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Joker42
13 abonnés
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1,5
Publiée le 28 août 2018
Je veux bien que l'on fasse des films avec peu de moyens mais au moins qu'il y ait derrière un vrai travail d'écriture et un vrai travail de recherche. Là on surf littéralement sur le grand n'importe quoi, l'invraisemblable à outrance et l'incohérence à tout va! spoiler: 1. Quand on se fait happer et entrainer sous l'eau par un grand requin blanc on y laisse à minima un membre, pas une simple entaille à la cuisse. 2. Essayer d'enfiler le bras d'une combinaison de surf au niveau de la jambe et jusqu'à mi-cuisse. Moi je vois pas comment on peut faire, encore moins quand on agonise et quand on a une cuisse amochée. 3. Je passe sur la mouette handicapée. 4. Je passe sur le petit garçon et les deux potes surfeurs qui ne voient pas l'alcoolique découpé en deux sur la plage. A moins que ce dernier ait été malencontreusement oublié dans le script par la suite ou qu'il se soit envolé tout seul par magie. 5. Faudra m'expliquer scientifiquement comment on peut perdre autant de sang en 24h et être aussi en forme pour nager, plonger et vaincre un requin affamé et vengeur. 6. C'est fou tout ce qui peut se passer en si peu de temps sur un demi hectare d'eau. A faire bouffer son bonnet au commandant Cousteau et toutes ses expéditions. Je me demande finalement si l'instinct de survie ce n'est pas plutôt le téléspectateur devant ce film.
J'ai pu voir des avis plutôt mitigé sur The Shallows, pourquoi? De tout les "blockbuster" de cet été 2016, Instinct de Survie est sans doute l'un des moins prétentieux car offrant au spectateur ce qu'il espérait voir (bien au dessus de déceptions tels que SOS Fantômes, Suicide Squad et autres Independance Days). Nous sommes ici face à un film de type Survival, une fois cette idée rentré dans la tête de celui qui va voir ce film, le reste coule de source avec un scénario minimaliste mais qui n'en reste pas moins intense et stressant à souhait, et tant pis si l'histoire de ce requin devenu fou peut paraitre tiré par les cheveux du moment que l'on ne s’ennuie pas. Le film, tourné sur L’île Lord Howe (patrimoine mondial de l’UNESCO) nous offre des images absolument superbes et qu'on aura loisir d'apprécier pendant les 20 premières minutes de mises en places du film. On aura aussi loisir de voir la caméra tombé "littéralement" amoureuse des formes sculpturales de la belle Blake Lively et dont le dure labeur de mise en forme physique consenti pour ce rôle est flagrant. Certes, on pourra sans doute levé un sourcil devant la tenue minimaliste et sexy à souhait de Blake mais cet aspect se fera bien assez vite oublié une fois le grand requin apparut.
Si le film n'a pas couté très cher pour les standards américains (13 millions), à aucun moment nous sentons le faible budget, le réalisateur Jaume Collet-Serra sait faire apparaitre savamment les apparitions du requin pour mieux nous surprendre avec brio et ceux, jusqu'au climax avec un requin devenu berserk (intense et stressant à souhait). Et pendant que je vivais ce film au rythme des battements de cœurs et des malheurs de Nancy, je ne pu que souligné l'excellente interprétation de Blake Lively qui montre une fois de plus, après Adaline et Café Society, qu'elle est une grande actrice.
Je ne saurais donc que trop recommandé ce film a tout amateur de survival et/ou de film de requins car The Shallows est tout simplement le meilleur film de requin depuis Les Dents de la mer
Depuis quelques années, on leur en a fait voir de toutes les couleurs à ces pauvres requins : on les a transformé en zombies, en fantômes ou en robots; on leur a ajouté plusieurs têtes pour affronter des créatures improbables; on les a mis dans des tornades géantes, dans le sable et aussi dans la neige; on en fera même les montures volantes de morts-vivants nazis (le futur "Sky Sharks"!)... Le n'importe quoi autour de ces créatures marines est devenu tel que l'on désesperait de revoir un jour un bon film les concernant. Jaume Collet-Serra opère heureusement un savoureux retour au sources du genre avec un requin dans sa forme la plus simple et dans ce qu'elle a de plus cinématographiquement terrifiante : une grande mâchoire aux dents pointues prête à croquer tous les membres d'humains qui passent à sa portée.
