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Castillan69
49 critiques
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2,0
Publiée le 12 novembre 2024
Octobre 2024 - Un mix entre sérieux, action et humour qui laisse sur sa faim. Est-ce parce que le réalisateur ne choisit pas, parce que c'est mal dosé ? On ne se sent jamais très concerné par ce qui se passe.
Le moins qu'on puisse dire c'est que Guy Richie sait toujours nous apporter du fun et du spectaculaire avec une dose d'humour. On a beau être sur une base d'histoire vraie qui n'a rien de drôle dans cette mission à haut rique, on conserve tout ça et on pense inévitablement à Inglorious Bastards dans le concept. C'est tout à fait réussi.
N’avez-vous jamais ressenti, au cours d’une journée, une drôle de sensation que j'appellerai - peut-être à tort - une sorte de neutralité psychologique ? La journée se passe tranquillement, vous êtes ni heureux, ni malheureux. Cet entre-deux mental, qui n’est pas désagréable tout en n'étant pas forcément confortable, ne m’a pas lâché durant le visionnage du dernier effort de Guy Ritchie : “Le Ministère de la sale guerre”. En effet, le réalisateur britannique - en mode charentaise et camomille - nous embarque avec le pépère Henry Cavill (vu récemment dans “Argylle”, un petit film indigne de Matthew Vaughn), dans une aventure guerrière faite de sabotage d'U-Boat et d’espionnage ne prenant aucun risque, sauf celui de singer quelques productions plus inspirées, comme la mini-série “Rogue Heroes” où des films tels que "Les Canons de Navarone", “Inglourious Basterds”, ou plus proche de nous, “Sisu : de l’or et du Sang”. Pour l’heure, “Le Ministère de la sale guerre” est un long - trop long-métrage - parfait pour combler les étales des sites de streaming. Ce produit estampillé “SVOD approuve” - qui est aussi lisse en suspense qu’une poêle en téflon se laisse malgré tout visionner sans se faire un anévrisme. À la lancinante question : “Sommes-nous devenus moins difficiles au vu du contenu quantitatif et non qualitatif qui nous est imposé sur les plateformes ? La réponse sans équivoque est : “Oui” ! Il y a de cela presque trente ans, Dario Argento avait tourné un giallo intitulé, “Le Syndrome de Stendhal”. Ce drôle de syndrome est un ensemble de troubles psychosomatiques (accélération du rythme cardiaque, vertiges, suffocations, voire hallucinations) survenant chez certaines personnes exposées à une œuvre d’art ou à une profusion de chefs-d’œuvre en un même lieu, en un même temps. Dans les labyrinthiques méandres netflixiens ou ici amazoniens pour ne citer qu’eux, aucun risque d’attraper ce syndrome !
"Le Ministère de la Sale Guerre" est une tentative de mariage entre la guerre et l'irrévérence, mais le résultat est décevant. Malgré des scènes d'action bien orchestrées, le montage rapide et les cadrages précis ne parviennent pas à dissimuler le manque de profondeur des personnages et l'absence d'enjeux dramatiques marquants. Guy Ritchie essaie de réinventer la Seconde Guerre mondiale à la sauce déjantée de "Inglourious Basterds", mais le mélange entre comédie et sérieux tombe à plat.
Autant j'ai pensé que la comédie était assumée, autant j'ai été surpris du contraire puisqu'on nous présente les biographies de chaque personnage à la fin. Donc si le but était d'en faire une œuvre historique, c'est catastrophique.
Mais en tant que comédie sur la seconde guerre mondiale, il y a un potentiel d'humour bien exploité, avec des inspirations puisées à l'intérieur d'Inglourious Basterds. Dans la longue liste de film sur la seconde guerre mondiale qui sort chaque année, c'est plaisant d'avoir une autre façon d'aborder ce gisement, qui, admettons le, est épuisé tant les films extraordinaires abondent.
Guy Ritchie a toujours des univers d'étonnants, graphiques, des héros badass avec de vraies gueules, mais encore une fois cette proposition est mal réalisée. Une assurance des acteurs qui prête à sourire. A aucun moment on ne s'inquiète pour les héros qui traversent les lignes nazis sans salir leur t-shirt. Ce manque de tension est autant de saveur et d'intérêt absents.
On retrouve ici une pâle copie d'Inglorious Bastered quand Tarantino se fait racheter par Disney. Dans les cauchemars !
Un film de Guy Ritchie passe rarement à coté de l'excellence. Dans le contexte d'une histoire vraie méconnue de la Seconde guerre mondiale, voici un film envoûtant et truffé de surprises. Très proche d'une réalisation et de dialogues façon Inglorious Bastard cette bande énergumènes peu fréquentables au passé peu recommandable, est dépêchée par W. Churchill lui même pour réaliser une mission qui provoquera un tournant majeur pour la Guerre. Pas le temps de s'ennuyer, les actions s’enchaînent avec une qualité d’interprétation fabuleuse. Les dialogues sont percutants, la réalisation est sans reproche. Une atmosphère particulièrement excitante nous pousse en avant, j'ai adoré cette grande aventure.
