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brianpatrick
86 abonnés
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4,0
Publiée le 15 avril 2024
L'adaptation d'une histoire vraie. Une histoire qui semble même être banale à New york. L'histoire d'une écrivaine sans le sou et qui possède le syndrome de Florence. C'est un très bon film. Une histoire intéressante.
Ce long métrage retrace un passage de la vie de Lee Israël, auteure de biographie dont la carrière est point mort et qui va trouver l'escroquerie comme bouée de sauvetage, le tout dans un New-York gris et hivernal. La solitude et une tristesse profonde sont les points d'ancrage de ce film que la réalisatrice et l'actrice principale interprètent avec élégance et surtout dignité. À cela s'ajoute un humour malsain grâce au duo d'acteur Mélissa McCarthy et Richard E Grant. La réalisatrice a fait le choix ici de ne pas retranscrire chronologiquement des faits, mais d'axer le film sur la psychologie très complexe et contradictoire de Lee Israël dans une société capitaliste dans laquelle il faut survivre pour avoir un toit et à manger. Ce film est un plaisir à regarder et une véritable belle surprise.
ce film est tirée d'une histoire vraie méconnue du grand public et qui pourtant et plutôt très intéressantes et je pense que c'est aussi pour ça qu'il a et ait adapter au cinéma pour raconter cette histoire. Un film qui contient des scène àssez cocasse mais au du suspence car on ce demande jusqu'où cela va mener héroïne principal et tous ce qu'il va ce passer . et puis il y a des des scène de retournement de situation qui sont assez innatendue . Mélissa mccarthy et très convaincante dans ce rôle qui lui va très bien à jouer et prouve une nouvelle fois qu'elle n'est pas que une actrice de comédie qu'elle peux également tous jouer. Ce film est maîtrisé, captivant et j'ai été touchée par cette femme intelligente mais pauvre et malheureuse.Ce film n'est pas du tout glamour certes mais on s'en fiche car il raconte une histoire très intéressante et le film est vraiment bien réalisé et interprété. ce film qui nous livre beaucoup d'émotions pour les personnage et lhisoitre et les événement qui y sont raconter .
Pour être honnêtes, je ne sais même pas pourquoi je fait une critique sur ce film.
Aujourd'hui on s'attaque à Les Faussaires de Manhattan, réalisé par Marielle Heller et sorti en 2018.
Petit teaser pour ma prochaine critique: c'est une saga mythique de la science-fiction. Quand j'écrit cette critique on est le 08 août 2022 à 18:38 (si vous voulez savoir pourquoi je dit cela, je vous conseille d'aller lire ma critique de Kill Bill: Volume 2). Parlons des acteurs, Melissa McCarthy est très très très bien dans ce film, même que des fois elle frôle l'excellence, le personnage est assez sympathique)e même si quelque fois elle peut être vraiment détestable. Richard E. Grant est aussi très très très bien même si il frôle le sur-jeu, j'aime beaucoup le personnage même si il peut être plus que détestable à certain moments (vous voyez lesquels). Dolly Wells est très bien mais je trouve qu'on ne la voit pas assez pour vraiment dire comment elle joue dedans mais elle est tout de même très appréciable.spoiler: Alors parlons du chat, dés que j'ai vu qu'il ne se sentait pas bien, je m'était: "il va mourir", et bien évidement sa c'est produit (ça nous a offert une scène très forte, et avec un excellent jeu de Melissa McCarthy), et c'est à se moment là que j'ai le plus détester Jack, je sais que c'est pas forcément lui qui la tuer (en vrai j'ai pas compris si il l'a tuer ou pas) mais c'est pas possible, il avait qu'a s'occuper du chat et quelques autres règles simple, il les as tousse détruit. Et le mecs il se fout du chat, la première chose qu'il dit c'est: "J'ai pas fait exprès", ensuite il va dire à Lee qu'elle a était méchante, et puis deviner ce qu'il fait après, il l'a dénonce aux flics, quelle bonne amis. L'histoire est très plaisante à regarder, adaptations de la biographie de Lee Israel (qui est a malheureusement décédé en 2019), parfois même très amusants, une très bonne comédie dramatique qui vaut la peine d'être vue.
Une histoire vraie plutôt originale teintée d'esprit, d'humour et de littérature. Mais un film triste et désenchanté, sur des vies un peu pathétiques, entre dépression et alcoolisme, escroqueries et misère sociale et affective. Sans misérabilisme mais surplombé d'une grisaille constante, l'ensemble parvient néanmoins à susciter l'émotion par surprise et s'avère une proposition intéressante.
Une histoire vraie interprétée par des acteurs peu connus en Europe, du moins......Le film est plutôt émouvant, et sans concession sur les écrivains...L'actrice principale, écrivain ratée ???? arrondit ses fins de mois en inventant de fausses lettres de correspondance de gens connus ou disparus...Une Faussaire quoi ! C'est bien interprété, avec des rôles secondaires attachants et des vues new yorkaises très esthétiques;. Quelle ville quand même, Le film se passe dans les années 90 ??? et c'est plutôt bien traduits dans les intérieurs d'appartement comme dans les vues de boutiques, principalement des librairies, des bibliothèques;....Il y a un savoir faire romantique indéniable, et une émotion permanente dans cette histoire que j'ai pris plaisir suivre;. Je conseille
Emouvant, juste, ciselé, cette tragédie qui flirte avec la comédie est un petit régal qui sonne bien. les 2 pieds nickelés sont attachants et superbement interprétés.
