Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Shelby77
163 abonnés
1 532 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 11 avril 2018
Un excellent film horrifique pour les amateurs du genre avec un scénario original qui va à l'essentiel, un casting plaisant et surtout une réalisation très soignée. Un film plein de suspense, tension et rebondissements.
L’uruguayen Fede Alvarez s’est fait connaître en réalisant un remake d’"Evil Dead" nerveux et plutôt efficace (même sans atteindre le panache et la flamboyance du métrage original, faut avouer que ça avait tout de même de la gueule !!). Pour son deuxième long métrage, il revient aujourd’hui pour s’attaquer au genre si apprécié du « Home Invasion » : "Don’t Breathe" nous propose donc de suivre trois jeunes qui souhaitent quitter la ville dans laquelle ils pourrissent et qui commettent des cambriolages pour y arriver. Ils décident de mettre leur plan à exécution après un dernier coup qui semble facile : cambrioler un pauvre aveugle qui a touché une grosse somme d’argent après la mort de son enfant dans un accident de la route... Contrairement à ce que pouvait laisser croire la bande-annonce ainsi que de nombreux articles lui étant consacrés, "Don’t Breathe" n’est pas un film d’horreur mais plutôt un thriller bien huillé : tout comme l’avais fait à l’époque Sam Raimi avec son "Evil Dead" (et on comprend mieux maintenant pourquoi Sam lui a confié les rennes du remake), Alvarez réussit à transcender un récit en huis clos plutôt simpliste grâce à son audace et son génie visuel. Il parvient à nous plonger dans une ambiance très tendue uniquement par le biais de sa mise en scène virtuose qui n’est pas s’en rappeler le "Panic Room" de David Fincher, tout comme le prouve cet incroyable plan séquence lorsque les jeunes pénètrent dans la maison :spoiler: durant cette longue séquence et en un seul mouvement, la caméra nous faisant découvrir les lieux en insistant par le biais de gros plans sur des détails qui auront une certaine importance plus tard. Toute la réalisation transpire l’ingéniosité, chaque plan est peaufiné jusqu’à l’éclairage et la maîtrise de la lumière (voir ce passage spoiler: se passant dans l’obscurité la plus totale ). Mais l’autre grande force de "Don’t Breathe", c’est de proposer une certaine neutralité dans son script : si ce dernier se met du côté des jeunes en nous expliquant leur désir d’épanouissement, jamais il n’essaye de nous convaincre que leurs actes soient justifiés (au contraire, on insiste bien sur le fait qu’ils commettent des délits). De la même manière, si la victime des jeunes est dépeinte comme un pauvre aveugle à l'esprit perturbé (n’est-il pas finalement un père qui a perdu son enfant dans un drame affreux dont il subit encore aujourd’hui les répercussions psychologiques ?), on nous dévoile alors jusqu’au paroxysme quel genre de monstre il est réellement. Le film ne prend finalement jamais parti pris et ce, même jusqu’à son ultime twist ! S’il fallait parler de chose qui fâche, on devrait s’arrêter sur le casting : il n’y a que quatre protagonistes et, si on exclu Stephen Lang qui est absolument fabuleux en aveugle flippant, on ne peut pas dire que les autres soient inoubliables. En effet, Jane Levy arrive à peine à être convaincante notamment à cause de la relative inexpressivité de son visage, la performance de Dylan Minnette est assez anecdotique, quand à Daniel Zovatto on l’aura rapidement oublié. C’est dingue le peu de charisme qu’ils arrivent à dégager à eux trois comparé à Lang qui rayonne de terreur. "Don’t Breathe" est donc une bien agréable surprise : porté par une réalisation extrêmement maîtrisée (on est proche du travail d’orfèvre), le métrage nous happe dans une atmosphère étouffante en nous proposant une relecture quasi horrifique du thème de l’arroseur arrosé en nous faisant vivre le même cauchemar que celui de ses « héros ». Bravo pour cet exercice de style brillant Mister Alvarez : j’ai vraiment hâte de découvrir votre prochain « méfait » !