Une surfeuse blessée et coincée sur un rocher à 200 mètres de la terre ferme, un requin fou furieux qui s'est méchamment amouraché d'elle... Voilà, tout bête, tout bon, "Instinct de survie" part de cette idée minimaliste pour délivrer un film de suspense franchement haletant et à l'efficacité incontestable. Et le squale n'a pas mauvais goût puisqu'il choisit de s'attaquer à Blake Lively, actrice loin d'être vilaine à regarder et que Collet-Serra filme judicieusement comme un objet de fantasme dans un premier temps pour mieux appuyer sa lente dégradation physique par la suite. Surtout, Blake Lively, actrice un peu sous-exploitée -on peut imaginer que l'étiquette Gossip Girl/Mme Ryan Reynolds à la ville lui colle toujours à la peau mais c'est vite oublier ses très bons seconds rôles et sa prestation remarquable dans "Adaline"- est impeccable, son personnage n'est pourtant pas facile à faire exister au-delà de la confrontation maritime (aïe, ce passé émotionnel rempli de clichés et de bons sentiments !) mais elle s'en sort pourtant de manière convaincante et arrive à transmettre une véritable émotion au travers de séquences qui ont parfois un arrière-goût de passages obligés (le message vidéo).
Et, puis, il y a bien évidemment ce duel entre elle et la bête qui tient toutes ses promesses. Les confrontations ne font que monter en puissance sans jamais sombrer dans la répétition et usent avec parcimonie des apparitions toujours impressionnantes (et réussies niveau FX) du requin blanc ou de l'environnement maritime. Bien sûr, on pourra tiquer sur l'acharnement irrationnel de l'animal mais on peut le comprendre, ce bougre, vous feriez quoi, vous, si des gens s'amusaient à tourner autour de votre sandwich ?!
Il est juste dommage que Jaume Collet-Serra mette à mal le ton réaliste du film pour livrer un final certes plaisant à regarder mais tellement peu crédible. Cela reste sa signature en tant que réalisateur : cela passait bien pour des films comme "La Maison de Cire" et "Esther" mais, depuis, il se sent toujours obligé d'en faire des caisses pour en mettre plein la vue sur ses fins (cela dit, l'énormité de celle d'"Instinct de Survie" apparaît bien plus crédible que celle complètement ridicule de son "Non-Stop" par exemple).
Efficacité pourrait être le parfait synonyme d'"Instinct de survie", la meilleure preuve en est que les 1h27 du film n'en paraissent durer que le tiers. Bien sûr, ce survival en mer ne marquera pas autant les esprits des cinéphiles que "Les Dents de la Mer" mais, tout comme "The Reef", il prouve avec certitude que les VRAIS films de requins ont encore de belles heures devant eux. Une dernière mention spéciale à la mouette Steven "Seagull", compagne d'infortune de l'héroïne et sérieuse prétendante à l'Oscar du meilleur second rôle !
