Par chance j'ai survécu à ce film, l'ambiance sonore et musicale laisse à désirer, toutes les péripéties sont attendues, certains passages sont longs et pour un film d'une heure et quelques c'est vraiment frustrant. Seule Blake Lively donne un minimum d'intérêt à ce film et fait remonter ma note. Très décevant pour une bande annonce plutôt réussie. Enfin, j'avais l'impression de regarder une publicité d'une heure et demi, les placements de produits font tâches car très mal introduit.
Tout d’abord, je tiens à remercier Sony et Netonly pour l’invitation à l’avant-première d’Instinct de Survie avec une soirée super bien organisée et originale. En effet, cette projection avait lieu à l’Aquarium de Paris et consistait à une visite de l’Aquarium pour une immersion dans le monde aquatique et des requins avant d’avoir un cocktail dînatoire puis la projection du film. Je dois dire que je ne savais pas trop à quoi m’attendre, le film étant dans la catégorie Épouvante-horreur je me demandais à quoi il fallait s’en tenir. Finalement, je ne comprends pas réellement cette classification. On ne peut pas dire que le film fasse réellement peur. L’ambiance est anxiogène, pesante, on se demande comment cela va tourner pour Nancy sur son rocher avec sa mouette. D’ailleurs, la relation entre Nancy et la mouette reste assez drôle et certaines scènes font rire malgré le sérieux de la situation. Rien que pour le décor et la qualité visuelle d’Instinct de Survie, il vaut clairement le détour ! Les images sont paradisiaques, on ressent l’apaisement du lieu. Et puis, les scènes de surf avec les passages sur l’eau et sous l’eau sont magnifiques.
J’adore Blake Lively, elle est non seulement magnifique mais en plus elle séduit le spectateur dans tous ses rôles qui sont assez différents les uns des autres. Je trouve que dans ce rôle, elle a été parfaite. Elle fait le film toute seule et elle arrive à nous captiver dans l’histoire terrible qui arrive à Nancy. Dans Instinct de Survie, on passe du paradis à l’horreur et la terreur en deux secondes mais Nancy est une battante et elle veut à tout prix s’en sortir. Le début reste assez crédible mais malheureusement la fin est réellement tirée par les cheveux et part dans un assez gros délire qui refroidit quelque peu ce que l’on a pu ressentir durant tout le film.
En résumé, Instinct de Survie est surprenant, il est à la fois paradisiaque et anxiogène. On se laisse prendre dans le film et on a l’impression de scruter chaque cm² de la mer à la recherche du requin pour pouvoir crier à Nancy de faire attention. On reste vraiment scotcher à notre siège par moment tellement l’ambiance est pesante. C’est une réelle bonne surprise et je le conseille vivement pour cet période de vacance ce film est parfait mais pour les surfeurs vous ne verrez plus la mer de la même façon !
Encore un budget de film gaspillé, scénario inexistant, 10 mn pour promouvoir la plastique de Blake Lively, un requin qui semble préféré les blondes aux tonnes de la Baleine, des incohérences à la pelle, une bouée rouge isolée, l’enchaînement de "pas de bol" pas du tout crédible, une morsure bien petite (vue le mastodonte) .. rien de logique, une fin vraiment série B (on nous prend pour des quiches), certes une mouette attendrissante, mais surtout la seule bonne idée est dans la promo : "certains jours mieux éviter les films à 2 balles"
À peine plus crédible et divertissant qu'un épisode de "Alerte à Malibu" ... ! La mouette m'a ému quand même ! Je retourne voir "Les dents de la Mer" ...
Le réalisateur espagnol Jaume Collet-Serra qui a su se placer dans le genre du film à suspens nous livre son dernier-né dans la droite lignée des "The Reef", "Black Water" et consort avec en sus une réalisation qui surclasse les B-movies que l'on a l'habitude de voir dans le genre. Deuxième très bon point après la réalisation, son héroïne, incarnée par une Blake Lively superbe et concernée que l'on va suivre durant près d'une heure et demie aux prises avec un grand blanc qui a à priori grand faim ! La photographie nous offre de très belles images que ce soit au niveau des décors ou de la pratique du surf et chose rare dans ce sous genre d'épouvante, la bestiole est parfaitement modélisée. Le suspens est clairement au rendez vous et l'on ne s'ennuie jamais jusqu'à un final que l'on aura beaucoup de mal à juger réaliste, mais bon, il fallait bien une fin ! Hormis quelques moments de guimauve dont on aurait pu se passer, "The Shallows" remplit haut la main son cahier des charges et nous offre un sympathique et agréable moment de tension, à voir.
