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    Mignonnes
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    209 critiques spectateurs

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    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    299 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2020
    Ce film est un cri d'alarme. Il est tragique de voir ces jeunes filles se faire ainsi bouffer par un système qui fait d'elles des objets. Cet avertissement n'engage pas pour autant à retourner aux admonestations proférées par la tante (admirablement jouée par Thérèse Mbissine Diop qui avait été la première actrice noire dans La Noire de… de Sembène Ousmane) : Amy cherche sa voie entre l'aliénation traditionnelle des femmes au service des hommes et leur réduction capitaliste dans le monde des objets. (lire l'intégralité de la critique d'Olivier Barlet sur le site d'Africultures)
    CinÉmotion
    CinÉmotion

    184 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2020
    Mignonnes signe ici le premier long-métrage de la réalisatrice Maimouna Doucouré. Et je dois dire que le talent est là, tant dans l'écriture que par la mise en scène, très accrocheuse et visuelle. Le groupe de jeune fille est vraiment convaincant, et le jeu assez naturel, réaliste et fort alors que toutes ont été choisies par casting sauvage et sont donc non professionnelles.
    La particularité du film (qui lui collera sans doute à la peau) est la polémique qu'elle a engendré, notamment à cause d'une affiche Netflix maladroite qui a provoqué une vague d'indignation, surtout aux Etats-Unis. Le film est alors taxé de pédophilie... et d'hypersexualisation volontaire de jeunes pré-adolescentes.
    Soyons clair, les personnes qui pointent l’hypersexualisation de "Mignonnes" n’ont pas compris le sens du film qui porte simplement sur l’émancipation d’une pré-adolescente musulmane en recherche de repères, coincée ici entre la place que sa religion lui impose (ici représentée dans le film par la mère, femme au foyer, polygamie subie, et guidée par le respect des traditions familiales) et celle que la culture occidentale tend à lui montrer (sexualisation du corps, de son image, mise en avant du paraître et faux semblants pour être accepté...). Dans tous les cas, c’est une dénonciation de cette hypersexualisation qui est faite durant le film, et non sa démonstration !! Et si le film choque sur ce point, c’est que les gens n'ont pas compris encore que la jeune génération baigne à longueur de journée dans ces diktats aujourd'hui, qu’ils prennent comme seuls repères à défaut d’en avoir d’autres ! La conclusion du film nous fait bien comprendre que la jeune femme spoiler: décide d’emprunter sa propre voie et non celle guidée par l’une ou l’autre montrée tout au long du film !
    Le dernier plan est d’ailleurs magnifique et symbolise parfaitement cet espoir d’émancipation !
    Ce qui est montré est fait pour choquer puisque c’est ce que la réalisatrice dénonce. Si tous les parents commençaient à jeter un oeil sur ce que regardent leurs enfants sur leurs écrans via les réseaux sociaux et Youtube... ils seraient probablement moins dans la réaction choc et plus dans l'action... Pour connaître des personnes travaillant auprès de jeunes enfants, en tant qu'animateur ou surveillants dans les collèges, je peux vous assurer que le questionnement de la jeune Amy dans ce film est réellement ce que traverse les jeunes filles de confession musulmane lorsqu'elle se confronte à la violence de la réalité de la culture occidentale, contraire aux valeurs familiales. C'est un vrai enjeu de société et d'intégration. Le film est génial dans sa façon d'aborder cet aspect.
    Mais c'est vraiment dommage que ce film pâtisse de la communication désastreuse de Netflix autour du film avec cette affiche totalement contraire à l’idée du film et qui oriente mal sur le vrai propos à retenir qui est louable et intelligent dans notre société aujourd'hui. Il est d'autant plus louable qu'elle dénonce aussi certains aspects de la religion musulmane, la réalisatrice étant aussi issue de cette religion. Elle sait donc de quoi elle parle, et a le courage de le montrer. Pour moi c'est un film fort et puissant dans le message qu'il délivre, mais qui, il est vrai, peut paraître maladroitement amené, pas aider par le marketing de Netflix derrière ! J'espère que la réalisatrice saura se dépatouiller de cette histoire, et nous faire découvrir tant d'autres films dans le futur. Une nouvelle révélation talentueuse selon moi !
    benoitG80
    benoitG80