Le ministère de la salle guerre. Inspiré d'opérations spéciales des services secrets de sa Majesté durant la seconde guerre mondiale. Trois étoiles et demie.
Film très sympa, mais sans plus. C'est bien réalisé, c'est bien joué et il y a un peu d'humour. Mais je ne suis pas scotché non plus. C'est un bon film.
Le Ministère de la sale guerre est avant tout un divertissement qui mêle action, humour et faits historiques de la seconde guerre mondiale revus et modifiés pour la circonstance. C'est bien rythmé, (un peu trop) inspiré d'autres films ou réalisateurs ( J'ai également pensé à Tarentino) et agréable à regarder.
Guy Ritchie a essayé de faire son « Inglorious Basterds » mais c’est pas flamboyant. Trop de personnages, tous insipides et sous développés, on ne s’attache à personne. Pire, on ne sait même plus qui est dans l’équipe. Les scènes d’actions sont réussies même si un peu too much à mon goût. Mais tout sˋenchaine vite, peut être trop vite car jˋai pas vraiment tout compris à lˋhistoire (sˋil y en avait une). Cˋest vraiment dommage, dˋautant que cˋest inspiré dˋune histoire vraie. Laissé un film reposer entièrement sur le charisme de Henry Cavill et de Eiza Gonzalez nˋest pas suffisant pour faire un bon film.
'Le Ministère de la Sale Guerre', film de guerre film américano-britannique réalisé par Guy Ritchie, sorti en 2024. Adaptation du livre de l'auteur britannique Damien Lewis, lui-même inspiré par la création de l'unité unité spéciale du S.O.E (Special Operations Executive) par les britanniques durant la Seconde Guerre mondiale. Une unité très spéciale, secrète, constituée de membres très spéciaux crée par Winston Churchill en 1940, en réponse aux actions du commando Brandebourgeois côté allemand. Notons le clin d'œil du film à la présence de Ian Flemming dans l'organisation des différents services secrets britanniques durant la guerre, qui lui inspirera le personnage de James Bond. Une unité composée de têtes brûlées qui fournit à Guy Ritchie l'occasion d'un film à la 'inglourious bastard" réalisé par Quentin Tarantino en 2009. Guy Ritchie s'inspire explicitement du style Tarantino pour nous offrir un film d'action et d'espionnage aussi drôle que violent. Un film bien réalisé, plein d'action et d'explosions, de l'humour pour un film généreux en spectacle avec Henry Cavill, Alan Ritchson, Alex Pettyfer, Eiza González … Un Guy Ritchie pétaradant et jouissif.
Oulala...se baser "sur des faits réels" pour sortir autant d'incohérences est un ressort bien connu....et Dieu sait si le film n'en manque pas. "Ils sont stupides ces Nazis quand même"....on se demande comment ils ont réussi à nous faire suer pendant presque 10 ans alors que 4 commandos british et quelques locaux réussissent à en dézinguer des centaines au prix d'un blessé ! Bref, il y a un ou deux moments potables dans ce VOD de dimanche maussade qui a du coûté fort cher.
« Le ministère de la sale guerre » est un film jubilatoire car truffé de références diverses et variées au cinéma d'action. Sur fond de seconde guerre mondiale, l'excellent réalisateur Guy Ritchie nous offre une histoire d'espionnage plutôt bien fichue... pimentée par un commando Anglais composé de brutes épaisses qui n'obéissent à aucun ordre et n'en font qu'à leur tête. Pèle-mêle on reconnaît dans ce mélange un peu « foutraque » une inspiration « James Bondienne »... mais aussi une touche « d'Expendables » et de « 12 salopards ». Mais surtout... on ne peut s'empêcher de penser à Quentin Tarantino et son démoniaque « Inglourious Basterds ». On mélange tout dans un super shaker cinématographique et le tour est joué. La tension monte peu à peu et le suspense fonctionne bien, malgré un léger manque de rythme par ci, par là. Toutefois, quelques scènes très musclées, réglées comme du papier à musique, permettent de garder intacte l'attention du spectateur... jusqu'à la scène finale, grandiose, spoiler: où les vilains nazis tombent comme des mouches . Côté casting, aucune fausse note. Tous les personnages principaux... qu'ils soient amis ou ennemis, ont des « gueules » à coucher dehors et un talent à la hauteur des enjeux. On s'amuse beaucoup, on rigole souvent et on tremble parfois... mais assez peu finalement, car les gentils ne ratent jamais leur cible. Un peu « capillotracté », certes, mais tellement divertissant !
Henry cavill fait le boulot, j'ai simplement passé un très bon moment devant un film qui rappelle une partie de l'histoire de la Seconde Guerre mondiale. Le rythme du film est bon et les scènes d'action sont particulièrement bien soignées.