Ceux qui sont nostalgiques de la magie qui se dégageait des films new-yorkais du Woody Allen des années 1970 et 1980 ne trouvent désormais que rarement de quoi les réjouir auprès d’un réalisateur vieillissant, souvent obligé de s’exiler hors des Etats-Unis pour trouver à financer ses projets depuis qu’il est devenu persona non grata en son pays pour les tristes raisons que l’on connaît. C’est Marielle Heller, jeune actrice devenue réalisatrice qui en un seul film a repris le flambeau, parvenant avec l’adaptation du livre de souvenirs de Lee Israel (« Can you ever forgive me ? ») à recréer trait pour trait l’ambiance si particulière qui émanait du New York fantasmé des films de l’acteur/réalisateur névrosé quand il était à son meilleur. Lee Israel, juive comme Woody Allen, a rédigé quelques biographies d’actrices et de personnalités ainsi que des articles connexes dans des revues et journaux au cours des années 1970 à 80. spoiler: Son activité déclinant, elle a eu recours à la falsification de correspondances d’écrivains et d’acteurs décédés qu’elle revendait à des collectionneurs pour subvenir à ses besoins. L’arnaque ira jusqu’au vol de vraies lettres dans différentes bibliothèques. Le subterfuge sera bien sûr découvert et Lee Israel condamnée à ne plus exercer sa profession après une assignation à résidence. Ce n’est qu’en 2008, alors âgée de bientôt soixante-dix ans qu’elle rédigera ses mémoires . Parcours singulier autant qu’attachant d’une femme en marge et sans concession devant composer avec son alcoolisme tout en tentant de survivre dans un New York où il ne fait pas bon être sans revenu. Sur le feu depuis 2011, le sujet plutôt savoureux et iconoclaste était initialement tout autrement embarqué pour son adaptation cinématographique. La scénariste et réalisatrice Nicole Holofcener devait en effet diriger Julianne Moore et Sam Rockwell dans les deux rôles principaux. Les désaccords créatifs entre Holofcener et Julianne Moore changèrent radicalement la donne. Melissa McCarthy, actrice comique au talent jusqu’alors sous-employé incarnera donc Lee Israel sous la direction de Marielle Heller avec Richard E. Grant dans le rôle de l’ami homosexuel de l’écrivaine. Si les bouleversements sont quelquefois un handicap quant à l’équilibre d’une production, il faut reconnaître qu’ils ont sans doute été salutaires dans ce cas précis, permettant à Melissa McCarthy de trouver le rôle qui révélera toute l’étendue de son registre. Assez peu connue en Europe, elle donne toute sa dimension à cette femme enfermée dans ses certitudes qui a fini à force d’intransigeance et de muflerie par faire le vide autour d’elle. Difficile sans aucun doute de rendre immédiatement attachante miss Israel qui choisit l’affrontement et l’isolement plutôt que d’accepter un peu des contraintes d’un milieu très codifié dont elle connaît pourtant les ressorts. Le scénario de Nicole Holofcener ajouté à l’interprétation toute en nuance de Melissa McCarthy va progressivement amadouer un spectateur sans doute peu enclin à l’empathie. Une transition qui s’opère un peu à la manière dont James L Brooks et Jack Nicholson avaient opéré dans « Pour le meilleur et pour le pire » (1997) mais sans aucun doute avec une plus grande véracité et surtout avec une nuance accentuée. Dans un New York comme on aime l’imaginer, on se laisse donc happer par le parcours insolite de cette femme entre deux âges qui grâce à la fréquentation opportune d’un homosexuel fantasque, campé par le formidable Richard E. Grant, se découvre une empathie qu’elle feignait de ne pas voir, enfermée qu’elle était dans sa rancœur d’écrivaine frustrée. Un film qui réchauffe le cœur et nous fait espérer qu’un nouveau Woody Allen pouvant être une femme se promène sans doute dans le New York de ce nouveau siècle si mal engagé.
Biographie au ton volontairement mélancolique et désabusé, qui souffre surtout d'être trop centrée sur son personnage principal et de ne pas s'intéresser plus aux conséquences de ses actions, histoire de mieux saisir l'intérêt de cette arnaque qui aura duré deux ans. En tout cas, Melissa McCarthy est loin d'être maladroite dans cet exercice, apportant beaucoup de sensibilité à son personnage, ce qui compensera d'une certaine façon le très grand classicisme du film, qui ne se démarque pas de la production courante du genre, même s'il joue bien la partition de l'émotion.
Un biopic lent, terne et sans éclat sur un personnage que l'on peut, au choix, accuser (elle fait ça pour survivre) ou excuser (il s'agit tout de même d'un crime).
Le rythme choisi pour porter cette histoire est intéressant, il est lent et agréable, saupoudrant de Smooth Jazz les aléas de la vie d'une écrivaine déchue. À plusieurs reprises le film fait naître des sourires qui mettent du temps a s'estomper. Les personnages sont justes, la réalisation un peu trop facile parfois. Attention cependant, il faut être dans un certain mood pour accrocher tant le début est imprécis, et manque d'impact.
Tirée d'une histoire vraie, une comédie d'escroc brillante et pleine de charme, à l'atmosphère fascinante, sublimée par des acteurs formidables, notamment l'étonnante et touchante Melissa McCarthy.
Une histoire originale d'écrivaine pas assez sûre d'elle inventant un stratagème pour se maintenir à flot. Richard E. Grant est bluffant dans son rôle de magnifique sans le sou. Hélas, la 3ème partie du film traîne en longueur sans apporter un nouvel éclairage, et finit par lasser le spectateur.