    3 429 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2020
    « Mignonnes » un titre tout gentil et... mignon qui évidemment évoque ces enfants à peine adolescentes dont la fraîcheur et la candeur devraient être l’évidence même !
    Mais la réalisatrice lance ici un vrai cri d’alarme à leur sujet car si à cet âge l’innocence commence à y laisser des plumes, ce qui va se passer sous nos yeux va aller bien plus loin en devenant franchement effrayant...
    Par l’intermédiaire de Amy, (époustouflante et extraordinaire Fathia Youssouf !), nous allons plonger dans son monde intérieur où la culture traditionnelle africaine bien présente, va se heurter avec une fascination puis une addiction pour une danse pour le moins très suggestive, à travers une bande de filles extrêmement délurées par qui tout va se mettre en place...
    Le mécanisme qui amène Amy à cette transformation est le gros point essentiel de ce premier film, ce que Maimouna Doucouré a réussi avec un réalisme et une intelligence incroyables.
    On ressent en effet tout le désarroi dans les yeux de cette jeune fille, presque encore petite fille, tant la situation que connaît sa mère semble la déstabiliser, l’interroger et l’inquiéter...
    Ce qui par opposition, va renforcer encore davantage ce besoin de s’affirmer, de s’émanciper et de s’identifier à travers tout ce qu’Amy va découvrir et apprendre de ces copines, championnes de chorégraphies pour le moins particulières où les poses provocantes et les déhanchements lascifs laissent pantois et amers !
    La transformation d’Amy à ce niveau est sidérante, et le dépassement de soi dans des limites effrayantes, a de quoi nous retourner et nous faire peur !
    C’est bien là que le danger des images et vidéos proches de la pornographie qui circulent sur le net, apparaît et se trouve mis en évidence, d’autant plus quand elles sont sous le regard d’enfants...
    Ces gamines, toutes mignonnes qu’elles soient sont ainsi malgré elles, instrumentalisées et transformées au delà de ce que l’on pourrait imaginer !
    Un constat effrayant que nous livre là Maimouna Doucouré, ce que malheureusement notre monde actuel avec sa quête de la plastique parfaite, du culte du corps, doublé du besoin de sexe, de fête et d’alcool, ne va que généraliser afin d’amener nombre d’enfants à s’hypersexualiser à outrance et de plus en plus tôt !
    Effrayant et extrêmement dangereux au plus haut point...
    Une réflexion approfondie sur nos sociétés et leurs dérives, se doit d’être menée en urgence et avant qu’il ne soit trop tard.
    Où en sommes-nous arrivés ?
    Qu’avons nous fait de nos enfants ?
    Que leur offrons-nous dans ce monde superficiel et artificiel, virtuel et marchand, où tout, jusqu’à même l’humain, pourra être choisi et se monnayer ?
    Un film touchant, émouvant et à la fois glaçant dans son message plus que préoccupant sur le devenir de nos petits...
    Magnifique et inquiétant.
    Frederic P.
    Frederic P.

    7 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 août 2020
    Magnifique film sur l'émancipation d'une jeune fille à travers le dépassement de la tradition familiale , de la culture traditionnelle et de la culture occidentale d'hyper sexualisation des jeunes filles. La petite Amy , extraordinaire comme toutes les comédiennes du film, trouve son chemin entre ces deux cultures et les réconcilient en quelque sorte. Film très courageux , féministe, plein d'énergie , de joie et de douleurs profondes mêlées . A voir au delà des polémiques stériles et stupides . Magnifique !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 23 août 2020
    Mignonnes est dans la continuité de Maman(s). Un beau film avec un regard d'enfant, un peu décalé, sur le monde décidément bien difficile des adultes. La réalisatrice Maimouna Doucouré nous emmène avec beaucoup d'empathie dans ce joli film sensible. C'est une artiste à suivre
    norman06
    norman06

    351 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 août 2020
    Déjouant tous les pièges de son sujet, ce joli film sur l'adolescence et l'identité culturelle est une réussite, bien servie par un scénario nuancé, un ton semi-documentaire et une jeune actrice bien dirigée. Une bonne surprise.
    Paul Gioan
    Paul Gioan

