI et le pape François en 2013, l'histoire réserve quelques moment intéressant mais l'ensemble est très bavard, souvent sans intérêt et long.
    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 décembre 2019
    Buddy-Pope Movie

    Un film sympathique mais qui n'a rien à raconter, d'une durée de deux heures en multipliant les longs flashbacks qui remplissent péniblement le film, qui aurait largement pu être un court-métrage. La première rencontre de ces deux papes est assez intéressante, ainsi que quelques passages où ils discutent, mais reste que cette histoire ne mérite aucunement un film. Même le fait que ces deux papes soient amis malgré leurs profondes divergences d'opinions n'est pas intéressant, si on excepte la scène dans le jardin, ils n'auront jamais de vrais conflits. Le passé de Bergoglio n'est pas très intéressant, et il m'a semblé prendre une bonne demi-heure du film. Pour ne rien arranger, je trouve le film très mal réalisé et très mal monté, alternant inutilement entre images d'archives, film, N&B, sans réel intérêt, hormis celui de nous rappeler constamment qu'on est dans un film, nous sortant de celui ci régulièrement. De plus l'utilisation du N&B est inutile car il est utilisé dans certains flashbacks, mais pas tous. Niveau mise en scène, c'est du niveau d'un téléfilm M6, et certaines scènes sont tellement mal réalisés que s'en est navrant. Une scène de discussion entre les deux papes (je ne sais plus laquelle, celle où il joue du piano il me semble) présente des effets totalement stupides et qui n'ont aucun sens, à base de caméra épaule, tremblotante, qui ne fait pas toujours le point, et des zooms qui retourneront votre réalité. Le réalisateur semble se prendre pour Lars Von Trier, mais ne comprend pas l'intérêt de ces effets, bref, pathétique. Film qui ne repose que sur l'interprétation très correcte de Pryce et Hopkins, même si ce dernier semble légèrement galérer.
    Redzing
    Redzing

    1 147 abonnés 4 496 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2020
    Peu de temps avant qu'il n'annonce sa renonciation, le pape Benoît XVI convoque à Rome un certain cardinal argentin, qui deviendra ensuite davantage connu comme le pape François. Au départ simple confrontation idéologique, cette rencontre débouchera sur quelque chose de plus important... "The Two Popes" ne brille pas forcément pas sa mise en scène. Bien que certains décors soient plutôt jolis (Vatican oblige !), la réalisation ne l'est pas toujours, et certaines images truquées sont moyennement convaincantes. Néanmoins, on note quelques petites audaces, dont un choix de musique étonnant pour le concile qui suit la mort de Jean Paul II ! Mais le plus intéressant dans "The Two Popes" est son scénario. Outre l'affrontement idéologique et théologique, outre le fait d'évoquer les rouages du Vatican, ce sont les dialogues entre les deux hommes qui offrent tout leur mordant au film. Entre deux touches d'humour et des jeux de pouvoir, les dialogues montrent également des personnages beaucoup plus subtils qu'ils ne le laissent paraître au premier abord. Ainsi, Ratzinger/Benoît XVI n'est pas simplement un conservateur renfermé et déconnecté, et Bergolio/François n'est pas simplement un réformateur populaire. Tout deux sont par ailleurs interprétés avec charisme et finesse par Anthony Hopkins et Jonathan Pryce. Bref, "The Two Popes" est une œuvre intéressante sur un sujet peu traité par ailleurs.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    701 abonnés 2 747 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Les Deux Papes est donc une confrontation idéologique et spirituelle souvent passionnante.

    Le manque de mise en scène est compensé par une écriture des personnages précise, et des dialogues efficaces, souvent drôles et élogieux.

    Le film doit beaucoup à ses 2 acteurs.
    Loïck G.
    Loïck G.