Très agréable surprise que ce Don't Breathe. Alors que je m'attendais à un énième Home Invasion à l'américaine réalisé à la va-vite, j'ai été agréablement surpris par la qualité de la photo et de la lumière, et ce dès les premières minutes. Le scénario en lui-même se révèle somme toute assez classique, avec un petit twist en plein milieu mais rien de bien folichon non plus, par contre il faut admettre que Fede Alvarez maîtrise parfaitement sa caméra, chaque plan est judicieusement pensé et rien n'est laissé au hasard. Les acteurs ne sont pas super charismatiques certes, mis à part le formidable Stephen Lang bien entendu, mais la jeune Jane Levy s'en sort tout de même pas trop mal. Donc à la finale un thriller efficace, stressant, et surtout foutrement bien réalisé.
Don’t Breathe : La maison des ténèbres, thriller horrifique à l'américaine du réalisateur de Evil Dead aussi cauchemardesque que malsain. Les films sur les invasions de domiciles sont nombreux. Prenons en exemple : Panic Room. Thriller trépidant qui permettait à Jodie Foster de protéger sa fille Kristen Stewart des cambrioleurs. Mais avec ce Don't Breathe, ce sont les voleurs qui sont pris au piège de leur hôte : spoiler: un violent non-voyant aux sens aiguisés et qui cache peut-être quelque chose. Il y a ce climat de pauvreté qui se propage, la délinquance qui régit dans un Détroit ravagé. La mise en place du récit est réussie. Cela prend son temps pour camper ses personnages et cette atmosphère de suffocation. Dès que les cambrioleurs adolescents entrent chez leur victime, l'intérieur de la maison est montré à l'aide de quelques élégants faux plans-séquences et un montage quelque peu nerveux. Une habitation en apparence normale qui réserve des secrets et même des pièges... Comme une sorte de maison hantée, dite La maison des ténèbres (comme le dit si bien le titre VF). L'action ne tarde pas à arriver et avec elle la tension qui demeure omniprésente ! Certaines scènes peuvent heurter le jeune public spoiler: - celle du viol - par exemple, qui d'ailleurs qui marque le spectateur et ressemble à un Millénium de David Fincher. La lumière et le noir finissent par créer une crainte supplémentaire face à cet homme insensible à cela. Une bande-son tendue qui fait sursauter aux moindres bruits dans ce huis clos minimaliste, riche en idées et en surprises déstabilisantes ! Côté distribution, c'est convaincant ! Jane Levy offre une performance habitée. Stephen Lang (Avatar), exemplaire dans la peau de ce vieux soldat rusé qui donne une prestation tourmentée qui rappelle celle de John Goodman dans 10 Cloverfield Lane. Dylan Minnette (découvert pour ma part dans Chair de poule) s'avère étonnant dans ce registre. Et, le chien du vétéran qui n'abandonne jamais sa proie est effrayant !! La conclusion du long-métrage : parfaite, féroce et brillante. Mention spéciale !spoiler: Une fin ouverte à une suite, surement... Alors, Don't Breathe - La maison des ténèbres est une proposition sombre et brutale du cinéaste de Evil Dead. Il rejoint l'un des films d'horreur les plus efficaces de cette année avec Conjuring 2 et Dans le noir. On a le souffle coupé !
