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Marc T.
266 abonnés
552 critiques
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3,5
Publiée le 6 mars 2018
Je connais la saga depuis ses débuts et je dois honnêtement dire que je n'ai pas du tout été déçu par cette préquelle. Certes elle n'est pas parfaite et utilise quelques facilités (sans compter les nombreuses coupes qu'elle a dû subir), mais enfin on s'intéresse aux origines de ce Leatherface et c'est ce qui m'a principalement plu, notamment son passage crescendo du côté obscur. Oui ok, le coup de la vache m'a fait explosé de rire aussi mais je suis passé outre car tout ce qui m'intéressait n'était pas la course poursuite mais son aboutissement. Quant au final, il est simple mais efficace.
C'est dans état bien particulier que j'écris ces quelques lignes tant le traumatisme que constitue la vision de ce film résonne encore en moi! Que dire de ce spectacle effroyable dont j'ai été l'infortuné témoin, moi qui m'étais pourtant juré de ne plus jamais m'approcher d'une production Maury/Bustillo après avoir eu le malheur de voir un de leur précédent méfait pompeusement intitulé" "aux yeux des vivants" qui m'avait déjà occasionné plusieurs mois de thérapie au sein d'un groupe de victime des ex pigistes Mad Movisien. Hélas, cliquant malencontreusement sur le mot Leatherface à la recherche d'un titre à regarder en dilettante, je ne pus interrompre la suite du métrage, fasciné et horrifié par tant d'infamie cinématographique, regrettant presque de ne pas avoir eu le courage de choisir un autre nanard du type de ceux produits par Europacorp (le déjà tristement célèbre Valerian).
Quel spectacle horrible! Comment est il possible que ces deux là n'aient pas encore été arrêtés et interdits ne serait-ce que de whatsuper??!! Je frémis encore devant le degré putassier de l'affaire, devant cette débauche de flagornerie filmique abjecte, mêlant narcissisme et auto satisfaction avec un aplomb tel qu'il en ferait presque rougir de honte un ex ministre de la culture adepte des massages d'oignons par de jeunes enfants Thailandais!
Aussi prévisible que vulgaire, cette relecture du personnage inventé par Tobe Hooper ne mérite même pas le qualificatif de film!
Je reste sur ma faim après ce film censé être l'origine du personnage Leatherface car si les scènes gores sont parfois bien trashes, malheureusement on a l'impression de faire du surplace et la fin qui nous donne la naissance du masque (qui ressemble plus à Michael Myers que Leatherface d'ailleurs) est totalement ajouté comme un cheveux sur la soupe à la mode : "Mais on a oublié de mettre le masque aussi... Euh Roger, tu nous fait ça rapidos!" - "Ok ça marche on tourne". Donc vous l'avez compris, il vaut bien mieux retrouver les versions originales, bien moins gores mais tellement plus malsaines et flippantes.
Pas super bien réalisé, relativement simple, de nombreuses facilités, des passages plutôt bêtes, un casting pas terrible, on se serait bien passé de ces origines de "Massacre à la tronçonneuse" ! "Leatherface" tente de surfer sur le succès de sa franchise culte, mais ne sera pourtant bel et bien qu'un simple petit film d'horreur du dimanche parmi tant d'autres. On aurait pourtant apprécié quelque chose de plus original et maîtrisé, surtout en cette année 2017, année dorénavant cruciale dans cette saga, car marquée par le décès de son créateur Tobe Hooper.
Obligé de noter ce film ce que je fais que rarement puisque pour moi il est vraiment sous noté, d'autant plus que le réal est Français et que ça me fait plaisir de voir des Français réaliser de tel film, c'est sur que le scénario aurait pu être mieux mais on est tout de même dans un bon contexte sur l'histoire du tueur à la tronçonneuse, au niveau du sang on est servit, c'est propre, bien réalisé et honnêtement j'ai adoré ce twist finale alors à vos télécommande les accros du genre et pressez play !
