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titicaca120
384 abonnés
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4,0
Publiée le 6 octobre 2016
un huis clos glacial à l'intérieur d'une maison austère où vit une personne non voyante ancien militaire mais toujours vaillante. l'irruption pour le voler de son argent de trois jeunes gens va impliquer des retombées irrémédiables.
Une Véritable Claque. Aprés le Remake Efficace d'Evil Dead, le cinéaste Fede Alvarez renoue avec le cinéma d’Épouvante avec ce Huit Clos qui mettra vos nerfs a rude épreuve du début jusqu'a la fin. Pour Commencer la Mise en Scène est ingénieuse et maîtriser d'une main de maitre a travers quelques plans séquences bluffantes et qui est servi par une BO angoissante qui donne de sacré palpitations lors des moments intense du long métrage. Ensuite le Scénario est Prenant et rondement huilé en étant regorge de Rebondissements surprenants qui nous laisse sans voix pendant 1h30 sans laisser le moindre répit, ajouter a cela un Suspense Implacable qui monte rapidement crescendo en passant par quelques séquences de Frayeurs qui arrive a nous faire sursauter avec habilite mais qui est réserver a un public avertie en raison de moments particulièrement Sanglantes et choquante mais qui n'oublie pas pour autant d'y apporter quelques notes d'émotions a travers quelques moments intimistes. Enfin le Casting est quand a lui irréprochable a commencer par le trio de jeunes composer de Jane Levy,Dylan Minnette et Daniel Zovatto qui livrent une prestation tout a fait convaincante a ces trois jeunes cambrioleurs qui se retrouve prie en chasse par un ancien marine aveugle et sanguinaire camper avec panache par l'excellent Stephen Lang qui est époustouflant dans la peau de cet aveugle dangereux et mystérieux. En Conclusion, Dont Breathte est une véritable secousse dans l'univers du cinéma D'Epouvante et qui confirme tout le génie de Fede Alavarez qui est l'un des metteurs en scéne les plus douées de sa génération et qui livre ici un Thriller Horrifique a la fois Tendue,Effrayant,Surprenant et Sanglant qui s'avere au passage comme l'un des meilleurs films D'Horreur de cette décennie qui ravira avant tout les amateurs du genre et dont trépigne d'impatience de voir les prochaines projets de Fede Alavarez.
Tendu et haletant, "Don't Breathe" est un petit plaisir de l'épouvante-horreur à déguster sans faim. Enfin un film où les protagonistes ne sont pas aussi bêtes que leurs pieds et ont des comportements normaux ! Ca fait plaisir ! D'autant plus que l'acteur Stephen Lang (le méchant d'Avatar rien que ça !) est excellent dans son rôle et il va vous mettre sous tension au moins la moitié de l'histoire, chose incroyable sachant qu'à l'heure actuelle la quasi totalité des films épouvantes/horreurs n'y parviennent plus. De plus une scène explore une nouvelle façons de filmer dans le noir qui va vraiment à coup sûr vous provoquer une petite angoisse sympathique (ce qu'on peut aimer ça !). Le scénario n'est pas en reste non plus, bien construit et surtout plausible, pas un truc pondu en cinq minutes juste pour dire qu'on va faire un film d'horreur pour se faire de l'argent facile. Ainsi le réalisateur Fede Alvarez, déjà extrêmement convaincant avec son formidable remake d'Evil Dead, signe un nouveau petit bijou du genre dans sa filmographie, ce qui laisse à penser qu'il va falloir suivre de très prêt ce qu'il va nous proposer par la suite !
Ce film est absolument invraisemblable. Vous voulez vraiment nous faire croire que le type est aveugle ??? C'est absolument impossible à la vue des actions du film ... Bref, beaucoup de bruit pour rien
Je n’en avais pas entendu parlé mais suite à deux ou trois excellents échos, je me suis décidé. Et puis j’avais bien aimé le premier film de Fede Alvarez, le réalisateur, remake de Evil Dead sorti en 2013. On n’est pas ici devant un film d’horreur à proprement parlé, mais plus devant un thriller étouffant et glaçant. Ça commence doucement mais très vite ça monte en puissance. La mise en scène est solide, et plutôt sobre pour ce genre de film, la technique impeccable et l’interprétation de qualité. Mais c’est surtout le scénario, vraiment très malin, qui met nos nerfs à rude épreuve jusqu’à la dernière minute. De rebondissements en surprises, on est pas au bout de nos peines. Don’t breathe est en résumé un triller horrifique très efficace, tendu et éprouvant, rondement mené et réussi sur tous les plans. Une excellente surprise donc.