Après tout ce que j'ai lu, c'est finalement pas si mal voire plutôt bon. On a un peu tout et le tout particulièrement bien dosé et réussi. Une superbe actrice, sculpturale, sublime en bikini, totalement crédible en surfeuse californienne, et surtout talentueuse pour nous faire partager ses émotions pour un film qu'elle porte tout du long, quasiment seule sur un petit bout de rocher. Ensuite la partie angoisse et terreur version dents de la mer est particulièrement réussie en en montrant assez mais pas trop et on ressent bien le danger de ce requin mangeur d'hommes complètement déchaîné. Ajoutons la note émotion avec la référence à la soeur disparue et la relation avec la nièce orpheline et pour finir ces somptueux décors et paysages de mer et de plages thaïlandaises qui nous ramènent au mythique "la plage". Un film au final très réussi, haletant avec une sublime et talentueuse actrice Blake Lively.
J'ai pu voir des avis plutôt mitigé sur The Shallows, pourquoi? De tout les "blockbuster" de cet été 2016, Instinct de Survie est sans doute l'un des moins prétentieux car offrant au spectateur ce qu'il espérait voir (bien au dessus de déceptions tels que SOS Fantômes, Suicide Squad et autres Independance Days). Nous sommes ici face à un film de type Survival, une fois cette idée rentré dans la tête de celui qui va voir ce film, le reste coule de source avec un scénario minimaliste mais qui n'en reste pas moins intense et stressant à souhait, et tant pis si l'histoire de ce requin devenu fou peut paraitre tiré par les cheveux du moment que l'on ne s’ennuie pas. Le film, tourné sur L’île Lord Howe (patrimoine mondial de l’UNESCO) nous offre des images absolument superbes et qu'on aura loisir d'apprécier pendant les 20 premières minutes de mises en places du film. On aura aussi loisir de voir la caméra tombé "littéralement" amoureuse des formes sculpturales de la belle Blake Lively et dont le dure labeur de mise en forme physique consenti pour ce rôle est flagrant. Certes, on pourra sans doute levé un sourcil devant la tenue minimaliste et sexy à souhait de Blake mais cet aspect se fera bien assez vite oublié une fois le grand requin apparut. Si le film n'a pas couté très cher pour les standards américains (13 millions), à aucun moment nous sentons le faible budget, le réalisateur Jaume Collet-Serra sait faire apparaitre savamment les apparitions du requin pour mieux nous surprendre avec brio et ceux, jusqu'au climax avec un requin devenu berserk (intense et stressant à souhait). Et pendant que je vivais ce film au rythme des battements de cœurs et des malheurs de Nancy, je ne pu que souligné l'excellente interprétation de Blake Lively qui montre une fois de plus, après Adaline et Café Society, qu'elle est une grande actrice. Je ne saurais donc que trop recommandé ce film a tout amateur de survival et/ou de film de requins car The Shallows est tout simplement le meilleur film de requin depuis les dent de la mer que j'ai trouver tres bien.
Contrairement à la note moyenne des spectateurs qui n'est pas vraiment élevée, ce film réalisé par Jaume Collet-Serra m'a vraiment emballé. Le scénario est plutôt simple, c'est l'histoire d'une surfeuse, Nancy, qui va sur une plage isolée au Mexique fréquentée quelques années auparavant par sa mère pour surfer mais elle se retrouve coincée sur un rocher par un grand requin blanc. Il est donc simple mais efficace, effectivement, on ne s'ennuie pas car même si le film est une sorte de huit clos en plein air, il y a toujours des scènes angoissantes, haletantes et surtout qui possèdent de très bons jump scare très efficaces par moments. Comment ne pas penser au célèbre "Les Dents de la mer" de Spielberg ? Même si l'idée est quelque part la même (attaque de requin), l'approche en est différente et surtout ici, on sait que le requin n'attaque par comme ça pour rien, il y a une véritable raison à cela car rappelons-nous que le requin n'est pas agressif s'il ne se sent pas menacé ! Il y a aussi le fait que c'est un peu le premier film depuis celui de Spielberg de 1975 et de sa suite qu'il y a un film plutôt sérieux sur les requins car tous les autres parlant de ces gros poissons sont soit très mauvais soit pas sérieux donc cela fait du bien d'en voir un bon de temps en temps. Le rythme est très bon, on ne voit pas l'heure et demie passer et les effets spéciaux sont plutôt bien faits, en outre ceux du requin qui est réaliste. Pour ce qui est du "gore", il y a certes pas mal de scènes "sanglantes" mais cela reste correct. J'aimerais aussi faire une petite mention spéciale aux paysages qui sont magnifiques et très bien filmés, de même que pour les scènes de surf qui sont également très bien filmées avec des mouvements de ralentit etc. Pour les points négatifs, je dirais que le film joue trop avec le physique du personnage principal, il y a beaucoup de scènes où l'ont voit son postérieur, la scènes où elle remonte sa combinaison, ce qui lui comprime la poitrine mais vraiment filmée en gros plan et au ralentit et en parlant de ralentit, les scènes où elle court sur la plage en mode "Alerte à Malibu" qui en est presque pathétique. Il y a également la musique que je n'ai pas trouvée spécialement angoissante et elle ne reste encore moins en tête mais j'avais peut-être trop celle de "Jaws" en tête. Pour ce qui est de Blake Lively, l'actrice principale, je l'ai trouvée très bonne (sans mauvais jeu de mot...) et surtout très crédible, on voit vraiment l'angoisse, la peur et la douleur dans ses yeux. "Instinct de Survie" est donc une très agréable surprise puisque je n'y allais sans réelle conviction et qui se laisse très bien regarder mis à part pour les puristes de "Jaws" qui resterons attachés au film.
