oh la la on chute ... comme la scène de l'avion, la seule mémorable du film. Les raptors sont les toutous de Chris (on y croit pas du tout) et ils courent dans les chambres du manoir... la saga commence à dériver sévère et ce n'est que le début malheureusement...
Il y'a du dino qui galope mais pas d'archéologie ni de paléontologue en vu. Ni de science. Chris Pratt, qui n'a peur d'AUCUN dinosaure et qui n'est JAMAIS inquiet, devient définitivement pote avec son raptor. C'est divertissant, la scène du volcan est pas mal, mais on s'éloigne de l'ADN du premier pour se rapprocher de films comme Alien, le style y fait penser.
Scénario habituel pour un Jurassic : des gentils qui veulent que des gentillesses aux petits et gros dinosaures, et des méchants qui veulent exploiter ces dinosaures. On connait la fin. Voilà le point faible de ce film. Le point fort (ou les points forts) : les dinosaures très bien faits font toujours aussi peur. Il y a de l'action, on ne s'ennuie pas. De bons décors.
C'est le premier film Jurassic que j'ai regardé, et c'est le 1er que je suis allé le voir en 3D au cinéma. Les acteurs Chris Pratt, Bryce Dallas Howard et Isabella Sermon (enterpretant son premier film) jouent formidablement bien.
à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie. à le considérer comme une parodie.
Jurassic Park/World, j’ai toujours envie d’aimer. C’est un sujet excitant, épique. On trouve ici quelques éléments intéressants qui apportent quelque chose à cet univers, notamment cette belle idée que le Jurassic World en ruine est construit sur une autre ruine plus ancienne, celle de Jurassic Park. Cet intérêt pour les ruines qui s’accumulent en strates jusqu’à remonter à un passé enfoui et inconnaissable est une idée classique en fantasy. Il y a aussi ce beau plan d’un dinosaure sur le toit d’un manoir anglais poussant un cri terrible avec la lune en arrière-plan, comme une revanche sur une très longue histoire.
Malheureusement, ces moments poétiques sont rares dans un film envahi par des scènes d’action toujours moins crédibles et qui finissent par ennuyer profondément. Tout cela finit, comme un summum absolu de non-crédibilité, par les dinosaures libérés vivant en cohabitation avec le genre humain… Terrible.
"Jurassic World: Fallen Kingdom" fait suite au premier "Jurassic World", qui resuscite la trilogie "Jurassic Park" lancée par Steven Spielberg. Juan Antonio Bayona arrive à la réalisation, et on sent rapidement qu'il y a une personne très inspirée derrière la caméra. En effet, de nombreux plans sont particulièrement iconiques avec des images très bien composées. Le film propose également un côté horrifique qui est totalement le bienvenu, comme c'était déjà un peu le cas dans le film "Jurassic Park" original, avec une montée en tension réussie. L'histoire propose une base intéressante pour renouveler un peu la saga, puisque l'île sur laquelle se trouvait le parc d'attraction est menacée de destruction avec tous les dinosaures qui s'y trouvent. La question du rapport entre l'homme et les animaux est donc un thème essentiel de ce film, où les dinosaures ne sont plus vraiment les méchants, remplacé par les manipulations génétiques de riches personnages peu scrupuleux. Ces méchants humains sont malheureusement un peu trop caricaturaux. De même, l'histoire s'embourbe avec des détails qui n'apportent pas grand-chose, comme l'évocation du clonage, ou encore avec des personnages secondaires qui sont peu utilisés. "Jurassic World: Fallen Kingdom" reste un divertissement assez plaisant, une suite intéressante, et pose les bases d'un prochain film à l'intrigue alléchante.
Le constat global, c'est que j'ai pris plaisir à ce film; bien qu'au niveau du scénario ce soit une variation de Jurassic Park: the Lost World (le film), j'ai trouvé certaines choses rafraîchissantes. En particulier l'atmosphère "film d'épouvante" était plutôt inattendue. Après j'ai pris beaucoup de chose au second degrés. spoiler: La chevauchée du T-Rex, l'Indoraptor-farceur, qui fait semblant de dormir ou joue à cache-cache (cependant vu sa propension à courir après des petites filles et à entrer dans leurs chambres, je lui soupçonne quelques vices cachés...) . Au niveau du scénario, quelques incohérences: déjà on peut se demander pourquoi Claire Dearing n'est pas en prison après Jurassic World, spoiler: ensuite les gyrosphères sur lesquelles il n'y a plus de verre pare-balles , mais rien de bien rédhibitoire. Au niveau des personnages, j'ai trouvé intéressant le retour fait sur Owen lors de l'éducation des raptors. ça donne une petite consistance à un personnage qui, dans Jurassic World, ne sert absolument à rien sauf à aider l'Indominus Rex à s'échapper (vérifiez...). Le revirement de Claire qui devient subitement protectrice de la cause des dinosaures n'est pas sans rappeler celui de John Hammond dans the Lost World ("vous êtes passés de capitaliste à naturaliste en 4 ans" (Ian Malcolm à John Hammond). Les personnages annexes sont sans surprise et sans grand intérêt. Non le principal reproche que je fais à Fallen Kingdom c'est d'avoir préparé la route à Dominion...
Excellent deuxième opus de Jurassic World. De l'action encore une fois omniprésente pour un classique du genre dans cette saga jurassic. Les effets spéciaux sont quand même dingue et la suite s'annonce très alléchante!! 4/5
Malgré des interprètes stéréotypé·es d’un côté, d’autres sans beaucoup de contenance de l’autre, avec un scénario encore parfois prévisible, ce 5ème volet de la franchise ne déroge pas à la règle de l’entertainment mais propose un peu plus d’originalité, dans les personnages ou quelques situations inattendues, voire même très touchantes, ce qui est résolument nouveau. Le pitch de départ en est un exemple : l’éruption d’un volcan menace l’île sanctuaire des dinosaures.
Ce qu’on peut regretter, c’est toujours le côté manichéen des méchants, très très méchants et la morale, toujours la même. La conclusion, en revanche, ouvre de nouvelles perspectives.
Au final, ce Fallen Kingdom est plutôt une bonne surprise, largement au-dessus des autres volets de la série.