Fede Alvarez est un réalisateur uruguayen sacrément doué de la caméra. Il confirme ici tous les espoirs placés en lui avec le remake d’« Evil Dead » il y a trois ans, certainement l’une des réappropriations de films d’horreur les plus fidèles, réussies, marquantes et jusqu’au-boutiste qu’Hollywood ait pu nous offrir ces dernières années. Ici, bien que le film ait été vendu comme une bobine horrifique, rien de tel, on est plutôt dans le thriller extrême, très violent et sec. « Don’t breathe » est sans concession tout autant que réaliste et c’est plutôt rare à l’heure actuelle dans ce genre de productions formatées jusqu’à l’usure.
Et pour une fois les personnages ne sont pas de simples silhouettes idiotes et interchangeables destinées à être éliminées au gré des minutes de projection. Simplement, clairement et avec un jeu d’acteur au-dessus de la moyenne, la psychologie des personnages est intelligemment et rapidement posée. On est surpris au fur et à mesure des rebondissements et on apprécie de ne jamais savoir qui va s’en sortir ou pas. Tout comme le fait que le happy-end de rigueur n’en soit pas vraiment un… Chose rare et notable que les producteurs ont tendance à trop éviter actuellement par peur de voir fuir une partie de leur public potentiel. A tort, vu le succès surprise du film cet été outre-Atlantique. De plus, le fait de situer le film dans la ville en jachère économique de Détroit ajoute un cachet particulier au long-métrage.
On apprécie également la mise en scène d’Alvarez qui sait tirer parti de tous les recoins de la maison où se trouvent piégés les assaillants. C’est cadré avec style et bourré d’idées de mouvements de caméra qui servent la réalisation sans être gratuits ou juste esthétiques. Aussi malin que « Panic Room » auquel on pense parfois, la prétention en moins. Et les scènes dans le noir total ou dans des endroits extrêmement réduits en surface sont impressionnantes. On est donc happé du début à la fin par ce film sans fioritures, âpre et tendu qui nous assène quelques surprises bienvenues sans jamais tomber dans les incohérences ou les invraisemblances qu’un tel postulat laissait présager. Un excellent thriller qui ne paye pas de mine mais qui se situe bien au dessus de la moyenne du genre.
Fort de la réussite plastique de sa refonte d'Evil Dead, Fede Alvarez revient sur les écrans avec un concept original : après le home invasion, le home exit, où de jeunes cambrioleurs victimes de la crise tentent de s'échapper de la demeure d'un non-voyant décidé à ne pas les laisser partir. Dans le royaume de l'aveugle, les sons sont rois : Don't Breathe nous invite dans un huis-clos radical où le moindre effet sonore à son importance, les règles de survie dédiées au silence. Dommage qu'Alvarez ne reste pas constamment fidèle à cette règle : l'un des scènes fortes du film par exemple, où les survivants se retrouvent dans le sous-sol plongé dans le noir, est envahie d'une musique assourdissante et inutile alors que la tension est à son comble. Qu'importe, les faux-pas sont rares au sein de cette exercice insoutenable à la mise en scène inventive de bout en bout : on notera un excellent plan-séquence transcendant le cadre-regard, où les voleurs découvrent la maison de l'antagoniste, la caméra volant de protagonistes en protagonistes, traversant les murs, se rapprochant des éléments qui seront vitaux dans la suite de l'histoire... Coupez votre souffle, ou quelqu'un vous entendra définitivement crier.
*Don't Breath* n'est pas un film d'horreur. Il s'agit avant tout d'un thriller, angoissant certes, mais il ne rentre en aucun cas dans la catégorie du film d'épouvante. Fede Alavarez établit donc une première rupture par rapport à son premier film, le remake inégal d'*Evil Dead*. Ce que l'on retrouve dans ce second film, c'est un sens de la mise en scène particulièrement développé et une photographie magnifique, au service d'un film extrêmement efficace. Don't Breath n'en reste pas mois un pur film de divertissement, mais il arrive à injecter une forte tension durant toute sa durée sans jouer sur des effets de jumpscare répétitifs mais plutôt sur une escalade de la violence.