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3,5
Publiée le 7 octobre 2016
Jaume Collet-Serra est l'un des maîtres de l'horreur actuel, ou en passe de le devenir, avec ce très palpitant blockbuster estival qui s'inscrit à proprement parler dans le cadre du thriller d'horreur aquatique hyper efficace! C'est une combinaison des deux en somme! Composer avec l'environnement ètait un vrai dèfi! Le cinèaste espagnol s'en sort avec les honneurs en instaurant de la tension dans un lieu confinè, comme ce rocher! Collet-Serra aime bien garder le public à cran et rèussit à jouer sur la tension crèèe par les points de vue en-dessous et au-dessus de l'eau! Ce qui nous donne des sèquences visuellement belles et intenses! Le cinèaste voulait vraiment que son film soit tournè du point de vue du personnage! Si Nancy ne voit pas le requin blanc, on ne le voit pas non plus! Ça provoque du coup une expèrience pour le spectateur qui est franchement satisfaisante sur le grand ècran! Film sur l'endurance, mais aussi sur une mise à l'èpreuve de l'esprit humain, "The Shallows" tient en haleine jusqu'à la dernière minute, avec un sens du rythme redoutable, des invraisemblances spectaculaires et une camèra virtuose qui a su mettre en valeur la plastique de rêve de Blake Lively! Nancy n'est pas la blonde typique qui hurle en attendant d'être sauvèe ni un type de femme nècessairement prèparèe à être une experte de la survie! C'est juste un être humain qui cherche l'aventure! Voir une femme traverser des choses hallucinantes, et y survivre, c'est une leçon! Les gens sont attirès par le fait d'avoir peur! Avec "The Shallows", ils seront comblès même si le film est d'une simplicitè enfantine au niveau du scènario...
"Instinct De Survie" n'a presque rien à envier aux "Dents De La Mer", car il est plutôt efficace, et son requin est très impressionnant. On peut se surprendre à être particulièrement surpris par moment, et même sous apnée lorsque la vie de l'héroïne est vraiment en danger. Certains passages sont vraiment captivants et angoissants, grâce notamment à l'atmosphère sombre et froide mise en place, qui contraste avec l'ambiance estivale chaude et ensoleillée du début du film. Le jeu des couleurs et de la lumière est d'ailleurs l'un des points les plus réussit du film car il le rend très esthétique. L'héroïne aura par exemple l'occasion de se débattre dans des eaux rouges vif de la couleur de son propre sang, ou de nager parmi d'énormes méduses fluorescentes. Ce thriller est malgré tout un peu redondant, mais il reste très plaisant, et offre, en plus de quelques frissons, un vrai plaisir visuel.
Enfin un film d'épouvante qui ne prend pas le spectateur pour un imbécile et qui propose un scénario efficace bien que peu réaliste. Le réalisateur Espagnol Jaume Collet-Serra n'en est plus à son coup d'essai et quelques uns de ses meilleurs titres ornent ma vidéothèque (« Non stop », « Esther » etc...). Comme à son habitude, la réalisation est très soignée et il exploite à merveille une petite histoire toute simple de requin mangeur d'homme (ou de femme en l’occurrence). La réussite de ce huis-clos étonnant repose en grande partie sur le suspense et de ce côté là je peux vous dire qu'on est servi. La tension est réellement palpable et je vais réfléchir à deux fois avant d'aller me baigner l'été prochain. Pour le reste, les effets spéciaux sont réussis (le requin fiche vraiment la trouille) et il ne faut pas sous estimer la prestation de l'adorable Blake Lively dans le rôle principal. Son implication, visible à l'écran, apporte une réelle plus-value, ce qui est plutôt rare dans ce genre de film qui fait la part belle aux « bimbos » à la plastique avantageuse mais au charisme inexistant. Bref, « Instinct de survie » est une bonne surprise qui remplit aisément son cahier des charges. C'est suffisamment rare pour être encouragé !
The Shallows..... Instinct de survie en VF..... Réalisé par Jaume Collet-Serra (La maison de Cire, Night-Run, Sans identité,...), et avec en tête d'affiche Blake Lively. Ce film est, je pense, ce qui s'est fait de mieux en terme de thriller mettant en scène un requin, depuis Les dents de la mer et Peur Bleue. Une heure vingt-sept d'une tension constante, ascendante et palpable, se ponctuant par un final trépidant et chaotique. Blake lively crève littéralement l'écran. Sa performance, tant physique qu'en termes d'acting, est d'autant plus impressionnante quand on sait que l'actrice a accouché 10 mois avant le tournage du film, et qu'elle s'est littéralement sculptée le physique qu'on peut admirer à l'écran. La réalisation est d'une efficacité sans failles. Les effets spéciaux (car oui, ce n'est pas un vrai requin à l'écran, mais bel et bien une créature en images de synthèses) sont bluffants et criants de réalisme. La bande originale est convenu mais diablement efficace. Elle sait se montrer discrète et revenir en trompe pour impliquer encore plus le spectateur au cœur de l'action. Le scénario tient sur un post-it, et pourrait se résumer en une phrase, mais ce n'est, en général, pas ce qui brille le plus dans ce type de productions. En ressort un survival minimaliste, mais généreux en frissons. Bref, The Shallows est un divertissement sacrément efficace. Il mérite définitivement le détour en salles obscures, si vous êtes clients de ce type de promesses. Je valide à 100%.
