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    Personal Shopper
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    135 critiques spectateurs

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    Mia Wallace
    Mia Wallace

    14 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 novembre 2023
    Ca partait d'une bonne idée, mais ... grosse déception.
    Ca fait un moment que je voulais le voir mais au vu des critiques, j'ai hésité... Je n'aurais pas dû.
    Soit j'ai loupé la subtilité d'une message et de l'intrigue, soit c'est bâclé.
    L'histoire était intéressant mais sombre vite dans un mélange non maîtrisé de genre et pour quoi au final? Pas grand chose.
    Je suis restée sur ma faim. Je m'attendais à quelque chose de plus profond. Tant pis.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 920 abonnés 12 474 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 août 2023
    Accèder au monde des esprits selon Olivier Assayas et à travers Kristen Stewart en acheteuse de mode qui n'aime pas son mètier! Pas si simple à aborder comme sujet surtout quand il s'agit d'une jeune parisienne (Stewart, jouant à la pointe de l'impossible) qui tente de rentrer en contact avec l'esprit de son frère jumeau dècèdè! Le film, à la mise en scène très esthètisante et lèchèe, divise sur la Croisette mais repart malgrè tout avec un Prix prestigieux! Je crois qu'on aura compris à quel point Assayas est un être à part, descendu d'une planète inconnue! Sa sensibilitè au monde invisible le fait se dèbattre avec l'impossible, et cela donne des choses farfelues, èmouvantes, hors normes, mais jouant une fois encore avec l'ambiguïtè sur fond de thriller et de fantastique! Alors rèflexion sensible sur la solitude du deuil et de la quête d'identitè ou dèlire mystico-fantomatique et fantasmatique sur le corps de Kristen Stewart (à la plus grande joie de la gent masculine) ? A vous de voir...
    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 731 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 août 2023
    L'histoire suit une femme qui a perdu un ami et qui est hantée par lui au propre comme au figuré. Il y a une intrigue secondaire qui complique un peu l'histoire. Il pourrait y avoir un super pouvoir de détection de fantôme chez notre héroïne. Nous ne sommes donc pas sûrs des manifestations de l’au-delà. Il y a quelque chose chez Kristen qui la rend attirante et nous voulons la suivre. Nous sommes inquiets quand elle conduit la moto. Nous sommes inquiets lorsqu'elle voyage en train. Au final, on apprend ce qui la hante et elle en est contente. Mais je ne suis pas sûr qu'elle le sache, même si elle l'a toujours voulu. Film bien fait.
    Hotinhere
    Hotinhere

    569 abonnés 4 993 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 2 août 2023
    Un drame intimiste et spirituel sur le deuil aussi troublant que déroutant, malgré la présence mimétique de Kristen Stewart.
    SAVONAC
    SAVONAC

    1 abonné 90 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juillet 2023
    Olivier Assayas m'ennuie. Ancien critique de cinéma, il a certes la carte du "Club", collectionnant les avis favorables de ses confrères. La réalité c'est que je ne sais pas pourquoi ce monsieur réalise des films.
    Ce "Personal Shopper" ne déroge pas à la règle: c'est un film chiant. Un de plus dans une filmographie déjà touffue de films sans intérêt.
    Seuls les amoureux de Kristen Stewart, dont je suis, y trouveront leur compte puisque la belle américaine illumine les presque 2 heures d'une oeuvre languissante, pénible par instants.
    Qu'est-ce qui peut passer par la tête d'un metteur en scène pour infliger au spectateur une séquence aussi interminable que celle des échanges de textos dans le train et ailleurs? N'y a-t-il personne dans son entourage pour lui dire: "Hey mec... c'est un peu long ton truc... Faudrait couper..."
    Mais non! "J'ai un budget, je suis le patron, je fais ce que je veux..."
    Voilà: je mets 2 étoiles. Pour Kristen Stewart, même si je l'ai vue meilleure.
    Martine R.
    Martine R.

    7 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 juin 2023
    Je viens de le voir sur OCS. Heureusement, car cela m'a permis de m'endormir sur mon canapé et pas dans le fauteuil inconfortable d'une salle obscure. Quel ennui, Dieu, quel ennui! Un film mal foutu, mal joué, interminable. On se fiche éperdument des histoires de fantômes qu'il nous assène. Un seul mérite: son pouvoir soporifique. A recommander si vous souffrez d'insomnie.
    Fabien Sorrant
    Fabien Sorrant

    43 abonnés 1 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2023
    Un très bon film fantastique d'Oliver Assayas avec Kristen Stewart , Sigrid Bouaziz , Lars Eidinger,Nora Waldstatten et Benjamin Biolay.
    calamityJ
    calamityJ