Sorte de home invasion inversé, il met en scène un ancien militaire aveugle dont la maison est cambriolée par 3 jeunes gens fauchés de Detroit. A mi-chemin entre Panic Room et Le Sous-sol de la Peur, Don’t Breathe réussi à convoquer l’horreur la plus efficace, celle qui prend racine dans le monde réel. Le vieil homme est alors à l’image du film : intelligent, tordu, sordide, ambigu, flippant mais en fin de compte fascinant
Fede Alvarez nous avait déjà fort agréablement surpris avec son remake déjanté du cultissime « Evil dead ». Il récidive aujourd'hui avec un film plus personnel, moins gore, mais tout aussi réjouissant. En effet, dès les premières minutes de « Don't breathe - La maison des ténèbres », il installe un climat malsain et une tension forte qu'il maintient efficacement jusqu'à la toute dernière scène. Le scénario, simple mais malin, met en scène trois jeunes truands qui s'introduisent dans la maison d'un vieil aveugle pour lui faucher ses économies. A partir de l'instant où ils mettent un pied dans cette vieille bicoque délabrée tout part en cacahuète... L'enfer se déchaîne sur nos pauvres cambrioleurs qui en sont vite réduits à lutter pour leur survie. Les rebondissements sont incessants et ménagent un suspense infernal qui met les nerfs à rude épreuve. La violence est l'autre maître mot de ce thriller sombre qui parvient sans peine à capter l'attention du spectateur avec quelques scènes plutôt spectaculaires et effrayantes de réalisme (le chien !). Les acteurs sont également à mettre à l'honneur, une grande partie de la réussite de ce huis clos tenant à la qualité de leur interprétation. La jeune et jolie Jane Levy est plutôt convaincante mais la palme revient indéniablement à Stephen Lang, carrément flippant dans son rôle d'aveugle survitaminé.
Don't breathe la maison des ténèbres est un excellent film. La réalisation est parfaite, et le film est vraiment glauque. Stephen leng interprète magistralement son rôle avec une intensité glaçante. Un film à ne surtout pas rater.
L'affaire était pratiquement dans le sac ! Un rapide cambriolage chez un vieil homme aveugle soupçonné d'abriter un gros magot et, hop, Rocky aurait pu enfin quitter Detroit avec sa jeune soeur afin d'échapper à l'emprise de leur mère et de son petit ami alcoolique. Seulement, lorsqu'elle et ses deux meilleurs amis s'introduisent par effraction dans la bâtisse pour passer à l'acte, ils sont bien loin d'avoir pris en compte le degré de folie de l'habitant des lieux et de son sympathique rottweiler...
Pour son deuxième long-métrage, Fede Alvarez retrouve une bonne partie de l'équipe de sa relecture d'"Evil Dead" (le scénariste Rodolfo Sayagues, les producteurs Sam Raimi et Robert Tapert, le compositeur Roque Baños et l'actrice Jane Levy dans le rôle principal) et s'aventure cette fois dans une sorte d'home invasion aux codes inversés (les envahisseurs sont en fait les proies). Et, punaise, que cela fonctionne diablement bien !!
Déjà, la première qualité de "Don't Breathe" est d'être un film avec un sujet certes classique mais o-ri-gi-nal (oui, vous ne rêvez pas !), ce qui, entre les différents remakes/reboots et autres suites, fait quand même un bien fou dans le genre en salles. Et on espère que son succès (mérité) outre-Alantique va changer quelque peu cette dynamique de non-prise de risques des studios en la matière. Ce qui force le respect avant tout devant "Don't breathe", c'est cette maîtrise d'un suspense redoutable dont fait preuve Fede Alvarez en ayant la bonne idée de tirer parfaitement parti de l'handicap de la victime -puis bourreau- du cambriolage (un peu comme Mike Flanagan l'avait fait avec la surdité de son héroïne dans la bonne surprise "Hush") pour créer un climax haletant et quasiment mutique pendant ses deux premiers tiers mais aussi en laissant planer le mystère des motivations et de la véritable nature de ce vétéran aveugle (Stephen Lang, génial en déglingué du bulbe à la froideur inhumaine) afin de mieux nous surprendre devant les secrets qu'abrite sa demeure. C'est bien simple, en la matière, "Don't Breathe" coupe littéralement le souffle (le titre est bien trouvé) pendant un peu plus d'1h30 grâce à son efficacité savamment orchestrée et en confiant au spectateur le rôle du quatrième complice de ces cambrioleurs en herbe pour mieux le scotcher à son fauteuil. Enfin, comme dans son premier long-métrage, Alvarez n'oublie pas de teinter le tout d'une petite dose subtile d'ironie très noire pour ajouter un côté malsain à l'ensemble qui souffle comme un véritable vent de fraîcheur dans ce genre de productions souvent aseptisées en ce domaine.