Préquel du film original (au bout du 8ème film quand même, ne l'oublions pas) par le très remarqué duo français de choc signé Julien Maury et Alexandre Bustillo, je dois dire que ce volet apporte de bonnes choses à cette saga qui en a vu de toutes les couleurs. Il est nettement mieux que le préquel "au commencement" de 2006, qui ne nous apprenait rien et était plus en relation avec le remake, pas top non plus. Leatherface, lui, se rapporte bien au film original et reste dans l'esprit, sans l'égaler bien entendu. Mis à part deux scènes assez osées et peu utiles de sex au film (eh oui, les réalisateurs ont dû s'adapter au modèle américain, lol) et quelques lenteurs, notre duo a su ajouter de la nouveauté, un petit plus à cette saga sans réaliser simplement un épisode de plus sans saveur. J'ai également beaucoup apprécié le fait que l'on doute de l'identité de Leatherface jusqu'à la fin ! Certains disent que le film démystifie le mythe de cet excellent méchant du cinéma, mais moi je trouve que, de toute façon, il n'y avait pas de quoi se poser des tas de questions sur les évènements qui l'ont amené à être aussi horrible, l'explication va de soi : il est né dans une famille de dégénérés !!! Je ne comprends pas les critiques qui "critiquent" (mdr Excellent) le trop de gore, au contraire j'ai trouvé la dose d'hémoglobine tout à fait raisonnable ! J'en aurait peut-être même mis plus... Ben quoi ? On parle bien de "Massacre" à la tronçonneuse, non ?!? ^^
Non mais quelle insulte au personnage de Leatherface, sérieux, pourquoi s'acharner à s'accrocher à la licence Massacre à la tronçonneuse alors qu'en tant que tel (tout en retirant l'histoire du masque à la fin et la déco de la maison familiale) ce film aurait très bien pu rester à sa place et n'être juste qu'un banal horror-movie gore ? (vous l'avez ?) Parce que évidement pendant les 1h30 on suit des personnages tout en voulant (même inconsciemment) se rattacher à l'univers mis en place par Tobe Hooper il y a 40 ans, c'est le deal, on croit reconnaitre Leatherface (le massif et mutique Bud) et le scénario nous la fait à l'envers, j'ai strictement rien compris, ils se sont sans doute dit que ça allait être marrant de renverser le truc, de jouer la surprise, perso j'y ai surtout vu un immense foutage de gueule, c'est la consternation. Sans trop en dire quel rapport entre le personnage de Leatherface qu'on nous montre ici et celui de Hooper ? Strictement aucun. Pourtant je trouvais justement que l'idée de faire du soi-disant Leatherface un perso secondaire durant une majeure partie du film pour ensuite le voir se détacher était plutôt pas mal, en tout cas ouvert à quelque chose, genre un incident qui ferait qu'on prenne la pleine mesure de sa puissance et de son caractère torturé, que non, c'est foutu à la poubelle, ou plutôt en pâture aux cochons. Du coup tout ce qui s'est passé autour n'aura servit à rien après coup, même si l'histoire de la cavale teintée de glauque et d'hémoglobine se tient, mais pour moi c'est un autre film, il y a erreur sur la marchandise. En gros le film n'est pas une grosse nullité mais simplement un hors sujet inadmissible.
L'appel d'Hollywood est toujours tentant quand on est réalisateur français. Beaucoup s'y sont cassés les dents face à une méthode de fabrication très différente où producteurs exécutifs sont décisionnaires du film, n'hésitant pas à rendre la vie dure aux metteurs en scène, allant même jusqu'à charcuter les œuvres sur la table de montage pour "réparer les dégâts" (chose qui arrive d'ailleurs tout aussi bien à des réalisateurs locaux). Évincés de Halloween II, partis bredouille sur le remake de Hellraiser, refusant Vendredi 13 et Les Griffes de la Nuit, le chant des sirènes aura pourtant eu Maury et Bustillo, quémandé par Hollywood depuis leur viscéral À l'intérieur il y a déjà dix ans. Peut-être plus naïfs que leurs compatriotes, ils s'engagent sur un nouveau Massacre à la Tronçonneuse, prétextant que ce nouvel opus n'a rien à voir puisqu'il est le prequel du film original de Tobe Hooper. Ainsi, après le remake, le prequel du remake et la suite de la suite de l'original (vous suivez ?), voici comment Leatherface est VRAIMENT devenu Leatherface. Tourné comme un road movie sanglant où l'on suit quatre évadés psychotiques et leur infirmière d'otage, ce huitième film n'est hélas ni viscéral, ni visuellement mémorable et scénaristiquement décevant. Car si l'on veut raconter (encore) comment est devenu cinglé le tueur à la tronçonneuse, autant le faire correctement. Construite comme un jeu de rôles où l'on découvrira à la fin qui des trois évadés mâles est Leatherface, la révélation s'avère être tout bonnement ratée, ne faisant pas du tout ne serait-ce qu'hommage au film original tout en s'éloignant clairement du ton de la saga. Une prise de risque audacieuse pour les deux Frenchies mais qui manque cruellement de panache dans cette époque de suites/prequels canon/non canon sincèrement fatigante.
Les deux frenchy connaissent bien l'hémoglobine, mais leur Road Movie n'a pas d'argument pour consolider une genèse à Leatherface. Seul le Texas ranger Hal Hartman, interprété par le plus en plus charismatique Stephen Dorff, nous donne goût dans ce 8ème épisode et déjà troisième prequel.
Plutôt sympa à mon goût si ont ne le prend pour un Leatherface même si ils à de grosses lacunes par ses détails marrants ou honteux. Pas trop à prendre comme un vrai Leatherface car au final ont découvre trop peu se personnage donc ont se retrouve un spin off qui au final se révèle avec peu d'intérêt pour la saga malgré un sympathi. Enfin bref, vraiment loin d'être aussi mauvais qu'ont le dit je trouve. J'ai même fallit être surpris 😂.