    4 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 février 2023
    Ennuyeux et insipide, ce "Personnal Shopper" ne décolle jamais. Assayas échoue autant sur le tableau du fantastique (l’angoisse se dégonfle dès l'apparition ridicule d'un spectre ectoplasmique et s’épuise dans une interminable séquence de harcèlement téléphonique) que sur le tableau du film mental (la pirouette finale – « Est-ce moi ? », éculée jusqu’à l’os). Reste une longue rumination sur le deuil, vidée de toute substance comme le cinéaste fait le vide autour de sa comédienne. Presque tout le temps seule à l’image, Kristen Stewart se cogne contre elle même et se trouve acculée à un cabotinage épuisant (c’est un festival de sourcils plissés et de tics nerveux). Après le fascinant et mélancolique « Sils Maria », Assayas retombe dans ses pires travers de cinéaste arty qui se veut chic mais qui sonne complètement creux.
    Isis Klam
    Isis Klam

    8 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2022
    Un film remplie de poésie gothique où l'absence trône comme personnage principale.
    Kristen Stewart ici -personnal shopper pour une star- porte le masque de la souffrance, passant de maison en appartement, de magasin en magasin, toutes et tous habités par des fantômes bien vivants ou morts, modernes ou passés.
    Le film a des allures de bal spéculaire au rythme flottant mais appuyé avec des robes à paillettes jamais portées/jamais achetées; des bijoux jamais rendus; un signe attendu du frère jumeau -décédé trop tôt- toujours manqué.
    Cette danse flottante nous échappe mais elle existe. Le film est donc indéniablement charmant : le réalisme cohabite parfaitement avec le fantastique.
    On aura jamais vu de long-métrage avec autant de fantômes aussi bien imbriqués dans la société de solitude qu'ils hantent. Assayas signe une oeuvre de son temps noyée dans les couleurs de l'automne et de tout le romantisme que sont capables d'apporter les spectres avec l'idée simple que tout se cache et que donc que tout existe.
    Cyril Bureau
    Cyril Bureau

    7 abonnés 520 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2022
    Deux ans après Sils Maria et sa splendide représentation des cycles du temps qui permit à Kristen Stewart de rompre définitivement avec son image de star pour adolescents, Olivier Assayas retrouve la jeune actrice dans Personal Shopper. Cette histoire de fantômes récompensée au dernier Festival de Cannes par le prix de la mise en scène (partagé avec Cristian Mungiu pour Baccalauréat) est pour le cinéaste l’occasion de proposer la représentation littérale d’une obsession qui a marqué l’ensemble de sa carrière: celle de filmer l’invisible. En plus d’avoir pu nous entretenir avec lui au sujet de son film lors de sa venue à Zurich (notre interview est à lire ici), nous avons décidé d’approcher Personal Shopper à la lumière des nombreuses réflexions écrites d’Assayas. C’est l’avantage des réalisateurs également théoriciens du cinéma ; ils nous offrent la possibilité de voir en leur œuvre un laboratoire. Sans grande conviction, Maureen exerce le métier de « personal shopper ». La jeune Américaine passe ses journées à écumer les boutiques de luxe de la capitale française afin de tenir à jour la garde-robe d’une star capricieuse qu’elle ne croise presque jamais. Si elle accepte d’évoluer dans le milieu de la superficialité par excellence, c’est qu’elle a besoin d’argent pour rester en France, où elle pense pouvoir communiquer avec l’esprit de son frère, récemment décédé. Jumeaux, ils partageaient la même déformation cardiaque et le même don pour, apparemment, entrer en contact avec les défunts. Ainsi, Personal Shopper est avant tout construit autour d’une absence. Celle du double, du frère perdu dont l’héroïne n’arrive pas à faire le deuil au point de se perdre. Étouffée sous un trop plein de souvenirs, Maureen s’obstine à errer, traquant une manifestation surnaturelle, une porte vers l’autre monde, un signe adressé par son frère depuis l’au-delà. « Et qu’est d’autre le meilleur cinéma qu’un rituel, que l’invocation des esprits ? » ― Olivier Assayas Recherche fébrile de l’être aimé invisible, quête nostalgique du temps perdu ; le point de départ de ce scénario écrit en neuf jours donne lieu à une explicitation inédite des obsessions qui sont au cœur de la filmographie d’Olivier Assayas depuis ses débuts. S’aventurant pour la première fois dans le fantastique qu’il a toujours déclaré aimer – et avec lequel il a parfois flirté –, le réalisateur donne corps à sa fascination pour l’invisible et concrétise son goût pour la nature ésotérique du cinéma. En grand amateur de Kenneth Anger et partageant avec lui la conviction que le cinéma est un moyen scientifique d’invoquer les esprits, il transpose littéralement une idée qu’il a longtemps commentée : celle que le cinéma serait l’art de l’invocation capable de « donner forme humaine à un monde immanent [et de] faire surgir dans le monde réel les fantômes et les pouvoirs en suspension autour de l’homme ou bien autour de son esprit conscient ».
    picasso2
    picasso2

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 octobre 2021
    Une belle façon de raconter le cheminement de chacun à travers le deuil. On pourrait aussi chercher d'autres interprétations de ce qui se déroule dans cette histoire, des métaphores notamment, ou bien on peut tout simplmeent le prendre au premier degré, il restera un très bon film, porté par une très bonne actrice.
    brianpatrick
    brianpatrick

