AlloCiné
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Votre avis sur Apparences ?
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La première heure du film prends l'apparence (ui 😬) de Fenêtre sur Cours de 1984 et on y retrouve vraiment tous les codes de genre de thriller.
Mais plus le film avance et plus le mystère s'épaissit.
Zemeckis propose une mise en scène la hauteur de ce qu'on attends avec de bons moments de frissons.
Le casting fonctionne super bien, de même de son histoire.
Thriller assez classique mais mené par une mise en scène inventive et prenante.
Mais plus le film avance et plus le mystère s'épaissit.
Zemeckis propose une mise en scène la hauteur de ce qu'on attends avec de bons moments de frissons.
Le casting fonctionne super bien, de même de son histoire.
Thriller assez classique mais mené par une mise en scène inventive et prenante.
Fêtons le cinéma
Hommage extrêmement efficace au cinéma d’Alfred Hitchcock, What Lies Beneath compose un personnage complexe tel que les apprécie Robert Zemeckis : Claire Spencer présente plusieurs visages successifs qui se confondent à mesure qu’éclate la vérité, par l’intermédiaire du fantastique, registre que le cinéaste aborde avec une lourdeur d’exécution certaine. La confusion entre trois femmes blondes, soit la voisine mystérieusement absente de son lieu de vie, l’étudiante portée disparue et Claire elle-même, emprunte à Vertigo (1958) et brosse le portrait d’une société patriarcale fondée sur le travail du mari, éminent scientifique qui reconnaît ses pairs lors de soirées mondaines étouffantes et qui n’hésite pas à réduire sa compagne interchangeable à l’état de plante verte – Claire ne doit-elle pas participer à un concours floral ? n’agrémente-t-elle pas un panier de bienvenue pour ses voisins ?
Le trouble paranoïaque, qui emprunte lui à Rear Windows (1954), mute en pulsion scopique par le biais des multiples surfaces réfléchissantes, du miroir installé dans l’entrée de la maison aux vitres de la voiture et glaces de la salle de bain : cet œil qui surgit derrière la palissade offre une métaphore à l’ensemble du long métrage, celle de la nécessaire fiction pour posséder l’autre par le regard, que Zemeckis aborde en honnête artisan. N’oublions pas l’humour, marque d’une lucidité sur la nature factice, presque de contrefaçon, d’un film qui joue explicitement avec le spectateur et avec son œil : un couple commence à se disputer derrière la fenêtre de droite, au dernier plan devant lequel s’activent Claire et Norman (Bates ?!), puis la caméra s’approche pour capter la scène au premier plan ; ce même couple s’amuse à jouer l’étrangement lors d’une soirée ; la cadavre de l’étudiante ressemble à celui de la mère dans Psycho (1960) ; l’ampleur des mouvements de caméra fait qu’un visage semble inscrit dans l’eau du lac et de la baignoire, avant de disparaître pour laisser place à celui de Claire, etc. Alan Silvestri talonne Bernard Herrmann avec talent. Nous aurions tort de bouder notre plaisir !
Le trouble paranoïaque, qui emprunte lui à Rear Windows (1954), mute en pulsion scopique par le biais des multiples surfaces réfléchissantes, du miroir installé dans l’entrée de la maison aux vitres de la voiture et glaces de la salle de bain : cet œil qui surgit derrière la palissade offre une métaphore à l’ensemble du long métrage, celle de la nécessaire fiction pour posséder l’autre par le regard, que Zemeckis aborde en honnête artisan. N’oublions pas l’humour, marque d’une lucidité sur la nature factice, presque de contrefaçon, d’un film qui joue explicitement avec le spectateur et avec son œil : un couple commence à se disputer derrière la fenêtre de droite, au dernier plan devant lequel s’activent Claire et Norman (Bates ?!), puis la caméra s’approche pour capter la scène au premier plan ; ce même couple s’amuse à jouer l’étrangement lors d’une soirée ; la cadavre de l’étudiante ressemble à celui de la mère dans Psycho (1960) ; l’ampleur des mouvements de caméra fait qu’un visage semble inscrit dans l’eau du lac et de la baignoire, avant de disparaître pour laisser place à celui de Claire, etc. Alan Silvestri talonne Bernard Herrmann avec talent. Nous aurions tort de bouder notre plaisir !
Première partie intrigue psychologique voire psychiatrique puis seconde partie film d'horreur hyper classique avec le méchant quasi immortel. J'aime les acteurs et leurs jeux et je suis fan des 2 genres, moins du second mais c'est agréable à regarder et bien filmé.
