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    Amanda
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    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Troisième long-métrage, "Amanda" sera sans doute le film qui fera connaitre Mikhaël Hers du grand public car il aborde un sujet très sensible sous un point de vue très quotidien : la mort brutale et le deuil des proches face à l'inattendu de la situation. L'émotion est palpable et Vincent Lacoste perce à vif !
    David est une jeune adulte qui vit de petits boulots, de magouilles. Très proche de Sandrine, sa soeur ainée, mère célibataire d'une fille de sept ans, ils passent beaucoup de temps ensemble, pour se rendre service essentiellement. Mais rien n'aurait pu laisser présager le destin tragique et soudain de Sandrine, laissant David et sa fille, Amanda, seuls...
    "Amanda" rentre dans la catégorie des films actuels qui, par des scènes de la vie quotidienne, réussit à nous happer, nous questionner, nous toucher. Pourtant il n'y a ici ni énigme, ni politique, ni pathos, seulement des êtres comme vous et moi, frappés dans leur vie par un drame imprévisible. Il y a le passé des souvenirs des habitudes, le présent de la douleur du deuil et le futur d'un renouveau possible. Tout est petit et délicat, tendre et juste, sans pousser la larme ni nous effrayer sur notre époque où l'homme s'auto-détruit. David et Amanda, les deux protagonistes principaux, font face et remontent la pente. Pas de psychologie ni de scènes de trop mais un infime souffle d'espoir et de reconstruction qui se profile à l'horizon, même si ce n'est pas sans embûches. Vincent Lacoste, que je ne porte pas haut dans mon estime en tant qu'acteur, signe sans doute son meilleur rôle à ce jour : engagé émotionnellement, extrêmement poreux et convaincant dans des scènes poignantes et subtiles. Impossible de ne pas citer Isaure Multrier, Amanda, qui aborde ses scènes avec un naturel déconcertant, le sourire rempli de souvenirs. Au delà du deuil, c'est une ode à la vie : comment rebondir suite à la perte soudaine d'un être cher ? Comment accepter de rendre possible l'inconcevable ? Le réalisateur touche notre Moi profond sans nous bouleverser, sans en faire trop, mais juste en nous confrontant à un quotidien, différent mais proche du nôtre. C'est dans la pudeur que "Amanda" livre toute sa richesse.
    Quand on regarde la bande-annonce du film ou quand on lit son synopsis, son enjeu et son thème principal ne nous sont pas dévoilés. Afin de préserver la choc qui m'a saisi quand je ne m'y attendais pas du tout, ce qui va suivre est à considérer comme un gros spoiler. Je conseille donc aux personnes qui n'ont pas vu le film de s'arrêter là. "Amanda" est aussi l'un des premiers film français à aborder le thème on ne peut plus moderne du deuil des familles suite à un attentat. Ici, le réalisateur a fait le choix d'en inventer un dans le bois de Vincennes et l'irruption de cette scène sanglante au milieu d'un film d'auteur a de quoi vous secouer. En cela, "Amanda" a de l'audace, de l'ingéniosité en délivrant des scènes percutantes entre une jeune fille et son oncle tout juste adulte. Car lorsqu'il y a un attentat, il y a un phénomène de masse effrayant où on en oublie presque la tragédie individuelle provoquée dans chacune des familles des victimes. Ici, le film résonne de façon infaillible. Certes, l'émotion est là mais c'est aussi très solaire et rempli de bonnes ondes, loin de toutes fatalités. Donc oui, la force du sujet m'en fait oublier ses maladresses, le personnage de Stacy Martin pas vraiment essentiel et des scènes parfois trop à l'écoute du silence...
    Jorik V
    Jorik V

    1 268 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 novembre 2018
    Un beau film. Tout simplement. « Amanda » est une œuvre belle et qui sait nous toucher en plein cœur sans aucun artifice. Mikhaël Hers ne choisit pourtant pas la facilité avec son troisième long-métrage en prenant pour thèmes non pas un mais deux sujets pour le moins casse-gueules. Son scénario nous parle en effet du deuil d’un proche, un sujet qu’il avait déjà abordé d’une manière tout aussi touchante mais moins aboutie dans son précédent film, le tout aussi beau « Ce sentiment de l’été ». Mais cette fois, Hers le fond dans un autre sujet pour le moins risqué et polémique, celui des attentats. Ce dernier point n’est pas traité de front, ce n’est pas le cœur du film mais la cause du deuil ; la manière dont le gèrent les proches étant davantage au centre de ce que l’on voit. Le récit est tout sauf spectaculaire, il prend uniquement le soin de se concentrer sur l’intime et sur l’humain.