Aprés un bon tapage médiatique cet été, à croire qu'il n'y avait que ce film pour sauver le cinéma d'une saison en demi teinte, voila le "chef d'oeuvre" qui va détroner le "chef d'oeuvre" du requin, les dents de la mer. Pour moi Les dents de la mer est un bon film, qui a fait trembler une époque et doté d'effets qu'il ne faut pas renier. Instinct de survie donc, où une texane va se retrouver piégée sur un rocher aprés une attaque de requin, requin qui a trés faim manifestement, nous y reviendrons plus tard. spoiler: Donc Blake, arrive à la plage, se change, rencontre deux garçons, surfe un peu et une demi heure est déja partie, la faute à des ralentis qui ne servent absolument à rien, excepté masquer la pauvreté du scénario et sa pauvre durée.
Ensuite c'est le festival, on se recout avec des boucles d'oreilles, on fait copain avec une mouette, et la cerise sur le gateau est la scéne finale où le requin mange de l'acier pour bouffer Blaaaake et je passe sur la suite, totallement absurde. Je ne parle pas de comment une fusée de detresse peut embraser l'esu et pourquoi elle se fait grignoter au début un petit bout de jambe alors que le requin un tantinet agressif arrive à démonter une baleine, couper un gars en deux en 2s et faire disparaître deux surfers avant de boire son café du matin.
spoiler: De plus le requin a suffisamment a bouffer pour l'année, pourquoi veut il absolument démonter du people? il a reconnu Blaaaake et il n'aime pas ses films? il est tellement enervé qu'il démonte une balise en feraille. Pourquoi il n'a pas attaqué le rocher à y être?
Bref, Blaaaaake en maillot ca va bien 5 min, mais s'il n'y a pas de cohérence, dans les magazines cela suffit amplement.
Comment peut on en 2016 sortir un film qui donne encore au requin cette image de barbare des mers... Une pure fumisterie qui n'a rien à faire dans un cinéma et qui n'aide vraiment pas à améliorer l'image de cet animal. Animal que l'homme tue par dizaine de millions chaque année alors qu'on ne recense pas plus de dix "accidents" par an... Au dela de ça, cela reste regardable.
Préparez-vous à faire des sauts et vivre des moments intenses ! Réalisé par Jaume Collet Serra (connu pour avoir collaborer de nombreuses reprises avec l'acteur irlandais Liam Neeson dans ses films d'action comme Non-Stop ou Night Run), cet Instinct de survie est une petite claque qui fait du bien. En effet, celui-ci est très réussi ! On reste en apnée avec la protagoniste qui crève l'écran ! Blake Lively, incroyablement bonne et bluffante dans la peau de cette surfeuse. De plus, elle possède un physique de rêve... Elle va se retrouver coincée sur un rocher à quelques mètres du rivage. Et forcément, un requin blanc rôde dans les parages ! spoiler: L'introduction est une sorte de vidéoclip sur le surf avec moult ralentis et musiques d'été qui ressemble au remake de Point Break. Il y a un bon suspense qui est maintenu jusqu'au bout, la tension ne relâche jamais pour une durée de 1h25. Un rythme endiablé ! Avec si peu de personnages, le cinéaste prouve qu'il peut garder en haleine le cinéphile afin de créer un résultat admirable. C'est bien tourné et il faut bien reconnaître l'efficacité des impressionnantes prises de vue sous-marines et des assauts du requin, sont filmés avec vigueur. Les quelques séquences saisissantes avec la créature sous les mers sont bien faites et souvent terrifiantes. D'ailleurs, le personnage ne rencontre pas que le requin dans cette plage : spoiler: on aperçoit des dauphins, des méduses et même une mouette ! Cette dernière reste prête de Nancy (B. Lively) au bord du rocher spoiler: - le public se croirait devant une relecture de Seul au monde entre Tom Hanks et le ballon Wilson - sans doute une référence. La bande sonore est bien amenée et procure des tremblements sur notre siège au spectateur. Sinon, les décors sont magnifiques et paradisiaques. Il est évident que la fin peut être prévisible, pourtant elle est assez chaotique ! En conclusion, Instinct de survie - The Shallows est un thriller aquatique palpitant. Les bons films de requins étant peu nombreux, on peut recommander ce survival qui s'avère compétent. Frissons garantis !