Roublard et redoutable, "Don't Breathe" s'avère être une sacrée bonne surprise dans le genre qu'il serait dommage de manquer !
Pour échapper à son milieu social misérable et sauver sa jeune sœur d’une existence sans avenir, Rocky est prête à tout. Avec ses amis Alex et Money, elle a déjà commis quelques cambriolages, mais rien qui leur rapporte assez pour enfin quitter Détroit. Lorsque le trio entend parler d’un ancien D'Irak frappé de cécité qui vit en solitaire et garde chez lui une petite fortune, ils préparent ce qu’ils pensent être leur ultime coup. Mais leur victime va se révéler bien plus retors, effrayante, et dangereuse qu'attendu…
"Don't breathe" est le dernier film de Fede Alvarez, réalisateur du remake d'Evil dead. Il s'agit d'un huit clos horrifique où 3 jeunes gens sans scrupules sont venus dérober le pactole à un ancien de la campagne d'Irak, revenu aveugle du front. Le moins que l'on puisse dire est qu'il va leur donner du fil à retordre... Le film démarre lentement jusqu'à ce que la victime du cambriolage réalise ce qui arrive et n'inverse les rôles. A partir de là, les rôles s'inversent et les 3 amis se retrouvent traqués dans la maison par un homme sans pitié qui compense sa cécité par d'autres sens aiguisés et une détermination qui n'a d'égal que sa cruauté.
J'ai beaucoup apprécié ce film annoncé comme "le plus terrifiant de ces 20 dernières années". Si tel n'est pas le cas, "Don't breathe" constitue tout de même un excellent produit horrifique, plein de rebondissements, porteur d'une certaine radicalité tout en restant réaliste. Il livre aussi une petite réflexion au passage sur les limites du droit de propriété ainsi que sur l'état immobilier de certains quartiers de Detroit (rires).
Ce film -et c'est tant mieux- ne multiplie pas les "jump scares" et a été réalisé de façon classique, pas par un parkinsonien atteint de la tremblante du mouton qui prétend réaliser du "found footage" comme le navrant et récent Blair Witch.
Il s'appuie sur un bon casting (notamment Stephen Lang, le méchant militaire d'"Avatar") et bénéficie d'un scénario simple mais en béton qui dispense d'ailleurs quelques surprises.
Le soundtrack de Roque Banos est également idéal pour ce film qui est mal distribué et c'est bien dommage.
Vu Don't Breathe ce soir. C’était franchement pas mal, bien meilleur que ces deux daubes de Blair Witch et Light Out. D'ailleurs on peux vraiment pas appeler ce film un film d'horreur ou quoi, c'est plutôt un thriller, vraiment bien tendu ! Y'a pas mal de retournement de situation agréable et qui font monter la pression toujours plus loin. Ce film m'a beaucoup fait penser au Sous-Sol de la Peur (de Wes Craven) mais en plus sérieux. D'ailleurs une scène en particulier est littéralement reprise de ce film. L'affiche aussi m'y fait penser ^^ Enfin bref, ce Don't Breathe est une belle surprise qui j'imagine, doit se savourer sans regarder le trailer (pour ma part je ne l'ai pas regarder et ça a été la surprise totale). Les acteurs son convaincants et Stephen Lang n'apparait comme un monstre sanguinaire, bien qu'il soit l'antagoniste principale, ce qui est plutôt bien jouer. Pour finir, le décors est juste parfait. Les quartiers délabré de Detroit on vraiment une âme qui transpire a l’écran, si je puis dire.
« Le meilleur film d’horreur des 20 dernières années »… Nous n’avons pas du tout la même notion de ce qu’est le genre horrifique ! En revanche, ce long-métrage, réalisé par Fede Alvarez, est un très bon thriller ! Avec une histoire assez classique, Fede Alvarez nous propose un très bon film à l’ambiance stressante et malsaine, dont le rythme ne fera qu’être accentué par des rebondissements improbables. Une mise en scène intelligente, un casting étonnant pour former un ensemble efficace !