    « Amanda » est tout de même l’un des premiers films qui parle de ce sujet hautement inflammable et direct depuis le début de ceux-ci en France, de manière bien plus frontale que, par exemple, « Nocturama » de Bertrand Bonnello. Et Hers le fait d’une manière si pudique et naturelle, qu’elle force le respect par sa justesse de ton et de regard. Le metteur en scène prend bien le temps de présenter ses personnages et de nous faire entrer dans leur routine. Le long-métrage a ensuite l’intelligence de ne pas nous montrer le carnage de l’attentat en lui-même, la suggestion étant favorisée. Le script ne s’attache qu’à ces conséquences sur la vie de David et de sa petite nièce. Par le biais de quelques séquences déchirantes, mais jamais larmoyantes, il nous fait fondre en larmes grâce à l’interprétation toute en finesse et en retenue de Vincent Lacoste (qui trouve là le rôle de la maturité et peut-être son meilleur) et de la petite Isaure Multrier.

    Par petites touches et un art de l’ellipse convaincant, le cinéaste dresse un état psychologique de ces personnages avec délicatesse. Un jeune adulte apprenant à s’occuper d’une enfant, celle-ci devant appréhender l’absence d’une mère et une jeune femme se bornant à revivre sa vie sans avoir peur. Tout cela est montré avec une douceur doublée d’une puissance de frappe qui force le respect. Il y a bien quelques petites longueurs et quelques scènes bavardes pas forcément utiles mais « Amanda » fait tellement de bien en dépit de son sujet hautement dépressif qu’il impressionne. Et Hers n’a pas son pareil pour filmer l’été, comme dans son précédent opus. Encore une fois, en tout simplicité et par le prisme de plans plutôt banals, il nous fait prendre la température de cette saison avec maestria. C’est un film au sujet dur qui sait nous toucher tout en étant d’une fragilité incroyable. Et on sort de la salle, émus mais apaisés.

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    dominique P.
    dominique P.

    834 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 novembre 2018
    Bien que le sujet de ce film soit dramatique et triste, c'est un vrai régal.
    Oui c'est un vrai régal ce film pour les raisons suivantes : il n'y a pas d'action, pas de sexe, pas de vulgarité et de surcroît c'est très bien réalisé, très bien interprété, c'est sensible, très juste, tendre, délicat, émouvant, doux.
    Voilà un film paisible, agréable et qui fait du bien.
    Par ailleurs, la petite fille est excellente dans son rôle.
    Je recommande.
    frederic T.
    frederic T.

    16 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 novembre 2022
    « Elvis has left the building ! dit Amanda à David puis elle se met à pleurer.. « Mais faut pas pleurer, tout n’est pas fini mon lardon ! » lui rétorque David, alors ses larmes se transforment bientôt en sourire....
    Le film de Mikhaël Hers se termine par ce drôle de dialogue, simple, tendre et symbolique entre ces deux là, obligés de partager leur espoir et leur avenir pour oublier la douleur qui les ronge... Amanda c’est la nièce de 7 ans, et David c’est le tonton de 24 ans, qui se retrouve brutalement et malgré lui Papa de substitution. Amanda c’est Isaure Multrier, et David c'est Vincent Lacoste dans sans doute son plus beau rôle. Ils livrent tous les 2 une performance bouleversante d’authenticité et de justesse pour ce magnifique mélodrame qui explore sans pathos, mais avec une évidente simplicité des thèmes aussi graves que le deuil, la reconstruction de soi, le besoin et la peur de l’amour après l’horreur....

    Une formidable leçon de vie écrite avec une rare sensibilité à ne pas manquer.
    Serge V
    Serge V

    84 abonnés 446 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 novembre 2018
    un film émouvant , sobrement traité bénéficiant d ' une interprétation parfaite , le jeune vincent lacoste est excellent dans un registre nouveau pour lui ! le film se passe à Paris , un Paris loin des sites touristiques mais attachant et donnant un accent de vérité à l ' histoire ! le film commence en nous montrant une famille à la vie ordinaire mais heureuse qui va connaître un drame , un attentat comme nous en avons vécu malheureusement et nous voyons cette famille endeuillée essayer de se reconstruire . un beau film !
    Newstrum
    Newstrum