Effets numériques trop visibles et parfois risibles, scénario à dormir debout, ralentis épuisants, et surtout une focalisation systématique sur deux parties du corps de Blake Lively : sa jolie poitrine (ah mince ma combi ne se ferme pas jusqu'en haut) et ses jolies fesses (ah mince je n'ai qu'une petite culotte sexy à me mettre pour aller surfer). Bon outre sa jolie plastique, il faut tout de même avouer que Blake Lively est plutôt convaincante dans son rôle mais les plans ont uniquement été pensé pour elle et non pour l'histoire, ce qui rend le visionnage rapidement pénible. La fin, n'en parlons même pas, que ce soit spoiler: la mort ridicule du requin, le sauvetage de l’héroïne, ou la scène de clôture cul-cul . Bref c'est bien joli tout ça - surtout le paysage - mais ça ne suffit pas à en faire un bon survival en eaux profondes.
Hormis la plastique très avantageuse de Blake Lively, qui d'ailleurs n'est pas exceptionnelle dans son rôle, l’aspect monstrueux du grand requin blanc et la beauté idyllique de cette crique mexicaine, sont les seuls atouts de cet énième combat ultra prévisible entre une américaine de bonne famille astucieuse, bonne couturière et tenace, et un prédateur redoutable, tout droit surgi du "Jaws" de Spielberg et qui continue de véhicule ce préjugé d’un autre temps du requin tueur. Le duel final est absolument rocambolesque, mais qu’importe… au vu du scénario, on ne pouvait pas en espérer davantage qu’un divertissement du samedi soir.
"Instinct de survie" est vraiment tout d'abord une claque visuelle, vraiment bien tourné sur tous les plans ! Les décors de plage et de mer turquoise avec ce soleil et cette ambiance retranscrite sont fabuleux. Le requin, pourtant fait en image de synthèse, est à s'y méprendre semblable à un vrai spécimen pendant quasiment tout le film ! C'est extraordinaire par rapport à d'autres histoires où les images faites par ordinateurs nous agressent littéralement les yeux (Le dernier Tarzan entre autres...). Puis la cerise sur le gâteau, voir le glaçage, c'est tout simplement la magnifique Blake Lively qui nous fait voir comment une actrice doit jouer son rôle à la perfection en portant à elle toute seule (ou presque) le film dans cette angoisse et cette douleur qu'on doit ressentir dans ce genre de scénario ! "Instinct de survie - The Shallows" est tout simplement un très bon film qui mérite sa place aux cotés des "Dents de la mer" sur les histoires de requins dans votre filmothèque !
S'il vous manque un navet pour cuisiner votre pot-au-feu, allez voir INSTINCT DE SURVIE, vous en aurez un gros ! spoiler: Un requin mal fait, des gros plans sur une mouette, un scénario immonde, une actrice à la dérive.. Bref. A la fin ça fini bien !
C'est un film très efficace et très habile au niveau tension. Les mésaventures d'une surfeuse coincée sur un minuscule rocher autour duquel rôde un énorme requin offrent quelques bon moments de stress.