    7 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 septembre 2020
    OK , seule une femme pouvait faire ça sans se faire massacrer à coup sûr pour sexisme , voire pédophilie....Trop , c'est trop , et le terme de complaisance est mérité , on connait l'attrait de certaines auteures pour l'impudeur porno . Chouette , les gros plans de l'(entrejambe bien serré sans le mini short ....Message : l'adolescente est soit perverse (' mais , la pauvre , le sait elle spoiler: ? ) soit elle sera comme sa mère , soumise. Entre les 2 ? [spoiler]30 dernières secondes : la solution , refuser de grandir. Super message ! Bonne chance, les filles !!!
    [/spoiler]
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 août 2020
    La cinéaste signe un film culotté certe sur un sujet plus ou moins tabou mais encore faut-il ne pas se prendre les pieds dans le tapis. Après un début juste et rafraîchissant on tombe vite dans un manque de subtilité qui a pour résultat de montrer exactement ce qu'on dénonce ! Ainsi la réalisatrice choisit de montrer des fillettes hypersexualisées pour dénoncer l'hypersexualisation des pré-adolescentes ?! Que n'aurait-on dit si le film avait été réalisé par un homme !?! En conclusion Maimouna Doucouré signe un film certe salutaire dans ses intentions et non dénué de grâce sur quelques passages, mais sa mise en scène frontale et provocante paraît surtout gratuite et maladroite ce qui ne sert pas son propos. Dommage...
    Site : Selenie
    Yann MASSARD
    Yann MASSARD

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 octobre 2020
    je ne comprend pas que ce film, au pretexte qu il est realise par une femme ne soit pas interdit. C est tout simplement ecoeurant a regarder. Et pour tous ceux qui ont mis plus de 2 etoiles, merci de vous faire connaitre aupres des services de police, et d y laisser vos disques durs.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 388 abonnés 4 208 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 août 2020
    Prix de la meilleure réalisation à Sundance, “Mignonnes” est le premier long-métrage de Maimouna Doucouré. Le film suit l’adolescence d’Amy, qui doit s’occuper de son petit frère tandis que leur mère est partie pour une durée indéterminée. En parallèle, la jeune fille est fascinée par une bande de filles qui s’entraîne à des chorégraphies et a envie de les rejoindre. Entre premières amitiés, affirmations de sa personnalité et protection de son petit frère pour échapper aux services sociaux, “Mignonnes” est une chronique vivifiante et extrêmement touchante. Tout est si sincère dans cet apprentissage imposé qu’on a parfois l’impression d’être dans un documentaire. Très esthétique et mis en scène de façon très énergique, “Mignonnes” est une pépite que l’on doit également à des gamines qui ont saisi l’ampleur de leur personnage.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    pitch22
    pitch22

    170 abonnés 683 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 octobre 2020
    Les polémiques autour de ce film (instiguées par de grossiers esprits réactionnaires) l'ont sali injustement (il n'y a là rien de malsain, si ce n'est des chorégraphies sexualisantes qui font partie du portrait, et on ne peut céder à ce genre d'ordre moral) . Ma déception va plutôt au traitement final, qui jure par son incohérence et nous remballe dans une sorte de parti pris moraliste, comme si le propos de l'auteure était de renier le caractère profondément rebelle du personnage de Amy (Fathia Youssouf, magnétique malgré un début hésitant), histoire de remettre les choses à leur «juste» place. En même temps, on comprend que cette fille à l'orée de l'adolescence réalise par l'excès qu'elle doit apprendre à grandir avec sagesse. Malgré tout, on se demande à quoi servent toutes ces longues scènes de liesse, de conflit, de courage et de sacrifice, où il faut supporter le modèle traditionnel de soumission incarné par la mère et la grand-mère et passer outre moqueries et brimades. On ne peut être que touché par le délire foufou et l'aspect clanique de ce groupe de pré-adolescentes, prêtes à se couper les cheveux en quatre comme à se crêper le chignon pour parvenir à leurs fins, la victoire d'un concours de danse, se croyant déjà femmes alors qu'elles sont encore des gamines. Le cadre familial, musulman monoparental tradi, renforce par contraste la ténacité d'Amy à se frayer une voie de libération. Le film se fait par conséquent récit d'initiation (comment chercher la reconnaissance par le groupe), récit d'apprentissage (par contraste, choc de valeurs), témoignage du sexisme (à travers l'image de la femme-désir assumée et celle de la femme-objet rejetée) et illustration d'un passage difficile, le temps d'un été, vers un monde adulte phantasmé par une enfance abreuvée de modèles trop adultes et de violence compétitive. Ça reste parcouru d'humour et on évite tout propos trop tranché (d'où une mauvaise interprétation de ceux qui ont pris le film pour une forme d'exercice voyeuriste) mais on peut, par contre, pointer certaines lourdeurs de scénario et un certain manque de crédibilité dans l'action des personnages spoiler: (utilisation improbable du portable piqué, prémisses glaciales de l'intégration, clichés islamistes, cérémonie de désenvoûtement assez ridicule, chamailleries entre copines, petit frère bordélique, mère pleurant sur son sort de polygamie subie)
    .
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 mars 2020
    Un film découvert en avant-première dans le cadre du festival de cinéma à Carbonne. Après le succès fulgurant de son court-métrage « Maman (s) » qui a remporté plus d’une vingtaine de récompenses dans les grands festivals internationaux dont, le César du meilleur court-métrage en 2017, la réalisatrice Maïmouna Doucouré, revient, avec son premier long métrage intitulé « Mignonnes ». Un film dans lequel elle parcourt de nouveau, le thème de la polygamie, en s’appuyant toujours, sur le regard d’une jeune fille, comme point d’encrage.