    46 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    Dans ce très beau film, où un jeune homme et sa nièce font face à un deuil, on retrouve le talent de Mikhaël Hers pour filmer la ville et ses parcs. Il parvient grâce à sa mise en scène précise à rendre compte de la vie de tous les jours des personnages. Il s'attache en particulier à filmer leurs déambulations dans la ville, ce qui donne au film un caractère musical accentué par une belle bande son. Les acteurs sont très naturels et la fin très belle. Une leçon d'optimisme et de résilience. Voir ma critique complète sur mon blog : newstrum.wordpress.com
    traversay1
    traversay1

    3 568 abonnés 4 860 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 novembre 2018
    Ce sentiment du deuil. Le sujet avait déjà été traité par Mikhaël Hers mais dans Amanda, il l'aborde de façon plus frontale, émotionnellement parlant. Tout en gardant cette délicatesse et cette subtilité qui en font un cinéaste rare qui ne va jamais au plus "facile". Ainsi, il ne filme pas la violence en action dans Amanda pas plus qu'une scène aussi évidente que celle de l'enterrement. Ce qui l'intéresse c'est la vie qui se poursuit et la façon dont la douleur se maîtrise, seul(e) ou en partage. Ce qui frappe aussi dans le troisième long-métrage de Hers, c'est la manière amoureuse qu'il a de montrer Paris, une ville qui semble avoir perdu son innocence et sa légèreté après les attentats. Les lieux ont beaucoup d'importance pour le cinéaste, les parcs, en particulier, comme une respiration dans un film où la caméra est souvent très proche des visages des comédiens, au plus près de leur intimité. Avec une mise en scène qui est aussi brillante et pudique que dans Ce sentiment de l'été : radieuse, élégante, fluide, résiliente, en quelque sorte, avant et après la tragédie. Mais ce qui est nouveau dans Amanda, par rapport aux précédents films de Mikhaël Hers, c'est bien cette envie de susciter l'émotion de façon plus nette, sans faux semblants : on verse des larmes dans le film, comme devant l'écran et ce n'est jamais du sentimentalisme forcé mais bien la résultante d'une sensibilité pure. Il y a également ce sentiment étrange et étonnant d'être à la fois à distance et au coeur du chagrin des personnages principaux du film. Et en empathie total avec des acteurs dirigés de main de maître par le cinéaste. Vincent Lacoste prouve cette fois encore qu'il peut tout jouer, avec cette fausse nonchalance qui le caractérise, et sa connivence avec l'extraordinaire fillette qui lui fait face, Isaure Multrier, est pour beaucoup dans la réussite d'Amanda, l'un des plus beaux films de cette année, haut la main.
    Ufuk K
    Ufuk K

    517 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    " amanda" plébiscité par la presse est un joli film.En effet même si j'ai trouvé parfois l'émotion un peu appuyé et rien extradionnaire dans l'histoire, l'ensemble reste poignant le film abordant des thèmes fort comme les attentats terroristes du 13 novembre, le deuil et la mort le tout avec un Vincent Lacoste touchant.
    Christoblog
    Christoblog

    826 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    Encensé par la critique et le public, Amanda a tout pour plaire au plus grand nombre : un récit limpide, une interprétation incarnée, un sujet dramatique et des situations à forte charge émotionnelle.

    Difficile donc de ne pas adhérer à ce récit d'un jeune homme de 23 ans apprivoisant tout doucement l'idée de de venir le tuteur de sa jeune nièce, dont la mère a été tuée dans un attentat.

    Mikhaël Hers est un cinéaste de la litote. Il évite ainsi de montrer de nombreuses scènes clés (les démarches administratives ou médico-légales) pour se concentrer sur le récit de l'intime et des sentiments. Mais alors que dans ces films précédents (Ce sentiment de l'été, Memory Lane) sa retenue pouvait confiner à la préciosité, il parvient ici à recentrer son propos sur une dramaturgie suffisamment explicite pour être émouvante. Son talent d'évocation, qui est grand, trouve donc un terrain d'expression parfaitement adapté dans cette belle et simple histoire. Hers a un talent indéniable pour filmer Paris en été.

    Vincent Lacoste trouve l'occasion d'exprimer une palette d'émotions qu'on ne lui connaissait pas encore. La petite Isaure Multrier est confondante de naturel et Stacy Martin trouve probablement ici un de ses meilleurs rôles.