Je trouve toujours dingue quand je me rends compte que je suis passé à un côté d'un tel film à l'époque ! Je l'ai adoré sur toute la longueur, le tout est mené d'une main de maître. Je dois dire que je me suis totalement laissé prendre par l'intrigue et que je ne m'attendais jamais à ce qui allait se passer la minute d'après. Pour moi, un grand film que je recommande ! Ah oui, la musique d'Alan Silvestri est une fois de plus magnifique !
excellent thriller, fantastique, Ford et Pfeiffer sont parfait, l'histoire est originale, mis en scène impeccable, on s'ennuie pas, on est tenu en haleine jusqu'au bout.
A voir sans hésitation.
A voir sans hésitation.
Un chef d'oeuvre du suspens à la Hitchokienne ( Du m^me genre que les films d'Alfred Hitchock .
Le suspens nous tient en haleine , pendant tout le film , du début à la fin .
Le suspens nous tient en haleine , pendant tout le film , du début à la fin .
Film super Captivant !
J'ai adoré tout le Long ya du suspense et on ne s'ennuie pas.
Et là musique apporte une atmosphère mystérieuse et des fois on sursaute 😂😂
Je mets 4* car c'est bien mérité
J'ai adoré tout le Long ya du suspense et on ne s'ennuie pas.
Et là musique apporte une atmosphère mystérieuse et des fois on sursaute 😂😂
Je mets 4* car c'est bien mérité
La 1ere partie est lente, mais lente à en mourir ou à abandonner. Ce n'est qu'au moment où enfin le fantastique devient thriller que le film bascule sur l'épouvantable, angoissant, rebondissant et va incroyablement plus loin que d'autres films de cet acabit et peu devenir jubilatoire pour ceux qui aiment (comme moi),
spoiler:
L'affiche montre exactement ce point de passage
Apparences est un film de Robert Zemeckis et cela implique plusieurs choses dignes d'intérêt à commencer par une BO réussie, une belle photographie et bien entendu une excellente réalisation.
De plus les acteurs sont superbes et vraiment au top de leur forme bien qu'un peu vieillissant déjà il y a 20 ans.
Quel est le problème donc ?
spoiler: Au bout d'1h30 de film on apprend que le mari, Norman, c'est le méchant et que du coup toute l'affaire du paranormal est obsolète et que le film ne se résume qu'à une vulgaire affaire de meurtre. Pour un film aussi élégant et soigné au niveau du rythme, je suis désolé mais c'est baclé c'est inintéressant et surtout ce n'est pas ce à quoi Zemeckis nous a habitué, à garder sa ligne de conduite comme dans l'excellent Contact (film sorti juste avant).
Apparences c'est donc l'histoire d'un gros gachis qui aurait pu être très bon mais qui n'est pas allé là ou il devait aller.
C'est dommage car tout le reste est réussi.
De plus les acteurs sont superbes et vraiment au top de leur forme bien qu'un peu vieillissant déjà il y a 20 ans.
Quel est le problème donc ?
spoiler: Au bout d'1h30 de film on apprend que le mari, Norman, c'est le méchant et que du coup toute l'affaire du paranormal est obsolète et que le film ne se résume qu'à une vulgaire affaire de meurtre. Pour un film aussi élégant et soigné au niveau du rythme, je suis désolé mais c'est baclé c'est inintéressant et surtout ce n'est pas ce à quoi Zemeckis nous a habitué, à garder sa ligne de conduite comme dans l'excellent Contact (film sorti juste avant).
Apparences c'est donc l'histoire d'un gros gachis qui aurait pu être très bon mais qui n'est pas allé là ou il devait aller.
C'est dommage car tout le reste est réussi.
Soyons clairs, ceci n'est pas le meilleur film de Zemeckis, réalisateur pour le moins hétéroclite vu qu'on trouve aussi bien une comédie avec des toons qu'un film de survival sur une île déserte, un film de guerre, un biopic sur un funambule, un film d'aventures teinté de romance, une trilogie sur le voyage spatio-temporel et des films d'animation sur Noël dans sa filmographie.
"Apparences" tient le coup durant les trois quarts de son temps (la dernière demi-heure est convenue, une fois passé le twist), avec une ambiance un peu oppressante, flirtant avec le surnaturel et y plongeant carrément, en fait, au bout d'un moment. Harrison Ford et Michelle Pfeiffer sont très bons spoiler: (Ford dans un rôle assez différent de ses habitudes, c'est rare qu'il joue un salopard)
, le scénario est un peu convenu. Dans le genre, j'ai vu bien mieux, mais ça reste un honnête thriller, avec quelques "jump-scares" plutôt réussis spoiler: (la première scène de la baignoire...)