    Dans Mignonnes, le thème de la polygamie est relégué en arrière-plan pour laisser place à la jeune Amy, une pré-adolescente de 11 ans, prête à tout pour intégrer un groupe de danseuses, une façon à elle, de se libérer du mal-être qui la ronge...

    Un film bouleversant et perturbant à la fois, porté à l’écran par un beau casting, des acteurs formidables, qui ne laissent aucune personne insensible. La direction d’acteur est d’une justesse époustouflante. Fathia Youssouf qui joue le rôle d’Amy, est tout simplement sublime, et crève l’écran, tant par sa sensibilité que par sa beauté.

    Touchante et épatante à la fois, Maïmouna Gueye, est naturellement admirable dans le rôle de maman. Tout comme, dans le rôle de la tante, interprété par Mbissime Thérèse Diop qui fut, en 1966, la première actrice noire à jouer dans un film de long métrage.

    Mignonnes, est un film traversé par de nombreux autres thèmes, comme, L’hyper sexualisation des très jeunes, l’impact des réseaux sociaux, ou encore, la double culture… Des thèmes qui prennent leurs racines, dans la vie, et dans l’entourage de la réalisatrice franco-sénégalaise.

    Moi, j’ai énormément pris plaisir à regarder ce film haut en couleur et, j’ai particulièrement apprécié sa subtilité. Certaines scènes sont splendides comme la séquence du « Mannequin Challenge » et la scène de la fin. Je pense que le défi émotionnel du film est assurément atteint.
    Nabil R
    Nabil R

    5 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2020
    Le propos du film aurait gagné à en montrer moins. Au vu de certaines scènes, je suis obligé de mettre la pire note.
    Michel C.
    Michel C.

    278 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2020
    Bien sur de bonnes choses, je parle des morceaux de danse par des pré-ados plutôt mal dans leur peau, et heureusement, car pour le reste, nous n'avons pas vu grand chose qui grandisse cette enfance engoncée et pas top. Bien sur Amy est pétillante.... Je n'ai pas tout apprécié, y compris dans les manières de filmer ni de stariser des filles très innocentes... pourquoi ? Il y a là un décalage notable, flagrant dont je serais peut être un des seuls, mal à l'aise avec ça....(?) désolé. Mais c'est trop, et c'est presque une injure à l'éducation que les scènes déplacées nous proposent sous des aspects ludiques, enchantées voire sympathiques. Je vais même pousser un peu... suis très étonné que nos pointilleux "gardiens du temple" d'habitude sensibles à ces aspects ont du aller respirer ailleurs (!). Je ne vous encourage pas à le voir - globalement nauséabond !!**
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 708 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 août 2020
    Mignonnes s’égare lorsque il proteste contre la sexualisation des jeunes filles. En illustrant uniquement par le biais d’une mise en scène redondante sur la sexualisation d’une enfant de 11 ans. Maïmouna Doucouré ne questionne aucunement le regard qu’elle conteste. Le mâle mais en reproduit les problèmes et son indigence. Cette candeur face à la mise en place d’un discours politique par sa simple reproduction et une outrancière amplification principalement dans l’omission des véritables enjeux de censure du corps féminin dans l’espace public. L’intrigue de l’œuvre avance à deux reprises par le biais des réseaux sociaux : lorsqu’Amy découvre une vidéo des danseuses rivales finissant par le dévoilement, faussement ingénu, d’un sein faisant de la sexualité un moyen de médiatisation et lorsqu’Amy poste une photographie de son vagin sur Instagram (non-censurée) pour palier à sa réputation d’enfant suite à l’apparition de sa culotte. Ces deux bouleversements sont rendus caducs par l’ignorance. Le film n’offre aucune réflexion sur la censure imposée au corps féminin et à la pédopornographie...
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