Retrouvez la critique entière sur mediashowbydk.com ou via le lien ci-dessous :
Cette histoire poignante est celle d'un homme vieux et aveugle, traumatisé par la guerre et la perte de son enfant. Il se fait sa petite justice tout seule dans son coin, bien à l'américaine et ne demande rien à personne. L'homme vit chichement et ne semble pas accorder d'importance aux biens matériels (si ce n'est un petit faible pour les outils et les établis). Il prend soin de son chien vieillissant même si celui-ci n'est plus le protecteur dont notre vétéran, vous allez le voir, aurait bien besoin. Cet écologiste engagé lutte également à son échelle de citoyen contre contre l'obsolescence programmé en conservant un matériel Hi-fi vieillissant ainsi que la pollution lumineuse en s'interdisant d'acheter la moindre ampoule. Ce n'est pourtant pas un problème d'argent mais on comprend malgré une réalisation pudique que cet aveugle dont on ne connaîtra même pas le nom est au dessus des considérations matérielles. Humaniste dans l'âme, il refuse également de participer à l'oppression du système bancaire mondiale et conserve sa fortune chez lui à l'abri de la voracité des banques. Mais dans le monde vénal qui est le nôtre, un retraité solitaire est une proie et trois débiles pré-pubaires aux valeurs morales anesthésiées par les jeux videos et les réseaux sociaux s'introduisent chez lui par effraction pour le voler et mettre le boxon dans ses plans. Don't breath suit donc la quête émouvante de ce père de famille pour chasser ces intrus hors de chez lui. Afin d'appuyer son propos le réalisateur a pris soin d'incarner son héro principal par un acteur professionnel tandis qu'il recourait à des saltimbanques au charisme d'huitre pour personnifier ses voleurs puceaux. Alvarez se laisse toutefois parfois emporter et choque le public américain en utilisant son héro pour porter ses propres convictions : "There is no God!". Il ne faut pas y voir là un anti américanisme primaire, une haine des Etats Unis et de ses traditions ancestrales mais bien un encouragement à poursuivre la transformation de ce pays qui peu à peu retrouve les valeurs qui l'ont vu naître. Bien sûr Don't Breath est une critique virulente d'un système judiciaire devenu laxiste mais le réalisateur nous offre une première solution en prouvant que des citoyens sont encore prêt à assumer leur responsabilité lorsque l'Etat abandonne les siennes. La fin est assez paradoxale mais symbolique d'une époque. Certes la jeunesse a remporté ici une bataille à la Pyrrhus mais rien n'est perdu et on rêve de voir une suite dans lequel ce retraité qui a gagné notre empathie pourra prendre sa revanche sur le mauvais coup du sort que lui a encore réservé la vie.
Un très bon huit clos a la réalisation très efficace. C'est vraiment haletant avec de vrais bons moments d'effroi. Et a mon avis c'est sans doute le film le plus suffoquant qu'on est eu depuis le premier [rec]. Ca joue sur les mêmes peurs, celle du noir, l'enfermement etc... Mais c'est très bien fait aussi car le film est constamment surprenant. Puis Stephen Lang est juste génial, et s'en est même déstabilisant car par moment on ne sait plus avec qui tenir. Mais bon j'en dis pas plus.
Une tuerie vraiment bien foutu de A à Z suspense jusqu'à la fin j'aime ce genre de film car contrairement à ce qu'on peut pensé en regardant la bande annonce ou même le titre il n'y a rien de paranormal tout peut ce passé dans la vraie vie et ça ça fait flippé dans le mm style il y "The visit" que je vous conseil une tuerie également, si seulement on pouvais avoir droit plus souvent à ce genre de film, marre des navets avec des esprits en tout genre. 5 étoiles.
Un film qui nous emmène bien au départ, mais plus ça avance, et plus la fin devient évidente. Les quelques tours de passe-passe pour maintenir un faux suspens marchent mais ne suffisent pas. Un thriller plus que moyen...