On est régulièrement sous tension avec Shallows. A la différence des autres films sur les requins, au celui-ci est bien visible. Comme tout bon film de ce genre, la tension montent aux furs et à mesure des minutes. De plus, la belle surfeuse blonde met en appétit les spectateurs : athlétique, élégante et mystérieuse à la fois ! Que demander de plus :) Les effets spéciaux sont minimes, mais particulièrement efficace. L'énorme requin est bien représenté ! Bien entendu certaines scènes sont surréalistes, mais elles nous démontrent bien le stress de la surfeuse sur les quelques m2 de surface.
Un bon divertissement. De belles scènes efficaces, même visuellement. Quelques SFX un peu moyen. Mais j'ai passé un bon moment devant ce film de requins au dessus de la moyenne.
Franchement je pensais que ça allait être un truc plus sérieux que "The Deep" mais non, enfin à peine, disons au moins dans une certaine retenue, en fait tout repose beaucoup trop sur Blake Lively et aussi charmante soit-elle ça ne suffit clairement pas, je suis désolé mais cette nana on n’a pas envie de la connaitre, enfin personnellement elle me faisait déjà chier avec sa fausse assurance et ses petits antécédents familiaux, on voit le personnage typique de la gringa qui va ravaler son sourire niais. Et puis le réalisateur ne fait rien pour nous rassurer, c’est tellement formaté, le coup de la mise en scène avec les captures de portable ou les skills slow motion de surf c’est du clip de MTV pas du cinéma faut arrêter, je n’avais pas envie de voir ça, il doit bien y avoir 20 minutes qui ne servent à rien (en vrai le film commence quand Lively est filmée en plan large sur sa planche), ce qui laissait une heure à ce projet pour savoir ce qu’il avait réellement dans le ventre. spoiler: Spoiler : Pas grand chose. On vacille surtout entre l’ennui et les invraisemblances, par exemple la baleine qui apparait d’un plan à l’autre où on veut nous faire croire ensuite qu’un requin va préférer les 50 kilos tout mouillés de miss Blake à des tonnes de barbaque j’ai du mal à avaler ça, et le squale ne lâche jamais l’affaire, jour et nuit, du vrai harcèlement de plage (je mets mon bras à couper que les pires féministas y ont vu une analogie, la femme sexualisée victime du prédateur, etc, j’anticipe parce que ça peut aller loin parfois, hé hé). Après tous les éléments s’enchainent (la caméra, la bouée métallique), pas le temps de ressentir une once de désespoir, l’instinct de survie dans ce film c’est surtout passer à l’action en invoquant le deus ex machina, ça tient à ça, et la dernière partie est complètement surréaliste, ça se vautre un peu comme la fin de "10 Cloverfield Lane", sauf qu’ici on forge un suspense un peu en carton. Et l’ultime plan pitié, plus neuneu tu meurs.
Les bons films de requin sont peu nombreux et Instinct de survie fait parti de cela. Porté par une Blake Lively très convaincante, le film est un véritable duel entre l'Homme et la Bête. Le scénario est simple (Blake Lively doit survivre au requin qui l'a pris en chasse) mais efficace, il y a une tension constante tout au long du film et les effets spéciaux, bien que quelques fois un peu approximatifs, font quand même bonne impression et permettent de rendre le tout visuellement très propre. Bref, Instinct de survie est un sympathique thriller doublé d'un bon film de requin qui vous tiendra en haleine jusqu'au bout.
Prenez l'une des plus jolies actrices d'Hollywood (personnellement, Blake Lively est en concurrence avec Amber Heard ^^), une plage paradisiaque et vous saupoudrez le tout d'un squale énervé : la recette semble évidente et d'une simplicité enfantine et pourtant, peu de réalisateurs s'y collent. Il faut dire qu'à l'instar de "127 heures", la simplicité du postulat oblige à utiliser toutes les ficelles possibles et imaginables pour en faire un film qui tienne la route. Jaume Collet-Serra s'en tire avec les honneurs, bien aidé par l'actrice principale (même si on regrettera un final un peu bancal) ...