, et la réalisation de Zemeckis est vraiment efficace. Pas un chef d'oeuvre, ça aurait pu être encore mieux, mais c'est totalement regardable.
"Apparences" tient le coup durant les trois quarts de son temps (la dernière demi-heure est convenue, une fois passé le twist), avec une ambiance un peu oppressante, flirtant avec le surnaturel et y plongeant carrément, en fait, au bout d'un moment. Harrison Ford et Michelle Pfeiffer sont très bons spoiler: (Ford dans un rôle assez différent de ses habitudes, c'est rare qu'il joue un salopard)
, le scénario est un peu convenu. Dans le genre, j'ai vu bien mieux, mais ça reste un honnête thriller, avec quelques "jump-scares" plutôt réussis spoiler: (la première scène de la baignoire...)
, et la réalisation de Zemeckis est vraiment efficace. Pas un chef d'oeuvre, ça aurait pu être encore mieux, mais c'est totalement regardable.
thriller fantastique d'une qualité rare qui ne fût pas salué par la critique à sa sortie, mais avec les années passantes, on se rend compte que ce film à tout du grand film à suspens.
Un Hitchcock avec les effets spéciaux en plus. Les références ne manquent pas, et même si dans la première heure on nous promène, sans vraiment savoir ou l'on veut nous emmener, c'est même un peu long, un peu lent, la seconde heure s'avère plus stressante, on entre dans le vif du sujet et enfin, on découvre les véritables enjeux.
Michelle Pfeiffer, actrice en vogue à ce moment là, tient le film sur ces épaules, tout passe par elle, et nous montre des gammes de son jeu assez percutant. Quant à Harrison Ford, il ne lui vole pas la vedette, il joue le rôle du mari hyper occupé par son boulot, mais qui compatie avec sa femme et la soutient, rôle pourtant à contre courant de ce qu'il fait au quotidien.
Sans oublier le réalisateur, faiseur de grands films, dans des genres bien différents, et qui rend ici, hommage sans le trahir au maitre du suspens des années 50/60.
Un Hitchcock avec les effets spéciaux en plus. Les références ne manquent pas, et même si dans la première heure on nous promène, sans vraiment savoir ou l'on veut nous emmener, c'est même un peu long, un peu lent, la seconde heure s'avère plus stressante, on entre dans le vif du sujet et enfin, on découvre les véritables enjeux.
Michelle Pfeiffer, actrice en vogue à ce moment là, tient le film sur ces épaules, tout passe par elle, et nous montre des gammes de son jeu assez percutant. Quant à Harrison Ford, il ne lui vole pas la vedette, il joue le rôle du mari hyper occupé par son boulot, mais qui compatie avec sa femme et la soutient, rôle pourtant à contre courant de ce qu'il fait au quotidien.
Sans oublier le réalisateur, faiseur de grands films, dans des genres bien différents, et qui rend ici, hommage sans le trahir au maitre du suspens des années 50/60.
Malgré la très bonne réalisation de Zemeckis, ce film hitchcockien ne tiendra pas toutes ses promesses. Celles cultivées par les apparences, justement, très référencées et trompeuses, puisque la révélation finale choisira le grand guignolesque de série B. Dommage!
Des bruits, des voix, des cris et des chuchotements, des apparitions...La belle Michelle Pfeiffer voient des choses dans sa maison qui n'existent pas [...] Tout le film, angoissant, n'est peut-être qu'un cauchemar èveillè ? Sous la forme d'un huis-clos, Robert Zemeckis atteint cette maîtrise, cette virtuositè - et cette efficacitè - d'Alfred Hitchcock et Brian de Palma! Est-ce suffisant pour avoir la trouille avec une technique du jump scare imparable ? On va dire OUI
spoiler:
pour sa dernière demie heure aussi tendue que riche en sensations fortes! Au point que l'on prend le même plaisir que devant "Les diaboliques" de Clouzot!
Certes "What Lies Beneath" (2000) est un chouia long mais cette histoire de maison hantè n'en pâtit pas! Bref un thriller fantastique très recommandable spoiler: et un contre-emploi intèressant pour Harrison Ford...
Certes "What Lies Beneath" (2000) est un chouia long mais cette histoire de maison hantè n'en pâtit pas! Bref un thriller fantastique très recommandable spoiler: et un contre-emploi intèressant pour Harrison Ford...
La tension permanente qu'on voit tout le long du film . La femme Harrison Ford croit voir avec le voisin qu'il a tuer sa femme mais ses plus costaud que ça .
Le début est long et semble interminable (on s'ennuie presque) mais les jumpscares bien placés arrivent à nous maintenir éveillé jusqu'au rebondissement final qui arrive à nous faire oublier les longueurs du début.
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