A ce que j’ai pu voir le film a été charcuté au montage par les producteurs et c’est bien dommage car ce Leatherface offre des moments vraiment extras si on aime l’horreur, des passages qui font partiellement passer de gros très gros défauts. Dans ce qui a du mal à passer il y a le personnage de l’infirmière qui parait par moment de trop et dont certaines réactions ne sont pas crédibles et font sortir du film comme celle du shérif Hartman qui passe trop d’un extrême à l’autre (une bête totalement froide et sadique animé par sa vengeance aurait été mieux). Mais dans l’ensemble c’est vraiment des problèmes de cohérence comme le basculement trop rapide de celui qui deviendra Leatherface qui plombent le film. Mais à côté de cela il y a du bon, voir de l’excellent. Déjà il y a la parfaite maîtrise de Maury et Bustillo du genre et de la « barbaque « car certains plans sont vraiment géniaux comme les goutes de sang glissant sur la tronçonneuse, un des plans les plus iconiques de tout les films de la saga. L’évasion de l’hôpital psychiatrique est aussi un des grands moments du film, une folie pure avec à la fois de la retenue et des fulgurances marquantes. Le fait de voir une bande de malades mentaux pourchassés tout le long du film alors qu’en général dans ce type de film ce sont eux les chasseurs. Et puis il y a le personnage de Clarice LA trouvaille du film, totalement extrême et dont la dimension de sa folie se révèle au fur et à mesure et dont la scène « d’amour » a été un véritable choc. Bousculer son spectateur, lui faire vivre une expérience c’est aussi le rôle du film d’horreur, celui ci parvient à le faire par moment et je serais curieux à l’avenir de voir ce que pourrait donner une version director’s cut.
On ne va pas se mentir. Leatherface est une abomination. Julien Maury et Alexandre Bustillo n'avaient absolument aucune raison d'échouer. Finalement, il est parfois plus facile de rédiger une critique que de produire un film. En effet, ces derniers sont des rédacteurs de la revue MadMovies. Ils connaissent donc le genre horrifique. Pourtant, Leatherface qui se constitue comme préquel à Massacre à la tronçonneuse échoue lamentablement. Que ce soit dans son casting insipide (on retrouve notamment le Iron Fist - Finn Jones) ou dans sa mise en scène, Leatherface ne fait pas peur. Pire, il acquiert rapidement le titre de navet. Toutes les situations sont ridicules, les acteurs sont dans un surjeu continu et les origines sont totalement bafoués pour une trame narrative - sous acide - qui mêle à la fois road-trip et séjour psychiatrique. Certes, je ne suis pas un grand fan de la franchise mais soyons honnête ce film n'a aucune saveur. Et la percée frenchie dans l'univers impitoyable d'Hollywood s'avère être un cuisant échec. Ces deux metteurs en scène devraient retourner dans la presse écrite. Et son casting - hormis si la direction fut mauvaise - de changer de métier. Honteux, lamentable, décevant... Je peux multiplier les exemples de termes négatifs à l'égard de cette oeuvre. Si vous êtes encore vierge de tout visionnage alors fuyez sans vous retournez !
Pas mal, vraiment.. Bon road movie gore un peu à l'ancienne, qui reprend vite fait l'enfance de leatherface.. Gore, malsain et un peu d'histoire.. En bref, Texas chainsaw..
C’était prévisible, malgré une bande-annonce très alléchante, mais ce « Leatherface » réalisé par les frères Maury ne fonctionne pas en tant que préquelle, à mes yeux on est à la limite de l’insulte envers le film original, le chef-d’oeuvre de Tobe Hooper. Je suis un fan absolu de l’original, et je trouve ce nouveau film incohérent par rapport aux personnages, surtout Leatherface. Difficile d’en parler sans spoiler, mais je ne suis vraiment pas convaincu par le personnage et la psychologie de Leatherface, même sa silhouette très maigre m’a paru incohérente. On ne retrouve pas (ou très peu) l’ADN du film orignal. Le plus insultant restent les paysages, on ne retrouve absolument pas cette ambiance propre au Texas.. Heureusement la maison des Sawyer reste très fidèle (la reconstitution est impressionnante), c’est d’ailleurs une de ses meilleures qualités. Globalement j’ai même pas eu l’impression de voir un film lié à l’original, on a même pas le sentiment de visionner un film de la saga « Massacre à la tronçonneuse », donc à partir de là, c’est très décevant (et frustrant). On peut saluer les prises de risque en relevant ce pari insensé de vouloir faire une préquelle, on peut également saluer l’originalité de ce volet par rapport aux autres films.. mais pour ma part c’est un échec. Je lui accorde cependant la moyenne car le film n’est pas si mauvais que ça si on oublie ses origines, si on évalue le film seul (en oubliant les codes de la saga et le film de 1974) il est plutôt agréable. C’est un assez bon film du genre, mais il se vautre totalement en tant que préquelle, et en tant que volet de la saga. C’est bien de vouloir changer, mais il y a peut-être des limites... Je me répète, mais on a plus l’impression de regarder une préquelle de « Bereavement » que celle de « Massacre à la tronçonneuse »... Cependant, je continuerais à suivre ce duo à la réalisation, j’ai beaucoup de sympathie pour eux, dommage qu’ils aient pas de meilleurs projets (réaliser un film de cette saga est une grande opportunité, c’est même la grande classe pour tous fans du genre, mais rien que l’idée de faire un film sur la jeunesse du Leatherface orignal était mauvaise et très difficile à aborder...).