    Beaucoup d'aspects positifs dans Amanda, qui force le respect et fait inévitablement couler quelques larmes.
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 novembre 2018
    Un attentat, une victime innocente, un frère malheureux et une petite orpheline... vas-y, va critiquer le film maintenant ! Alors, bien-sûr, ce n'est pas du pathos gratos, c'est un film sur la résilience, mais pour peu qu'on ne soit pas happé par les larmes en croco de Vincent Lacoste, on finit par trouver que ça ressemble plus à un téléfilm du lundi sur TF1 qu'à du Eric Rohmer. Pas convaincu.
    mat niro
    mat niro

    353 abonnés 1 823 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Vincent Lacoste trouve ici un rôle à la hauteur de son talent dans un film sur la reconstruction de ce qu'il reste d'une famille près un attentat meurtrier. Le film commence doucement, comme une relation familiale normale entre un frère et sa sœur (mère de la petite Amanda) jusqu'à ce terrible drame. Mikhael Hers traite ce sujet épineux avec justesse et l'on peut assister à la transformation d'un Vincent Lacoste lumineux en père adoptif gagnant l'amour de cette charmante demoiselle de 7 ans. Un ensemble qui monte au fil des minutes en intensité émotionnelle avec une fin bien sentie. Un nouveau registre pour Vincent Lacoste qui s'en sort avec les honneurs.
    CokeliCo6
    CokeliCo6

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    Ce film m’a bouleversée et je ne m’y attendais pas.
    Les deux acteurs principaux que sont Vincent Lacoste et la jeune Isaure Multrier sont justes et très touchants dans leur interprétation. On aurait pu s’attendre à des émotions surjouées, mais ce n’est pas le cas, et on se met à la place de ces personnages en se demandant comment on aurait réagi à leur place... On passe du rire aux larmes puis de nouveau au rire.
    Bravo!
    Laurent C.
    Laurent C.

    255 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    Il suffit parfois d’un contretemps infime pour que son destin bascule de façon irrémédiable. C’est sans doute ce qui est arrivé à des centaines de parisiens au moment des terribles attentats de 2015 qui ont échappé de justesse à l’horreur, là où leurs proches n’ont pas pu échapper à la mort. C’est ce qui arrive au jeune David, un parisien de 24 ans, formidablement interprété par Vincent Lacoste, qui survient, quelques minutes après la tuerie qui vient de se produire au Bois de Vincennes, où sa sœur vient de succomber sous les armes.

    Plus qu’un film sur la petite fille survivante, « Amanda » est un film qui raconte le deuil après l’impensable. La reconstruction identitaire de ce jeune homme, acculé à prendre la tutelle de sa nièce, et d’Amanda qui résiste comme elle peut à la tyrannie de la tristesse, est racontée sans jamais tomber dans l’excès de pathos. Bien sûr, le spectateur pleure mais ce sont des larmes qui structurent la pensée. On éprouve presque un plaisir douloureux à accompagner ce couple inédit qui apprend à vivre ensemble et à penser sa vie autrement.

    « Amanda » est un film tendre et précieux qui réjouira les cinéphiles amoureux de récits simples et romantiques. Car le scénario tout entier, à la limite de la mièvrerie parfois, entraîne son spectateur dans un tourbillon d’émotions qui vont des rires aux sanglots. Les personnages sont filmés avec respect. Et d’ailleurs les comédiens s’invitent dans la peau de ces gens, sans jamais forcer les traits, avec en ligne de mire sans aucun doute, une récompense méritée aux prochains Césars pour Vincent Lacoste.
    momo M.
    momo M.

    40 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Comme son film précédent "le sentiment de l'été" Mikhaêl Hers traite du deuil après une disparition brutale. Les personnages déambulent dans un Paris ensoleillé qui n'est pas celui d'Amélie Poulain, mais celui du quotidien des parisiens lambda. Ca traite du sujet brûlant des attentats et de la vie après. spoiler: La scène où l'on voit les victimes après l'attentat au bois de Vincennes n'est pas très réussie et aurait pu nous être épargnée.
    abcdetc
    abcdetc

    4 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 décembre 2018
    Le politiquement correct n'a peut être pas de limite, mais autant de critiques élogieuses sur un tel film... c'est limite !
    Désolé pour l'émotion qui n'est pas passée de l'écran jusqu'à moi, peut être parce que ça sonnait tellement faux, comme les larmes de Vincent Lacoste ou l'âge de la jeune comédienne, qui fêtera ses 11 ans demain et avait donc sûrement bien plus que 7 ans au moment du tournage. J'en passe et j'en passe. Jusqu'à la métaphore tennistique finale bien pathétique.
    Un film à réserver aux amateurs de places parisiennes (et d'appartements chics comme le cinéma français s'en dénichent souvent) et de longues promenades à vélo, aussi pénibles que la musique qui les accompagne.
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