    340 abonnés 1 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2020
    Dans cette histoire inspirée de faits réels, le pape Benoît XVI tisse une amitié improbable avec le futur pape François à un moment clé pour l'Église catholique. L’idée est très bonne, son application excellente. La subtilité des échanges est un régal, l’interprétation, une petite merveille. Anthony Hopkins et Jonathan Pryce. Le pape est en blanc, son cardinal en noir, opposition franche qui s’affirme dans cette amitié impensable qui se tisse autour d’un piano et de l’Histoire du monde. Fernando Meirelles entremêle les récits historiques et leur confère une portée aussi universelle que se veut être la parole papale. Paradoxalement son scénario est diabolique, mais magnifique. On le doit à Anthony McCarten qui fit aussi « Les heures sombres », rien que du grand cinéma.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    Stn
    Stn

    10 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 janvier 2020
    Un film intéressant, un film passionnant. De superbes acteurs, et une belle et intéressante réalisation. Un bon choix musical et artistique (notamment avec le principe des flash back). Un film dans l'anonymat du mystérieux monde du Vatican. Un film beau, doux. Un très bon film Netflix, l'un des meilleurs !
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2020
    Fernando Meirelles s’était fait très discret depuis son ambitieux projet choral raté (« 360 ») et la mauvaise réception au Festival de Cannes de « Blindness » en 2008. Pourtant c’est le réalisateur acclamé de « La Cité de Dieu » et « The Constant Gardener », deux films majeurs. Le voilà qui grossit les rangs des grands noms du cinéma après, entre autres, Soderbergh, Scorsese ou Baumbach, qui s’essaient à réaliser un film indépendant dit haut de gamme pour le compte de la plate-forme Netflix. Et si la qualité n’est pas toujours au rendez-vous en dépit de la renommée des cinéastes précités (rappelons-nous l’épouvantable « The Laundromat » de Soderbergh), « Les deux Papes » est une excellente surprise sur un sujet passionnant avec deux acteurs au sommet de leur art dans un lieu pratiquement jamais montré au cinéma, en l’occurrence le Vatican.



    Inspiré de faits réels, car on ne saura jamais la teneur exacte des échanges de ces deux illustre hommes de la religion catholique, « Les deux Papes » s’avère à la fois intéressant et captivant. Dès les premières images, le script se pare d’humour avec ce pape qui essaye de réserver un vol en ligne. Et ce côté un peu iconoclaste bienvenu et tout à fait soluble avec le sujet se maintiendra par petites touches jusqu’à cette excellente séquence de conclusion avec nos deux papes (argentin et allemand) qui regardent la finale de la Coupe du monde où leurs deux pays s’affrontent. Une scène qui montre leur amitié malgré leurs différences et divergences et qui représente le cœur du film. On reprochera cependant que les joutes verbales entre les deux personnages ne soient pas plus poussées et matière à débat, les dialogues se focalisant plus sur la notion de foi, de sacrifice pour la tâche et de pardon. Mais tout cela reste brillamment écrits avec des dialogues en or massif. Et il faut avouer qu’il n’est pas toujours aisé de captiver le spectateur avec presque uniquement deux acteurs et de longues logorrhées théologiques, pourtant ça l’est. Et il n’en serait rien sans la force et l’investissement d’Anthony Hopkins et Jonathan Pryce qu’on préfère voir là, dans des rôles à la hauteur de leur talent, plutôt que de se brader dans ses séries B pour payer leurs impôts. Ils sont tous deux exceptionnels et parviennent à bien nuancer leurs personnages.



    En effet, au début on pense à une élégie pour le Pape François, plus réformiste, et une charge contre le Pape Benoît bien plus conservateur. Mais, au fil des minutes et de l’amitié qui se noue entre les deux, le regard se fait bien moins clivant. Ce qui empêche ce film au sujet passionnant même pour les non croyants d’être vraiment excellent, ce sont ses maladroits flashbacks revenant sur le passé du Pape François durant la dictature argentine. Ils nourrissent peut-être le personnage mais s’imbriquent bien mal dans le reste du film, que ce soit visuellement et même sur le fond tant ils paraissent maladroits. Dommage. En revanche, le fait d’investir le Vatican (sans cela le film aurait pu faire toc) est admirable et passionnant. Les décors de ce lieu mythique pour l’histoire de la religion chrétienne sont optimisés, de la superbe chapelle sixtine à la résidence d’été des papes, cela permet de découvrir et d’admirer ces murs saints. Un film qui met la lumière de manière astucieuse et passionnante sur une passation de pouvoir aux coulisses peu connus entre faits réels et fiction. Un très bon moment bercé par des échanges de haute tenue entre deux grands du cinéma.



    Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top