En effet, si dans la première heure le réalisateur se révèle assez sage dans ses propositions visuelles comme dans son développement scénaristique, le dernier tiers est un véritable festival de rebondissements, parfois aux dépends de la cohérence scénaristique et on frôle même (là où dans Evil Dead on y était enfoncés des pieds à la tête) le grand-guignol. C'est cette skyzophrénie entre les tons adoptés qui m'ont mis la puce à l'oreille vis à vis de l'identité du réalisateur, et, bien que cela soit beaucoup mieux géré ici que dans *Evil Dead*, il faut dire qu'Alvarez doit encore apporter une touche de maturité essentielle pour basculer véritablement dans la cour des grands, car ce dernier ne manque clairement pas de talent.
Bref, *Don't Breath* est un très bon thriller, servi par des acteurs au top, une narration sonore et visuelle aiguisée ainsi que de bonnes trouvailles scénaristiques. A voir !
film superbe super bon acteur beaucoup de suspense une ambiance engoissante son coter imprévisible donne beaucoup de charme au film le scénario est très bien réalisé ça fait du bien de voir un film de qualité
Un très bon film, qui lorgne plus du côté du thriller que celui de l'horreur. La tension est présente tout au long du film, notamment grâce à une photographie sublime. Les références aux films d'horreurs des années 70 sont subtiles mais bien dosées. Une bonne surprise.
Deux hommes et une femme cambriolant des maisons s'attaquent à celle d'un aveugle vétéran de guerre en espérant trouver une très importante somme représentant le dédommagement qu'il a reçu après que sa fille ait été tuée, renversée par une voiture. Malgré une trame simple et un lieu restreint, j'ai trouvé ce film efficace. L'histoire démarre vite et contient quelques surprises dans son développement. Bien que quelques jump scares soient utilisés l'ambiance parvient à être stressante et même malsaine parfois. Le sentiment d'insécurité est bien présent.
« Don’t Breathe » est un bon thriller d’horreur, bien qu’il faille certainement plus retenir le côté suspense et tension que le côté horrifique, même si on retrouve certains codes du genre. L’histoire est simple mais la mise en scène est habilement construite. L’intrigue est également basique et se limite à comment sortir de cette baraque de malheur, si possible en vie. La photographie joue énormément avec l’obscurité, l’un des protagonistes étant aveugle. Le casting offre des prestations honorables et Stephen Lang est excellent et terrifiant, sans en faire des tonnes et avec une quasi absence de dialogue. Un métrage qui sort clairement du lot et qui offre un moment plaisant.
Excellent huit-clos / home invasion avec un scénario orignal et prenant. Mais si le film fait un peu pensé au sous sol de la peur, il a un excellent scénario à tiroir servi avec un jeune casting prometteur et Stephen Lang est parfait dans ce rôle de vétéran aveugle et vengeur. Une excellente surprise
Les films d’horreur et d’épouvante ont une place particulier au cinéma : Public limité mais précis, sorties échelonnées, ce genre fait parti des films minoritaires intéressants et parfois trop catalogués. L’erreur de départ de « Don’t breathe » est un problème de positionnement promotionnel relatif au thème du film qui n’est pas vraiment une oeuvre horrifique mais plutôt un thriller policier à fort suspens débordant sur un côté trash qui l’autorise à le qualifier d’épouvante. Classique sur ce type de scénario, les bases démarrent par un groupe de jeunes qui débordent les limites conventionnelles de notre société, malgré tout justifié par une morale échappatoire qui rend ces délinquants finalement excusables. « La Maison des ténèbres » est plutôt accès sur une traque humaine similaire à « Desierto » par exemple, seul le contexte change pour faire appel à nos instincts claustro-phobiques. Même si le concept est simpliste, l’imagination de l’écriture donne une finalité prenante dont certaines scènes répondent à d’incroyables instants cinématographiques. A titre d’exemple, le suspens atteint son paroxysme lors d’une scène de poursuite dans le noir complet entre les traqueurs et l’aveugle. A l’inverse, le final s’éparpille et les surprises deviennent lassantes en essayant de tenir sur une petite longueur.
Bilan : Petite production et léger budget, fort dommage car de « Don’t breathe » aurait pu être encore plus bileux.