    85 abonnés 1 618 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 juin 2021
    C’est un film totalement bobo parisienne. D’ailleurs, la preuve, la production a engagé Benjamin Biolay pour une apparition. La pauvre Christine Steward, elle a tenté Paris. Elle ne parle pas français, mais dans le film, elle parle avec des français. Elle est belle, elle a une plastique parfaite. Après, elle travaille pour tester la garde-robe d’une dame, avec sa plastique, tout lui va. Après, il y a beaucoup de scène parisienne, le Paris du métro et le Paris des bistros. Il y a des scènes à la gare du Nord. Elle va voir sa copine à Boulevard Sébastopol, et sa copine habite dans un penthouse avec un grand jardin. Une belle incohérence, mais bon, pas grave. Autrement, le film reste faible. Le scénario quasi inexistant. Alors que la production avait les moyens, engager Christine Steward et aussi tourner des scènes au Maroc.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 février 2021
    Personal Shopper est un film assez simple et sa fin se concrétise. Kristen Stewart projette son existence vers l'extérieur et elle se manifeste sous forme d'images fantômes, de sons, d'objets en mouvement et de textes qui font ressortir ses insécurités. Il y a des éléments secondaires de l'intrigue qui sont moins importants et quelques touches thématiques sur la façon dont la technologie crée l'isolement mais ils sont minces pour aujourd'hui. Le film vous entraîne jusqu'à ce que la fin se révèle et que vous réalisiez qu'il était aussi vide que le message qu'il véhiculait...
    Caine78
    Caine78

    6 790 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 juin 2020
    En général, Olivier Assayas, ce n'est pas trop mon truc, son œuvre ayant même atteint un sommet d'énervement et de colère devant « Demonlover », véritable insulte cinématographique me mettant dans tous mes états à chaque fois que j'y repense. Cela écrit, je reconnais que depuis quelques années, les choses se sont un peu arrangées. Non pas que je sorte extatique de ses derniers titres, loin s'en faut, mais je leur trouve un sens, un discours, parfois une esthétique capable de me parler, voire de me plaire. Pourtant, j'avouais être assez inquiet avant de regarder « Personal Shopper » : critiques moyennes, sujet casse-gueule... Même si voir le bonhomme s'attaquer au « fantastique » était une vraie curiosité, disons gentiment que tous les feux n'étaient pas au vert. D'ailleurs, dire que tout m'a plu serait clairement mentir. C'est assez bavard (quoique, de façon assez irrégulière, quand on y pense!), se donnant parfois un peu trop de grands airs, certains aspects pourtant intéressants étant expédiés voire bâclés spoiler: (franchement, ça ressemble à quoi de conclure cette histoire d'assassinat de cette façon?)
    , tandis qu'il sera difficile de contredire les détracteurs lui reprochant qu'il ne se passe pas grand-chose... Pourtant, j'ai relativement adhéré. Assayas ne fait pas semblant d'avoir toutes les réponses, mais pose de bonnes questions. Toute cette partie autour des fantômes, de notre sensibilité à sentir (ou pas) leur présence autour de nous, nous apprenant au passage que le grand spoiler: Victor Hugo s'était lui-même essayé au spiritisme à travers une (fausse) fiction
    s'avérant également une bonne idée. Le réalisateur sait filmer, notamment son héroïne, dont nous sommes au plus près du début à la fin : sensible, complexe, excellemment interprétée par Kristen Stewart, dont les choix de carrière souvent courageux sont à saluer. Un peu comme dans « Nocturama », on peut également observer cette critique d'une mode superficielle, ne pouvant pourtant s'empêcher d'être fascinante lorsqu'on la côtoie au plus près. Enfin, il y a toute cette partie spoiler: « policière » autour du « mystérieux » contact avec lequel l'échange de SMS
    prend une tournure de plus en plus étrange et personnelle, pas forcément crédible mais très intrigante voire prenante, malgré une conclusion clairement pas à la hauteur. Dommage que ces dernières minutes, bien réalisées mais inutilement mystiques voire légèrement incohérentes, viennent conclure sans éclat une œuvre intéressante et singulière, sans doute un peu prétentieuse sur les bords, mais étonnante dans son déroulement et sa capacité à mélanger des genres à première vue peu compatibles.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 janvier 2020
    Le hasard a voulu que je voie en quelques jours « Doubles vies » et « Personal shoper ». J’ai peine à croire qu’il s’agisse du même réalisateur. Si Doubles vies est un chef-d’œuvre de finesse et de drôlerie, et Personal shoper n’est qu’un sinistre navet. Sinistre comme le fantôme de Kristen Stewart (quelle tristesse de l’avoir abîmée ainsi) qui encombre tous les pans du film et en est la seule unité. On passe d’une maison hantée à un délire spiritiste, puis à un meurtre que rien ne permet de comprendre et dont on ne saura rien, surtout pas le rapport avec le reste de l’intrigue, pour revenir à des verres qui se promènent tous seuls, enfin à cette sublime chute : « Ou ce n’est que moi ? ». Le ver était déjà dans le scénario, irrécupérable, et la réalisation aggrave les dégâts. J’ai résisté à l’envie de zapper au tiers du film et passé les 2/3 restants à me demander pourquoi je continuais à perdre mon temps. En tout cas j’ai eu tort.
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